T. C. Boyle

Bien écrit, mais quel ennui...

Qui n'a pas eu envie de s'extraire d'une loyauté factice ?

Finies les années 50 et 60 de l'uniformité… Celle où il fallait s'identifier !

Chacun pense comme il se gratte !

C'est plutôt séduisant, à priori !

Sauf que les meilleurs amis vous cerclent vite dans la pragmatique limite de ce que vous leur apportez !

D'où un recentrage vers l'appartenance qu'Adam dénonce comme Aliens !

Émouvant l'amour inconditionnel de Sara, de Carolee et pour finir de Sten qui signent le tableau d'une société perdue. Une société qui va prochainement devoir chercher ses titres de noblesse dans ces actes intenses de rébellion, qu'elle croit aujourd'hui contrôler par ses multiples interdictions pénalisées d'argent.

Le suicide d'Adam, comme le confirme Sten, n'est pas à prendre à la légère.

Demandez-vous comment traduire en littérature toutes nos déceptions.

Une merveille bien triste !

D'un côté, un franc tireur qui croit dur comme fer que l'on doit préserver la vie de toutes les espèces animales, même si ceci à un prix pour le fragile équilibre en place.

De l'autre, une scientifique au caractère plus nuancé mais qui estime que l'on doit d'abord s'occuper de l'écosystème dans sa globalité, quitte à exterminer en grand nombre les espèces animales invasives.

Le livre qui aborde la lutte entre ces deux visions de l'écologie est bien construit et se lit très facilement.

Néanmoins, un bon nombre de pages ont peu d'intérêt en n'apportant pas grand chose à la trame de l'histoire.

Si tu n'es jamais sorti de chez toi et que tu veux briller en société...

Oublie ce bouquin, tout le monde sait que tu n'es pas Allan Quatermain !!!

Hélas, un roman déprimant de plus sur ce cliché erroné : non les classes moyennes ne sont pas des "nanties" !

Oui la théorie de Darwin est implacable de vérité !

8 milliards de bipèdes aux capacités physiques intellectuelles très inégales , 90% plus doués à se reproduire à gogo sans se préoccuper de leur capacité à s'organiser pour offrir une qualité de vie et surtout à EVOLUER, notamment chez les femmes victimes consentantes du machisme, misogynie et de la beaufitude de leurs congénères mâles !

Trois femmes luttent et résistent sur une île battue par les vents, devant Santa Barbara. Un très beau roman "écologique", de T.C. Boyle.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..

Dans son nouveau roman, T.C.Boyle reprend un thème qui lui est cher, la défense de l'environnement, à travers deux personnages bien dessinés, incarnant deux approches de l’écologie. Alma est une scientifique intègre, austère et rigide qui veut coûte que coûte préserver le fabuleux biotope des Channel Islands, archipel au large de Santa Barbara, Californie. Dave est un riche commerçant, ardent défenseur des animaux. On pourrait croire qu'ils ont tout pour s'entendre, or il n’en est rien. Alma a le projet d'exterminer les rats qui ont envahi les Channel Islands et menacent leur faune unique, mais Dave ne supporte pas qu'on tue le moindre animal, même pour préserver des espèces rares. La guerre sera sans merci entre ces deux extrémistes... Grâce à une construction du récit éclatant la chronologie, on va petit à petit apprendre leur histoire personnelle. Celle de la lignée des femmes fortes qui ont donné vie et façonné Alma est particulièrement émouvante et éclaire ses motivations. Et surtout, T.C. Boyle se fait dans ce roman "nature writer". La description des Channel Islands, l’évocation de leur histoire, l'océan omniprésent, menaçant et magnifique donnent à ce roman une ampleur sans égale. Et on le lit d’une traite tant l'écriture de TC Boyle brille également dans les dialogues et dans les scènes d'action.
Lien : http://www.reseau-colibris.fr

On ne le lâche pas...que va devenir ce couple de mexicains ? Eux, c'est nous...

On ne le lâche pas...que va devenir ce couple de mexicains ? Eux, c'est nous...

Un roman passionnant qu'il faut absolument découvrir si l'on est - comme moi - une inconditionnelle de T. C. Boyle. C'est un pavé, mais la lecture n'est jamais indigeste !

Difficile de noter un roman de T. C. Boyle car je n'en connais guère de mauvais. Celui-ci traite d'un sujet de société très sensible : la confrontation de migrants mexicains avec des américains certes progressistes, mais qui, au fil des pages, ne penseront plus qu'à leurs intérêts. Féroce...

Pour mieux connaitre Frank Lyod Wright. Belle écriture.

Un superbe livre, une superbe écriture, un auteur à découvrir

Je m'essouffle à lire cette deuxième partie, et je voie que je ne suis pas la seule ; désagréable sensation de devoir quitter un livre comme on quitterait une salle de cinéma en pleine projection ! Vraiment déçue mais pas abattue pour passer à Loving frank un de ces jours ....

Dans une prose somptueuse, le romancier américain […] transforme cette histoire en véritable fable philosophique.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..

Pour dire l'hébétude de l'enfant sauvage, cadenassé dans l'immédiateté du temps, sans mémoire ni espoir, l'auteur américain a élagué, dépecé, asphyxié presque son écriture.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..

L’intérêt du livre de Boyle est d’éviter toute philosophie pour privilégier les émotions possibles de Victor qui ne demandait que de continuer à vivre libre dans la forêt.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..

Cette histoire vraie est vraiment très prenante, fascinante.

Intéressant, bien écrit mais un peu long. Je vais attendre un peu pour lire "Loving Frank".