Au départ, je ne pensais pas faire la chronique du deuxième tome sur le blog, mais juste la poster sur Babelio.
Ce qui m’a fait changer d’avis ?
La qualité scénaristique du tome 2 et le coup de pied au cul que je me suis prise dans le final, équivalent à une décharge de chevrotine dans le fondement, ou à celui qui a dû saisir les spectateurs lorsqu’ils entendirent la voix profonde de Dark Vador prononcer ces mots "Je suis ton père".
Il y avait des indices, mais je n’ai rien vu venir.
Le premier tome m’avait donné du plaisir de lecture, m’immergeant dans un monde où le virus de La Rouille avait renvoyé les Hommes à l’âge du Bronze ou de la Pierre. Alors, je n’ai pas traîné pour retrouver mon cher Convoyeur !
Il y avait des zones d’ombres dans le premier tome, notamment avec la femme qui semblait suivre le Convoyeur à la trace, ainsi que bien des mystères sur la personne du Convoyeur.
Lorsque l’on ouvre un deuxième tome, il y a toujours la peur qu’il ne soit pas à la hauteur du premier, qu’il tourne en rond ou en eau de boudin. Mes craintes furent vite balayées en commençant la lecture du tome 2.
Peu de temps morts, de l’action, des mystères dont on lève les voiles et le fameux "putain de coup de pied au cul", particulièrement dans les dernières pages (mais pas que) puisque les auteurs lèvent le voile sur le mystère que cache le convoyeur, celui qui avait intrigué le Renifleur lorsqu’il avait reniflé.
Avec ce deuxième tome, on entre dans une autre dimension et les auteurs nous ont gâtés avec un scénario qui n’est pas banal.
Vivement le tome 3 !!
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