Yugo Ishikawa

Un second tome qui explique comment les habitants de cette ville se sont retrouvés avec une taille de figurine poupée. Je m'étais fait une idée complètement différente de l'origine de la taille des habitants mais l'auteur s'y est pris de façon à brouiller un peu les pistes. Encore des courses-poursuites, entre chats, militaires et hommes minuscules, qui tournent souvent à l'horreur... Les dessins sont agréables avec un côté un peu désuet, avec la couverture couleur beige, les petits objets... Curieuse d'en savoir un peu plus sur les personnages et voir s'ils vont pouvoir sortir de cette galère... Série complète en 6 tomes (5 tomes déjà traduits en France), un bon point !

Dans ce quatrième tome, Alice et Yukko qui se perdent puis se retrouvent. La fuite est difficile entre Iossif et les forces de JSDF qui rodent aux alentours. Et des nouveaux protagonistes font leur apparition. A ce point de l'histoire, j'ai besoin d'un petit éclaircissement... celui devrait venir dans le prochain tome !

Encore de l'action pour ce troisième tome ! Nos trois minis aventuriers se mettent en contact avec les amis de Yukko. Le problème est que les trois petits hommes sont activement recherchés...

Pas de temps morts avec cette série, des éléments s'ajoutent petit à petit et on se pose toujours des questions. Que va devenir Yukko après ça ? Et Alice ? Peut-il vraiment y avoir un retour à la vie normale après ça ? La série complète fait 6 tomes, ça ne sera donc pas une série à rallonge mais il faudrait attendre la sortie du tome 6 en France !

Avant-dernier tome de la série. Encore de nouveaux personnages mais le lien se fait entre chacun et on comprend comment fonctionnent ces êtres aux pouvoirs aussi incroyables que ceux d'Alice. On part à la recherche d'un petit garçon, Sho, qui ferait aussi partie des Wonders.

L'action s’accélère par moments, quelques démonstrations de force et une nouvelle équipe qui se forme. Le dessin est très détaillé sauf parfois les yeux ronds et noirs, au trait brouillon, qui montre l'innocence, la naïveté des enfants. Un cliffhanger de nouveau avant de cloturer cette série !

• « 𝒲𝑜𝓃𝒹𝑒𝓇𝓁𝒶𝓃𝒹, 𝓉𝑜𝓂𝑒 6 » 𝒹𝑒 𝒴𝓊𝑔𝑜 𝐼𝓈𝒽𝒾𝓀𝒶𝓌𝒶, 𝓅𝓊𝒷𝓁𝒾é 𝒸𝒽𝑒𝓏 𝒫𝒶𝓃𝒾𝓃𝒾.



• C'est ici que se conclut cette série en six tomes. Je dois dire que pour le coup je suis assez surpris par l'enchaînement des événements et la fin de cette aventure qui est terriblement frustrante.



[𝐿𝑒 𝓁𝒾𝓋𝓇𝑒]



• Wow.. Je ne pensais pas être aussi étonné et frustré simultanément par cette conclusion. De nombreuses surprises, bonnes comme mauvaises d'ailleurs, sont présentes dans ce dernier tome. Je m'attendais bien évidemment à la fin déchirante de certains personnages, mais pas forcément de cette manière. Des personnages sont clairement jetés à la poubelle et on ressent la fin précipitée par le mangaka. D'autres personnages disposent d'une histoire inattendue, tandis que d'autres n'ont pas eu le droit au développement qu'ils auraient dû avoir comme Iossif.. Il manque des chapitres de sensibilisation.. Certaines décisions, comme celle du général qui a foutu un sacré bordel, sont aberrantes, presque incohérentes.. La fin est intéressante, surprenante, mais laisse le lecteur que je suis sur sa faim. Un potentiel vraiment gâché de mon point de vue, même si le message final est louable. Je suis vraiment frustré par ce dernier tome.



• La couverture et son illustration sont d'une teinte bien plus ombre que les précédentes, en adéquation avec la fin de cette histoire. Nos deux héroïnes arrivent en fin de parcours, sortent du labyrinthe dans lequel elles s'étaient empêtrées.. Beaucoup moins de détails que pour les autres couvertures, on noteras tout de même la présence des chats et de Poko que l'on devine au bout de la laisse que tient Yukko.



[𝐿𝒶 𝓅𝑒𝓉𝒾𝓉𝑒 𝓋𝑜𝒾𝓍 𝒹𝑒 𝓁𝒶 𝒻𝒾𝓃]



• Merveilleux, vraiment ? Malheureusement non, trop d'occasions ratés et d'incohérences dans cette série pour la qualifiée comme telle. Néanmoins, j'ai tout de même passé un bon moment à lire cette histoire, qui pour être apprécié, nécessite simplement de ne pas en avoir trop d'attentes.



𝒮𝑜 𝒜𝓁𝒾𝒸𝑒 𝑔𝑜𝓉 𝓊𝓅 𝒶𝓃𝒹 𝓇𝒶𝓃 𝑜𝒻𝒻, 𝓉𝒽𝒾𝓃𝓀𝒾𝓃𝑔 𝓌𝒽𝒾𝓁𝑒 𝓈𝒽𝑒 𝓇𝒶𝓃, 𝒶𝓈 𝓌𝑒𝓁𝓁 𝓈𝒽𝑒 𝓂𝒾𝑔𝒽𝓉, 𝓌𝒽𝒶𝓉 𝒶 𝓌𝑜𝓃𝒹𝑒𝓇𝒻𝓊𝓁 𝒹𝓇𝑒𝒶𝓂 𝒾𝓉 𝒽𝒶𝒹 𝒷𝑒𝑒𝓃.

C’est ici l’avant dernier tome d’une série pleine d’aventure et riche en multiples rebondissements qui s’offre à ses lecteurs. Le rythme devient de plus en plus rapide au fur et à mesure que l’intrigue se rapproche de son dénouement. Autant vous dire tout de suite que le suspense est insoutenable.



Comment va bien pouvoir finir cette histoire ? Quels personnages réussiront à regagner leur époque d’origine et lesquels finiront-ils bloqués dans le temps ? Sû finira-t-elle par retrouver son petit frère ? Pourra-t-elle le sauver ? Est-elle réellement le messie qui sauvera l’avenir du monde ? Bref, vous l’avez compris, de multiples interrogations sont encore en suspend alors qu’il ne reste plus qu’un tome au mangaka pour résoudre son intrigue.



Mais parlons un peu plus en détail de ce quatorzième tome. Les quelques naufragés du temps qui étaient partis à la recherche de l’une des leurs avaient été contraints de plonger dans une flaque de temps pour échapper à leurs assaillants. Les voilà donc propulsés en février 2009. Le malheur veut que seuls Sû, son oncle, Mr Aikawa et Itoko aient pu faire ce voyage. Kiriko et Miki sont donc toujours coincées à l’époque de la seconde guerre mondiale.



Cette guerre va d’ailleurs laisser de douloureux stigmates au Japon et surtout à la ville de Tokyo qui subira un terrible bombardement à l’aube du 10 mars ! Entre les attaques militaires et les attaques du temps, les rescapés cachés dans le « château de pierre » vont avoir fort à faire.



Mais c’est avec une équipe complète et soudée toujours prête à faire face à son destin que cet avant dernier tome de « Sprite » prend fin, nous révélant en cours de route l’explication du titre choisi pour illustrer cette oeuvre. Je ne vous en révèlerais pas plus pour ne pas gâcher votre plaisir de lecture, mais je peux vous assurer que ce tome ne vous décevra pas !

Dans ce dixième tome de « Sprite » nous allons assister à la grande bataille qui va opposer les voyageurs du temps à l'armée de Takeda. Nous sommes toujours en pleine époque Sengoku et c'est Genjirô Sanada qui va mener l'offensive. Ayant révélé au grand jour qu'il était en fait un espion infiltré au sein du « Château de pierre », il peut maintenant exploiter sa connaissance des lieux pour frapper réellement fort.



Mais notre petit groupe de survivants de l'époque moderne a plus d'un tour dans son sac. Magobe'e, l'un des lost children, est en effet un fils de samouraï et a prévu tout un plan pour pouvoir défendre l'immeuble et ses occupants. Ces derniers sont désormais tous prêts à se battre pour sauver leurs vies. Même les douces Sû et Miki ont décidé de prendre les armes.



Les scènes d'action de ce nouveau volume sont vraiment à couper le souffle. Les plans tactique de chaque camps en mettront plein la vue aux lecteurs. En contre partie, ce tome de « Sprite » se lit vraiment très vite.



Le scénario n'est pourtant pas laissé de coté et on en apprendra beaucoup sur Mr Tsushima qui n'est définitivement pas celui qu'il semblait être au démarrage. Une série de flash-back nous révèlera son passé. Ce n'est finalement pas une coïncidence s'il se trouvait dans les étages les plus élevés du Building Kasumigaseki au moment où le tsunami temporel a frappé. Il semble qu'il soit le dépositaire d'une mystérieuse mission dont Sû est sans doute la clef de voute.



Tout cela reste bien mystérieux, mais il parait évident que certains individus de l'époque présente avaient une connaissance des évènements à venir et s'en sont servis pour mettre Mr Tsushima sur la route de Sû. Comment tout cela est-il possible et pourquoi ? Les réponses à ses différentes questions ne nous ont pas encore été révélées, mais le suspense est désormais à son comble. Plus que cinq tomes et ce manga aura révélé tous ses secrets à des lecteurs impatients d'en connaitre le dénouement !

Wonderland comme titre d 'un manga et avec une couverture aussi choupinette... on ne croierait pas que derrière, se cache en fait un manga relativement d'horreur. Le lecteur est vite dans le bain : on découvre Yukko une jeune fille qui est devenue minuscule dans sa maison et voit son chat l'attaquer comme une vulgaire souris. Elle est aidée de son chien, Poko et elle va rencontrer une fille mystérieuse, Alice. Ensemble, elles vont lutter pour survivre dans un monde de géants plein de dangers.

Même si c'est Wonderland, on n'est pas dans un conte de fées, la taille des gens de cette ville n'est pas le résultat d'un coup de baguette magique. Reste à comprendre le pourquoi d'une telle opération. Ca ressemble un peu trop à ces mangas qu'on trouve en ce moment Green Worldz etc qui lutte contre des forces du mal plus ou moins féroces (ici, c'est relativement soft, pas de monstres mais de "gentils minets"). J'aime le côté MiniPouces, ça me rappelle des souvenirs avec l'utilisation de petits objets... Enfin, ça reste intéressant à suivre, en espérant qu'il y a une sorte de progression, que ça ne parte pas dans tous les sens. A suivre.

• « 𝒲𝑜𝓃𝒹𝑒𝓇𝓁𝒶𝓃𝒹, 𝓉𝑜𝓂𝑒 4 » 𝒹𝑒 𝒴𝓊𝑔𝑜 𝐼𝓈𝒽𝒾𝓀𝒶𝓌𝒶, 𝓅𝓊𝒷𝓁𝒾é 𝒸𝒽𝑒𝓏 𝒫𝒶𝓃𝒾𝓃𝒾.



• Petite pause d'un mois et demi dans mes lectures oblige, je reprends en cours de route la série des Wonderland, qui est restée assez fraîche dans ma mémoire pour continuer sans peine. Bon, alors on en est où ?



[𝘓𝘦 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦]



• Un quatrième tome plus léger dans sa narration, celui-ci se concentrant une bonne partie sur les retrouvailles entre nos deux amies. C'est également l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les capacités d'Alice et de développer très légèrement un personnage pour la suite. Un autre personnage clé de cette aventure commence à montrer quelques gestes inattendus qui pourraient bien changer notre image de celui-ci..



• Les derniers chapitres offrent un retournement de situation inattendu, avec la présence de mystérieux et nouveaux antagonistes aux pouvoirs dangereux. On en sait pour l'instant très peu sur eux mais ils devraient se dévoiler plus en détails dans le prochain tome.. Les deux personnages sont encore une fois une référence évidente à l'œuvre de Lewis Carroll : Alice aux pays des merveilles ; les deux jeunes vilains rondouillards représentant évidemment Tweedle Dee et Tweedle Dum .



• Pour ce qui est de la couverture, celle-ci n'est pas ma préférée, même si dans un sens, elle retranscrit bien une partie des événements de ce tome. J'ai bien plus de mal à trouver les références subtiles à l'intrigue, chose qui était mieux représenter dans les précédentes couvertures..



[𝘓𝘢 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘯]



• Un tome moins chargé, qui réussit à nous divertir juste ce qu'il faut, même si certaines scènes sont peut-être un peu trop étirées selon moi.. J'ai tout de même bien envie de découvrir la suite mine de rien.



𝐸𝒶𝓉 𝓂𝑒.

C'est encore une fois un réel plaisir de retrouver Sû et ses amis perdus en pleine aire Sengoku. La jaquette de ce neuvième tome de « Sprite » annonce clairement la couleur : c'est une véritable guerre qui se prépare entre les habitants du « Château de pierre » et les Samouraïs qui en tiennent le siège.



Dans les premiers moment de ce tome 9, Kiriko va être mise à rude épreuve. Cette jeune fille, guerrière dans l'âme, ne pouvait pas s'attendre à ce qu'elle allait ressentir après avoir tuer un homme. Même si c'était pour défendre sa vie et celle de ses amis, cela va plonger la lycéenne dans un état presque végétatif. le groupe de voyageurs du temps ne va malheureusement pas avoir trop de temps à accorder à Kiriko et à ses états d'âmes.



En effet, le temps revient à la charge durant ce volume de « Sprite ». Il ne s'agit pas là d'un tsunami prêt à transporter à nouveau notre petite équipe dans une autre époque, mais d'un simple orage temporel classique, ce qui est bien dommage pour les habitants de l'immeuble qui va bientôt être assailli par une armée. S'ils avaient pu changer d'époque, ils auraient au moins pu éviter cette bataille à venir…



Durant ce tome, le lien qui unissait Sû à son époque se retrouve malencontreusement rompu. La jeune fille ayant perdu son téléphone portable, impossible pour elle de recevoir de nouveaux mails de la part de Tetsu. Heureusement, Albert (le mystérieux chien de l'équipe) a plus d'un tour dans son sac et va se montrer décisif en ce qui concerne la récupération de ce fameux téléphone.



Beaucoup d'autres évènement vont venir émailler ce neuvième tome de « Sprite » qui se déroule à tambours battants comme tous ses prédécesseurs. La toute dernière planche de ce volume vous laissera d'ailleurs terriblement sur votre faim, espérant avec impatience pouvoir vous plonger dans le tome suivant de cette fabuleuse série.



Je ne vous en dit pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la surprise, mais je peux vous assurer que « Sprite » est un manga qui tient toutes ses promesses de départ et plus encore. Plus que 5 tomes avant d'atteindre le dénouement de cette série. Et il promet d'être fantastique !!!

• « 𝙒𝙤𝙣𝙙𝙚𝙧𝙡𝙖𝙣𝙙, 𝙩𝙤𝙢𝙚 2 » 𝙙𝙚 𝙔𝙪𝙜𝙤 𝙄𝙨𝙝𝙞𝙠𝙖𝙬𝙖, 𝙥𝙪𝙗𝙡𝙞é 𝙘𝙝𝙚𝙯 𝙋𝙖𝙣𝙞𝙣𝙞.



• Après un premier tome abordable mais manquant d'un je ne sais quoi pour totalement me convaincre, je m'essaye à ce deuxième volet pour définir si je continu ou non cette série. Et finalement, je pense poursuivre avec la suite pour me divertir, sans en attendre grand-chose.



[𝕷𝖊 𝖑𝖎𝖛𝖗𝖊]



• Un deuxième tome qui se révèle intéressant par de nombreux points, amenant la narration-là ou personnellement je ne l'attendais pas, du moins pas si tôt. La cause de l'étrange rapetissement de toute la population d'une préfecture japonaise est déjà révélée, confirmant ma théorie et apportant la lumière sur des points plus obscurs. Cette révélation engendre d'autres mystères que je suis assez curieux de voir se révéler par la suite. On découvre certaines situations d'un œil nouveau, mettant à mal certaines croyances que l'auteur avait précédemment instaurés aux yeux des lecteurs, même si je pense que la situation va encore bien évoluer.



• La relation entre Yukko et Alice se développe très légèrement, toutes deux commençant à se rapprocher dans leur manière de communiquer et d'interagir. D'autres personnages importants, alliés comme ennemis sont intégrés à cette folle histoire, comme le gardien de nuit qui accompagne nos deux amies, les acteurs de ce déploiement militaire intensif et le mystérieux antagoniste Iossif et ses impressionnants pouvoirs de contrôle mental.



• Le dessin de Yugo Ishikawa est très agréable pour ce style de manga, me rappelant le style que je pouvais lire adolescent dans les mangas à tendance horrifico-psychologique dont je raffolais.



• La couverture est tout aussi plaisante que sa prédécesseure et fourmille de petits détails que l'on retrouve dans l'histoire.



[𝕷𝖆 𝖕𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊 𝖛𝖔𝖎𝖝 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝖋𝖎𝖓]



• Un deuxième tome qui amène des réponses, amenant à d'autres questions, et qui permettent d'amener progressivement à la compréhension de toute cette folie ambiante. À voir si le tome trois est du même acabit.



ℌ𝔢𝔯𝔢 𝔠𝔬𝔪𝔢𝔰 𝔱𝔥𝔢 𝔍𝔞𝔟𝔟𝔢𝔯𝔴𝔬𝔠𝔨𝔶.

Sur la couverture de ce nouveau tome de « Sprite », nous voyons enfin Sû apparaitre munie de ses belles ailes blanches. Bien que ce détail récurent soit encore totalement mystérieux, on a déjà hâte de comprendre pourquoi dans certaines situations ces ailes apparaissent dans le dos de Sû. Nous sommes désormais à la moitié de ce manga à l'intrigue fascinante et certaines interrogations restent entières alors que d'autres commencent à trouver leurs explications.



Ce Huitième tome démarre sur le carnage que va provoquer le légion ayant voyagé avec la tour dans les rangs ennemis constitués de Samouraïs. Il s'agissait en effet d'une femelle, et même une fois abattue, la portée de jeunes légions qu'elle portait en elle donnera du fil à retordre au chef du clan Takeda.



De nombreuses morts auront été provoquées sans que personne n'ai le moyen d'en déterminer les répercutions sur l'époque présente (celle de laquelle viennent tous les protagonistes que nous suivons depuis le début de cette histoire).



Au cours de ce volume, nous en apprendrons beaucoup plus sur le personnage de Magobe'e. Ce garçon a l'apparence enfantine semble finalement âgé de presque mille ans. Il viendrait en effet de la dernière partie de l'ère Edo. On apprend donc ici que c'est pour tenir une promesse impossible que Magobe'e s'est mis à fuir le temps. Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas gâcher votre découverte, mais sachez que son histoire est à fendre le coeur. Vous ne verrez plus jamais ce petit « morveux » de la même manière après avoir découvert ce qui l'a poussé à se lancer dans cette fuite permanente.



« Sprite » est donc un manga au rythme soutenu qui ne trahi pas son objectif de départ en cours de route. Ceux d'entre vous qui en ont aimé les premiers tomes ne seront pas déçu par ceux qui leur font suite. Je reste tout de même terriblement curieux de connaitre le fin mot de cette histoire et de savoir comment les choses vont tourner pour chacun des personnages.

Bon, on se refait pas... j'adore les post-A... c'est mon petit pêché mignon... et quand j'ai vu ce manga, je ne pouvais que le prendre, d'autant plus qu'il se recoupe avec un autre de mes amours, Alice et son pays des merveilles... Dans cet album, l'humanité se réveille un matin toute petite toute petite, et les prédateurs d'hier deviennent donc les proies d'ajourd'hui... Alice n'y fais pas exception. Aidé de son chien, elle part pour tenter de trouver une solution. Elle fera des rencontres improbables... un premier tome fort engageant et qui promet !!

Une vague noire a englouti toute une ville. Seul, un petit nombre d'individus regroupé au 42e étage d'une résidence semble avoir survécu. Passé la catastrophe, ils se rendent finalement compte qu'ils sont en 2060 au lieu de 2008.



Ce manga, dont le genre est de la science-fiction, aborde le thème du temps.



Mais si j'ai tenu à écrire ce billet, c'est pour vous relater ma surprise lorsque j'ai découvert quelques pages consacré à la lecture des livres.

En 2060, il serait donc possible d'acheter des livres électroniques, dans des "boutiques", matérialisés sous forme d'une carte magnétique à l'intérieur d'un coffret. On accède au contenu grâce à une tablette où l'on insère la carte. La page s'affiche puis change lorsque l'on touche l'écran. La tablette se recharge grâce à un accumulateur solaire.

La boutique propose même des places pour lire sur place. Par contre, pour trouver des livres imprimés, il faut se rendre dans des boutiques d'antiquités ou dans les musées.



Vive la lecture! Les gens continuent de lire dans le futur, c'est déjà ça... ;-)

• « 𝐖𝐨𝐧𝐝𝐞𝐫𝐥𝐚𝐧𝐝, 𝐭𝐨𝐦𝐞 𝟑 » 𝐝𝐞 𝐘𝐮𝐠𝐨 𝐈𝐬𝐡𝐢𝐤𝐚𝐰𝐚, 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢é 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐏𝐚𝐧𝐢𝐧𝐢.



• Mine de rien, je commence progressivement à me prendre au jeu de cette aventure. Le développement ne cesse de s'étoffer et d'apporter des éléments scénaristiques intrigants..



[𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞]



• Toujours plus d'actions et de révélations avec ce troisième tome de Wonderland. Les capacités d'Alice et de Iossef évoluent, l'armée déploie progressivement son filet sur la situation qui leur à échapper et nos héros découvrent enfin le pourquoi de leur rapetissement si soudain.. avec fracas. La tension monte entre la traque inlassable et la découverte de Yukko. Le manga offre des moments semblant banals, mais étant très intéressants avec par exemple le retour de Yukko chez elle et la réunion avec son chat.. La réaction de notre jeune japonaise est révélatrice de son état d'esprit, sa personnalité et de ses choix à venir. D'autres protagonistes font leur entrée dans cette fresque..



• Un humour léger et bienvenue continue à se répandre pour détendre la lourde atmosphère. Des scènes typiquement japonaises aussi, avec par exemple l'exposition de la jeune femme dans son plus simple appareil.. mais rassurez vous, on a également le droit de voir notre cher Genda, le gardien de nuit, dans une situation similaire pour une scène des plus comique.



• Une troisième couverture cette fois-ci beaucoup moins détaillée, gardant toutefois son style sépia de vieux papiers jaunis par le temps et sa patte graphique. Elle fait toujours référence à l'œuvre de Lewis Carroll, présentant la jeune Alice (celle du manga) dans la scène du thé avec pour seul personnage l'accompagnant le Loir, représenter sous des traits s'apparentant plus à une souris. Ah et on vois légèrement Poko sur le côté gauche de la scène. S'il y autre chose, je l'ai rater.



[𝐋𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧]



• Plus que trois tomes pour découvrir le dénouement final de l'histoire, en espérant que celui-ci sera satisfaisant.. les récits apocalyptiques me laissant souvent de froid le doutent m'assaille.



𝔗𝔥𝔢 𝔠𝔞𝔯𝔡 𝔰𝔬𝔩𝔡𝔦𝔢𝔯𝔰 𝔱𝔞𝔨𝔢 𝔱𝔥𝔢 𝔭𝔩𝔞𝔠𝔢 ~

• « 𝐖𝐨𝐧𝐝𝐞𝐫𝐥𝐚𝐧𝐝, 𝐭𝐨𝐦𝐞 𝟏 » 𝐝𝐞 𝐘𝐮𝐠𝐨 𝐈𝐬𝐡𝐢𝐤𝐚𝐰𝐚, 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢é 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐏𝐚𝐧𝐢𝐧𝐢.



• Grand fan du chef-d'œuvre de Lewis Carroll : Alice aux pays des merveilles ; je ne pouvais qu'être intéressé par ce manga qui semblait s'en inspirer. Cette série se construit en six tomes, elle n'est donc pas trop longue et me permettra de la terminer tranquillement.. Si toutefois j'adhère à la série.



[𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞]



• Comme à l'habitude, je n'ai pas lu le synopsis et me suis directement lancé dans cette histoire. Surprise totale, c'est une sorte de série apocalyptique.. Ce que j'adore.. (C'est pas vrai.). Pour le coup, la cause de l'apocalypse, le rapetissement de toute une population, est assez originale pour me permettre d'adhérer au départ de cette aventure. Le rapport entre l'histoire de la jeune Yukko et son inspiration du livre de Lewis Carroll réside principalement dans cette pathologie et dans la folie qui en découle, amenant les gens à commettre des actes violents et répressibles par la loi.



• Les personnages de cette histoire se limitent principalement à la jeune fille que l'on suivra depuis le départ, son fidèle et indispensable chien Poko et surtout Alice, une mystérieuse guerrière en cosplay qui semble entourer d'un mystère lié à cet étrange mal qui semble frapper la population..



• Je ne sais pas encore trop quoi penser de cette série, le premier tome ne m'ayant pas franchement emballé et la suite ayant un probable goût de redites. Je vais tâcher de lire le deuxième tome pour découvrir si j'y trouve un regain d'intérêt.



• C'est la couverture du manga qui m'a amené à vouloir découvrir cette série, elle est tout bonnement magnifique pour tout fan d'Alice aux pays des merveilles ! Le choix des couleurs et des éléments qui composent le décor entourant le personnage est très bien choisi, avec ce ton ancien et bourrés de références à l'œuvre originale dont elle s'inspire. Il est amusant d'y retrouver les subtils indices sur l'histoire qui y sont disséminés, et que l'on retrouvera en tournant les pages de ce livre.



[𝐋𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧]



• Un premier tome correct, mais loin d'être indispensable, il me faudra lire le deuxième tome pour savoir si oui ou non cette série vaut le coup.



𝔻𝕣𝕚𝕟𝕜 𝕄𝕖.

Après le cliffhanger de folie de la fin du tome précédent, nous retrouvons notre petit groupe de rescapés temporel en pleine seconde guerre mondiale. Le saut temporel qu’ils ont effectué les a emmené dans une époque au moins aussi dangereuse que la précédente. Ils vont devoir prendre garde à l’armée et aux bombardements qui étaient monnaie courante au Japon en cette période de fin de guerre.



Si notre petit groupe se retrouve dans une telle situation, c’est que le sacrifice de Magobe’e et Tsushima n’a pas eu les effets escomptés. Ces deux « Lost Children » étaient restés à l’ère Sengoku en espérant modifier l’histoire, ce qui n’est visiblement pas arrivé. A moins que les changements soient trop subtils pour être immédiatement remarqués…



Mais d’autres éléments attirent bien plus l’attention de Sû et de son oncle Shôgo. En effet, la casquette que portait Tokio au moment de sa disparition apparait mystérieusement juste après ce déplacement temporel. Le petit garçon serait-il présent à la même époque et en même temps que sa soeur et son oncle ? Malgré leurs recherches, ils ne parviendront pas à le retrouver et manqueront de temps pour se pencher plus avant sur cette découverte.



Les choses s’accélèrent encore un peu dans ce treizième tome de « Sprite ». Les secousses temporelles et le comportement de la vague du temps semblent différents de d’habitude. Voilà notre petit groupe traqué par cette force mystérieuse qui semble de plus en plus désireuse de les engloutir.



Mais un ancien personnage que nous n’avions pas vraiment oublié va faire sa réapparition dans ce volume et redistribuer les cartes. Albert, le petit chien, est un élément très important de cette intrigue et va encore une fois le prouver.



Les lecteurs seront en haleine de bout en bout de ce tome de « Sprite » qui les poussera à se jeter toute affaire cessante sur le volume suivant. Le dénouement de ce manga est proche et tout semble indiquer qu’il sera aussi explosif que l’a été toute cette série !

C’est avec ce tout dernier tome que le manga « Sprite » s’achève. N’y allons pas par quatre chemins : Après un suspense insoutenable, c’est une fin grandiose qui s’offre ici à nous. Tous les mystères sont maintenants résolus même si on aurait aimé avoir plus de détails quand à l’avenir de certains personnages.



Dans ce dernier volume les vagues temporelles vont se succéder faisant voyager notre petit groupe non pas une mais deux fois dans le temps. Nous allons revoir des personnages que nous imaginions perdus à jamais et découvrir comment leur vie à évoluer. Nous allons aussi enfin avoir des explications de la bouche même de Tokio. Pourquoi a-t-il disparu ? Pourquoi continu-t-il à voyager dans le temps sans jamais rentrer chez lui ?



Les explications qui sont fournies dans ce quinzième tome ont un petit gout de « Retour vers le futur ». Quoi de plus normal pour un récit parlant de voyage dans le temps, me direz-vous. J’ai particulièrement apprécié la façon dont tout fini par s’expliquer ici. La vision de Yugo Ishikawa (le mangaka), sur ce thème fantastique que sont voyages dans le temps, est assez dramatique et dure à encaisser pour les personnage. Mais il faut bien avouer qu’elle donne encore plus de profondeur au récit.



Bref, avec cet ultime tome, l’intrigue se termine et laissera la plupart des lecteurs triste de ne pas pouvoir lire la suite des aventures de Sû et de ses compagnons. Beaucoup d’entre eux semblent avoir trouvé le bonheur, ou du moins leur place dans ce monde. Même si on ne sait pas toujours ce qui leur arrivera ensuite, on a la certitude que leur destin est maintenant entre leurs mains.



Cette série que j’ai lue avec beaucoup de retard a été une très belle découverte. J’espère que d’autres après moi tomberont sur ce manga et le dévoreront aussi vite que ça a été le cas pour moi. Si vous cherchez un récit où aventure et action ne riment pas avec absence totale de scénario, « Sprite » est fait pour vous. Alors si vous hésitez encore, lancez-vous dès à présent et venez découvrir les péripéties d’un petit groupe de voyageurs temporel !!!

Masayuki Sanada et son armée sont désormais prêts à en découdre et souhaitent coute que coute se rendre maitre du « château de pierre ». Les choses vont donc devenir très périlleuses pour notre groupe de voyageurs du temps. D’autant que Riki, qui s’est rallié au camps ennemis, continue à donner de précieuses informations aux assaillants.



Dans cette bataille acharnée, la première victime sera Shino, l’une des Lost Children. Mais elle sera loin d’être la seule à tomber au combat. C’est donc une véritable boucherie qui s’annonce pour ce onzième tome de « Sprite ».



Ici, Yugo Ishikawa ne fait pas dans la dentelle et nous offre des scènes d’action à couper le souffle. L’émotion est également au rendez-vous tandis que la survie de chacun est mise en jeu.



Le personnage de Gaku va révéler tout son potentiel et ainsi nous prouver qu’il n’est finalement pas semblable à son traitre de frère. Son héroïsme sera à la hauteur des fautes qu’il a pu commettre dans le passé.



Ce nouveau tome marquera également un tournant pour le personnage de Tsushima. On en avait déjà appris un peu plus sur ses origines dans le volume précédent de la série. Mais cette fois-ci, les choses vont devenir beaucoup plus claire. Le mystère qui entourait ce personnage et la mission qui lui avait été confiée est désormais levée.



Même si toutes les informations ne nous ont pas encore été révélée, le lecteur a désormais connaissance du fait que Tokio, le jeune très re disparu de Sû, semble être à l’origine de la machination ayant placé Tsushima sur la route de sa soeur. Son but est clairement de sauver le futur.



Mais comment compte-t-il y arriver ? Qu’est-ce qui a bien pu provoquer le futur apocalyptique que notre petit groupe de voyageurs du temps a pu découvrir en se retrouvant projeté en 2060 ? Ces questions restent encore sans réponses. Ne reste plus aux lecteurs impatients qu’à se jeter sur les dernier tomes de « Sprite » pour enfin pouvoir résoudre ces derniers mystères !

• « 𝒲𝑜𝓃𝒹𝑒𝓇𝓁𝒶𝓃𝒹, 𝓉𝑜𝓂𝑒 5 » 𝒹𝑒 𝒴𝓊𝑔𝑜 𝐼𝓈𝒽𝒾𝓀𝒶𝓌𝒶, 𝓅𝓊𝒷𝓁𝒾é 𝒸𝒽𝑒𝓏 𝒫𝒶𝓃𝒾𝓃𝒾.



• Avant-dernier tome pour Alice et Yukko. On ressent clairement le fait que la série arrive à son dénouement final avec cet avant-dernier tome même si on se demande si le tout ne risque pas d'être trop court pour conclure la série.



[𝐿𝑒 𝓁𝒾𝓋𝓇𝑒]



• Les explications commencent à éclaircir l'horizon, même si je dois avouer être resté de marbre face à tout cela.. Je m'attendais à mieux, même si en réalité, j'aurais dû me douter que les réponses aux grandes questions de cette aventure ne me convaincrait que moyennement, puisque c'était bien malheureusement déjà le cas quand je lisais ce genre de manga dans ma jeunesse : un début prometteur dont la qualité s'effiloche vers les derniers instants..



• S'ajoute à ces éclaircissements de nombreux personnages, l'un d'entre eux ayant été exposer au moment final du quatrième tome.. personnage que je n'avais d'ailleurs pas reconnu immédiatement, celui-ci étant présent dans le premier tome de la série pour un court moment.. Ce personnage revient avec une histoire inattendue, de nouveaux alliés puissants et les fameuses explications attendues par les lecteurs. Japon oblige, on trouve une bonne excuse pour déshabiller le nouveau personnage féminin (Excuse qui ne fonctionne pas puisque les autres n'ont jamais eu besoin de le faire pour utiliser leur pouvoir.. M'enfin..).. Heureusement, cette fois, c'est une adulte et.. "Ils ont en réalité 12 ans". Oh m*rde.. Japon sérieux..



• La couverture est encore une fois très sympathique, et fourmille de détails en tout genres qui trouve leur sens après la lecture. J'ai enfin compris le lien aux papillons de la précédente couverture, les pingouins semblent représenter ce que j'avais en tête, mais c'est franchement moins évident qu'auparavant. Le nounours géant représente sûrement l'un des nouveaux personnages introduits dans ce tome. Les abeilles représentent également un personnage.



[𝐿𝒶 𝓅𝑒𝓉𝒾𝓉𝑒 𝓋𝑜𝒾𝓍 𝒹𝑒 𝓁𝒶 𝒻𝒾𝓃]



• La fin risque de se présenter sous des aspects déchirants, avec perte et fracas pour nos pauvres héros. J'ai bien peur que le dernier tome ne suffise pas à conclure convenablement cette histoire.. Wait and see.



ℭ𝔬𝔫𝔱𝔯𝔞𝔯𝔦𝔴𝔦𝔰𝔢, 𝔦𝔣 𝔦𝔱 𝔴𝔞𝔰 𝔰𝔬, 𝔦𝔱 𝔪𝔦𝔤𝔥𝔱 𝔟𝔢 ; 𝔞𝔫𝔡 𝔦𝔣 𝔦𝔱 𝔴𝔢𝔯𝔢 𝔰𝔬, 𝔦𝔱 𝔴𝔬𝔲𝔩𝔡 𝔟𝔢 ; 𝔟𝔲𝔱 𝔞𝔰 𝔦𝔱 𝔦𝔰𝔫'𝔱, 𝔦𝔱 𝔞𝔦𝔫'𝔱. 𝔗𝔥𝔞𝔱'𝔰 𝔩𝔬𝔤𝔦𝔠.