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Critiques de Éric Corbeyran (2286)
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Châteaux Bordeaux, tome 1 : Le domaine

Un début prometteur pour cette série, j’ai hâte de lire la suite. L'ambiance des vignes du Bordelais est une belle découverte.
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Châteaux Bordeaux : À table !, tome 1 : Le chef

Après le vin, c'est au tour de la gastronomie de tenir le rôle principal dans cette spin-off de la série "Châteaux Bordeaux".

J'espérais que cette série en soit la suite mais ce n'est visiblement pas le cas.

Je ne reviendrai pas sur le dessin, j'en ai déjà parlé dans mes critiques de la série mère et il n'y a pas d'évolution.

Côté scénario, pas vraiment de nouveauté non plus. Alexandra continue d'être un aimant à soucis et rien n'est donc facile.

toutefois, le duel culinaire qui est au centre de ce tome est assez sympathique et j'ai bien aimé les raccords narratifs entre certaines planches de ce tome et celles, correspondantes, des tomes de la série principale.

La dernière planche m'a fait pousser des soupirs. Soit c'est très mal dessiné soit, si le visage d'un des personnages essaye d'être psychologique, ça donne directement l'impression d'un sentiment de déjà-vu par rapport à la plupart des ressauts narratifs de Châteaux Bordeaux.

A suivre, donc
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Elfes, tome 24 : Le bagne de Komoorth

Ce tome fait suite au numéro 19 où l'on avait laissé pour mort les deux semi-elfes à la recherche de l'ancêtre primitif, le premier semi-elfe qui a vu le jour pour une cause d'alliance. Un véritable symbole pour les nombreux métis qui sont méprisés, chassés ou exploités un peu partout sur les terres d'Arran.

Tei-Nooh et Oranth'al ne sont évidemment pas morts et ils deviennent les nouveaux leaders de ce peuple mal-aimé. Avec L'ancêtre à leur côté ils ont également un symbole fort qui donnera une vraie cohésion à ce peuple.

Les deux semi-elfes dévoilent leur vrai potentiel et leur vraie personnalité dans ce tome où de nombreux flash-backs permettent de connaitre leur enfance. Ils en deviennent attachant tout comme l'est leur quête pour tout un peuple martyrisé.

Un tome très riche qui s'accélère un peu trop sur la fin, il y aurait pu avoir un meilleur développement mais l'ensemble est franchement bien fait. Les dessins sont de qualité.
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Cognac, tome 3 : Le cimetière des machines à ve..

Troisième et dernier épisode de cette série BD autour du négoce du cognac.



Le deuxième épisode était des plus décevant, ce final bourré d'action et d'adrénaline m'a réconcilié avec la série. Certes, l'intrigue ne vole pas haut, mais le dessinateur Luc Brahy est finalement plus à l'aise dans ce genre de dessins dynamiques.

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Cognac, tome 1 : La part des démons

Après Château Bordeaux, voici une nouvelle série de bande dessinée autour du vin signée Corbeyran. A la place des vignobles de Gironde, les auteurs promènent le lecteur en Charente dans les vignes d'Ugni blanc, le cépage qui permet de produire le vin qui, une fois distillé (ou plutôt deux fois avec la double distillation), va produire un alcool connu dans le monde entier : le Cognac.



L'habillage de la série est une enquête policière assez convenue. La journaliste Anna-Fanély, ancienne reporter de guerre, retourne là où elle a vécu son enfance, en Charente. Elle découvre que son amie Alice est morte, tuée par son mari Jean-Louis, un distillateur qui se serait suicidé aussi sous le coup de difficultés financières. Une version qui fait douter Fernand, un ancien producteur, chargé d'accompagner Anna dans son reportage sur le cognac.



Le dessin de Luc Brahy ne sort pas de la norme de ce genre de BD, un peu prévisible. En terme d'intrigue, on est proche de la série télévisée. Par contre, les informations sur le monde du cognac, sa fabrication, son commerce, sont bien amenées.
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14-18, tome 7 :  Le Diable rouge (avril 1917)

Notre groupe d'amis diminue de plus en plus en cette terrible guerre de 14-18. Et pour ceux qui restent c'est la tragique bataille du chemin des dames qui se prépare...



Ce nouvel opus se passant donc en avril 1917 nous raconte une nouvelle tranche de cette si terrible guerre pour nos pauvres poilus. A travers ce petit groupe d'amis, auquel vient se greffer d'autres personnages comme Mamadou le tireur sénégalais ou Léopold le diable rouge. Tous sont très attachants et l'on voit bien leur évolution psychologique depuis le premier tome. Révolte et colère qui amènera Jacques à pousser ses camarades à l'insubordination, résignation et courage pour Armand qui va dans la bataille tout en sachant qu'elle est perdue, folie qui pointe son nez à travers les croquis de plus en plus macabre de Maurice...



Le tout très bien dessiné par Le Roux même si je trouve les femmes un cran en dessous des hommes. Moins bien reconnaissables, plus uniformes, moins caractérisées.
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Abraxas, tome 2 : Le rideau gris

Dans ce second, et dernier tome d'Abraxas, nous retrouvons les personnages rencontrés dans "Le brouet sapide".

Saturnin l'apprenti magicien, Géraldine sa logeuse, le détective qui fait maintenant équipe avec le Dr Makabr, sans oublier, les "méchants" de l'histoire le sorcier Mordhom, ses acolytes et son maitre...



Les mystères s'éclaircissent, et les questions que se posent Saturnin trouvent des réponses.



Les dessins d'Alfred, servent très efficacement le scénario de Corbeyran.

L'architecture de la ville, les bâtisses sans style ni âge précis sont très bien rendues, et forment un décor très approprié au récit.

Les couleurs, souvent sombres et d'aspect "sale" s'accordent bien à l'atmosphère un peu lugubre et vénéneuse de l'histoire.



Il semble que ces deux albums n'aient pas eu un grand succès (auprès des lecteurs de Babelio tout du moins !).

C'est pour moi une belle découverte, car je ne connaissais pas cette série de Corbeyran scénariste doué de la BD de ces dernières années.
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Abraxas, tome 1 : Le brouet sapide

L'album s'ouvre sur trois pages sans texte, où un pauvre homme est poursuivi sous la pluie par un être à tête de citrouille puis encerclé par d'autres de ces créatures et assassiné.



C'est dans ce contexte que Saturnin Duvernois arrive à Abraxas, étrange cité où il descend au "brouet sapide", pension de famille accueillant des personnages difformes et en proie à la peur.



Car à Abraxas, il se passe d'inquiétantes choses, une série de meurtres, dans une ambiance de mystère et de magie et de malèfices.



Corbeyran, nous convie dans son monde, peuplé de personnages, à la fois, excentriques tels que Saturnin, le héros apprenti magicien, ou le détective Malfourchu, intrigants comme le Dr Makabr, voire maléfiques comme Mordhom le magicien et ses sbires.



Le monde d'Abraxas, est un mélange de fantastique, d'humour pince sans rire, servi par le dessin très personnel d'Alfred.
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Natty - Intégrale

BD découverte lors d'un achat groupé via Priceminister.



La couverture aux allures d'Inde m'a intriguée ainsi que son résumé et ce qui a fini par me le faire acheter a été le nom du scénariste, Corbeyran, dont j'aime beaucoup le style.



L'histoire de Natty est plutôt simple mais permet de faire réfléchir sur certains aspects de notre vie et de nos croyances, quelques fois farfelues ; comme vénérer des animaux sacrés qui peuvent faire ce qu'ils veulent et on est condamné à mort si on a le malheur de les toucher. Ou encore refuser de toucher des malades sous prétexte qu'ils sont différents de nous et sans connaître leur véritable maladie. D'une certaine façon, cette BD est donc une parodie de la vie en Inde, régie par des castes ayant aucun contact entre elles et avec un animal sacré. Dans cette histoire, leur animal sacré a été promu comme animal de compagnie ; affectueuse et folle, la bien nommée Gaai. D'énormes paresseux imaginaires ont pris la place d'animaux sacrés ; pour leur part, ils sont très encombrant et ont tendance à devenir agressifs après avoir mangé des champignons hallucinogènes.



Natty, c'est l'histoire d'une jeune princesse qui se retrouve déchue de son rang après avoir refusée de se marier à 15 ans avec un des deux rustres qu'on lui a présenté. Elle a pour ordre de se suicider si elle veut rétablir l'honneur de ses prétendants. Elle prendra plutôt la poudre d'escampette et découvrira ainsi un monde des bas-fonds qui lui était totalement inconnu. Grâce à un ami, elle apprendra à évoluer dans sa nouvelle vie et prendra son courage à deux mains pour aller au bout de ses choix et de ses convictions.



Heureusement que l'histoire est agréable à découvrir car les graphismes ne le sont pas toujours. Le dessinateur a fait preuve d'imagination pour créer les paysages, les personnages (fleuris/intouchables) ainsi que les autres peuples et différents animaux. J'ai bien aimé l'aspect fleuri des cheveux de la plus haute caste en comparaison des cheveux fanés de ceux des bas-fonds. C'est un des aspects les plus originaux de cette BD. Par contre, dès que les cases sont trop petites, les dessins ne sont pas très soignés et deviennent assez caricaturaux. Sinon quand les cases sont de taille normale, nous découvrons tout le talent et l'imagination du dessinateur. Petit plus, les graphismes sont très colorés pour pouvoir bien contraster avec l'histoire se passant dans les bas-fonds.



Comme vous l'aurez compris, cette petite intégrale est proche du coup de cœur si les graphismes avaient été tout le temps soignés. L'histoire est très agréable à lire et m'a fait sourire plus d'une fois, elle permet également de faire réfléchir sur certains aspects de notre vie et des inégalités qui peuvent exister autour de nous. Que vous aimiez réfléchir ou non à la lecture d'une BD, je vous conseille la lecture de celle-ci car Corbeyran a su montrer du doigt les inégalités présentes en Inde mais également partout ailleurs dans le monde. Pour ma part, c'est une BD que je suis très contente d'avoir eu l'occasion de découvrir, elle n'est pas assez connue en mon sens.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Léa ne se souvient pas comment fonctionne l'a..

Quelle est l'onomatopée pour exprimer un long sifflet d'admiration ? Parce que je l'aurais bien utilisée pour exprimer combien cette BD m'a laissée admirative et sans voix !

Qui des deux auteurs est à l'initiative de cet ouvrage ? Et de leur collaboration ? Une belle réussite. D'autant plus surprise, que j'ai choisi cette BD sans même consulter les noms des auteurs. Complètement séduite par la beauté de la couverture, l'étrangeté du titre, le feuilletage rapide découvrant un beau graphisme crayonné dans des gris nuageux, brumeux et moelleux, la composition en deux chapitres dont chacun des intitulés aiguisent la curiosité ; "Où Louis Levasseur, écrivain raté trouve l'inspiration dans une poubelle" pour le premier chapitre, auquel répond pour le second "Où Louis Levasseur, écrivain à succès mesure l'inanité de ses rêves à l'aune de la cruauté de la vie". Presque tout est dit sans rien dévoiler mais en titillant sacrément les neurones.

Pas de doute que le scénariste connaît les affres du manque d'inspiration, de la pression de son éditeur et de la superficialité des relations clinquantes du milieu littéraire pour ceux qui "cartonnent au box office".

Et puis ce côté prédateur, de celui qui est à l'affût d'une bonne histoire, sans s'intéresser plus que cela à ce qui donne du corps, du vécu, de l'humain à cette bonne histoire. Louis Levasseur est un personnage qui n'attire pas la sympathie, un peu geignard, beaucoup imbu de sa personne, blasé et de quoi ? D'avoir un talent qui ne l'a pas empêché de passer à côté de sa vie ? Et quand il se retrouve au faîte de sa gloire il n'en tire aucune conséquence.

Léa, dont le beau portrait de la couverture interpelle, à demi cachée derrière une lourde mèche de cheveux noirs, au regard si triste...Atteinte d'un syndrome des plus bizarres, à moins qu'elle ne se soit créer un prétexte, sorte d'asile inexpugnable. Sa fuite ressemble fort à une renaissance, une reconstruction à tout petits pas qui , l'espace d'un instant , d'une rencontre, s'enflammera comme un feu de paille. Et pourtant, elle aura la solidité de continuer.

Il y a de la violence dans ce récit, celle qui se cache, se dissimule derrière un semblant de tendresse, d'empathie. Le romancier met les mains dans les poubelles pour, comme tant d'autres chanter la femme libre, celle qui selon les pubs veut tout !

La fin est un choc de ceux qui font évoluer, même s'il fait prendre la fuite pour mieux se reconstituer, qui perturbe pour mieux faire changer de point de vue. Complètement prise à contre-pied.

Le scénario m'a complètement accrochée par son équilibre, sa lecture à plusieurs niveaux. Et moi aussi, j'ai découvert d'autres talents à M. Corbeyran. Moi qui en été resté à "L'univers des Stryges" !!!

Le dessinateur, Gwangjo, je ne connaissais pas : et lui aussi m'a bien piégée avec ses quelques dessins dignes des mangas dont il parsème quelques pages pour la plus grande perturbation du cours de lecture. Normal : il est auteur de mangas.

Mais cela, je ne l'aurai découvert que le recueil refermé.
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Elfes, tome 4 : L'Élu des semi-Elfes

Dans ce monde elfique il y a les races pures : les hommes, les elfes, ...

et il y a ceux qui sont un peu des deux. Et au final être un peu des deux c'est être de nulle part. Ni accepté par les hommes, ni toléré par les elfes ils sont exilés, chassés, exploités.

Heureusement un sort intolérable donne souvent naissance à des héros. Un élu qu'aura prédit un prophète. Un élu qui guidera son peuple vers une terre promise.



Une histoire un peu classique mais bien montée. Tout ce qu'on regretter c'est un dénouement trop rapide mais cela tiens du format. Quand on a un seul tome il faut bien condenser l'histoire.

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In vino veritas, tome 1 : Toscane

In vino veritas.... Le vin peut-il vraiment nous révéler la vérité des êtres, celle de rapports familiaux tendus entre un frère et une soeur mis au défi par leur grand-mère de se réconcilier afin de pouvoir hériter d'elle, et cette vérité, que sera-t-elle ? Plus que l'histoire d'un milieu viticole, j'ai aimé la réalité des rapports psychologiques entre ce frère et cette soeur, à travers tout ce qui les sépare (leurs idées, leur conception de la vie et du rapport à la vigne) et aussi tout ce qui les unit malgré eux si l'on peut dire à commencer par l'absence de leurs parents alors même qu'ils étaient enfants. Les paysages de Toscane sont magnifiquement dessinés, et il y a en particulier des dessins de Florence qui sont de pures merveilles. Ce premier épisode semble prometteur, mais le me faudra attendre la suite pour pouvoir vraiment me faire une idée.
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Okhéania, Tome 1 : Le Tsunami

Premier tome d'une série de cinq, c' est une B.D. passionnante aux très beaux dessins. On découvre le monde d'Okhéania, la planète verte, avec sa faune particulière. Sur la surface de feuilles qui la recouvre presque entièrement, naviguent des vaisseaux sur lesquels vivent les hommes. Si l'on tombe dans le tapis de feuilles, on se noie, entraîné vers le fond. Jon et Jasper surfent sur les vagues vertes lorsqu'ils pris dans un tsunami. Jon tombe vers le fond tandis que son camarade Jasper est fait prisonnier...
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Mort aux cons

Ben devient tueur en série parce qu'il se met à dézinguer les gens qui lui déplaisent, qui lui font de l'ombre, qui agissent pour leur propre nombril et pas pour le "bien commun", tel que Ben le définit.



On va rapidement tourner en rond... qu'est-ce qu'un con? A quoi le reconnaît-on? On va vite sombrer dans le sillogisme ou quasi. Un peu comme le test de QI... pour lequel on demandait à son inventeur: "que mesure votre test...?", il répondait : "l'intelligence". On redemandait: "alors qu'est-ce donc que l'intelligence?"... Et le gaillard répondait: "c'est ce que mesure mon test".



On tombe vite dans le même cercle vicieux avec Ben. Qu'est-ce qu'un con? Un gars qui me déplaît... et ainsi de suite. C'est sans nul doute voulu par les auteurs. Ben commet alors une faute assez basique: tuer dans son cercle de connaissances proches. Les policiers débarquent. C'est la lente glissade vers le point de non-retour.



Le tome se compose de plusieurs parties. La première est l'amorce de la conscientisation de Ben. Ensuite vient la partie sur les meurtres. Puis une partie sur la relation avec le Commissaire Marie qui s'installe. Enfin, une partie contenant une longue dissertation sur le fait que Ben devient con à son tour. La deuxième partie est beaucoup trop longue et lassante. Par conséquence la partie 4 est envoyée au pas de charge, et c'est dommage car elle aurait mérité d'être développée.



Côté dessin, c'est plutôt bien foutu, tout à fait raccord avec le propos.
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La métamorphose (BD)

Je n'ai pas lu le roman, c'était un peu une lacune. Tombée sur la BD à la médiathèque, je suis contente d'avoir découvert cette oeuvre de façon ludique et rapide. Je ne suis pas sûre d'avoir envie de lire le roman entier donc je suis ravie de l'avoir fait pas ce biais qui m'a l'air de bien correspondre à l'ambiance du livre !
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Le Maître Chocolatier, tome 1 : La boutique

Bof bof bof.

Après l'univers de la bière et celui du vin, voici une BD qui nous raconte une histoire dans le monde du chocolat, mais pas n'importe lequel, le meilleur chocolat du monde : le chocolat belge (non, ce n'est pas du chauvinisme, c'est de l'objectivité :^p).

L'idée n'est pas mauvaise, c'est un univers particulier qui permet aux auteurs de remplir des cases avec des données techniques mais, franchement, qu'est ce que c'est convenu!

Les personnages sont des caricatures, le personnage principal est tellement forcé dans son personnage de chevalier blanc qu'il m'en est même devenu antipathique. On le veut fier, il en devient orgueilleux, on le veut réservé et il apparait comme socio-rigide. L'histoire est cousue de fil blanc et, franchement, c'est du déjà vu (sauf pour le chocolat).

Côté dessin, même combat, c'est hyper convenu aussi.
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Châteaux Bordeaux, tome 6 : Le courtier

Ce tome s'articule autour de deux grands évènements auxquels est conviée Alexandra. On en apprend un peu plus sur les coulisses du négoce de l'industrie vinicole .

A côté de ça, beaucoup de répétitions et de redondances mais ça continue à se lire facilement mais sans réel relief.



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Châteaux Bordeaux, tome 3 : L'amateur

Suite de ma petite saga de l'été.

Complots, trahisons, histoires de coeur et d'argent, amis fidèles, frères protecteurs : tous les ingrédients sont là pour fidéliser le spectateur et, comme c'est français, on ajoute une bonne dose de terroir. La sauce prend et la richesse de la mixture fait oublier les défauts de la recette.

Bref, je continue... j'ai envie d'en savoir plus même si, finalement, je n'en retiendrai certainement pas grand chose.

Une saga de l'été quoi...
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Châteaux Bordeaux, tome 1 : Le domaine

J’avais déjà lu ce premier tome il y a des années et je n’avais pas vraiment accroché. Vu les commentaires élogieux d’une de mes collègues, je me suis dit que j’étais passée à côté de quelque chose et je l’ai emprunté à nouveau.

Cette fois, j’ai mieux apprécié. Bon, ce premier tome est un tome d’introduction, les personnages sont mis en place et diverses pistes ne demandent qu’à être exploitées dans les nombreux tomes qui suivent.

Je n’en reste pas moins un peu dubitative devant cette histoire « saga de l’été » (j’ai eu le générique du Château des Oliviers en tête pendant toute ma lecture). Mais, bon sang, j’ai détesté le dessin. C’est grossier, c’est irrégulier, certains personnages sont simplement copiés-collés d’une case à l’autre. Bref, je vais continuer mais j’espère que le trait va devenir plus délicat.

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14-18, tome 10 : La Lune en héritage (novembr..

La guerre est finie et les vétérans sont rentrés chez eux où ils tentent de reprendre leurs vies.

Mais la chose n'est pas simple. Leur cœur s'est endurci tout en continuant à saigner abondamment.

Les rancœurs sont tenaces et les souvenirs obsédants qu'ils ont ramenés avec eux bâtissent un mur qui les éloignent de ceux qui les aiment.

Que ce tome est triste!

Le message est clair, nul ne peut revenir indemne et si la guerre est finie dans les champs de batailles, elle ne cesse jamais vraiment dans la tête et le cœur de ceux qui l'ont vécue.

Je ne peux que recommander la lecture de cette série très didactique mais parfaitement pensée qui montre la guerre pour ce qu'elle était sous de nombreux aspects. J'ai notamment apprécié qu'avec ce dernier tome, nous allions au delà de la signature de l'Armistice en donnant, à nouveau (dans un esprit didactique) un éventail des lendemains possibles.

A lire, pour savoir et ne pas oublier.

Ils étaient 8, 8 amis qui avaient grandis ensemble, ils étaient partis côtes à côtes, ils ne sont maintenant plus que...
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