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EAN : 9782253185635
360 pages
Le Livre de Poche (12/10/2016)
4.16/5   67 notes
Résumé :

Un bâtiment gris, sombre. Effrayant. Dans les souvenirs de Madeleine, c'est ainsi qu'apparaît l'orphelinat où elle a été placée dès sa plus tendre enfance.

A l'âge de cinq ans, le cauchemar est quotidien pour la petite fille sans défense. Le directeur de l'établissement abuse d'elle comme si elle était son jouet. « Ne dis rien, personne ne croira une sale gamine comme toi », dit-il à Madeleine qui, terrorisée, se tait. 

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C'est toujours avec le coeur au bord des lèvres que je lis ce type de textes. Mais si cela me donne la nausée, allez-vous me répliquer, pourquoi continuer à les lire et à en parler ? Tout simplement parce qu'on ne dénoncera jamais suffisamment les sévices que subissent ces pauvres petites victimes innocentes. Car ceci n'est pas fictif. Je vous accorde qu'un roman, une fiction sur ce sujet serait de la perversité et du voyeurisme. Mais la petite Madeleine existe réellement. Celle-ci, retirée à sa mère qui, selon les services sociaux, ne pouvait pas s'en occuper, s'est retrouvée dans un orphelinat. Cinq ans, c'est l'âge où l'on joue à la poupée, où la naïveté fait fondre n'importe quel adulte normalement constitué... Mais qui sont donc ces hommes à l'esprit si tordu ? Comment, oui, comment peut-on avoir ne serait-ce que l'idée d'abuser ainsi d'un si petit être ?

À chaque page tournée, le lecteur se dira que cela va cesser, qu'on ne peut pas laisser faire impunément ces détraqués, ces cinglés qui ne méritent même pas leur association au genre humain. Pourtant, on va sombrer dans l'horreur, tout comme Madeleine pour qui l'on ne peut qu'avoir de la compassion. Il m'est avis qu'on ne peut qu'à peine s'imaginer la torture, la douleur, le ressenti qu'elle a pu éprouver (sauf à avoir subi le même sort).

J'ai retrouvé la "patte" de Toni Maguire. Avec son roman autobiographique, "Ne le dis pas à maman", elle avait déjà dénoncé ce type de pratiques. Là, elle utilise son art au service des autres. J'admire son courage et celui de toutes ces victimes qui osent sortir de l'ombre. Certaines, malheureusement, ne pourront jamais témoigner. Elles ont choisi de quitter ce monde, ce corps souillé, avili, cet esprit prisonnier de ce carcan, de ce fardeau bien trop lourd à porter. D'autres sont tombées dans la déchéance, usant de substances pour "oublier". C'est avec une écriture sans fioritures, avec des mots choisis, durs, choquants qu'elle fait passer ce témoignage. Mais rien ne sera jamais aussi difficile que la reconstruction de tous ces martyrs.

Je vous invite vivement à lire ce livre, vous l'aurez compris.

Je remercie Toni Maguire pour son cran ainsi que City Editions pour ne pas avoir eu froid aux yeux.
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Ce livre fait fulminer à plus d'un titre.
D'abord on ne peut qu'être écoeuré et révolté devant l'attitude de la direction et du personnel de l'orphelinat les Haut-de-la-Garenne qui ont trahi non seulement la confiance des enfants qui leur étaient confiés, mais également celle des tribunaux qui plaçaient chez eux des enfants, souvent retirés de leur famille pour leur protection.
Madeleine Vibert et Toni Maguire ne s'étendent pas plus que de raison sur les sévices infligés aux pensionnaires des Haut-de-la-Garenne, évitant ainsi répétitions et escalade dans l'horreur, mais s'attachent surtout à décrire l'impact de ces actes sur l'esprit des victimes.
Contrairement à beaucoup des personnes qui livrent ce genre de témoignage, Madeleine était pourvue d'une famille aimante mais pauvre. Leur misère, la dépression de sa mère, son alcoolisme aussi, ont poussé les autorités à placer Madeleine dès son plus jeune âge : d'abord dans une crèche, où elle a été traité comme tout enfant devrait l'être, puis dans cet enfer qu'était cet orphelinat de l'horreur. On peut se demander comment un tel établissement a pu rester ouvert si longtemps, sans que personne ne s'interroge, sur une si petite île.
La mère de Madeleine, tout comme son beau-père, étaient pieds et poings lié, risquant de perdre la garde de leur fils s'ils faisaient trop de vagues.
Sa mère a alterné entre la fureur et une sorte de déni, se carapaçant contre les déclarations de sa fille, puisqu'elle savait qu'elle ne pouvait rien faire pour elle. Cette impuissance n'a pas du arranger sa dépression.
Mais il y a un second point qui est presque aussi révoltant si ce n'est plus : la tenacité des autorités, 40 ans plus tard, d'étouffer l'affaire. Malgré les quelques 200 témoignages d'anciens résidents des Haut-de-la-Garenne, police et politiques, se sont évertués à les discréditer, à répéter à qui voulait bien l'entendre que ces témoignages étaient au mieux de faux-souvenir, de l'hystérie collective, au pire, montés de toute pièce.
Quand des policiers prêtaient un peu trop attention à l'affaire, ils étaient suspendus ; quand Madeleine se montra trop insistante, on saisit le premier prétexte pour l'envoyer en prison ; quand, malgré les magouilles et les pressions, ils ne purent éviter de mettre certaines personnes en accusation, les peines infligées furent ridicule (6 mois pour une surveillante qui se plaisaient à torturer physiquement et psychologiquement les enfants dont elle avait la charge).
Je me demande pourquoi Madeleine ne s'est pas réfugiée en France, qui est toute proche de l'île de Jersey, pour se mettre hors de portée des persécutions.
Dès le début du livre, j'ai été choquée par l'attitude des policiers qui disaient clairement : si vos parents avaient été de meilleurs parents, vous n'auriez pas été placé et donc tout est de leur faute.
Comme s'il y avait un rapport ! le fait qu'un enfant soit retiré à ses parents justifie-t-il qu'il soit maltraité et abusé au foyer supposé lui apporter la stabilité et la sécurité qu'il n'avait pas auprès des siens ?
Pour autant, l'affaire a fait trop de bruit pour qu'elle puisse être complètement étouffée. Si la majorité des acteurs n'ont pas été poursuivis, bon nombre de victimes ont été finalement indemnisées et, grâce à la presse, le visage des tortionnaires est connu de tous.
Ils auront du mal à reprendre leur petite vie tranquille, j'espère vraiment que leurs voisins, présents et à venir, sauront leur rappeler leur passé !
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Ils ont volé mon innocence de Toni Maguire avec Madeleine Vibert. (Genre : Témoignage).

Editions : City
Prix : 17,90€ (Partenariat)
Année de parution française : 2015
Année de parution originale : 2015
Titre version originale : …

Résumé : Un bâtiment gris, sombre. Effrayant. Dans les souvenirs de Madeleine, c'est ainsi qu'apparaît l'orphelinat où elle a été placée dès sa plus tendre enfance. A l'âge de cinq ans, le cauchemar est quotidien pour la petite fille sans défense. le directeur de l'établissement abuse d'elle comme si elle était son jouer. « Ne dis rien, personne ne croira une sale gamine comme toi », dit-il à Madeleine qui, terrorisée, se tait. Pire encore : dans cet orphelinat de l'horreur, les enfants sont vendus à des hommes qui leur font subir les pires sévices. En toute impunité, sans que personne ne s'en émeuve, parce que ces enfants sans parents sont considérés comme des moins-que-rien…

Mon avis : de Toni Maguire, j'avais lu il y a 2 ans « Ne le dis pas à maman » qui m'avait profondément bouleversé. J'étais ressorti de cette lecture très en colère de la situation qu'avait pu vivre l'auteure. Ici, ce n'est pas sa propre histoire mais celle de Madelaine Vibert. Un récit tout aussi dur m'ayant aussi révolté lors de ma lecture. La couverture me fait vraiment de la peine. Je ne sais pas si c'est vraiment la petite Madeleine mais ça reflète parfaitement l'histoire. Une prison dorée où la petite fille va devoir faire face à ses bourreaux… Je ne pourrais pas dire que j'ai apprécié lire le roman, parce qu'on ne peut pas aimer ce genre d'histoire. Mais ce sont des choses qui doivent être lues pour ne pas les oublier. Surtout pour ne plus que cela se produise.

Les auteurs ont choisi de parler du passé en termes de souvenirs. En fait, Madeleine Vibert va se rendre au commissariat pour porter plainte. Ainsi lors des interrogatoires, elle va devoir se replonger dans ses souvenirs. Comment sa mère est partie de chez ses parents. Comment elle est tombée enceinte d'elle. Comment elle n'a pu obtenir la garde de sa fille… le début est triste différemment puisqu'il n'y a pas les sévices. Cependant, ça reste quand même perturbant pour la famille. Et avec ça, on a envie de savoir si Madeleine va s'en sortir dans l'avenir.

Madeleine, cette petite fille qui dès le début de sa vie va être placée dans une crèche parce que sa mère ne peut s'en occuper. Où comment chaque jour elle va espérer avoir une nouvelle maman et un nouveau papa. A la crèche, même si elle n'avait pas de parents, tout allait pour le mieux. On s'occupait bien d'elle et elle jouait avec les autres enfants. Lorsqu'il a fallu qu'elle aille à l'école, il a aussi fallu qu'elle change de pensionnat. Elle est donc allée à Haut-de-la-Garenne et là l'enfer a commencé. Madeleine est une petite fille courageuse. La naïveté, l'innocence qu'on a à 5 ans ne permet pas à un gosse de se défendre. Quand on pense aux adultes, on pense qu'ils sont là pour nous protéger. de plus, dans un nouvel endroit on veut être exemplaire pour ne pas se faire remarquer. Dès le premier jour, Madeleine a été exemplaire, et dès le premier jour, Madeleine a été abusée. Quand je pense à l'horreur des sévices qu'elle a vécus… malheureusement, il n'y avait pas qu'elle. J'ai toujours été derrière Madeleine lors de ma lecture. J'ai souffert avec elle, j'ai eu peur avec elle, j'ai espéré avec elle et j'ai compris très vite avec elle les mécanismes, les rouages de l'embrigadement… (rien que de l'écrire j'ai les frissons). Et tout ça m'a bien sûr révolté !

Le rythme de l'histoire est vraiment bon. Même si ce qu'on lit est triste, on a envie de continuer pour savoir si Madeleine va s'en sortir. Je me suis posé un paquet de questions sur sa famille, sur les assistantes sociales. Tout comme sur les raisons qui poussaient les gens de l'orphelinat à agir de la sorte avec des enfants… Je n'ai évidemment pas compris. Les chapitres sont aussi courts ce qui amène au récit assez dense, une fluidité intéressante. le rythme est aussi bon parce qu'on va suivre Madeleine au cours de toute sa vie. Son enfance, son adolescence, mais aussi son présent, lorsqu'elle a dépassée la quarantaine. On voit donc son évolution et comment son passé l'a en partie détruite.

Je dois dire que le sujet de l'abus sexuel est toujours difficile à aborder. Notamment dans un livre autobiographique où il faut se dévoiler. C'est paradoxal de dire ça parce que je dis que c'est bien traité mais en même temps on aimerait ne pas lire ce genre de chose. C'est un livre à ne pas mettre entre toutes les mains. Il y a vraiment des scènes choquantes, avec des sévices odieux. Ce qui m'a le plus révolté en fait, c'était la presque passivité de la maman de Madeleine. Certes elle avait envie de sortir sa fille de l'orphelinat, mais elle n'agissait pas. Comment peut-on laisser sa fille à des gens qui font semblant de prendre soin d'eux ?

Au-delà d'une autobiographie, le roman est bien écrit et les pages se tournent très vite. Les scènes sont précises malgré la mémoire de l'auteure qui fait parfois défaut. Et puis elle arrive à nous faire ressentir les émotions qu'elle percevait lors de son enfance. C'est ce qui peut rendre malade, cette peur viscérale de retourner à l'orphelinat. Ces moqueries à l'école des autres enfants. Cette envie inassouvie d'avoir un foyer comme les autres. Et surtout, l'envie d'être traitée normalement avec un peu d'amour. Pour les amateurs de témoignage, je vous le conseille. C'est une histoire qui se doit d'être lue pour ne pas qu'elle soit oubliée. Pour ne pas que ces sévices reprennent. Et pour peut-être faire agir des victimes qui n'osent pas en parler. Pour les autres abstenez-vous, c'est un livre choquant.

Ma note : - /10
Lien : http://enjoybooksaddict.blog..
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Un témoignage difficile de ce que cette petite fille ainsi que d'autres enfants ont pu subir dans cet orphelinat, un lieu où les enfants sont censés être protégé. Tony Maguire elle même victime d'abus dans son enfance et ayant écris sa propre histoire, aide d'autres victimes à écrire la leurs, un chemin/moyen de cicatriser de profondes blessures et de chercher une reconnaissance auprès des gens. Montrer et dénoncer ce qui se passe derrière des murs, des silences...
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Un nouveau témoignage signé Toni Maguire sur le viol, la pédophilie et la maltraitance envers les enfants. L'autrice a été victime d'inceste durant toute son enfance et en a parlé dans son livre Ne le dis pas à maman, Toni Maguire aide d'autres personnes victimes à témoigner dans des biographies.

C'est le cas avec Ils ont volé mon innocence, qui raconte l'histoire tragique de Madeleine Vibert, placée dès la plus tendre enfance en orphelinat. A 5 ans, elle est placée à l'orphelinat de la Haut-de-la-Garenne, sur l'île de Jersey, et l'horreur commence. Tout commence par le directeur de l'établissement puis par des hommes de passage, les gardiens et gardiennes ferment les yeux et encouragent même les enfants à la violence entre eux. Madeleine va subir cette violence durant des années. Sa mère ne pourra rien y faire malgré sa bonne volonté. La biographie alterne entre les souvenirs d'enfance et son entretien avec les autorités des années plus tard, quand l'Affaire de l'orphelinat de Jersey éclate en 2008. (Vous pouvez trouver des informations sur la page Wikipédia).

Une biographie terrible, une descente en enfer qui commence bien avant la naissance de Madeleine, avec sa mère qui n'a pas eu de chance, pauvre et qui souhaitait juste vivre sa vie comme elle le voulait. Tout au long de ma lecture, j'étais bouleversé et vraiment en colère contre ces autorités qui abusaient de leur pouvoir. Je suis toujours en colère et triste encore un mois après ma lecture de ce livre ! Cette affaire est horrible, Madeleine n'était pas la seule, tous les enfants de cet orphelinat y sont passés. Je n'ai pas les mots pour décrire plus le livre, ce que j'en ai pensé. C'est terrifiant.

Merci à Toni Maguire de prêter sa plume à l'histoire de Madeleine Vibert.

Lien : https://mathildelitteraire.b..
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Bien sûr, lorsque je devins adulte, j'appris que, pendant des siècles, il y avait toujours eu des hommes qui avaient violé, torturé et tué des femmes et des petites filles parce qu'elles étaient des butins de guerre, parce qu'ils considéraient qu'elles leur appartenaient, ou simplement parce qu'ils pouvaient le faire. Et, comme j'allais le découvrir, il y avait aussi des femmes dans le monde qui n'étaient pas les figures maternelles, chaleureuses et attentionnées que j'avais rencontrées au cours de mes jeunes années. Mais, à cette époque, je croyais encore que les adultes étaient là pour nous protéger, pour bander nos genoux blessés et nous lire des histoires avant l'heure du coucher. (P40-41)
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Après des années de culpabilité, j'ai enfin compris pourquoi les enfants ne parlent pas. Comme tant d'autres enfants souffrant de sévices, j'ai aussi entendu souvent dire que, si je parlais, j'aurais droit à des punitions plus que sévères. Personne ne me croirait et, le cas échéant, c'est moi aussi qui serais blâmée. Colin Tilbrook m'avait manipulée à tel point que j'étais devenue sa complice pour dissimuler les violences. Je lui avais souri en public, j'avais dit "Oui, monsieur" et "S'il vous plaît" et "Merci". Et je n'avais jamais montré ma terreur ou ma haine. A l'âge de onze ans, je me sentais coupable. J'avais dissimulé ce secret pour aussi longtemps que je me souvienne. J'avais honte, et la crainte des représailles m'empêchait de laisser jaillir les mots. Non, je pinçai les lèvres, réprimai les larmes et je ne dis rien.
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Pauvre petite fille victime des appétits malsains de ces messieurs de la haute société et d'un orphelinat habité par des êtres complétement tarés . Comment a-t-ont pu fermer les yeux sur ce qui se passait dans cet établissement , les coups , les suicides de ces malheureux enfants , ces gosses essayant de faire comprendre à leurs parents leur mal-être , la cruauté des services publics complétement dans le déni , et 40 ans plus tard la complicité de la police pour étouffer l'affaire . aujourd'hui en 2016 on ferme encore les yeux sur ce genre de scandale où l'église est impliquée , Est-ce que les enfants seront-t-ils toujours victimes de ces êtres dépravés ?.
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Mais j'avais trop souvent entendu ces promesses mirobolantes pour continuer à les croire. Sous les grands sourires de ma mère et ses fanfaronnades, je sentais le découragement. Les mots étaient faciles à prononcer, et je ne pense pas qu'ils croyaient vraiment à ce qu'ils disaient, pas plus que je ne le croyais.
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Pendant le temps que tu passeras ici, tu apprendras à ne pas juger les gens par leur allure ou leur comportement. Tu dois apprendre à déceler ce qui est important. N'oublie pas que la beauté de l'âme réside dans la bonté.
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