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Fitzwilliam Darcy Gentleman tome 2 sur 3
EAN : 9782811210472
432 pages
Milady (23/08/2013)
3.65/5   58 notes
Résumé :
Inspiré de l??uvre de Jane Austen« En vain ai-je lutté. Je ne puis réprimer mes sentiments. Permettez-moi de vous dire combien je vous admire. Combien je vous aime. »C?est ainsi que Darcy met un terme à son tourment et demande enfin l?espiègle Miss Elizabeth Bennet en mariage. Orgueil et Préjugés a passionné des millions de lectrices qui se sont éprises du charismatique Mr Darcy. Pourtant, Jane Austen se garde bien d?en révéler trop sur ce personnage fascinant. Qui ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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C'est le 2ème tome de la trilogie de Darcy gentleman, réécriture d'orgueils et préjugés du point de vue de Fitzwilliam Darcy. Ce tome est centré sur la lutte que mène Darcy contre lui-même face à son attirance pour Elizabeth Bennet. J'ai bien aimé voir effectivement la lutte qu'a menée Darcy, sans qu'Elisabeth s'en rende du tout compte. On voit bien l'abîme qui les sépare à ce moment-là, lui qui pense tous ses gestes en fonction d'elle, pensant qu'elle est attentive à lui et elle ne s'en souciant en fait pas du tout.

J'ai trouvé qu'il était par contre beaucoup plus arrogant que ce que j'aurais imaginé et je n'ai pas aimé son côté je ne me confie à personne.

Comparé au premier tome de la trilogie, j'ai beaucoup moins aimé l'ambiance de ce tome, en particulier la façon dont Darcy ferme la porte à ses amis et à sa soeur, qui est assez loin de l'ambiance tout en douceur et ironie de Jane Austen. J'ai trouvé aussi quelques longueurs dans l'écriture.

Son personnage sombre, pas du tout à l'écoute de ses amis ou de sa famille, qui est capable de faire de la peine à Georgiania m'a paru assez peu cohérent avec le livre de Jane Austen. Par ailleurs, il prend tout le blâme sur lui et considère qu'Elisabeth ne peut pas se tromper alors que dans le roman, les torts sont clairement partagés. Un homme un peu trop sombre et avec un peu d'auto apitoiement à mon goût. Il manque peut-être un peu de suggestion dans l'écriture car peu de choses sont laissées à l'imagination et il y a aussi quelques longueurs.
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e suis toujours partante quand il s'agit de Mr Darcy ! C'est un personnage que j'affectionne particulièrement et je suis curieuse de voircomment les auteurs traitent son histoire. le petit plus de cette trilogie par rapport à d'autres romans, c'est que le récit ne se limite pas à ce qui se passe dans Orgueil et Préjugés. En effet, on découvre ce qui arrive à Darcy à Londres et quelles sont les personnes qui l'entourent.

Le récit se passe d'abord dans le Kent, chez Lady Catherine puis à Londres et le seul évènement marquant est la fameuse déclaration de Darcy à Elizabeth. le reste des pages est empli des réflexions de Darcy. Si il est intéressant de voir comment il est séduit par Elizabeth, je n'ai vu aucune évolution dans ses sentiments : il sait qu'il est amoureux mais essaie de se convaincre que c'est impossible, il échoue et il recommence encore et encore. On tourne donc vite en rond et on s'ennuie. surtout que ces pensées ne sont pas à son honneur ! (Où va-t-on avec un Darcy qui fantasme sur le physique de Lizzie ?)


Ce qui me gêne c'est que j'en suis venue à me demander ce que Darcy trouvait à Elizabeth. On ne la voit qu'à travers ses yeux et elle m'est apparue bien fade alors que c'est un personnage pétillant. Je n'ai pas reconnu le colonel Fitzwilliam non plus, ni sa relation avec Darcy qu'il appelle "Fitz". Je les ai trouvés trop familiers l'un avec l'autre. de même pour la relation entre Darcy et Georgiana, trop "tactile" et mielleuse à mon goût. Fletcher m'amuse beaucoup mais il me semble qu'il a trop souvent des comportements déplacés, tout comme le sont les remarques de Darcy sur sa tante... Certes elle les mérite mais Darcy en devient irrespectueux, ce qu'il n'est pas. Anne aussi est vue différemment mais je ne suis pas sure d'adhérer...surtout que ça n'est pas vraiment développé. Et il y a Lord Brougham qui nous sort des révélations peu crédibles (pour ne pas dire ridicules) et qui sert de confident à un Darcy ivre (oui oui on va jusque là).

Ce roman est ennuyeux, je ne reconnais plus les personnages et le style n'est pas formidable (tout comme la mise en page). Mais ce n'est pas non plus une horreur : ça se lit plutôt bien et ça n'atteint pas le niveau de nullité de Les filles de Mr Darcy.
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Nous retrouvons Darcy alors qu'il s'apprête à partir dans le Kent pour rendre sa visite annuelle à sa tante Lady Catherine de Bourgh. Il a – avec succès semble-t-il – éloigné Charles Bingley de Jane Bennett, mais lui-même a bien du mal à chasser de ses pensées les jolis yeux de Miss Elizabeth. Quitte à s'ennuyer à Rosings Park, il va en profiter pour oublier la jeune femme. Mais le destin lui joue un vilain tour et place une nouvelle fois la demoiselle sur son chemin.

Mon avis ne va rien avoir de très innovant par rapport à ceux qui parsèment déjà la toile. C'est un fait : on s'ennuie dans ce second tome. La seule chose qui s'y passe, c'est la fameuse déclaration d'Hunsford. Et concernant l'oeuvre originale, le seul point commun est ce séjour à Rosings. On y passe un long moment, avec que Darcy ne retourne dans sa demeure londonienne, la queue basse. Et là, ça se barre sérieusement en cacahuète avec le retour d'un personnage inventé par l'auteur déjà croisé dans le premier tome, Lord Brougham. Il se retrouve confident (et compagnon de beuverie!) de Darcy et en vient à lui-même épancher son coeur malheureux. Autant le sujet du portrait de Georgiana a eu un peu d'intérêt à mes yeux (pour la métaphore et le développement du personnage de Miss Darcy), autant je n'ai eu strictement rien à faire de « Dy ». Il m'a même plutôt gonflée, en fait.

En outre, les réflexions de Darcy tournent sérieusement en rond. Dans un sens c'est réaliste, car en effet lorsqu'on s'est fait éconduire ou qu'on est triste on a tendance à ressasser nos malheurs. Mais étalées sur quasiment deux cents pages, en disant toujours la même chose avec des formulations différentes, ça finit par être lassant. Et puis, sous ce jour-là, Darcy n'est vraiment pas très sympathique. Il est long à se rendre compte qu'il s'est comporté avec Lizzie comme le pire des goujats (déjà ce qu'il dit tout haut est affreux, mais ce qu'il pense est encore pire!) et quand elle lui retourne ses réflexions à la tête il nous fait sa dépression et noie son chagrin dans l'alcool. Un Darcy alcoolique ? Non merci. J'ai eu beaucoup de mal à reconnaître le personnage de Jane Austen. J'ai également bugué sur l'écriture encore plus que dans le premier tome. Est-ce que c'est le style de l'auteure ou la traduction, bonne question (mais j'avoue que je penche assez vers la traduction pour plusieurs raisons, notamment que les dialogues repris directement d'Orgueil et Préjugés sonnent souvent mal dans cette version). J'ai également eu beaucoup de mal avec le mielleux des relations Darcy/Georgiana (il l'appelle « mon ange »...) et avec la familiarité du Colonel Fiztwilliam (il appelle Darcy « Fitz », et je n'ai pas bien reconnu ce personnage non plus).

Je dis tout ça parce qu'il faut bien que j'étoffe ma chronique, mais en soi je n'ai pas passé un moment si horrible, sinon j'aurais mis bien plus de temps à le lire. On passe malgré tout un bon moment et Pamela Aidan a fait un gros travail en disséquant tous les agissements de Darcy et en imaginant ses tourments intérieurs. Elle tente de garder à la fois l'esprit de l'époque en rappelant les convenances et les règle de la société britannique et en même temps de nous montrer l'envers du décor, ce que pouvait être réellement la vie d'un gentleman au début du XIXème siècle. Je ne m'y connais pas suffisamment bien dans le domaine pour dire si c'est réussi ou non ; je crois que ça dépend des moments. Par contre, j'ai vraiment quelques reproches à faire à l'éditeur sur ce titre. Déjà, le titre VO indiqué en première page n'est pas le bon. Il s'agit de Duty and Desire et pas These Three Remain. En outre, j'ai bien l'impression qu'il y a eu de sérieux ratés niveau typologie (des sauts de ligne quand il ne faut pas et pas de saut de ligne quand il en faudrait !), à moins que pour ce dernier point cela relève de l'auteure.

Ce deuxième tome est définitivement plus mauvais que le premier mais ne m'empêchera pas de me jeter sur le troisième sitôt sa sortie, en février. J'espère que la conclusion de la trilogie rattrapera ce tome quasi-catastrophique !
Lien : http://sans-grand-interet.co..
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ATTENTION SPOILERS SUR ORGUEIL ET PREJUGES ET SUR LE TOME 1 DE LA SAGA

Ce second tome m'a davantage séduite que le premier, même si l'auteure prend beaucoup trop de libertés à mon goût dans la conduite du récit, multipliant les fautes narratives et les invraisemblances, notamment dans l'atmosphère du récit et les caractères des personnages. Surtout avec Darcy, n'hésitant pas à forcer le trait et à le rabaisser dans l'estime des lecteurs voire à le tourner en ridicule. Je pense qu'elle va beaucoup trop loin dans sa réappropriation fictionnelle. Au point de dénaturer la personnalité de Darcy, en lui faisant perdre de sa dignité dans certaines scènes outrancières. Je pense notamment à la scène où Darcy s'enivre dans un pub et rentre complètement saoul chez lui. Ce comportement ne colle pas du tout avec le personnage original tel que J. Austen l'avait imaginé !

L'écriture m'a semblée moins soignée aussi, moins maitrisée. Il y a du relâchement dans votre plume, Miss Pamela Aidan ! Il faut vous reprendre !

Et pourtant, malgré tous ces défauts, ce second tome m'a bien davantage emportée que le précédent ! Allez comprendre ! En effet, je l'ai trouvé plus enlevé, moins ennuyeux. Sans doute parce qu'il concerne mes moments préférés du roman original. À savoir le séjour à Rosings, les retrouvailles Darcy/Lizzie après quatre mois d'éloignement, et l'acceptation par Darcy de ses sentiments pour la jeune fille.

Nous assistons alors à ces événements majeurs (et déterminants dans pour la suite du récit), par les yeux de Darcy. Un procédé narratif complémentaire passionnant qui nous permet de découvrir l'envers du décor, ou plutôt « l'envers de la version » d'Elizabeth dans l'oeuvre originale. J'ai adoré cette version alternative. L'auteure y reste assez respectueuse des passages évoqués, tout en comblant les zones d'ombres en extrapolant ce que Darcy pense, ressent et imagine. Qui n'a jamais rêvé de cela en lisant Orgueil et Préjugés ? Être une petite souris et épier les moindres faits et gestes de Darcy, qui lutte contre ses sentiments, déchiré entre ses devoirs et sa passion pour Lizzie, tandis que cette dernière séjourne chez Mr Collins, juste à l'autre bout de l'allée du parc de l'irascible Lady de Bourgh.

Le contrepoint narratif masculin, (notamment de Darcy), étant ce qui m'a toujours manqué dans OP, autant dire que ces versions à focale inversée me semblent d'un intérêt réel, bien que ce ne soit point Jane Austen qui en soit l'auteure, hélas. Néanmoins, mis à part ses maladresses et ses exagérations grossières, Pamela Aidan livre une réécriture honorable dans l'ensemble.
Du positif, du négatif, mais une suite nettement plus enlevée que le premier tome. J'ai passé un bon moment, malgré les libertés excessives que s'autorise l'auteure. L'attente va être longue jusqu'au tome 3, d'autant qu'aucune date de sortie ne semble prévue pour l'heure !?
Lien : http://ladelyrante.wordpress..
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Après avoir lu le premier volume il y a quelque temps, j'entamais enfin le seconde de cette trilogie qui semble être tant appréciée par les aficionados de Austen.
Ce volume deux est une tournant important car il permet de développer plus le personnage de Darcy puisque dans le roman originel nous ne savions rien de sa vie à Londres.
C'est aussi un passage important car c'est l'acte charnière où Darcy tombe amoureux et fait sa première déclaration. Il s'agit donc pour Pamela Aidan de montrer les changements qui s'opère chez le personnage et l'amène vers de plus doux sentiment à l'égard de Miss Bennet.
Je dois avouer que j'ai été déçue, sans doute parce que j'apprécie énormément l'oeuvre d'origine et que j'attendais beaucoup de cette interprétation dont on disait beaucoup de bien.
J'ai eu l'impression que l'autrice avait beaucoup de mal à se détacher du roman d'origine. Certes il est toujours intéressant de nous montrer ces instants qui devaient exister à l'époque et qui ne sont pas particulièrement montrer dans le livre, comme le rencontres à la messe, l'intendance, les rencontres dans des clubs pour hommes... mais celles ci me semblent par moment assez fades. J'ai même eu l'impression de revoir des scènes inspirées par la version TV de 95, notamment les séances d'escrime.
Le soucis est que quand elle s'en détache ce n'est malheureusement pas très intéressant, voire même très maladroit, comme si elle ne savait pas quoi faire de ces personnages une fois sortie des voies tracées par l'original. Elle invente donc des amis à Darcy autres que Bingley, et bien que nous nous doutons que notre héros doit avoir d'autres relations, celles décrites dans ce second tome sont maladroites. Son ami Dye ne m'a pas convaincue, trop envahissant, ses réflexions déplacées et mal venues et ses histoires d'espionnage hors de propos. La relation entre Darcy et sa soeur, autre point important du roman, se veut touchante mais là non plus de m'a pas émue outre mesure. D'autres sont en dehors de leur rôle, comme Fletcher qui outrepasse ses fonctions de valet, alors que des personnages comme Anne prennent un autre visage, ici celui d'une jeune fille étouffée par sa mère.
Montrer un Darcy plus « humain », plus vulnérable n'est pas une mauvaise idée, c'est même la raison d'être de ce roman, néanmoins le traitement n'est pas toujours convainquant. Un Darcy malheureux, qui ressasse les événements et ses sentiments d'accord, un Darcy qui noie dans peine en beuverie et s'épanche sur ses problèmes, j'avoue avoir plus de mal à le concevoir.
Des personnages des plus désincarnés du roman c'est bien Elizabeth Bennet. Si Jane Austen arrivait à donner une consistance à Darcy à travers son héroïne au point de faire encore parler de lui aujourd'hui, l'inverse dans ce roman n'est pas forcément vrai.
Si le roman se lit sans difficulté, j'ai eu l'impression d'une certaine répétition dans les tâches accomplies par les personnages. de même que Darcy qui rumine sa peine peut être pénible et peut mal passer chez certains lecteurs du fait d'une certaine lourdeur.
Au final un tome charnière un peu décevant même si agréable à lire quand on cherche quelque chose de léger sans prise de tête.
En espérant que la suite soit plus soutenue, moins longue et inégale avec une véritable proposition face au matériau d'origine.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Darcy enfila son manteau, retourna à son bureau, et saisit la lettre. "Miss Elizabeth Bennet". Il conservait tant de souvenirs d'elle : le sourire qu'elle adressait à ses amis, l'adorable façon dont elle fronçait les sourcils lorsqu'elle se concentrait, dont ses yeux s'écarquillaient de curiosité ou regardaient au ciel quand elle riait. Il avait relevé dans ceux-ci l'amour et l'affection quand elle observait sa famille à la dérobée. Comme il avait rêvé qu'elle le regarde avec autant de tendresse, qu'elle lui sourie avec une telle chaleur ! Sans pouvoir se l'expliquer, il porta la main sur sa joue mouillée. Il l'essuya en hâte puis s'arrêta et, pour confirmer ses doutes, baissa les yeux. La larme luisait sur le bout de son doigt dans la douce lumière du matin.
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" Darcy fut submergé par un sentiment de grande misère. Quelle paire pitoyable ils formaient tous deux !
Désormais liés au-delà de l'amitié, ils avaient chacun trouvé l'âme soeur chez les demoiselles Bennet ; et en raison de l'intervention de Darcy, ils partageaient la douloureuse certitude de finir leur vie avec un coeur qui ne battait plus qu'à moitié"
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Oui, il n’y a que vous, mon ami, poursuivit-il, qui oserait demander sa main à une jeune fille en lui susurrant que, dans l’ensemble, elle n’est pas digne de votre rang.
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Elle était très différente de toutes les autres femmes qu'il avait rencontrées, et il l'avait trouvée aussi envoutante qu'irresistible. Il se souvenait avec quelle impatience il s'était levé chaque matin (...) en se demandant quelle orientation prendrait leur prochain échange verbal.
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Il leva les yeux devant l'air renfrogné de Darcy, puis haussa un sourcil.
- Cela ne fonctionnera pas, vous savez. Vous ne m'intimiderez pas avec votre regard noir. Oh, vous y mettez toute la cruauté qu'il faut, je vous le promets ; mais vous oubliez que vous avez affaire à Sa Majesté l'Immaculée Déception du compte de Matlock. Vous ne jouez pas dans la même cour que Père, Fitz, déclara-t-il en allant se rasseoir dans le fauteuil près de l'âtre. Alors, gardez cet air pour les domestiques, et confessez-vous, mon fils. Que se passe-t-il, cousin ?
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