Le Père Goriot

Je ne peux pas écrire simplement : nul, c'est un Balzac quand même, je vais faire un effort mais je n'en pense pas moins.
C'est un roman accès sur la vie quotidienne, pour moi c'est particulièrement ennuyeux, ce n'est pas du tout le genre de littérature que j'apprécie. le style de l'auteur est bon, je ne lui fais aucun reproche sur ça, uniquement sur le contenu qui me paraît vide d'intérêt.
J'ai une édition qui regroupe quatre livres, je n'ai lu que Les père Goriot et le colonel Chabert, je n'avais aucunement envie de lire La messe de l'athée et L'interdiction. D'une manière générale cette période ne m'inspire pas de lecture, mais je dois reconnaître que pour les siècles futurs c'est un excellent moyen de connaître les us et coutumes des temps jadis, de voir comment la société fonctionnait dans le quotidien.

J'ai craqué, je n'ai pas terminé. Pourtant le style est remarquable, on replonge assez bien dans le Paris du 19ème, mais il ne se passe rien dans ce livre, si n'est l'attente de ce que vont faire les personnages singuliers de cette pension. le jeune Rastignac m'avait pourtant incité à poursuivre la lecture du livre, afin de voir s'il arriverait à ses fins, mais les chapitres se suivent et se ressemblent trop. La

J'ai aimé : - le cadre et l'intrigue en général
Je n'ai pas aimé : - le style trop fleuri
- le rythme trop lent

Ennuyeux. Un classique que j'ai voulu découvrir mais j'avoue que les 50 premières pages et les 50 dernières pages m'auraient suffit. Il faudrait être courageux pour terminer ce roman et vouloir s'attaquer à toute l'oeuvre De Balzac en disant : "A nous deux maintenant". Toutefois, je ne désespère pas pour autant d'apprécier d'autres romans De Balzac.

"Le père Goriot" fait parti des classiques de la littérature française et comme sans doute pas mal de personnes de ma génération, c'est par l'obligation scolaire que j'ai lu ce livre. Comme la majorité des oeuvres dit "classiques", le fond m'a peu intéressé.
Comme tout ce qui est imposé pour acquérir "une culture" par une institution et des profs se croyant investi d'une mission : diffuser leur savoir tels des singes savants sans aucun recul.
Un système d'éducation dramatique s'appuyant sur des profs rigides à l'extrème se croyant les seuls à comprendre une oeuvre et donc à détenir la seule lecture, la vérité.
C'est une réussite, car 90 % des livres étudiés pendant la scolarité ont presque tous été une véritable souffrance.

Voilà, c'est fait : je déteste Balzac. Il n'y a que Proust que me fatigue plus que lui. Je hais ces longues phrases, ces multiples descriptions. Heureusement que ce n'est pas l'avis général, mais j'ai plus d'une fois, essayé de le lire et je n'ai pas tenu. Je m'excuse auprès de ce grand monsieur de la littérature française qui n'en a sûrement rien à faire de mon avis, surtout depuis qu'il est mort.

Long. Pesant. Ennuyeux. Ce sont les seuls mots que je trouve pour décrire ce roman. Bien qu'il soit très bien écrit (c'est tout de même Balzac), l'histoire est longue et fade. de temps à autres il y a un phénomène intéressant mais ça s'arrête là.

Mauvais souvenir d'une lecture scolaire: Balzac était payé au mot, et cela se sent dans la lenteur et les descriptions détaillées jusqu'à l'excès. Il faudrait pourtant que je le relise avec plus de recul et d'envie. A prévoir !

Lu au collège, je n'en garde pas un bon souvenir. Peut-être que pour l'adulte que je suis cela serait bien mais pour une ado, c'est clairement à éviter. Beaucoup trop de blabla qui ne servent à rien à part endormir en classe. Je ne suis pas fan de ce genre de livre qui passe des pages entières à décrire la texture d'une moquette ou le grain de beauté d'une personne

C'est un livre que je n'ai pas trop apprécié. Un père faible qui se sacrifie pour ses deux filles idiotes et vénales. Rastignac qui fait son apparition. Soit les personnages me répugnent, soit ils me laissent indifférente.
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