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EAN : 9782073032362
Gallimard (17/08/2023)
3.33/5   455 notes
Résumé :
"Il n'était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l'épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ? Elle s'excusa : Non, je danse très peu, je ne danse pas bien.Mais il insista et il la tira vers la piste." Quand Madeleine, beauté discrète et mélancolique des années cinquante, quitte sa Bretagne natale pour suivre son mari au Cameroun, elle se trouve plongée d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (97) Voir plus Ajouter une critique
3,33

sur 455 notes
Un portrait jauni sous-titré « Douala, allée des Cocotiers, 1958 » et une allusion sibylline échappée il y a bien longtemps à sa grand-mère - « Parles-en donc à ta tante, de ce genre de bêtise. Elle a failli en faire une, et une grosse. Tu gardes ça pour toi, bien sûr. » - ont longtemps intrigué la narratrice sans que rien ne lui permette jamais de cerner le secret de Madeleine, cette tante toujours si discrète et élégante dont on disait qu'elle ressemblait à Michèle Morgan et que son mari en était fou, au point de mourir de chagrin lorsqu'elle s'éteignit, il y a seulement quelques années. Désormais « passée de l'autre côté du temps », Madeleine a néanmoins laissé quelques vieilles lettres et photographies. Ce sont elles qui permettent aujourd'hui à sa nièce et à sa fille de retracer son histoire oubliée, une histoire où ne serait arrivé qu'un « presque rien » qui a pourtant tout changé, une histoire qui, « d'une certaine manière » a fait d'elle « l'héroïne d'un roman que personne n'écrira. »


Madeleine a vingt-sept ans lorsqu'en 1958, elle se laisse épouser par Guy pour le suivre depuis Nantes jusqu'au Cameroun, où il est négociant en bois. Transplantée de son modeste et paisible milieu provincial dans un pays d'Afrique en pleine effervescence indépendantiste, la jeune femme bientôt maman d'une petite fille découvre le huis clos de la microsociété formée à Douala par les colons français. Alors que dans la touffeur tropicale fermentent doucement inquiétude et incertitude face à l'avenir, instaurant un climat de tension de plus en plus palpable, l'on y trompe angoisse et ennui dans l'apparente insouciance des mêmes sempiternelles soirées, où, entre danse et alcool, se nouent des liaisons faussement secrètes alimentant les conversations de cet entre-soi à qui rien n'échappe. « Avec sa beauté raide, un grand fond de timidité, et cet air provincial décourageant, à la fois sévère et désemparé, avec lequel elle cherchait à donner le change », la discrète et sage Madeleine se retrouve ouvertement courtisée par un certain Yves Prigent, un administrateur dont la réputation d'aventurier parachève la séduction. Que se passe-t-il alors exactement ? Quatre ans après l'installation du couple à Douala, on retrouve Madeleine et Guy De retour à Nantes, silencieux sur leur épisode africain.


Sur la pointe des mots, une infinie mélancolie se mêlant à l'exquise délicatesse de son écriture, Dominique Barbéris explore patiemment l'histoire de la tante Madeleine, et « peut-être, à travers elle, celle de beaucoup de femmes de sa génération, la génération de la guerre : une histoire sage, une vie retirée et discrète traversée d'un bref coup de folie, une romance secrète. Difficile de savoir ce qui arrive à une femme. » « Avec son élégance datée, discrète et raisonnable », « un peu comme si elle portait le fantôme de ce qu'elle était autrefois », Madeleine aura poursuivi en silence sa vie d'épouse irréprochable, laissant à jamais ses désirs, non pas seulement au rayon des souvenirs, mais à celui des possibles perdus. A observer ce couple âgé qu'ils ont fini par devenir, elle résignée sans le dire, lui lui pardonnant, toujours sans mot non plus, parce que l'aimant sans mesure, l'on s'émeut des non-dits et des abysses secrètes cachés par tant de ces vies apparemment sans histoires…


Après une très vraisemblable Bovary contemporaine dans Un dimanche à Ville-d'Avray, Dominique Barbéris nous propose cette fois une subtile Princesse de Clèves, en tous les cas un nouveau personnage de femme tiraillée entre réalité conjugale et désirs sacrifiés, pour un texte délicatement empreint de la nostalgie du temps passé et des possibles évanouis. Très grand coup de coeur pour cette fiction où « toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé serait fortuite », à ceci près que l'auteur est née au Cameroun en 1958 dans une famille d'origine nantaise.

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La narratrice de Une façon d'aimer plonge dans ses souvenirs d'enfance à partir d'une photo de sa tante Madeleine, la soeur aînée de sa mère. La photo représente Madeleine, jeune, en Afrique, où elle a suivi Guy, son mari, muté là-bas : « Douala, allée des Cocotiers, 1958 ». Elle sert de prétexte à la reconstitution d'un univers disparu, épisodiquement celui de la vie à Nantes, dans cette famille où, après la mort du père, il ne reste que des femmes, mais surtout, elle sert de déclencheur à la reconstitution d'un monde que la narratrice ne connaît pas du tout, cette Afrique du temps de la colonisation, je devrais dire de la fin de la colonisation. La narratrice s'appuiera sur les souvenirs de sa mère, Olivia, de sa grand-mère, Régine, et de sa cousine, Sophie, la fille de Madeleine, pour rebâtir une histoire dont elle ne sait pas grand-chose. Sa grand-mère lui a confié que Madeleine avait bien failli faire une bêtise, là-bas, aux colonies…
***
Je n'avais encore rien lu de Dominique Barbéris, et je sors enchantée de ce roman délicat et sensible. Dès la brève première partie, sorte de mise en situation, les réflexions sur le travail de la mémoire, sa fragilité, sur la rémanence et l'interprétation des souvenirs, occupent une place importante, comme d'ailleurs les remarques sur les livres, les écrivains, le cinéma et la culture en général. La deuxième partie nous propose de suivre Madeleine, jeune fille puis jeune femme, la rencontre avec Guy, les fiançailles, le mariage et le départ à Douala. L'autrice excelle à rendre l'ambiance de l'époque, la vie en province, le milieu social. Elle restitue avec précision le climat de l'époque, les non-dits, les tabous, la sorte de pudeur d'alors qui finissait par brimer les relations affectives. La troisième partie se déroule à Douala, au Cameroun, à la toute fin des années 50. La vie s'est ralentie, presque arrêtée : on attend l'inévitable indépendance et on cultive quelques craintes, mais le microcosme de la société constituée par les colons garde ses habitudes. Les soirées à la Délégation réunissent tout ce qui compte à Douala. Madeleine y rencontrera Yves Prigent, un séducteur impénitent, attiré par cette jeune femme timide qui ressemble à Michèle Morgan. J'ai beaucoup apprécié la finesse avec laquelle Dominique Barbéris évoque la perception de l'Afrique par les nouveaux arrivants : la chaleur, les insectes, l'omniprésence des lézards, le bruit assourdissant des oiseaux au crépuscule. Ce sentiment de décalage social qu'éprouve Madeleine s'illustre avec cruauté dans la réprobation pas toujours muette de Charlie, le boy de la maison, qui ne se prive pas de la comparer aux autres « Madames » qu'il a servies. La jeune femme timide, provinciale et d'un « petit milieu » n'en sort pas gagnante. Vous l'avez deviné, je ne vous révèlerai pas si Madeleine a ou non fait cette bêtise dont parlait la grand-mère. Vous devrez lire ce roman pour le savoir. Une certaine mélancolie en ressort, forcément plus encore si on a connu cette époque, les chansons alors à la mode, les relations parents-enfants à mille lieues de celles d'aujourd'hui, le poids du regard des autres, le silence sur les sentiments, les phrases leitmotivs de la grand-mère… Je me suis plongée avec délices dans ce roman subtil et délicat.

[Lu dans le cadre du Grand Prix des lectrices de Elle 2024]
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*Les histoires d'A. *

Dominique Barbéris, dans "une façon d'aimer" nous entraine en Afrique. Plus précisément à Douala au Cameroun en pleine guerre d'indépendance.

Allez, je vous raconte ce qu'il se passe là dedans, mais juste un peu !

Madeleine et Guy. Guy est fou amoureux de sa femmes depuis toujours. Ils ont une fille Sophie. le temps passe, Madeleine décède.
Grâce à certaines photos, lettres, aux souvenirs des uns et des autres, la nièce de Madeleine va retracer l'époque camerounaise de sa famille.
L'amour de Madeleine et de Guy aurait pu ne pas survivre à cette époque et cache un triste secret. Amant ou pas ???

La plume de Dominique Barbéris est magnifique et pousse à elle seule la lecture de ce roman. Malheureusement cette histoire d'amour se révèle un peu plate, manque de purée de piments douala. J'aurais aimé aussi que les débuts de la guerre d'indépendance du Cameroun soient traités, plutôt qu'apparaitre comme décor somme toute anecdotique.

Ce n'est pas un mauvais roman, mais ce n'est certainement pas la pépite incontournable de cette rentrée littéraire.
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Un brin de nostalgie, une histoire douce-amère et un style très fluide : c'est la recette du dernier livre de Dominique Barberis qui a reçu le Grand prix du roman de l'Académie française.

L'histoire se passe dans les années 50, dans un univers encore très corseté de l'après-guerre, à Nantes où réside la famille. Madeleine, jeune femme timide et discrète, épouse Guy, un peu par défaut. Guy est nommé « aux colonies », plus exactement au Cameroun.

Une fois en Afrique, elle vit une vie d'expatriés classique. Elle accouche d'une petite Sophie un peu chétive, tandis que le pays gronde et veut l'Indépendance. Nous sommes à la fin des années 50, et le tout petit milieu des colons forme une petite société française dans laquelle tout le monde se connaît.

Alors, quand la discrète et mélancolique Madeleine s'éprend d'un homme, un certain Yves Prigent, mi – administrateur, mi-aventurier, tout le monde s'étonne : que va faire cette épouse aussi discrète que timide aux bras d'un séducteur comme Yves Prigent ? Ira-t-elle le rejoindre à l'Akwa Palace de Douala ?

Mais Yves Prigent va prendre un avion qui n'atterrira jamais et Madeleine rentrera bientôt à Nantes parce que l'heure de l'Indépendance aura sonnée.
Dominique Barberis restitue une atmosphère désuète et surannée pleine de mélancolie. C'est avec Sophie, sa cousine, qu'elle évoque le souvenir de cette tante Madeleine, à partir de quelques photos et de lettres échangées avec sa soeur que l'autrice a imaginé la vie de cette tante plutôt esseulée.


De Dominique Barberis je connaissais « Les Kangourous » écrit en 2002, et j'en avais gardé un joli souvenir. « Une façon d'aimer » est tendre et plein de mélancolie et de nostalgie, dans un style qui mérite l'attention. Pas étonnant qu'il ait obtenu ce Grand Prix du roman de l'Académie française : une lecture agréable et qui nous rappelle qu'il y eut une époque pour les femmes, où avoir une « aventure » consistant à marcher dans la rue à distance de son mari était très mal vu et beaucoup critiqué. Une époque bien plus figée que celle d'aujourd'hui, avec une liberté dorénavant acquise pour les femmes : formons le voeu qu'il n'y ait pas de retour en arrière comme on peut le constater dans certains pays.
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Si “le silence est une façon d'aimer…”, il est une règle d'or s'il s'agit d'un amour adultère. Il confine alors au secret, tel celui que souhaite percer la narratrice à l'évocation des émois amoureux de sa tante Madeleine.

A travers l'exhumation de photos souvenirs, de lettres jaunies et de films en super 8, Dominique Barbéris fait revivre l'aventure sentimentale de Madeleine, dans la moiteur tiède et épicée du Cameroun, encore considérée comme une colonie à la veille de l'indépendance.

L'Afrique, Madeleine la découvre grâce à son mari employé à la Société des Bois du Cameroun.
Jeune provinciale, raide et introvertie, elle fait aussi l'expérience d'une société d'expatriés, “vivant les uns sur les autres”, avec son lot d'intrigues et de tromperies. S'ouvre à elle un monde, dont elle restera en marge, mais qui lui offrira une rencontre inattendue avec un baroudeur, administrateur civil, séducteur et intrigant.

Malgré son style classique et délicat, Dominique Barbéris semble s'être enfermée dans le postulat que le “mariage, c'est comme la mort : on ne peut pas en parler puisqu'on le voit toujours de l'extérieur”. Les ressorts de la personnalité de Madeleine nous sont impénétrables, comme cette scène avant le départ où elle se dérobe aux gestes de tendresse de son mari pour une raison qui ne sera jamais éclaircie. Rapidement, il apparaît que le roman repose sur un personnage central dont la personnalité ennuyeuse n'est pas aimable voire échappe au lecteur, comme une poutre qui ferait s'affaisser l'ensemble de l'ouvrage.

C'est dommage, ce roman est, par ailleurs, composé de très bons éléments (comme le dénouement que je ne dévoilerai pas) , qui aurait pu en faire un très beau roman; toutefois, m'est resté ce sentiment dérangeant d'incomplétude, voire de vacuité pendant toute la lecture, qui ne m'a pas permis de l'apprécier pleinement.
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critiques presse (7)
Culturebox
12 décembre 2023
Son style et son écriture : l'élégance et le dépouillement. Avec délicatesse, Dominique Barbéris raconte les doutes, les craintes, les refus et le charme de la tentation.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Culturebox
06 novembre 2023
On admire [...] chez Barbéris, cette volonté d'offrir à Madeleine une existence romanesque et libre en nous livrant les inavouables secrets de cette femme si réservée.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LaCroix
26 octobre 2023
Dans un roman sensible, Dominique Barbéris décrit le destin d’une jeune femme au Cameroun dans les années 1950. Timide et discrète, elle est aussi ardente. Une écriture délicate, mélancolique.
Lire la critique sur le site : LaCroix
OuestFrance
23 octobre 2023
Un récit sensible, délicat et tout en finesse qui rend hommage aux chansons de Dalida, Mouloudji, André Claveau et Guy Béart !
Lire la critique sur le site : OuestFrance
LeMonde
16 octobre 2023
"Une façon d’aimer", de Dominique Barbéris, est [...] à la fois limpide et comme voilé de mystère, qui raconte avec une évidence de chaque page un amour et un destin de femme, des années 1950 à aujourd’hui.
Lire la critique sur le site : LeMonde
SudOuestPresse
02 octobre 2023
Dominique Barbéris dresse le portrait, tout en nuances, d’une jeune femme désenchantée dans un Cameroun toujours, mais plus pour longtemps, sous administration coloniale.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
LeFigaro
05 septembre 2023
Dominique Barbéris brosse le portrait, tout en nuances, d’une Française dans le Cameroun de l’après-guerre.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (73) Voir plus Ajouter une citation
L'original est une photographie carrée à bords dentelés qui tient dans le creux de la main ,une photo prise avec un appareil Kodak. Les photos de l'époque m'ont toujours fait penser aux Petits beurres Lefebvre Utile. Est-ce à cause de leur format ou de nos origines nantaises? les deux sans doute . ou parce que grand-mère avait l'habitude de ranger les photos de famille dans une vieille boîte de biscuits LU, une ancienne boîte d'assortiment dont le couvercle représentait un genre de sirène art déco à cheveux roux entouré de guirlandes et de fleurs .
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Un mariage, c'est comme la mort : on ne peut pas en parler puisqu'on le voit toujours de l'extérieur. Personne n'en connaît le secret.
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Nous n'avions pas le droit d'avoir des Barbies :jouer avec des Barbies risquait de nous causer, plus tard, de graves problèmes psychologiques.
Je ne vois pas l'intérêt pour des enfants de votre âge de jouer avec des poupées qui ressemblent à des femmes américaines de 40 ans . Les enfants doivent jouer avec des enfants.
Nous faisions la tête.
Vous serez jolies, plus tard avec cette tête là!
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Prigent n’était pas pressé. Il avait des informations à glaner. Il écoutait ce qui se disait. Et ce soir-là, il resta tard. Il bavarda longtemps, paraît-il avec Elizabeth Shermann. Elle était en blanc, elle s’habillait toujours en blanc. Elle n’était plus si jeune, les hommes le voyaient bien, mais la nuit, elle faisait penser à une fleur de frangipanier dans l’ombre. Quand ils se souviendraient d’elle, ils se rappelleraient une fleur de frangipanier dans l’ombre. Prigent, coudes sur les genoux, le menton dans une main, la faisait rire. On entendait ce rire aigu depuis le coin où ils était assis. La tension baissait par degrés. L’orchestre était parti, mais de temps en temps, dans un coin du jardin, une voix d’homme recommençait à chanter :

Je sais bien tu l’adores
Bambino, Bambino

Il y avait des applaudissements et des rires.
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Elle a confié un jour à Sophie : « Tu vois, je crois que maintenant je n’aimerais pas être jeune, ça ne m’intéresserait plus. » Et comme Sophie s’en étonnait : « Je ne sais pas. C’était autre chose. Et puis, j’ai eu ma part. Maintenant, je me sens étrangère. »
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Videos de Dominique Barbéris (22) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dominique Barbéris
Dominique Barbéris a reçu le Grand Prix du roman de l'Académie française pour son 11e roman "Une façon d'aimer", paru chez Gallimard. L'autrice embarque les lecteurs dans la France coloniale des années 50 et déroule l'histoire à travers les souvenirs reconstitués de Madeleine, jeune femme simple et sans histoire jusqu'à ce que....
Photos, coupons de journaux, vêtements, la narratrice remonte le fil de cette vie à la fois discrète et mélancolique. Elle est l'invitée de Géraldine Mosna-Savoye et Nicolas Herbeaux.
#littérature #souvenir #memoire
______________ Écoutez d'autres personnalités qui font l'actualité de la culture dans Les Midis de Culture par ici https://youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDrrNrtLHABD8SVUCtlaznTaG&si=FstLwPCTj-EzNwcv ou sur le site https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-midis-de-culture
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