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Lizzie (Autre)
EAN : 978B07YVGXBHY
Lizzie (17/10/2019)
Édition audio (Voir tous les livres audio)
3.89/5   463 notes
Résumé :
Nouvelle édition augmentée

Dans la première édition de ce livre, Aurélien Barrau nous disait : " La vie, sur Terre, est en train de mourir. L'ampleur du désastre est à la démesure de notre responsabilité. L'ignorer serait aussi insensé que suicidaire. Plus qu'une transition, je pense qu'il faut une révolution. Et c'est presque une bonne nouvelle. "

Dans cette nouvelle édition, il complète et affine son propos en analysant la nature des ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (64) Voir plus Ajouter une critique
3,89

sur 463 notes
Découvert par hasard en visionnant une vidéo sur internet, j'ai immédiatement souhaité lire l'ouvrage (plutôt court) d'Aurélien Barrau. Ce que j'y ai découvert correspond à ce que j'en attendait : un pamphlet contre nos yeux fermés devant le désastre climatique à venir, et déjà en cours. le style est accessible, les idées finalement assez prévisibles, mais les faits sont là, et de les lire, assénés sur le papier, a un impact plus efficace sur notre esprit qu'une simple conversation entre voisins, connaissances, sur le sujet.
Nous voilà mis face au mur, il n'est plus temps d'ignorer la réalité. Pas de culpabilisation dans cet écrit, y est énoncée plutôt une autre manière de penser le monde, de penser sa vie quotidienne, son avenir. D'ores et déjà je n'ai pu que modifier mon regard sur mon vécu quotidien, et les petits gestes pronatures sont devenus plus fréquents, plus naturels. Je parviens aussi peu à peu à envisager un avenir, si aucune "découverte miraculeuse" n'intervient, ce qui devrait être le cas selon A. Barrau, sans grand voyage (ou très peu) à l'étranger, l'idée de ne pas pouvoir "voir en vrai" des sites mythiques trop éloignés imprègne mon esprit... C'est un pas bien plus douloureux que celui du "manger plus naturellement", baisser sa consommation superficielle et non-indispensable, favoriser les produits d'hygiène/maison naturels.... mais je crains qu'il ne devienne inéluctable.
Ce livre n'est pas à lire le soir, car oui, il est propice à la réflexion, mais s'avère aussi très anxiogène, on se sent tellement impuissant face à tous ces "grands" du monde, politiques comme industriels, financiers, ou simples "people richissimes", qui initient tellement de dégâts irréversibles contre les animaux, la faune, et l'humain demain, sans que l'on puisse rien y faire, nous les "petits" lambdas...
Mais ce n'est pas une raison pour les imiter, en citoyen du monde fatalistes ("il vaut mieux prendre tout ce qu'on peut prendre tant qu'on le peut" !!!) : sachons leur montrer l'exemple, et les pousser à renoncer à leur façon d'être, par des boycotts ou autres ; nous aussi avons un certain pouvoir, celui du nombre !!!
Lecture indispensable, à faire circuler autour de vous !!! Foncez !!!
Oui, il y a quelques longueurs, quelques redites, mais il faut bien marteler les faits pour qu'ils rentrent dans nos têtes de manière pérenne et efficace !
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Je ne suis pas une lectrice régulière d'essais, mais pourtant J'ai eu envie de lire Aurélien Barrau suite à la critique très incitative de Doriane (yaena) sur un autre livre de l'auteur L'Hypothèse K: La science face à la catastrophe écologique. J'ai emprunté celui qui était disponible à la bibliothèque, sur le même sujet, mais un peu plus ancien (édition de 2020).
Il m'aura fallu du temps pour lire ce livre assez anxiogène, mais qui a le mérite de nous confronter à la dure réalité.

Le livre débute par un constat.
Les chiffres donnés sont terribles, et datent donc d'il y a quatre ans, et je n'ai pas l'impression que beaucoup de changements majeurs ont été faits depuis. J'ai bien peur qu'il ne soit trop tard, le désastre écologique est en cours et nous ne faisons pas grand-chose pour le prévenir. Bien sur quelques mesures ont été prises, mais vue l'ampleur du phénomène, elles paraissent bien dérisoires. Il ne s'agit pas ici que du réchauffement climatique, mais aussi de l'exploitation toujours plus importante des ressources de la planète, et encore de la disparition des espèces, Tout cela bien sûr est lié.
« Les humains représentent 0,01 % des créatures vivantes, mais ont causé 83 % des pertes animales depuis les débuts de la civilisation. Une situation génocidaire d'une ampleur sans précédent. Qui, de plus, commence à profondément nuire aux humains eux-mêmes. »
Et ces pertes s'accélèrent.

L'auteur donne dans un premier temps des pistes pour agir, chacun à son niveau. Beaucoup de choses connues, mais qu'il est toujours utile de rappeler.

Ce qui m'a particulièrement intéressée, c'est le chapitre où il nous parle de l'évolution plus globale nécessaire. Cette partie est moins pratique, mais elle m'a amenée à me questionner, à commencer à penser différemment. Revoir nos certitudes, notre manière d'envisager le monde, c'est ce défi dont il veut nous parler. Et enfin arrêter de croire que la croissance est nécessaire :
« le premier axe d'action, le plus essentiel, le plus simple, le plus impératif et le plus utile : diminuer la consommation. Une croissance exponentielle de l'utilisation des ressources n'est pas tenable éternellement dans un monde fini. »
« Penser en matière de " pouvoir de vie" plus que de " pouvoir d'achat". »

Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris, de bien savoir comment cela va se réaliser, mais le plus important pour moi, est de m'être posé des questions, de réaliser que certaines de mes certitudes, de mes visions du monde, ne sont pas les plus adaptées.
Et c'est bien l'objectif de ce type de lecture, nous amener à réfléchir.

« Cet infime ouvrage s'inscrit dans un geste de "dernière chance", comme une supplique aux pouvoirs publics : ne pas considérer l'écologie comme la priorité majeure de ce temps relève du "crime contre l'avenir". Ne pas opérer une révolution dans notre manière d'être relève du "crime contre la vie".
Il est temps de regarder en face l'agonie de notre monde et d'être un peu sérieux. »


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Aurélien Barrau nous expose ici son urgence à agir pour la planète, tant au niveau individuel qu'au niveau collectif.
Urgences à modifier nos comportements personnels, au niveau social, notre façon de vivre et notre façon de voir les choses, prioriser les urgences...
Texte édité en 2018.
Depuis il y a eu la pandémie de Covid... depuis, nos gouvernements priorisent ce qu'ils veulent prioriser !
Malheureusement, 5 ans après, les mentalités n'évoluent guère. La société de consommation est toujours d'actualité. La valeur de la croissance économique également.
Les gouvernements prennent les décisions dans ce sens, dans le sens des grands industriels et aucunement dans le sens du bien être de notre planète mère.
Tout le monde crie à la catastrophe, mais l'image de notre monde ressemble au tableau de Munch "Le cri". Point barre.
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Nous sommes sous « une menace existentielle directe » selon l'ONU. Notre civilisation est prévenue. Sera-t-elle capable de réagir et de se transformer ou va-t-elle s'effondrer ?
Aurélien Barrau dresse dans cet essai le constat affligeant et l'urgence de la situation, le plus grand défi de l'histoire de l'humanité...
Nous devons repenser notre manière d'habiter le monde, consommer moins, respecter le vivant pour « éviter le « crash » du système « planète Terre » ». La vie se meurt. Principalement à cause de nous.
« Nous sommes devenu notre propre menace. le plus grand danger pour l'humanité est aujourd'hui l'humanité ».
Aurélien Barrau dénonce l'hypocrisie des termes et souligne la nécessité d'actions plus radicales dans certains cas. Ce n'est plus une érosion de la biodiversité qui a lieu mais un « crime de masse », une « extermination orchestrée ».
Pour espérer nous en sortir, il faut une action fractale englobant des engagements à tous les niveaux. Malheureusement nous ne pouvons pas vraiment faire confiance aux politiciens et aux industriels...
« La tâche est immense et le temps presse. Si le génie humain existe, c'est ici et maintenant qu'il doit se manifester. »
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Un diagnostic clair et accablant de la situation actuelle et à venir. Des propositions pratiques pour agir tout de suite chacun à son niveau. Voilà ce que donne à lire ce petit ouvrage, volontairement petit et consciemment dépolitisé.

Il n'a peut-être pas tout à fait tort, Frédéric Lordon, de railler Aurélien Barrau quand celui-ci n'ancre pas son combat dans un combat politique au sens « classique » (Marx était d'ailleurs, lui aussi, un économiste classique) du terme. Oui il faut parler de capitalocène plutôt que d'anthropocène. Oui il faut bien mettre le doigt sur les mécanismes qui sont à l'origine des dérèglements environnementaux, climatiques, mais aussi sociaux et même moraux de notre monde : et ces mécanismes sont incontestablement liés à l'appropriation violente par une classe de... tout ! Moyens de production, Richesses naturelles, espaces, temps, déplacements et imaginaires des femmes et des hommes qu'ils considèrent à leur service.
Mais il a peut-être aussi tort, Lordon, quand il raille Barrau et en fait un crétin scientifique incapable d'une conscience politique. D'abord parce que le chemin que Barrau a parcouru depuis l'astrophysique jusqu'à l'écologie est sans doute tout aussi admirable que celui que Lordon a parcouru pour passer de la science économique à la philosophie. Ensuite parce que Barrau a peut-être plus de chance de toucher un public large en descendant de son piédestal de savant et en donnant dans un style simple et pratique, appropriable en somme, que Lordon qui ne cesse de vouloir surélever sa statut à grand renfort de formules adroites et de bons mots (beaucoup d'intelligence, certes, mais au service de sa cause autant que de la cause). Je suis pourtant admiratif de Lordon, mais il est possible qu'il n'ait pas saisi l'importance des postures, la leçon de certains mouvements sociaux, l'écart qui existe entre certaines consciences et d'autres.
Et lorsqu'à la question qui lui est posé par un journaliste « si chacun devait commencer par un engagement, ce serait lequel ? », Barrau répond « ça serait d'oser interroger tout ce qui nous semble si évident. Plutôt que de se battre pour le « pouvoir d'achat », ne devrait-on pas se mobiliser pour le ‘‘devoir d'aimer'' ? » a-t-on raison de se gausser ?

La maison brule comme dit la formule désormais célèbre et reprise par tous. Or, si Lénine disait qu'il n'y a pas de révolution sans théorie révolutionnaire, c'est-à-dire sans analyse des causes de la situations et proposition, Barrau a sans doute raison de penser que nos cultures, notre civilisation, nos habitudes et visions du monde sont gangrénées par 500 ans de philosophie individualiste ou l'homme est posé au sommet de la création et peut en disposer à sa guise. IL a sans doute raison de penser que les uns et les autres avons aussi notre chemin à parcourir pour consentir à la rupture révolutionnaire. Sans briser ce credo-là (formé, entre autre, des croyances dans le consumérisme comme moyen d'être heureux, dans la fuite en avant technologique comme progrès, dans la croissance économique comme horizon civilisationnel), sans comprendre que nous faisons partie d'un tout et ne sommes pas un archipel dans un océan du vivant, on pourra toujours chercher à se réapproprier les moyens de production, à nationaliser les grands secteurs industriels, et réguler les échanges, etc., on risque bien de ne pas rompre suffisamment avec le modèle de pensée qui aujourd'hui nous domine et qui ne fait pas qu'épuiser les hommes et les femmes, mais aussi la nature (c'est Marx lui-même qui le disait). Ce modèle n'est pas seulement celui du mode d'appropriation, il est celui-là même de la légitimité de s'approprier.

Lordon est par ailleurs malhonnête de réduire le combat de Barrau à celui de la fin des touillettes en plastic. Et il dit même des choses très intéressantes : la nécessité de décroitre ! Et à l'heure où le grand soir risque bien plus d'être catastrophique que révolutionnaire, à l'heure où la désaffection pour les programmes politiques et plus encore les leader, autoproclamés ou adoubés est au plus fort, proposer à chacun (comme le fait Barrau) de devenir acteur dans son quotidien et d'agir en adoptant des gestes qui participeront, à grande échelle, à sauver le monde et à petite échelle à se repositionner dans ce monde pour en devenir un sujet responsable (le fameux principe de responsabilité cher à Hans Jonas) et, ce faisant, à redéfinir ce que c'est qu'un vie digne d'être vécue, ce n'est pas nécessairement l'idée la plus sotte que l'on ait proposée.

En somme, si je suis bien d'accord avec l'analyse de Lordon sur les causes de la misère et de la mort inévitable du Monde qui est le notre, dans toutes ses dimensions (sociale, civilisationnel, écologique...) mais non seulement je pense que Barrau n'est pas loin de partager la même analyse, mais il est même possible qu'il fasse un pas de plus : philosophiquement, en prônant un radicalisme que Lordon ne me semble pas encore atteindre, et stratégiquement en donnant tout de suite les clés d'un agir, certes individuel mais à portée collective potentiellement très puissant.
« Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'en achètent plus pour que ça ne se vende pas » comme disait Coluche. On peut se battre pour effacer la dette et redonner du pouvoir collectif à la classe des dominés ET on peut se battre pour lui donner les moyens d'exercer tout de suite un pouvoir qui est loin d'être sans effet. Changer nos habitudes de vie et reprendre le contrôle de nos envies, de nos besoins, réels, re-travailler sur le sens de l'existence est loin d'être idiot et inutile.
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Citations et extraits (119) Voir plus Ajouter une citation
Aujourd’hui, en terme de biomasse, les mammifères « libres » ne représentent que 7 % des mammifères d’élevage, essentiellement destinés aux abattoirs. Plus des trois quarts des oiseaux sont des volailles d’élevage. Il ne faudrait plus montrer aux enfants, dans les livres éducatifs, les écureuils et les musaraignes : notre planète n’est plus significativement habitée par ces êtres-là. Ils sont anecdotiques. Aujourd’hui, le monde non humain est une gigantesque ferme-usine, une autoroute vers la mort. Les manuels scolaires ressembleraient à des livres d’horreur si nous disions la vérité. L’assumons-nous ?
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On ne peut plus mener une politique qui favorise la « croissance » consumériste. Cela revient - littéralement - à se dire que face à un corps drogué et dépendant, nous allons augmenter les doses de substances hallucinogènes et mortifères. Cela peut, un court instant, masquer la pathologie, mais la mort n’en sera que plus rapide et douloureuse. C’est une question de sérieux. Les « doux rêveurs »ne sont pas, ici, les écologistes, mais ceux qui pensent pouvoir défier les lois fondamentales de la nature. Et leur rêve devient notre cauchemar.
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Il faut, je crois, intégrer le fait que même si elle est légale, même si nous avons la capacité à "payer" pour cela, notre consommation souvent peu scrupuleuse a un impact fort sur les autres vivants : elle ne regarde pas que nous, tout est là. Le « chacun fait ce qu'il veut » n'a aucun sens : nous habitons la même planète et les actes de chacun ont des conséquences pour tous.
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L'extinction des espèces ne résultera que de la mort douloureuse d'un nombre incalculable d'individus. Ce ne sont pas alors des statistiques qui diminueront, mais des vivants qui expireront.
La souffrance peut-elle ne pas être prise en compte ? Derrière la vie, il y a les vivants. Tout est là. Ce ne sont pas des idées qui vont devoir - par nos choix - tenter de survivre à l'effondrement : ce sont des personnes.
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Mettre fin à un emballement technocratique qui confond la fin et les moyens, qui fait de la surproduction une visée - et non un accident -, ne relève finalement que du bon sens et de la redécouverte de valeurs élémentaires ou ancestrales. Il s'agit de réinventer la continuité. Il s'agit de réapprendre la beauté subtile. Il s'agit de ne plus penser les animaux et végétaux comme des ressources, mais comme des entités ayant sens en elles-mêmes, avec lesquelles il est évidemment possible d'interagir mais hors de la logique réificatrice qui prévaut aujourd'hui. D'aucune manière il n'est question d'interdire les évolutions ou de renoncer à des avancées signifiantes.

Pp. 69-70
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Videos de Aurélien Barrau (14) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Aurélien Barrau
« Quel monde pour demain ? » avec Aurélien Barrau Une conférence tous publics, à partir de 10 ans.
C'est une école pas comme les autres. On pourrait l'appeler « l'école du dimanche ». On peut venir avec ses amis avec les parents ou les grands-parents, en famille ou tout seul, adulte ou enfant, pour rencontrer, écouter et dialoguer avec les plus grands, philosophes, historiens, plasticiens, musiciens, géographes, astrophysiciens, écrivains, mathématiciens, cuisiniers…Tous passionnés par leur métier et leur recherche ont accepté de venir partager leurs savoirs : Ulysse, le Minotaure, les mots, les images, la guerre, l'amour, la mort, la fête, l'amitié, les trous noirs, le langage, la beauté, le temps, la révolte, le fini et l'infini…À chaque fois un pan du monde est touché. Ensuite la conférence et le dialogue avec le public seront publiés aux éditions Bayard dans la collection qui comprend déjà plus de 80 titres et dont les livres sont traduits dans de nombreux pays en Europe et plus loin encore.
Il ne fait maintenant plus aucun doute que l'état de la vie sur Terre est terriblement délabré. Cela amène à un certain pessimisme : on se dispute sur les efforts qu'il faudrait faire pour endiguer la catastrophe. Par quoi commencer ? Où et comment agir ? Mais ce qu'il faudrait, en réalité, c'est une refondation de notre lien à la vie. Un ré-enchantement. Plus que de solutions techniques, nous manquons d'une vision poétique. Il est essentiel de prendre le temps d'envisager d'autres manières d'habiter le monde.
C'est ce que l'astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau, astrophysicien et philosophe, tentera d'expliquer aux enfants et aux adultes qui les accompagnent.
À lire – Aurélien Barrau, L'Hypothèse K, La science face à la catastrophe écologique, Grasset, 2023 – Météorites, Michel Lafon, 2020. – Trous noirs et espace-temps, Bayard, coll. Les Petites conférences, 2018.
Lumière par Iris Feix Son par Jean-François Domingues Direction technique par Guillaume Parra Captation par Camille Arnaud
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