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4,39

sur 4676 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La carte postale est cette lecture tant convoitée avant d'y entrer.
Tant d'éloges, de si belles critiques, un livre encensé massivement par les lecteurs et les critiques littéraires de manière totalement unanime, récompensé par deux prix littéraires, pas des moindres...
Alors pourquoi suis-je resté totalement à côté de ce livre, de ce roman ? D'ailleurs, est-ce un roman ? Une fiction romanesque ? Difficile de le dire de mon point de vue.
Ce qui est indiscutable est le poids historique du récit. La tragédie qui porte ce texte et qui est convoquée à chaque page de la narration au travers du destin d'une famille juive.
Ce qui est indiscutable est l'élan de générosité et d'humanité qui a poussé l'autrice, Anne Berest, dans la rédaction de ce livre. Un hommage intime... Son envie de transmettre. Mais transmettre quoi au juste ? Je suis incapable de l'exprimer au moment où je rédige ce billet.
Je me suis posé cette question lancinante tout au long de ma lecture. Pourquoi ce livre ? Pourquoi un livre de plus sur ce thème de la Shoah, non pas que tout a été dit, écrit, mais s'il faut en écrire un autre, un de plus, autant y apporter quelque chose de nouveau, dans la narration, dans le style, dans la manière de convoquer les personnages, de les faire venir, cheminer, avec leurs beautés, leurs doutes, leurs failles, leurs rugosités, leurs interstices...
Longtemps j'ai lu les premières pages de ce livre comme l'eau qui glisse sur les plumes d'un cygne. Aucun signe ici ne venait me happer, me prendre à la gorge, me saisir d'émotion... Bien sûr, des scènes sont là, mais tant visitées, tant revisitées que la démarche romanesque qui s'en saisit avec sans doute une bonne intention au départ s'en dépouille totalement à l'arrivée. J'ai eu l'impression d'aller à la rencontre d'une fabrication artificielle manquant totalement de souffle...
La première partie du roman est une sorte de faisceau qui balaie et rassemble tout ce qui a trait sur le plan historique à la menace latente puis réelle, les camps de transit, la déportation, jusqu'à l'extermination des Juifs en camps de concentration. La narratrice nous raconte l'histoire de sa famille à partir d'un élément déclencheur original : une carte postale reçue et envoyée de manière anonyme longtemps après la guerre et comportant quatre noms d'une même famille, tous morts à Auschwitz en1942.
La seconde partie me paraissait plus prometteuse, mais voilà, j'avais déjà accompli la moitié du voyage et j'étais déjà rincé d'un tel découragement que je n'ai pas su trouver les forces vitales pour accomplir la suite du trajet.
L'histoire est bien racontée, mais où est l'âme de cette narration ? Où en est l'écriture ? Où est l'écrivain capable de transcender ce récit ?
Pléthores de faits, d'idées déjà connues, de personnages convenus dans leurs descriptions même s'ils sont happés dans une tragédie sans nom, enlèvent toute sobriété et puissance à un récit qui en méritait amplement et qui aurait gagné ainsi en émotion.
N'est pas Primo Levi qui veut...
Peut-être qu'après avoir lu Si c'était un homme, de Primo Levi, on ne peut plus rien lire d'autre sur le sujet ? On est comme asséché, atterré et qu'il faut du temps pour s'en remettre...
Il y a une sorte d'hésitation entre le côté romanesque et le récit historique qui m'a déstabilisé. Parfois j'ai eu l'impression que c'était Wikipedia convoqué dans les mailles d'une histoire familiale juive au temps de l'occupation allemande. Tout est passé en revue dans un style didactique, tout ce qu'il faut savoir, même des célébrités sont convoquées dans le récit, dont on ne sait pas ce qu'elles viennent faire ici, quelle valeur elles apportent au récit, ici Gide ou Picabia, là Cocteau ou Malraux, plus loin Irène Némirovsky, sauf à ce dire que dans ce grand étalage, l'autrice a trouvé bien de les y faire figurer. Mais pour quoi faire. Pour faire érudit sur la carte postale ?
Il n'en demeure pas moins une lecture agréable, mais pour en arriver à quoi à l'arrivée ?
Si ce roman a trouvé son public, c'est l'essentiel. Mais ce fut pour moi un rendez-vous manqué. Cette carte postale ne m'était pas destinée.
Un rendez-vous manqué est aussi fait de belles choses, comme l'attente désespérée d'un livre.
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On ne peut pas reprocher à Anne Berest de ne pas savoir raconter des histoires. C'est une excellente conteuse et son écriture fluide porte son propos avec aisance pour le plaisir de son lecteur.

Mais !... Car il y a un mais !

L'auteure, d'origine juive, a légitimité à évoquer ses origines familiales mais semble hésiter entre le romanesque et le factuel. Cela produit un livre un peu foutraque, souvent didactique, déséquilibré entre parties passionnantes et digressions sans intérêt.
L'enquête familiale en recherche de traces des disparus est prenante, comme l'est l'interaction de ressentis sur le concept de judéité et de mémoire.

Mais pourquoi ne pas en être restée à un récit synthétique?
Pourquoi, dès lors qu'il y a déjà tant à dire sur le parcours des absents, les utiliser en personnages de roman, leur prêtant des pensées et des sentiments imaginaires.

Sans vouloir me raccrocher à la polémique qui a agité le petit monde de la littérature et de l'Académie Goncourt en cette année 2021, je me pose la même question que certains. Comment peut-on encore faire des biographies «fiction» sur l'épouvantable période de la Shoah, utiliser des histoires réelles dans toute l'horreur qu'elles véhiculent en s'autorisant à y associer un imaginaire de reactions, de paroles et de sentiments ?

La méthode me hérisse de livre en livre et le débat est ouvert sur sa pertinence.
Lecture agréable néanmoins mais je serais bien déçue qu'elle fasse un Goncourt.
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Il est toujours difficile de chroniquer un livre qui a dévoilé l'histoire familiale mêlée aux sentiments intimes de l'auteur(e). Cette lecture ne déroge pas à la règle : je me sens un peu confuse, comme si je n'avais pas le droit de livrer mes propres impressions face à ces vies particulières liées à l'Histoire, ô combien tragique, de la Shoah.

Anne Berest le dit d'emblée : elle est juive, et veut remonter le fil du temps, à travers sa mère et sa famille, des Juifs originaires de Russie, dont 4 membres ont été déportés en 1942 et sont morts dans des camps.
Elle part d'un fait concret, qui est une carte postale tombée dans la neige à côté de la boite aux lettres, et où sont inscrits les noms des quatre malheureux.
Qui l'a écrite ? Et pourquoi ?
La voilà lancée dans une recherche improbable, et à travers les dialogues avec sa propre mère, des lettres archivées, des témoignages de voisins, des documents administratifs, des souvenirs reconstitués, elle nous dévoile une multitude de choses dont nous avons tous déjà entendu parler, sauf peut-être les lycéens qui ont octroyé le prix Renaudot à ce livre.

Je me suis sentie assez déboussolée devant cette somme de faits, de sentiments, de pensées secrètes mises au jour ou inventées, devant cet assemblage qui m'a semblé de bric et de broc.
Il faut dire qu'il y a de tout dans cet ouvrage qui brasse à la fois le sentiment moderne de la judéité, les réactions de la population non juive – depuis la guerre jusque maintenant – et l'antisémitisme latent, les faits choquants des rafles (séparation des mères et des enfants notamment), la mise à mort dans les camps, le retour des déportés aux regards hallucinés, la Résistance, la relation parents-enfants et les non-dits fréquents, sans oublier les origines russes de la famille de l'auteure ainsi que son propre présent.
Nous allons et venons continuellement entre le passé difficile et le présent compliqué.

Bref, il y a beaucoup de faits. Beaucoup d'idées. Beaucoup de personnages.
Mais à vrai dire, je ne me suis pas sentie assez impliquée, peut-être est-ce dû au style de l'auteure, journalistique, où les personnages sont réduits à des êtres peu consistants.
C'est très difficile d'expliquer ce ressenti.
Peut-être aurait-il mieux valu que l'auteure se limite au lieu de vouloir tout englober, je ne sais pas.

En tout cas, je ressors mitigée de cette lecture.
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« La Carte postale », roman, lit-on sur la couverture. Voilà de quoi nourrir la perplexité du lecteur: cette enquête sur le sort des générations fauchées par le nazisme renvoie à la famille même de l'auteur et n'a rien, semble-t-il, de fictionnel. Mais il est vrai qu'on nous prévient d'emblée : « c'est un récit hybride que tu vas entendre. Certains faits sont donnés comme évidents, toutefois je te laisserai estimer la part des hypothèses personnelles qui ont finalement abouti à cette reconstitution »
C'est la mère qui annonce cela à sa fille. Car la mise en situation fait dialoguer les deux femmes et nous devons faire semblant de croire en une Anne Berest candide s'intéressant brusquement à ses ancêtres pour entraîner le lecteur à sa suite et lui tenir aimablement la main pendant qu'on crapahute dans l'arbre généalogique des Rabinovitch. Camille Laurens a parlé à propos de ce livre de « Shoah pour les nuls ». Ce n'est pas faux. Et alors? En l'affaire, le didactisme ne nuit pas et le prix Renaudot des lycéens prouve que cela fonctionne. Les plus jeunes ont besoin qu'on leur explique à nouveau ce truc inimaginable d'un peuple destiné tout entier à disparaître. Les moins jeunes aussi d'ailleurs.
Ok donc pour ce dispositif un peu téléphoné et aussi pour le recours à la narration qui crée des personnages à défaut de ressusciter les morts. Il faut bien recourir à l'imagination pour que les millions de disparus ne soient pas seulement des statistiques.
Camille Laurens a également raison de relever la description discutable que fait Berest de l'entrée de Jacques dans la chambre à gaz. Elle imagine qu'un S.S. lui déboite l'épaule d'un coup de crosse pour l'obliger à avancer et finit son chapitre par un gros plan sur les pommeaux de douche. Et, effectivement, on ne voit pas trop en quoi ces détails forcément inventés et furieusement cinématographiques sont utiles ; ils sont même gênants de laisser croire que l'horreur des simples faits ne suffirait pas à dénoncer le nazisme. Ils sont gênants mais ce ne sont que 2 lignes sur 500 pages, pas de quoi instruire un procès en immoralité.
Mais quand même. Si Berest ne tombe jamais dans l'obscénité, elle s'en approche parfois. J'ai été très gênée de lire un pseudo échange de lettres entre les deux soeurs, Anne et Claire, qui mettent sous le nez du lecteur leurs difficultés à être soeurs et rivales en littérature. La description du ménage à trois entre la grand-mère et ses deux maris m'est aussi resté en travers de la gorge.
Ah, me direz-vous, qu'est-ce que c'est que cette pudeur de sainte-Nitouche qui s'offusque de détails un peu trop intimes mais qui a lu sans sourciller la mise à mort d'une famille à Auschwitz? Je répondrai d'abord que j'ai évidemment sourcillé et même un peu plus mais surtout que l'holocauste appartient à l'universel et à ce titre m'interroge sur ce que j'aurais fait, tandis que les problèmes familiaux des soeurs Berest ne concernent qu'elles.
J'admets qu'il est difficile, avec une famille follement romanesque comme la leur, de ne pas se vautrer dans la confidence à fort potentiel fictionnel. Mais ce n'est pas la même chose de parler de soi comme d'une petite-fille de survivants ou comme d'une petite-fille d'amants irréguliers. Et, à la fin du livre, la question des amours libres de Mamie prend toute la place, comme si la mort du reste de la famille obligeait à trouver une nouvelle inspiration pour de nouveaux rebondissements. Gênant.
J'ai le sentiment d'être excessive dans mon jugement. Mais Anne Berest a le tort d'écrire après la sublime chronique de Mendelsohn : « Les Disparus » et ce livre, lui, est un chef-d'oeuvre.
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Je ne sais trop quoi penser de ma lecture.
Le sujet est difficile et il ne faut pas oublier les atrocités perpétuées par les nazis lors de la seconde guerre mondiale. Cependant, j'ai eu du mal avec cette lecture. J'ai du m'y reprendre à 2 fois, à plusieurs mois d'intervalle et recommencer la deuxième fois ma lecture au début. le style m'a paru plat, sans émotions et j'ai décroché la première fois.
On suit l'histoire de la famille Rabinovitch, famille juive, qui va subir l'exil dans plusieurs pays avant d'atterrir finalement en France, un peu avant la seconde guerre mondiale.
En 2003, Leila, la mère de la narratrice va recevoir une carte postale écrite plusieurs années au préalable et comportant uniquement le prénom de ses grands-parents, de sa tante et de son oncle. A partir de cette carte postale, la narratrice initiera une enquête vingt ans plus tard, afin de déterminer qui a bien pu l'envoyer et ainsi vouloir remuer le passé.
J'attendais sûrement trop de ce livre suite aux multiples critiques que j'avais pu lire sur Babelio.
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Un livre , bien noté par la critique , qui , pour moi , comprend deux parties très inégales
Inutile de revenir sur l'histoire : une carte postale ancienne, quatre noms et un mystère à éclaircir. le procédé n'est pas nouveau
La première partie du livre est passionnante même si , comme tous, vous avez beaucoup lu sur la Shoah
L'histoire commence bien avant la seconde guerre mondiale
C'est celle d'une famille ashkénaze d'origine russe mais qui sera amenée à se disperser en Lettonie , en Palestine ou en France
Une famille qui , par choix , souvent par obligation , vivra des destins très différents à travers le monde
Pour simplifier, nous savons que ces quatre personnages de la carte postale auront un destin tragique à Auschwitz
Cette première partie historique, très documentée, est passionnante et m'a permis d'apprendre beaucoup de choses alors que je croyais avoir fait le tour de l'histoire de cette époque
C'est bien écrit,fluide et enrichissant
Changement complet de sujet et d' époque pour la deuxième partie du livre qui relate l'enquête pour découvrir qui a écrit cette fameuse carte postale
Claire Berest se disperse beaucoup et , petit à petit, le livre devient assez décousu et un peu longuet
Je n'ai pas trop accroché à cette histoire familiale juive sur plusieurs générations
Il y a beaucoup de digressions qui n'apportent rien au récit
Un livre qui mérite d' être lu pour sa première partie très riche mais que vous n' êtes pas obligés de terminer
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Le roman d'Anne Berest semble avoir été écrit dans l'urgence et envoyé à l'éditeur sans ratures.
Il a un côté fourre-tout qui livre en vrac au lecteur le roman des origines et le récit documenté de la Shoah.

Certains passages du roman familial sont émouvants dans la mesure où ils entretiennent au plus près du vécu la mémoire de l'horreur et le poids de cette mémoire. Mais le recours trop systématique à la psychogenealogie, étude du comportement très en vogue, donne l'impression de manipuler l'histoire familiale pour justifier des attitudes du présent et se dédouaner des responsabilités.
Les interrogations sur la judéité qui sont récurrentes sont souvent maladroites, comme l'est, à mon sens, la construction du roman.
Et puis il y a le malaise produit par le mélange entre l'aspect documentaire et l'aspect romancé.

Lorsque l'on a déjà lu sur la Shoah les témoignages des déportés, le caractère quasi anecdotique des descriptions des camps est perturbant tant l'on perçoit le travail du romancier qui s'efforce de reconstituer une "atmosphère".

Si certains passages du roman, surtout ceux sur l'exil de la famille, sont bien menés ; les discussions bavardes entre la mère et la fille, le récit des aventures de Myriam et Vicente, les souvenirs d'enfance de l'auteure alourdissent le récit et manquent de rigueur litteraire.
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Il est toujours difficle de rédiger une chronique sur un roman ayant pour thème principal le sort des Juifs pendant la seconde guerre mondiale.
L'auteure nous relate de façon en partie romancée l'histoire de sa famille, en partie juive, jonglant d'une branche à l'autre mais se focalisant sur ses arrière-grands-parents, venus de Russie et ayant traversé beaucoup de pays avant de s'installer en France.
Par le biais d'une carte postale elle remonte le cours du temps et nous plonge dans cette famille.
L'auteure avait beaucoup de pièces d'un immense puzzle en mains, elle a tenu à ce que toutes les pièces soient réunies sur la table et tant pis si le résultat manque d'harmonie. Entre les faits réels et les faits romancés, le liant ne se fait pas toujours.
J'ai beaucoup aimé la première partie, j'ai parfois sauté certaines pages des autres.
Ce qui m'a manqué, par dessus tout, c'est l'émotion.
Peut-être est-il compliqué d'écrire sa propre histoire.

Pour moi, c'est une lecture manquée et c'est dommage car ce thème ne devrait pas être aboutir à ce sentiment.

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L'histoire familiale est indéniablement intéressante, mais on n'apprends pas grand chose que l'on ne sache déjà sur la période .

Le style narratif est sans intérêt.
Plutôt mal écrit, ce long texte ressemble davantage à une pièce de théâtre, ou à un synopsis, car il est construit essentiellement sous forme de dialogues, qu'à un roman. le plaisir du lecteur ne fait pas partie des préoccupations de l'auteure.

Livre à grand succès, pourtant mais qui ,je pense ne laissera aucune trace dans la littérature.

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Bon, je ressors un peu mitigé de la lecture de ce livre dont j'avais entendu tant de bien. le sujet est pourtant essentiel et ce qui s'est passé entre 1940 et 1945 pour les juifs vivant en France ne doit jamais être oublié. Et puis la sincérité de l'auteur n'est jamais en cause, et l'histoire de famille est d'ailleurs tout à fait incroyable. Cela m'a fait penser par moments au célèbre film Un secret (et au roman de Philippe Grimbert dont il avait été tiré). J'ai vu que parmi les remerciements figure le nom de Laurent Joly l'un des plus grands spécialistes du sujet, directeur de recherche au CNRS. Sur le plan historique le livre est donc en béton armé.
Anne Berest a mené une enquête passionnante, elle connait le sujet à fond et ce qu'elle dit sur l'identité juive est tout à fait passionnant.
N'empêche que si j'ai apprécié la construction du livre, la sincérité d'Anne Berest, certains passages vraiment didactiques (sous forme notamment de questions réponses entre autre) sont vraiment trop appuyés à mon goût. Si l'aspect historique est vraiment riche (on apprend des choses quoi qu'on ait pu lire sur le sujet), en tant que roman j'ai été déçu je dois le reconnaitre.
Je recommande toutefois le livre pour l'intérêt de son sujet, notamment par les temps qui courent !
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