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EAN : 9782226475015
240 pages
Albin Michel (23/08/2023)
3.58/5   770 notes
Résumé :
« Il était alors impossible d'imaginer que trois jours plus tard, dans la nuit de jeudi à vendredi, Etienne tuerait sa femme. »

Etienne est correcteur dans l'édition. Avec sa femme Vive, délicieusement fantasque, ils forment depuis dix ans un couple solide et amoureux. Parisiens éclairés qui vont de vernissage en concert classique, ils sont l'un pour l'autre ce que chacun cherchait depuis longtemps.

Mais quelque chose va faire dérailler... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (174) Voir plus Ajouter une critique
3,58

sur 770 notes
Au début je suis allée au feeling, je trouvais la couverture du livre magnifique et intrigante,
Une histoire hors norme des personnages haut en couleurs mais j'ai eu du mal à rentrer dans l'univers littéraire de l'auteure, que je ne connaissais pas, Je me suis demandée si j 'abandonnais ou pas ce roman. Je n'aime pas trop rester sur un mauvais ressenti au commencement, j'ai choisi de continuer et j'ai eu bien raison, je me suis laissée embarquer dans cette histoire Nous connaissons dés le début le meurtrier et le compte a rebours et commencé, Étienne décide de tuer sa femme, Vive, nous passons aux choses sérieuses, Un couple qui parait normal au début, tout pour mener une heureuse A partir de là nous allons entrer dans l'intimité ,la routine de vie d'un couple,
Pour ViVe 10 ans de vie commune, au
et avec moult réflexion, elle décide de se libérer ,et partir,
Nous assistons a la chute vertigineuse, chute dans les méandres de la folie avec un point de noms retour pour Gabriel, entre sa femme et son métier, sa vie ne tient qu'à un fil, un cheveu,
La psychologie de Gabriel est travaillé en profondeur, cela fait peur, plus il avance, plus la folie le gagne, il devient totalement schizophrène, rien ni personne ne pourront l'aider, Pour lui un seule moyen tuer sa femme, sa devient une obsession, tout est programmer dans sa tête, ce cheveu qui le reliait dans la normalité se brise, Un questionnement notre vie ne tient qu'à un cheveu, la couverture relate le contenu du roman,
La plume de l'auteure est fluide, agréable, percutante, subtile, arrosée d'une point d'humour, malgré la noirceur du roman,
La lecture est glaçante, terrifiante . Nous ressentons impuissant face à ce drame, la réalité prend la place de la fiction. Nous laissant dans le questionnement
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Séduit par la superbe quatrième de couverture, je me suis plongé dans ce drame dont le dénouement est révélé dès la première page « trois jours plus tard, dans la nuit de jeudi à vendredi, Etienne tuerait sa femme ».

Pour quelle raison Etienne Lechevalier va-t-il envoyer ad patres Violette Jonquier, sa légitime épouse, que chacun prénomme Vive ?

En disséquant ces trois journées, en autopsiant les dits et les non dits du couple, en les insérant dans leur cadre social et professionnel, Claire Berest nous immerge parmi les Bobos qui hantent le Paris culturel et médiatique et adorent Greta Thunberg.

Elle est photographe, il est correcteur chez l'éditeur « L'instant fou ». C'est la quatrième enfant d'une famille provinciale aisée, il est fils unique d'une mère célibataire qui lui a légué, en décédant, un appartement et des biens. Ils y vivent, au milieu du quartier branché des Quinze-Vingt. Extravertie, elle boit, elle fume, elle aime « le pôle nord » ; introspectif, psychorigide, il ne boit pas, ne fume pas, ne drague pas, mais il dissèque les mots, les phrases et les expressions.

Leur vie sociale est d'autant plus active qu'ils n'ont pas de progéniture. Ils courent de cocktails en vernissages, et sont abonnés à un concert hebdomadaire de musique classique. En apparence, un couple sans histoire.

Mais Etienne classe sa bibliothèque par ordre alphabétique des titres des ouvrages !
Signe manifeste de folie … qui justifierait son internement immédiat en asile psychiatrique !
Voici la preuve qu'il est déséquilibré ; que le pire est à redouter !

Et le pire arrive, évidemment, dans l'indifférence des voisins qui se contentent de tapoter le plafond d'un coup de balai quand la folie ravage bruyamment et nuitament l'appartement du couple.

Ce roman m'a emporté. Moins « perché » que les textes de Hélène Gestern, il nous plonge dans la spirale de séparation décortiquée dans « Un vertige » et dans un microcosme parisien qui n'a rien de commun avec « Les pyromanes » et le fin fond de la normandie. Mais il est tout aussi passionnant.

Claire Berest jongle avec les mots et éblouit le lecteur avec un découpage de l'intrigue très cinématographique. Ses phrases, par leur articulation, créent une atmosphère parfois étouffante, voire irrespirable. Elle se singularise en innovant une mise en page déconcertante en passant à la ligne après une virgule. Dommage qu'Etienne Lechevalier n'ait pas relu ce manuscrit, je parie qu'il aurait collé un post it rouge à chaque bizarreté. Espérons que, après les délires de l'écriture inclusive, nous échappions à une épidémie d'écriture dégoulinante.

A cette petite réserve près, je recommande vivement cet ouvrage, que je range dans ma bibliothèque juste après « La carte Postale » de sa soeur Anne Berest … comme imposé par un classement par ordre alphabétique d'auteur.

PS : ma lecture de « La carte Postale »
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Out of control

L'épaisseur d'un cheveu. Ce n'est pas grand chose.
Ce n'est presque rien.
Presque.
Mais quand tout ne tient qu'à un fil, le presque devient tout. Celui qui fait basculer l'équilibre fragile d'un univers, d'une vie.
Trois jours plus tôt, rien ne laissait présager qu'Etienne tuerait Vive, sa pétulante et pétillante Violette.
Enfin presque.

Étienne est correcteur pour l'Instant Fou, une maison d'édition au nom prémonitoire. Il a un grand projet. Il va enfin cesser de paraître incolore et fade aux yeux des autres. Vive, son épouse, a elle aussi un projet artistique et surtout des envies d'indépendance.
Il faut dire qu'Etienne n'est pas toujours facile à vivre.
Psychorigide au quotidien, il impose sa routine. Ses concerts de musique classique le mardi. Ses voyages aux accents de pèlerinage en Italie chaque année.
Mais Vive veut vivre. Autrement. Vive veut s'épanouir.
Alors quand elle annonce à Étienne que ce mardi elle n'assistera pas au concert avec lui, la routine de ce couple ordinaire avec ses hauts et ses bas va progressivement se désintégrer pour laisser place à un véritable cauchemar..

Claire Berest, dans un style qui n'hésite pas à puiser dans les ressources du chaos, restitue ici de manière troublante l'indicible. La chute vertigineuse d'un homme dans la folie.
Nous assistons, spectateurs impuissants, au flux d'une marée ténébreuse qui n'en finit plus d'engloutir ce couple dans ses abîmes.
Chaque page tournée nous interroge sur les ravages provoqués par la perte de contrôle de cette part d'ombre qui se terre en chacun de nous et qui ne demande qu'à s'étendre jusqu'à profiter d'une faiblesse de l'infime.




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Depuis quelques années, les féminicides ont le vent en poupe chez les romanciers et c'est tant mieux si cela peut dénoncer des situations dramatiques. Les chiffres sont éloquents : 118 femmes tuées par leur compagnon ou leur ex en 2022. Alors, il peut sembler intéressant, par le truchement d'un roman, de suivre l'histoire d'un couple pour essayer de comprendre le passage à l'acte de l'homme.

Étienne Lechevallier, homme angoissé et obsessionnel, est marié à Vive, photographe à l'esprit bohème qui réfrène souvent ses envies pour ne pas déclencher de crise chez son mari. Elle le trouve psychorigide tandis que lui se sent incompris et la trouve ingrate et inconséquente. Même sa façon de s'exprimer lui déplait. Jusque dans son travail de correcteur, Étienne se croit missionné de la lourde tâche de veiller sur une littérature et une langue irréprochable au point de réécrire à sa façon les manuscrits qui lui sont confiés.
On sait, dès les premières pages, que l'histoire se terminera trois jours plus tard avec la mort de Vive tuée par son mari. Pas de suspense donc si ce n'est de savoir quand Étienne portera les 37 coups de couteaux sur sa femme.
Rien ne laisse deviner cette violence soudaine chez un homme qui n'est pas brutal, mais immature, un homme qui a peur de passer inaperçu ou de n'être pas suffisamment aimé. Il souffre aussi de synesthésie, il a donc des perceptions anormales qui se traduisent par des couleurs. Sa jalousie maladive provoque un malaise dans son couple ou sa femme tente de garder un équilibre précaire en faisant des concessions. Et puis, un jour, elle n'en peut plus de cette vie étouffante et étriquée.
Et dire que ce couple est ensemble depuis une dizaine d'année ! Difficile à croire avec la vision qu'Étienne a de sa femme dont il déteste pratiquement tout, à commencer par ses talents artistiques qu'il met en doute. le grand génie, c'est lui, et elle devrait l'aider plutôt que de s'intéresser aux autres qui sont sans intérêt à ses yeux. A part la musique de Mahler qu'il adore et qu'elle ne comprend pas.
Claire Berest se plait à nous déballer la personnalité toxique de son personnage principal, à le fouiller jusque dans ses moindres pensées. Ce qui nous le rend particulièrement antipathique.
On aimerait y croire mais il m'a été difficile d'entrer dans la vie de ce couple de bobos parisiens manifestement pas heureux. Je n'ai ressenti aucune complicité avec ces personnages fabriqués pour illustrer un thème. Certes, il s'agit d'un féminicide, ce qui est à prendre au sérieux, mais on s'ennuie ferme dans ce roman qui manque cruellement de tension narrative.
Quant au style, je l'ai trouvé affecté et sans envergure.
Roman aussi vite oublié que lu !

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Je pourrais…
… M'alarmer du lent pourrissement d'un microcosme littéraire qui recycle ses sauteries et ses états d'âme (encore un roman sur le milieu éditorial)…
… Déplorer l'énième version d'un couple parisien qui se désagrège, et regretter ainsi le manque d'imagination de l'auteure…
… Avouer que je n'ai pas cru à cette histoire (les lettrés sont lâches, ils passent rarement à l'acte ; ou alors c'est du plagiat de « Shining »), prétexte à de nombreux clichés et à de rares passages enthousiasmants (pages 87, 140, 158)…
… Citer ces références (ex : Cattelan, Mahler, himitsu, Shalimar, Arts Forains, Biolay…) qui marquent un territoire intello-socio-culturel plus qu'ils n'éclairent le lecteur…
- M'agacer de tous ces mots en majuscule pour nous expliquer que le ton MONTE…
… M'étonner du portrait de l'écrivaine en quatrième de couverture (ô vanité), comme si son minois suffisait à nous convaincre de son talent…
… Parler de posture plutôt que d'écriture…
… Mais l'essentiel n'est pas là.
L'essentiel, c'est que me suis ennuyée et que rien, selon moi, ne pourra justifer un intérêt excessif pour ce roman si ce n'est l'adoubement de ses pairs et l'indulgence coupable dont bénéficient les influents.
Bilan : 🔪
PS : ceci n'est pas un SP mais un prêt de ma libraire. Fidèle à mes principes, j'achèterai ce roman au moment de sa sortie officielle.
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critiques presse (4)
LeJournaldeQuebec
03 octobre 2023
Une lecture qui ne peut laisser absolument personne indifférent.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
OuestFrance
25 septembre 2023
Dans « L’épaisseur d’un cheveu », la romancière s’empare du féminicide, sujet d’actualité largement couvert depuis une dizaine d’années (seulement !), à sa façon.
Lire la critique sur le site : OuestFrance
LaLibreBelgique
15 septembre 2023
Claire Berest ausculte la rage montante d’un homme pris de folie destructrice.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
MadmoizellePresse
07 septembre 2023
On est happé par cette plongée sobre et tendue au cœur d’un esprit dans lequel le mal avance pas à pas jusqu’à ce que, soudainement, la haine emporte tout. Glaçant.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
Citations et extraits (72) Voir plus Ajouter une citation
Non, Vive proposait d’arrêter son cours de sport, avec des airs douloureux. Elle y allait bien les premières semaines, essaimant dans l’appartement un tapis de yoga, un justaucorps aux couleurs criardes, de mini-haltères de Barbie, une bouteille d’eau entamée. Et puis, elle sautait un cours, trois, dix. L’année était pliée. De quel sacrifice lui parlait-elle ?
Elle parlait aérobic. Étienne Lechevallier parlait de Richard Strauss. 
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Leur bibliothèque était imposante, elle mangeait une bonne partie des murs de leurs quarante-sept mètres carrés, Étienne avait toujours chiné beaucoup de livres d'occasion, doublés d'un fonds déjà imposant qu'il avait hérité de sa mère Dahlia en même temps que l'appartement, Vive y avait ajouté sa collection de livres d'art et de photographie.

Étienne avait alors développé la manie de classer sa bibliothèque par ordre alphabétique des titres des ouvrages. Vive soutenait que personne ne faisait cela, que ça n'avait aucun sens. Les ouvrages d'un même auteur se trouvaient dispersés aux quatre vents, les gens, les genres et les siècles se mélangeaient, pour elle un classement devait apporter de l'aide, de la clarté, une lecture d'ensemble.

Mais Etienne aimait cette lecture poétique où les Confessions de Rousseau se trouvaient accolées aux Confessions d'Augustin d'Hippone, où L'Œil le plus bleu de Toni Morrison rencontrait L'Œil qui écoute de Paul Claudel. Un réseau invraisemblable d'intertextualité jaillissait pour Étienne de ce méticuleux classement, sa bibliothèque ne ressemblerait jamais à aucune autre, elle était vivante comme un animal rebelle.

Comment veux-tu retrouver un bouquin là-dedans ? se plaignait Vive. Critique qu'il n'entendait pas, puisqu'elle n'avait qu'à chercher à la bonne lettre du titre. Mais où fais-tu commencer le titre ? Au premier nom, ou au déterminant ? renchérissait-elle. Au nom, à l'évidence, ou à l'adjectif, mais il y avait bien sûr des cas particuliers, c'était la beauté de son rangement vivant et organique. Et si je cherche un livre, mettons, de John Le Carré, dont je ne me souviens plus du titre, qu'est-ce que je fais ? demandait-elle. Tu n'as qu'à chercher au mot « Espion », il y a des chances pour que tu tombes dessus, lui répondait-il en riant ; car au début, tout cela, ça les faisait rire ensemble.
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Ils venaient tout juste de sortir du vernissage, qui s'était révélé une fournaise doublée d'une ruche, et ils s'évertuaient à trouver un bar où s'échouer pour décortiquer l'événement et manger une assiette, comme avait lancé Vincent, l'ami de Vive qui s était joint à eux ce soir-là, tout plein de sa gaieté mondaine. On ne se mangerait pas une petite assiette sur le pouce ?

Étienne avait eu envie de le moucher : II y a peu de chances que tu parviennes à manger une assiette, à l'inverse de son contenu. Mais il s'était abstenu, parce qu'il ne pensait pas que Vincent aurait ri à sa boutade. Vincent lui aurait peut-être répondu avec un rictus de bouche, pince et méditatif : Ben, Étienne, c'est comme boire un verre, non ?

Oui, c'était comme boire un verre, c'était une figure de style ; une métonymie, très exactement ; et Vincent n'aurait pas compris que l'agacement d'Ëtienne le poussait à faire une remarque qu'il espérait caustique, et qui peut-être ne l'était pas assez, en tout cas, dont son interlocuteur ne partageait pas la même communauté de signes.
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Souhaiteraient-ils un appareil de correction automatique pour le remplacer, une connectique sans états d'âme ni goût de l'excellence ? Ils pourraient tout aussi bien créer une machine qui scannerait les textes comme des codes-barres, l'algorithme lisserait le bazar pour le transformer en un insipide brouet de mots creux. Voire, concevoir directement un logiciel qui écrirait les textes ! Ça ne devrait pas être si ardu quand on voyait le niveau actuel !

On y était presque avec leur ChatGPT qui faisait trembler tout le monde. Comme s'il fallait craindre qu'une machine puisse être Kafka ou Céline ! Insensé ! Ha ha ha. Ça allait faire un grand tri. Et les journalistes de prononcer à l'anglaise Tchate Gi Pi Ti. Pour ne pas prononcer GPT ! Chatte j'ai pété !

Oui, ça pétait des textes bien foireux et on se bouchait le nez avec des airs de duchesse qui s'excuse à peine de l'odeur, et Katia Rollman de lui dire qu'il fallait cesser d'utiliser des post-it avec des codes couleur, que ce n'était pas l'usage. Mais il le savait parfaitement que ce n'était pas l'usage, Étienne l’améliorait, l'usage ! Il le transcendait !
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Étienne tenta de maîtriser la colère diffuse qu’il sentait percer en lui ce soir-là depuis le premier pied qu’il avait posé dans cette galerie d’exposition prétentieuse, il se concentra pour garder un flegme apparent, et finit par dire que bien sûr que si, il avait remarqué la nouvelle coiffure de sa femme, mais qu’il n’avait rien dit par galanterie, pour ne pas sous-entendre qu’elle était mieux qu’avant, parce que lui la trouvait belle tout le temps, enfin quelque chose de cet acabit. Vive fuit son regard, Vincent tenta d’alléger l’atmosphère, il sortit sa carte bleue et lança d’un ton très détendu C’est pour moi, je vous invite ! On se prend quand même un dernier verre ?
Étienne avait envie de le choper par le col et de lui hurler Arrête de nous inviter à chaque fois que l’on se voit, connard, je peux inviter ma femme, je n’ai pas besoin de ta charité ! Mais il prit sur lui, avalant l’humiliation que Vincent paye, sans protester. Il respira, força un sourire fade et articula Allez, un dernier alors, et se convainquit qu’il appréciait Vincent au fond. Il faisait partie intégrante de leur décor, comme un témoin rassurant de leur couple. Il était déjà là quand Étienne avait rencontré Vive presque dix ans auparavant.
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Cette vidéo ne sera accessible que durant la durée de la conférence.
Entretien animé par Arnaud Laporte, France Culture.
Animés par des producteurs et productrices de France Culture, les entretiens du cycle « En lisant, en écrivant » sont réalisés en public à la BnF, puis diffusés dans la grille d'été de France Culture et disponibles en podcast. Genèse des oeuvres, sources d'inspiration, aléas de la vie quotidienne d'un auteur ou d'une autrice, édition et réception des textes – autant de sujets que ces rencontres permettent d'aborder, au plus près de la création littéraire.
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