Mais lorsqu’on est sombre, on préfère par indifférence et par paresse rester écrasé sous le poids de sa mélancolie plutôt qu’à prendre un peu de peine.
Les mélancoliques, a-t-il [Samuel Johnson] dit, se réfugient volontiers dans l’intempérance. Elle apporte à l’âme un bref soulagement, mais pour l’enfoncer toujours plus avant dans la détresse.