Phnom Penh a le tragique à fleur de peau, juste sous la douceur. On y chemine sur les strates d’une histoire qui rougeoie encore des braises d’une guerre pas si lointaine. La découverte dans un vieux palace d’une « carte spéciale pour les journalistes de passage » conduit le narrateur à ce passé.
Sur la photo d’identité rayonne le visage d’Elizabeth, jeune Américaine des Seventies. Des décennies plus tard, devenue une figure majeure des médias outre-Atlanti...
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