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Codex Aléra tome 5 sur 6
EAN : 9791028105839
576 pages
Bragelonne (15/11/2017)
4.67/5   62 notes
Résumé :

Désormais reconnu comme le Princeps Gaius Octavien, héritier du trône, Tavi de Calderon est parvenu à conclure une alliance fragile avec les ennemis ancestraux d’Aléra, les farouches Canims. Mais lorsque Tavi et ses légions reconduisent les Canims jusqu’à leurs terres, le Princeps découvre que ses pires craintes sont devenues réalité.

Les redoutables Vordes – ennemis des deux peuples – ravagent depuis trois ans la patrie des Canims. Et lorsq... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
A l'image de la saga "Harry Potter", ici les lecteurs grandissent avec le héros : dans les tomes 1 et 2 nous découvrions l'univers du "Codex Alera", ses intrigues et ses complots opposant super-héros et super-vilains, à travers les yeux d'un héros adolescents orphelins sans pouvoir aucun, et les tomes 3 et 4 ce dernier montait en grade pour défendre une société libre, égale, fraternelle et multiculturelle dans un monde autoritaire, inégalitaire, intolérant et mono-culturel, qui entre isolationnisme et impérialisme faisait la part belle au racisme, au suprématisme, au sexisme et à l'esclavagisme (toute ressemblance avec les USA n'étant évidemment aucunement fortuite !). Et dans ce tome 5 commence dans le sang et les larmes la fin de l'âge des hommes !
Avec leurs games of thrones à la con les homines crevarices ont ouvert la Boîte de Pandore avant de dérouler le tapis rouge à la Bête Immonde... Mais n'est-il déjà trop tard pour monter une Grande Alliance contre les forces de l'Axe ? Car c'est tout naturellement que les crevards habituels entre dans le collaborationisme en proposent leurs bons et loyaux à l'envahisseur tout droit sorti de "Starship Troopers" (mais pas que ^^)

Le prologue envoie du bois avec un des super-héros se battant sur le Mur d'Hadrien contre les barbares inhumains venus du nord, et des une patrouille d'espions qui découvrent que les Vordes sont de retour et maîtrisent désormais la magie : les hommes viennent de perdre le meilleur et seul atout contre les hordes aliens... mais pour connaître le fin mot de l'affaire, il faut faudra 1 clic supplémentaire (mais êtes habitués désormais depuis le Jeudi Noir de Babelio ?)
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Encore un tome que j'ai dévoré dans cette série, c'était vraiment toujours aussi sympa !

Suite aux événements du tome précédent, Tavi raccompagne les Canins chez eux de l'autre coté de l'océan. Mais la situations sur place vraiment bien plus difficile que prévue et il va devoir prendre une décision qu'il n'aurait jamais imaginé.
Sur Alera pendant qu'il est parti tout aussi se dégrade, les humains vont devoir faire la paix avec les hommes de glaces et c'est Isana qu'ils envoient pour calmer les choses pendant que le premier duc essaye de contenir l'invasion Vorde en y mettant tout ses pouvoirs ...

Si vous avez lu les 4 tomes précédents vous connaissez la recette. Sinon sachez qu'on est ici sur une série de High fantasy très fun qui mélange vraiment bien aventure, politique, guerre, romance et magie, le tout saupoudré d'une touche d'humour bienvenue. le tout écrit (ou traduit ...) avec un style vraiment très fluide qui me permet à chaque fois de dévorer les 600 pages grand format en 2 jours.
La traduction française c'est faite en deux temps. Bragelonne avait traduit les 4 premiers jusqu'en 2012 et après ils ont arrêté. Mais heureusement ils ont décidé l'an dernier de reprendre et de terminer cette série, pour mon plus grand plaisir. C'est donc en 2017 qu'est sorti ce tome et le dernier est maintenant sorti également.

Je dois dire que ce tome est particulièrement bien réussi. Toutes les sous intrigues qu'il développe ont su m'intéresser et du coup je l'ai lu quasiment d'une traite, sans temps mort.

D'un coté donc nous continuons à voir l'interaction de Tavi et de la légion face aux Canins, leur relations sont toujours sur le fil même si ceux qui ont combattus en Alera leur font confiance.
Une fois sur place après un voyage mouvementé on met un peu de temps avant de découvrir une vision globale de la situation de l'autre coté de l'ocean. Et quelle découverte ! Impressionnant.
Ce que j'ai particulièrement apprécié c'est d'en découvrir plus que les Canins, notamment leur système de clans/familles et de castes. On en avait déjà eu un aperçu avant bien sur, mais uniquement du point de vue de la guerre pas des civils ce qui change pas mal de choses.

Un autre point qui concerne plus globalement l'ensemble du livre qui m'a vraiment intéressé a été de voir l'évolution des Vordes. C'était vraiment passionnant de les voir s'adapter à leur ennemi pour les combattre avec les meilleurs armes. Décidément cet ennemi ne cessera pas de me surprendre aussi. J'ai hâte de voir la confrontation finale dans le prochain tome, ça c'est sur.

Du coté de la politique interne on a aussi pas mal de changements, la situation évolue. On découvre le meilleur ami du père de Tavi, le père de Maximus. Ce qui nous permet d'éclairer finalement ce qu'il c'est vraiment passé au niveau politique à l'époque de la naissance des jeunes. Et j'ai trouvé ça très intelligent, parce qu'en fait on s'aperçoit que tout ce qu'on imaginait est peut être bien plus fluide que l'image qu'on en avait, notamment au niveau d'Aquitaine et de sa femme.

Au final un tome tout aussi fun et même plus intéressant pour moi que le précédent, j'ai vraiment été prise dedans et j'ai hâte de lire la suite.
Sur l'ensemble pour l'instant je ne dirais pas que cette série est un pur chef d'oeuvre, non, car elle reste hyper classique dans certains de ses thèmes (sauf pour les Vordes, bien sur), mais je prend tout de même à chaque fois un plaisir fou à lire chacun des tomes et je suis surprise de l'apprécier autant.

16.5/20
Lien : http://delivreenlivres.blogs..
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Salut les Babelionautes
J'ai préféré continuer ma lecture avant de donné mon avis sur le tome cinq de Codex Aléra et on peut dire que Jim Butcher n'y va pas de main morte avec ses personnages.
Malgré les mises en garde de Bertrand sur la dangerosité des Vordes, les Aléréens n'ont rien fait pour les éradiquer.
Et Maintenant il est trop tard, elles se sont développées dans ce qui fut le Duché de Kalare, fief du Duc Kalarus, détruit par une grande furie dans le tome quatre.
Au même moment, Tavi raccompagne les Canims sur leur continent, mais une terrible tragédie les attends qu'en ils débarquent.
Les Vordes sont la, et elles ont presque exterminés les différentes tribus Canimes.
Il va lui falloir toute son intelligence et sa ruse pour enrayer la progression des hordes de Vordes.
Il sera aidé en cela par Varg et son peuple survivant, ainsi que les esclaves qui se sont rebellés et les ont rejoint en créant la légion Alaréenne.
Mais cela ne suffira pas, alors Tavi va tout faire pour regagner Aléra en emmenant le plus de monde possible.
Pourtant un défi l'attend car ils n'ont pas suffisamment de bateaux pour envisager cet exode.
Tavi, bien sur, va avoir l'idée qui leur permettra peut être de réussir.
Au même moment en Aléria, Gaius Sextus affronte les hordes de Vortes engendrées par la Reine Vorte réveillé par Tavi et KÏtai.
Beaucoup d'action dans ce tome cinq, toujours traduit par Caroline Nicolas qui a traduit la Saga complète.
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Codex Alera est une série où chaque tome revêt une nouvelle surprise mais nous acheminant vers la fin de la série celles-ci sont tout de même plus prévisibles. Ainsi ce cinquième tome forme en soi un diptyque avec le sixième et dernier, qui sortira probablement en poche l'an prochain, un diptyque sur la dernière phase de l'ascension de Tavi ou Octavien comme on va devoir s'habituer à l'appeler. Reconnu désormais comme héritier de l'Empire, il va devoir se montrer à la hauteur.

Au fil des tomes, j'ai eu l'impression que la saga offrait de plus en plus de fantasy à ses lecteurs avec désormais bien plus de magie et de créatures qu'au début, même si la politique et les manoeuvre politique qui font le sel de la série avec les missions des membres de la famille de Tavi ne sont pas oubliées.

Ainsi, cet opus est un tome où nous allons à la rencontre de l'ennemi ultime, un ennemi terrifiant : les Vordes et leurs terribles reines. Dans un tome 100% action, on découvre ce nouvel ennemi qui est au centre de toutes les intrigues. On apprendre à le connaitre, on cherche à comprendre comment il fonctionne, etc. Et c'est très intéressant car contrairement aux autres fois, ce n'est pas un ennemi humain mais des créatures qui fonctionnent différemment, comme des abeilles en fait, et cela change vraiment tout en apportant une petite touche originale bienvenue.

Pour autant, l'auteur recycle la même recette qu'habituellement dans le fond. Il offre une intrigue à multiples pan où l'on suit d'un côté Tavi de l'autre côté de l'océan avec Max et Kitai, sur le territoire des Canims ; et de l'autre Bernard, Amara, Isana, Araris, Gaius à Aléra face aux Vordes qui attaquent. Chaque groupe est à la recherche de solution pour lutter contre cette nouvelle menace ravageuse. Tavi est plutôt, à l'origine, sur une mission diplomatique mais qui va évoluer et aller bien au-delà, de même pour Isana qui va tenter de convaincre le père de Max de rejoindre le front de Gaius. Bernard et Amara, eux, sont plutôt sur une mission d'infiltration même si eux aussi vont bien dévier ensuite et vivre bien d'autres aventures, parfois terribles.

On retrouve ainsi dans ce volume le même sens du rythme, les mêmes intrigues multiples et complexes qui ont tendance à évoluer bien loin de leur chemin initial, les mêmes personnages hommes comme femmes charismatiques, que d'habitude chez Jim Butcher. C'est une recette bien connue qu'il décline à l'infini. Je regrette cependant cette fois, que la fin approchant, il n'y ait pas vraiment de nouveau développement du côté des personnages. le seul fait notable est la découverte du père de Max, un homme fort intéressant qui permet d'approfondir les relations de cette génération d'homme, celle de Septimus, le père de Tavi, avec Gaius. J'aurais tout de même aimé que ce ne soit pas le seul car les autres sont assez statiques, l'auteur ayant sûrement déjà atteint ce qu'il souhaitait proposer pour eux.

Cependant cette lecture fut à nouveau passionnante de bout en bout, une fois le tome commencé, il est dur de le lâcher, mais frustrante car lorsqu'on termine, le combat contre les Vordes est loin d'être fini, lui. Nous ne sommes encore que dans une phase d'approche où les ennemis apprennent à se connaitre. Tout reste à faire et il reste encore plein de mystères non résolu. C'est donc un final très frustrant surtout quand on ne connait pas la date de sortie du prochain tome. A quand la suite et fin ?
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Peut-être est-ce seulement moi mais j'ai eu l'impression que le rythme dans ce pénultième opus, était plus lent, et de même dans le dernier.

L'action s'étire un peu, la situation semble s'embourber.

Mais ceci mis à part, on garde l'humour des précédents et une intrigue qui tient la route même si comme pour les autres un peu trop... idéaliste?

Non que je ne veille reprocher la bonne volonté d'ouvrir les yeux sur l'inutilité de la guerre et la force de l'union. Juste que les choses sont un peu trop... faciles de la manière dont les présentes l'auteur.

Dans ses défaut comme dans ses qualités ce livre suis la lignée des précédents, avec un chouilla de longueur en plus mais c'est tout, t je pense que ceux ayant aimé les premiers prendront plaisir à cette lecture.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Tout finit toujours pas passer.
Notre existence est bien moins importante que nous l'imaginons. Tout ce que nous sommes, tout ce qui nous accomplissons... Tout cela n'est qu'une ombre, si indestructible qu'elle puisse paraître. Un jour, lorsque le dernier homme aura rendu son dernier souffle, le soleil brillera, les montagnes s'élèveront, la pluie tombera, les ruisseaux murmureront... et l'homme ne leur marquera pas.
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- Attis Aquitaine haïssait Gaius. Il haïssait la corruption et l'ambition de ses semblables.
- Et il est devenu ce qu'il détestait le plus. C'est arrivé à bien d'autres avant lui, j'imagine.
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N'importe quel homme doté d'une once de bon sens recherche trois choses chez la personne qu'il s'apprête à suivre. La volonté, l'intelligence, et le cœur.
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La seule chose qui sépare un médicament d'un poison, c'est sa posologie.
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Quelqu'un qui se bat en pensant qu'il va perdre a déjà perdu.
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