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Codex Aléra tome 2 sur 6

Caroline Nicolas (Traducteur)
EAN : 9782352944133
576 pages
Bragelonne (16/07/2010)
4.51/5   130 notes
Résumé :
Depuis des siècles, les habitants d'Aléra s'aident des furies - les forces élémentaires de la terre, de l'air, du feu, de l'eau, du bois et du métal - pour protéger leur monde des agressions. Mais nulle furie ne peut les sauver des dangers qui les menacent de l'intérieur. Une mystérieuse attaque venue de par-delà l'océan a affaibli le Premier Duc. S'il perd le trône, une sanglante guerre civile sera inévitable. La responsabilité de parer les tentatives d'assassinat ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Une fois n'est pas coutume, j'ai l'impression d'avoir lu un autre livre que celui chroniqué par certains fantaisix.
La comparaison avec David Eddings ? Oui mais non : l'auteur apporte sa touche perso à l'héritage eddingsien et cette sensation s'estompe assez rapidement dans ce 2e tome. C'est dommage qu'on ne la fasse pas pour Brandon Sanderson qui pioche beaucoup plus chez l'auteur que Jim Butcher et pas qu'un peu !
La comparaison avec J.K. Rowlings et Trudi Cavanan ? Non, non et non ! L'Academ ressemble 10 fois plus au manoir de Charles Xavier qu'au Château de Poudlard ! Là aussi c'est dommage qu'on ne la fasse pas pour Patrick Rothfuss qui pioche beaucoup plus chez les auteures que Jim Butcher et pas qu'un peu.
Quand aux comparaisons avec le "Cycle de Xanth" de Piers Anthony, WTF !? Non, non et non ! Jim Butcher puise son inspiration dans l'univers des comics comme David Farland, Brandon Sanderson, Brent Weeks et co… Il faut être aveugle pour ne pas le voir. A partir d'autant de méprise, c'est toute la critique de elbakin.net / ten.nikable qui se révèle totalement à côté de la plaque !


Après une mise en place moyenne mais assez courte, la structure en POVs est optimisée au maximum : c'est très rempli et très rythmé ! On ne s'ennuie pas une seconde et les pages défilent très vite. Nous sommes en face d'un page-turner avec beaucoup d'action, un peu d'humour, un peu de romance, des tragédies… Bref de l'animation et du souffle !
D'un côté Bernard, Amara, Doroga (sans oublier ce valeureux Marcheur) et leurs compagnons combattent les Arachnides de Robert Heinlein. D'un autre côté Tavi, Maximus, le Chat Noir et leurs compagnons combattent les marionnettes humaines de Robert Heinlein. Isana et Seraï sont censées faire le lien entre ces 2 arcs narratifs en voyageant de Calderon à la capitale Aléra. C'est presque une reprise du duo good girl (Isana) / bad girl (Odiana) du tome 1 que j'avais trouvé très faux. Mais on si concentre beaucoup sur elles au début, elles sont laissés de côté par la suite (et pour cause car spoilers, mais aussi pour ménager plus de tension et de suspens dans la dernière ligne droite).

De grosses ficelles quand même certes : fusils de Tchekov, twists, whodunits… Quelques répétitions aussi parfois. On sent quand même l'influence des ateliers d'écriture américains. Mais comme Jim Butcher se montre très généreux avec ses lecteurs, cela passe plutôt bien. Worldbuilding et magicbuilding ont été conçus pour appliquer la théorie du vachement bien théorisé par Steven Brust (les personnages doit faire évoluer l'univers et vice-versa), et les personnages inspirés des héros DC / Marvel Comics sont tous plus cools les uns que les autres.

Ainsi l'ombre de David Farland, qui a renouvelé le courant fantasy néoclassique en 1998 avec "Le Seigneur des runes", plane sur tout le cycle (d'ailleurs ce dernier donnait des cours d'écriture SFFF avec un certain Brandon Sanderson comme assistant, mais ceci est une autre histoire). Ainsi les éléments qui font pièces rapportés, incohérents voire WTF dans un tome trouve naturellement toute leur place dans les romans suivants, preuve que tout est savamment construit et pas improvisé au fur et à mesure (pour être charitable, je ne citerai pas de nom). Ainsi j'ai grave surkiffé l'intervention, même traitée partiellement hors-champ, de Dame Aquitaine : une super-héroïne, une vraie, qui a elle seule représente toutes les influences comics ultracools du cycle. Mais est-elle plus Mystique ou plus Malicia / Rogue ? L'avenir nous le dira !

Et puis ce roman n'est pas qu'un simple actionner fantasy :
– on sent poindre les conflits de loyauté et les dilemmes moraux qui font avec
– Doroga et Varg l'ambassadeur canim montrent qu'on va plus loin que les clichés du bon sauvage et du barbare sanguinaire
– de la même manière on peut s'interroger sur la menace Vorde (Borg ?) qui fait preuve d'une redoutable intelligence
– on sent que la civilisation d'Aléra bâtie sur la magie et l'esclavage, arque boutée sur ses castes aristocratiques héréditaires et à l'ascenseur social plus qu'en panne développe un subtext social corrosif !
– de la même manière avec le débat travail collectif / magie individuelle on sent non seulement que Jim Butcher a potassé son sujet mais aussi qu'il a presque envie de remettre en cause « le mode de vie non négociable des Américains » (George Walker Bush copyright)
Tavi explique qu'avec de la solidarité on peut tout réaliser, et son professeur lui rétorque que cela ne sert à rien puisque qu'avec la magie on peut tout faire tout seul et sans effort : vous n'avez plus qu'à remplacer magie par pognon et tout devient clair donc alarmant en face au reagano-thathéro-macronisme triomphant…
– et ne parlons pas de l'opposition entre la Ligue Dianique et le consortium esclavagiste au sujet de la condition féminine…



Conçu par un populares pour les populares, le public populaire devrait se montrer très satisfait quant à ce cycle. J'envie tous ceux qui vont démarrer leur parcours Fantasy avec ce cycle tellement plaisant.

PS : Quel naze ce Duc de Riva ! Par 2 fois il a été incapable de lever le petit doigt contre l'invasion de ses terres…
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Un petit mois à peine après ma découverte de la série, me voilà déjà à lire la suite, ce qui est plutôt bon signe quand on me connait. L'univers de Codex Alera m'a vraiment accrochée et intriguée et j'étais impatiente de voir comment il allait se développer.

Dans ce deuxième opus, l'auteur reprend les mêmes ingrédients que dans le premier mais en allant plus loin cette fois. On se retrouve donc une nouvelle fois avec une intrigue multi-facette dont on suit les fils à travers plusieurs points de vue à tour de rôle, le tout dans un univers antique de plus en plus développé où la politique s'invite en force et où de mystérieuses créatures viennent semer la pagaille.

Deux ans ont passé depuis les dernières aventures de Tavi, il vit désormais à la capitale auprès du Premier Duc, en assistant aux cours de l'école formant l'élite du royaume, afin de devenir à son tour Curseur pour servir le pouvoir. Sauf que la vie à l'Académie n'est pas facile quand on n'a pas de pouvoir et quand on a la réputation d'être le chouchou du Premier Duc sans être issu d'une famille puissante en vue. Tavi doit donc naviguer entre les brimades de certains de ses camarades et les missions secrètes qu'on lui confie. C'est une dynamique classique mais qui ici fut très riche en événements et ont permis une nouvelle fois au héros de bien grandir. Je l'ai ainsi trouvé un peu moins empoté et surtout avec un rôle plus central et actif que la dernière fois. Il se démène vraiment, réfléchit, cherche des solutions, se trouve des alliés. C'est une bonne évolution pour lui.

A ses côtés, nous découvrons une partie de la vie à la capitale. le Premier Duc qu'on pourrait croire intouchable est en fait menacé de toutes parts et il doit résister à maints complots. Sauf que lorsqu'un certain incident se produit, il se retrouve très affaibli, cela trahi alors de toutes parts et certains puissants qu'on croyait être des ennemis ne le sont peut-être pas tant que ça face à la menace imminente venant d'autres parts. J'ai beaucoup aimé ces jeux de dupes auxquels on a assisté, dans lesquels Tavi et sa tante sont impliqués malgré eux. C'est très bien mené, tortueux juste ce qu'il faut. L'interrogation qui se pose sur les fidélités des uns et des autres est bien pensé, de même que celle sur la tenue de l'Empire. C'était passionnant à suivre.

De plus, cela a permis l'introduction plus en profondeur de nombres de personnages. J'ai beaucoup aimé découvrir l'entourage du Premier Duc dans un premier temps, avec Killian (?) et surtout Miles, deux hommes prêts à tout pour lui et pour l'Empire. J'ai été surprise par les révélations sur les personnalités de la Duchesse et du Duc d'Aquitaine, surtout cette première, qui se révèle bien plus forte et complexe que je l'avais imaginée. L'auteur met en avant de très beaux caractères chez les femmes, alors que je craignais un peu cela après la façon dont Isana avait été maltraitée dans le tome 1. Ici, tout revient à la normale et chaque personnage féminin est intéressant. Isana gagne en force en servant de lien entre l'Exploitation et le pouvoir à la Capitale, c'est elle qui se frotte à la politique à la place de son frère. Et surtout, nous retrouvons Kitaï, la petite marate, amie de Tavi, qui le rejoint à la Capitale pour l'observer. Elle va former un duo de choc avec lui et va aider à le faire se dégourdir un peu. J'adore sa vitalité et les révélations sur sa destinée m'ont surprise dans le bon sens. C'était original. C'est un beau personnage en devenir.

Du côté de l'action, contrairement au tome 1, je n'ai pas trouvé celle-ci en dents de scie, mais plutôt en perpétuelle montée. En effet, comme se mélangent deux à trois intrigues aussi bien à la ville qu'à la campagne, ça laisse très peu de temps morts. A la campagne, une nouvelle menace apparait, les Voltes, que Doroga, le chef marat, vient rapporter à Bernard et Amara. Cette menace va perturber aussi bien ces derniers que nos héros présents à Aléra. Il va donc y avoir de la tension et des combats des deux côtés. L'ensemble est très bien amené puisque la menace va croissante, de quelque chose d'un peu éthéré car mystique et inconnu, à quelque chose de très très réel qu'il va falloir combattre en force. Les combats sont bien orchestrés et mieux mis en scène que la dernière fois. Ils sont plus longs et détaillés, et il n'y a pas eu d'incongruités cette fois. Au contraire, tout s'enchaine très naturellement, l'auteur utilisant avec astuce les personnages et éléments qu'il a mis en place depuis le début. C'est très prenant.

La mythologie de la saga est peut-être le seul élément qui reste un peu sur le carreau ici. Après avoir introduit tant de choses dans le tome 1, le rythme se calme ici. Il y a juste cette nouvelle menace que l'on découvre avec quelques bribes sur les origines du peuple Marat et quelques nouveaux indices sur l'identité de Tavi qui ne surprendront personne. Mais le propos n'était pas là cette fois, ce que l'auteur voulait montrer c'était un savant mélange entre menace mystique et menace très réelle à cause des complots politiques des uns et des autres pour renverser le Premier Duc et ça c'est parfaitement réussi.

Ainsi, c'est pour moi avec ce deuxième tome que l'histoire démarre véritablement. L'auteur y met plus de puissance. Il y développe mieux ses personnages et cède moins à la facilité. Cela permet de voir naitre un héros plus charismatique que je ne l'aurais cru au début et surtout très bien entouré. L'ajout en force d'une dimension politique plus qu'incertaine au milieu d'un monde en proie aux menaces magiques m'a vraiment séduite. Maintenant, direction le tome 3 !
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J'ai vraiment été très agréablement surprise de la fluidité du texte et de la vitesse à laquelle j'ai lu ce livre. J'ai vraiment passé un bon moment. Même si il y a pas mal de thèmes très classiques, il y a quand même certains assez originaux au milieu.

Tavi est maintenant élève à l'académie du Capitol. En plus de ses études classiques il est aussi le page du Premier Duc et il suis l'entrainement pour devenir curseur, qui sont les agents du premier duc dans le royaume.

Pour reposer les bases de l'univers : Tavi est un des rares humains qui naissent sans pouvoir jamais communiquer et capturer les Furies, qui sont des esprits élémentaires qui servent pour tout dans le vie du monde. Il est donc totalement exclu dans la société. Mais ce fait le rend utile au premier duc car il développe d'autres talents que personne n'attends de lui comme l'ingéniosité, le vrai talent à se battre sans se reposer sur ses furies ...
La tante de Tavi a été nommée Exploitante suite aux événements du premier tome et ce fait gêne une partie de la scène politique du Capitol car jamais femme n'a reçu un tel honneur avant.

Du coté politique c'est aussi assez complexe car tout le monde sait que le Premier Duc vieillit et qu'il perd de sa puissance au fur et à mesure. Les complots et les machinations pour mettre une personne plus jeune à son poste sont nombreuses. D'ailleurs une partie de ce qui c'est passé dans le premier tome en était la case et on en voit ici les conséquences directes.

Le pays est très instable car il est assaillit de toute parts et le Premier Duc a peur qu'une guerre civile en plus d'une invasion se déclenche à sa mort. D'énormes tempêtes pas du tout naturelles ravagent les cotes et le Premier Duc s'épuise à les arrêter une après l'autre à l'aide de ses furies. Les adversaires de toujours, les Canims et les hommes de glace se pressent aux frontières et en plus de ça intérieurement le Consorsium des Esclavagistes est aussi limite en révolte.

Le mode de fonctionnement du monde est basé sur le coté Rome antique, on a des noms à consonance latine (Gaius, Maximus ...), des légions, une assemblée, un Capitol ...
Le système des furies reste encore plus ou moins un mystère dans ce tome même si on voit bien plus d'utilisations variées grâce aux personnages secondaire.
Il reste un mystère surtout parce que le héros principal ne peux pas en avoir du coup on n'a pas tout ce coté apprentissage et explication des phénomènes qui permettent leur utilisation.

Je dois avouer que quand j'ai repris ce tome je n'avais que de très vagues souvenirs du premier, et même si maintenant je m'en souviens bien mieux, il y a encore pas mal de points qui restent très vague dans mon esprit. On retrouve néanmoins un grand nombre de personnages qu'on avait déjà aperçu avant. Notamment Kitaï qui revient en force et dont on découvre le secret. Mais tous les autres sont vraiment très sympathique à suite et à découvrir. Ils m'ont fait passer un excellent moment.

Le coté original du tome vient d'un point que je ne peux même pas vraiment vous expliquer vu qu'il se dévoile au delà de la première moitié du livre. Mais j'avoue que c'était bien trouvé, original pour de la fantasy et assez effrayant comme ennemi !

Ce qui m'a le plus marqué dans ce tome était le rythme de ce livre. On n'est pas vraiment dans de l'action mais pourtant il se passe un millier de choses en même temps. Pas de temps mort, pas de lenteurs. le style est vraiment très fluide et du coup le livre se lit à toute vitesse malgré son nombre de pages important.

Au final je dirais que ce livre a été une excellente lecture. Je ne regrette pas du tout d'avoir repris cette série, qui malgré son coté très classique arrive quand même a avoir quelques originalités. Je lirais la suite très rapidement et je suis ravie que Bragelonne ai continué la traduction.

17/20

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Que du bonheur de repartir dans cette saga ! Il faut être prêts parce que ce n'est pas un tome 2 plan-plan où il ne se passe pas grand-chose, non, non accrocher vous bien et surtout, il ne faut pas perdre le fil !

On retrouve donc nos personnages du tome 1 avec ou sans leur furie, mais surtout avec beaucoup de choses à gérer. La fin du bouquin de toute façon, c'est baston de tous les côtés et stress à savoir qui va rester en vie ou pas. le début et le milieu du bouquin, c'est simple, c'est action, cela court partout, il faut gérer les secrets, les découvertes, la cour, le roi et j'en passe alors non, vous ne pouvez absolument pas vous ennuyer dans ce second tome ! Impossible !

Si l'on détaille un petit peu, mais pas trop non plus, on a Travi qui est parti étudier auprès du Duc, afin de devenir comme Amara qu'il avait rencontré lors du premier tome. Bien sûr, tout n'est pas sans complications pour lui et il va très vite se retrouver dans une situation plus que compliquer a géré. Certaines choses se relèvent sur notre personnage dévoilé comme avec une tare au début du premier tome... ça devient très intéressant.

Bernard et Doroga se retrouvent à faire la chasse à des créatures plus qu'étranges qui font bien flipper, Amara sera de la partie et les combats seront très compliqués ! On ne sera pas trop grand-chose sur ces créatures et je pense que l'on en sera plus dans les tomes suivants.

Ilana, quant à elle, part pour la capitale pour retrouver Travi et trouver de l'aide à fournir pour Bernard, sauf que cela ne va pas être si simple et la pauvre, va être embarquée dans les histoires de Cour pas possible!

Voici, les 3 grands fronts que l'auteur nous dévoile dans ce tome, à côté de cela les relations entre les personnages évoluent, alors si l'on parle de Travi bien sûr Kitaï, n'est pas loin. Et l'auteur nous a concocté un truc que j'ai adoré, ce n'est pas la petite relation amoureuse non, non, c'est bien plus profond ! Bernard et Amara quant à eux, c'est tout mignon tout plein, en pleine bataille, le petit souffle pendant l'action, je kiff! On parle juste une seconde d'Ombre parce que bon lui, il est juste génial et une partie de mes fous rires n'existerait pas s'il n'était pas là. Lui et Travi se complètent, je les adore.

Bref, je vais arrêter là, je pense que vous l'avez compris, j'ai adoré ce second tome et il me tarde de lire la suite qui promet beaucoup de choses et je pense qu'il tiendra ses promesses. Un second tome encore plus génial que le premier, on en sort le souffle couper tellement l'histoire est haletante et prenante. Vous comprenez le coup de coeur quoi !
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Le premier tome fut vraiment une bonne surprise. Ce second est encore meilleur.
On retrouve les mêmes personnages, deux ans plus tard.
Loin de sa campagne natale, Tavi suit désormais sa formation de Curseur à Alera, la capitale. Et, bien entendu, il met au jour un complot visant le Premier Duc. le personnage a bien évolué. Toujours aussi intelligent et dépourvu de magie, il est sans conteste mon personnage préféré.
On retrouve également Amara et Bernard qui enquêtent sur une nouvelle menace : les Vordes.
Ces dernières sont vraiment inquiétantes et on sent qu'elles risquent de persécuter nos héros encore quelques tomes. Je les ai vraiment adorées.
Au niveau de l'univers, celui-ci s'affine avec l'arrivée des Vordes mentionnées plus haut mais aussi avec une nouvelle race : les Canims. le worldbuilding devient vraiment intéressant.
Pour le dire simplement, j'ai vraiment adoré ma lecture. Cette saga est vraiment une superbe découverte. Si les tomes suivants sont aussi bons... et ben ça promet !
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Si le début de la sagesse réside dans la prise de conscience qu’on ne sait rien, alors le début de la compréhension réside dans la prise de conscience que toute chose existe en accord avec une vérité toute simple : les grandes choses sont faites de petites choses.
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Les ambitions sont incompatibles avec la conscience, vous savez. Elles s’étranglent mutuellement dès qu’elles sont en contact et laissent une pagaille indescriptible derrière elles.
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- Je déteste ce que vous représentez.
- C’est-à-dire ?
- Le pouvoir sans conviction. L’ambition sans conscience. Des gens honnêtes souffrent aux mains de vos semblables.
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Les gouttes d’encre forment des lettres, les lettres des mots, les mots des phrases, et les phrases se combinent pour exprimer la pensée. Il en va de même pour les plantes, qui se développent à partir d’une graine, ou pour les murs, qui sont construits par l’assemblage de pierres nombreuses. Il en va de même pour l’humanité, car les coutumes et les traditions de nos ancêtres fusionnent pour former les fondations de nos propres villes, de notre propre histoire, de notre propre mode de vie.
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Le temps presse.
- Quand l’avez-vous jamais vu ralentir ?
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