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3,87

sur 2935 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
recueil agréables aux nuances variées tout en gardant cette poésie mélancolique propre a dino
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De magnifiques nouvelles, un peu inégales, mais dans l'ensemble on passe un bon moment.
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En Français, la nouvelle s'intitule "Le K", alors que l'original italien est : "Il colombre". Animal mythique.
C'est le récit du jeune Stefano Roi, fils de marin qui, pour son anniversaire , demande à embarquer. Son père y consent.
Mais peu après, à bord, le jeune homme voit le colombre, animal marin qui choisit ses victimes parmi les marins (désolée pour la répétition) en les poursuivant jusqu'à leur mort.
Le monstre n'est visible que par sa victime.
Le père ne pouvant le voir croit son fils malade et le rend à la vie sur terre.
Plus tard, Stefano embarquera à nouveau , parcourra les mers , et attendra la rencontre toute sa vie.

Ce conte est un des plus célèbres et plus significatifs de Buzzati, une "fable moderne", dont le ton dramatique et la fin douloureuse, veut servir d'exemple à celui qui ruine sa vie en rejetant la peur de ses parents.
Il faut affronter son destin au lieu de le refuser.

Les contes de cet auteur laissent une empreinte durable dans la mémoire.
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Il s'agit d'un recueil de nouvelles toutes plus étonnantes les unes que les autres. J'ai été transportée par ces tableaux de société nimbés d'une aura fantastique, par ces faits historiques rehaussés de fiction, par ces fictions pavées de réalité.
Lu pour la première fois il y a une dizaine d'années, ce livre fait partie de ceux que l'on relit en y trouvant de nouvelles choses à chaque lecture.
On y est tour à tour surpris, repu, horrifié, touché, attristé, interrogé, et tant encore...
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J'ai eu la chance d'étudier cette oeuvre de ce grand novelliste italien qu'est Buzzati dans mon cursus de lettres. Une lecture qui ne m'excitait pas à première vue, puisque je ne suis pas une adepte des nouvelles. Mais Dino Buzzati a su m'ensorceler et m'emmener dans son monde, un monde disjoint entre réalité et fantastique.

Beaucoup de ses nouvelles abordent le thème de notre société individualiste et de la possible rencontre que l'on peut faire de l'autre via le langage et les mots.

Le style d'écriture de l'auteur est personnel, et très travaillé. En effet, il joue avec les genres littéraires et mélange réalisme des descriptions et fantastiques des scènes narrées. Un mélange hétéroclite, qui met le lecteur au pied du mur, ne sachant trop où se placer et que croire.

Sa première nouvelle, qui a donnée son titre à l'ouvrage, le K, est sans doute l'une de mes préférées. Elle raconte l'histoire d'une bête mystérieuse, qui choisie sa proie et la suit jusqu'à la fin de sa vie. Une nouvelle énigmatique et effrayante, qui se dénoue d'une façon étonnante.

Quant au Veston ensorcelé, l'image que veut faire ressortir Buzzati est limpide. Ce jeune homme, doté d'un manteau magique qui lui octroie des pièces d'or à chaque fois qu'il plonge la main dans ses poches, fait clairement penser au système capitaliste de notre société.

La Tour Eiffel est également l'une de mes nouvelles préférées de Buzzati. En s'appuyant sur un fait historique (la construction de la Tour Eiffel et ses 300 mètres de hauteur), il amplifie sa réalité et décide d'ajouter une touche de magie dans son récit. La Tour Eiffel continuera à grimper à l'infini, jusqu'aux nuages. Hélas, la médiocrité de la condition humaine, armé jusqu'aux dents, fait revenir les hommes du ciel sur terre. La réalité rattrape très rapidement la fiction.

Dans la nouvelle intitulée Jeune fille qui tombe… tombe, l'auteur nous met face à la futilité de la vie et nous renvoie en pleine tête notre mortalité. La jeune fille dégringole les étages de son immeuble et se retrouve vieille dame lorsqu'elle arrive tout en bas. Il y a de quoi frisonner.

Les bosses dans le jardin est également une nouvelle qui fait réfléchir à la mortalité de l'être humain, mais aussi à sa pérennité. Que restera-t-il de chacun une fois mort ? Une question que tout le monde s'est déjà posé une fois dans sa vie, mais qui malheureusement, ne peut trouver de réponse positive.

Je n'ai cité là que quelques-unes de mes nouvelles préférées. le recueil en contient bien trop pour que je les aborde toutes l'une après l'autre. Néanmoins, un socle commun unie chaque nouvelle. En effet toutes font prendre conscience au lecteur de certaines choses qui régissent sa condition humaine. La futilité de la vie, sa mortalité, son rapport au monde et aux autres. Il nous inflige des leçons de morales bien dosées, qui agissent simplement et indirectement, via le fantastique. Grâce à ce subtil détournement fantastique, le lecteur revient plus brutalement au réel pour prendre conscience de sa nature et de l'image de la société.

Buzzati a un talent démentiel. A travers des nouvelles fantastiques simples de compréhension, il y cache de nombreuses interprétations possibles. C'est riche, profond, majestueusement écrit. Amusez-vous à replacer des éléments concrets sur toutes ces narrations si magiques. Réflexions et questionnements assurés (et bon moment de lecture, aussi) !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Relecture d'un livre qui vous a marqué. Oui mais cela fait presque 20 ans que je l'ai lu, alors pourquoi il m'avait marqué, c'était somme toute très nébuleux. Et ça l'est toujours. Ça me plait oui, mais pourquoi, je ne sais trop. Peut-être ce surréalisme que j'ai mieux découvert et compris plus tard. J'étais passée à côté de choses diverses, et j'ai probablement fait de même cette fois-ci. Il y a du très bon, et du moins captivant. Je découvre avec effroi que Buzzati n'a quasiment rien écrit, et que je vais vite être à court, mais dans l'ensemble ce qui était mon préféré de l'enfance ne l'est plus aujourd'hui. C'est le cynisme qui m'a fait craquer finalement, avec cette spéciale grinçante de la "jeune fille qui tombe...tombe". Je suis étonnée de constater que si les quatrièmes de couv qui me font de l'oeil de sont pas françaises ou anglo-saxonnes, elles ont tendance à être italiennes et cela me donne beaucoup de nouvelles perspectives à explorer. Merci Dino et compères!
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Résumé des nouvelles :
Le K
Un marin fuit toute sa vie un monstre marin, le K, qui le poursuit sur toutes les mers du monde. La nouvelle est aussi appelée par Buzzati le désert des Tartares en pilule.

La création
Dieu créé le monde ; ses anges lui proposent des milliers de solutions, animaux, végétaux, corpuscules. L'un d'entre eux lui propose l'homme.

La leçon de 1980
Dieu pour punir les hommes décide de faire disparaître le plus puissant des hommes, puis une semaine plus tard le plus puissant restant, puis une semaine plus tard, à nouveau le plus puissant restant jusqu'à ce que tous les puissants se battent pour se défaire de leurs pouvoirs de peur de mourir et ce tout du long de l'échelle hiérarchique.

Général inconnu
Sur un chantier les ouvriers découvrent le cadavre d'un général recouvert de toutes ses décorations et de tous ses ors.

Le défunt par erreur
Un artiste célèbre découvre l'annonce de sa mort dans les journaux. Furieux il veut faire rétablir la vérité mais personne ne le croit et le prend pour un frère jumeaux.

L'humilité
Régulièrement un vieux moine reçoit la visite d'un religieux qui vient se confesser parce qu'il se trouve trop orgueilleux.

Et si ?
Un homme, le plus puissant du monde aperçoit au cours d'une promenade une très jolie jeune fille qui fait pour la première fois de sa vie, vibrer son coeur. Quand il veut la retrouver, il ne le peut pas malgré tous ses moyens.

A Monsieur le Directeur
Un célèbre écrivain se confesse auprès du directeur du journal qui le publie pour lui avouer qu'il n'est pas l'auteur de ses livres mais un inconnu qui le fait chanter.

L'arme secrète
Chacun de leur côté, l'Amérique et l'Urss ont inventé l'arme ultime, une arme qui fera devenir communiste les américains et capitalistes les russes. La guerre ultime est déclenchée,

Un amour trouble ?
Un homme tombe amoureux d'une maisonnette et l'achète. Très vite sa femme s'aperçoit qu'il n'a plus d'yeux que pour cette maison et lui-même devient terriblement jaloux.

Pauvre petit garçon
Un jeune garçon pas très beau ni très intelligent est rejeté de tous ses camarades qui le briment souvent.

Le casse-pieds
Un homme fait le tour de tous les personnages importants de la ville pour leur raconter ses malheurs de manière décousue et insupportable. Les entretiens se terminent souvent de la même façon, l'homme se voit gratifié d'un beau billet pour partir. A la fin l'homme entre dans une église : Dieu et les saints qui le connaissent se cachent mais l'homme finit par surprendre l'un d'entre eux.

Le compte
Un célèbre poète arrive au faîte de la gloire. C'est alors qu'un homme s'approche de lui et lui donne la facture de cette gloire,

Week-end
Une nouvelle un peu simpliste sur ces riches qui s'ennuie le week-end dans leurs tombeaux luxueux…

Le secret de l'écrivain
Un écrivain célèbre se met à ne plus écrire que des fadaises sans intérêt. Dans un testament il avoue qu'il a fait ça volontairement parce qu'il en avait marre de se faire plein d'ennemi de ses confrères moins chanceux. Il annonce aussi qu'il a continué à écrire de « vrais livres » qu'il laisse de manière posthume.

Chasseurs de vieux
A force de mettre en avant la jeunesse, celle-ci a décidé que le monde lui appartenait et qu'au-delà de 40 ans on était vieux et ne méritait rien d'autre que de disparaître et en tout cas de prendre une bonne leçon… Une nuit une chasse au vieux dure plus que d'habitude.

L'oeuf
La bonne société organise régulièrement des jeux pour sa progéniture. Une femme de chambre, envieuse arrive à faire pénétrer sa petite fille à une chasse aux oeufs. Malheureusement elle sera repérée ; la mère va alors partir dans une fureur indescriptible devant tant d'injustice au point d'acquérir des pouvoirs supra-normaux :

Dix-huitième trou
Un riche industriel, blasé de tout, au soir de sa vie, ayant décidé que plus rien ne pouvait le toucher devient un as du golf, juste avant de mourir, transformé en crapaud.

Le veston ensorcelé
De la poche d'un veston sortent à la demande autant de billets de banque que souhaité. le narrateur devient très riche mais s'aperçoit qu'à chaque fois qu'il a prélevé une somme, celle-ci correspond à un vol, une catastrophe, une faillite.

Le chien vide
Le chien d'une jeune femme abandonnée devient aveugle le soir de Noël. Début de la solitude extrême.

Douce nuit
Par une belle nuit une femme est troublée dans son sommeil ; son mari regarde par la fenêtre et ne voit que le grand calme de son jardin. Mais ce qu'il ne sait pas c'est que dans son jardin des milliers d'insectes et de petits animaux s'entretuent horriblement et agonisent… comme toutes les nuits et partout…

L'ascenseur
Un jeune homme amoureux se retrouve coincé dans un ascenseur avec la fille inaccessible qu'il aime et un homme étrange. Il réussit à obtenir de la jeune fille qu'elle l'épouse,

Les dépassements
Une nouvelle sans grand intérêt sur ceux qui dépassent tout le monde et qui un jour sont rejoint par le temps et la mort.

Ubiquité
Un journaliste, l'auteur même, bénéficie d'un don d'ubiquité qui lui permettrait de faire ce qu'il veut et de devenir le plus puissant. Mais devant les ennuis que cela pourrait lui procurer il n'utilise jamais son don. Simplement il sait qu'il en a un et souhaiterait qu'on se contente de le croire sur parole sans lui demander de s'en servir.

Le vent
Un couple se déchire sur une route par un jour de très grand vent. Peu à peu leurs paroles s'envolent, le texte même de la nouvelle est de plus en plus « troué » jusqu'au meurtre final que l'on devine au travers des quelques fragments de texte qui subsistent.

Teddy Boys
De jeunes gars de la plèbe se mettent à s'habiller et se comporter comme les nobles. Pour leur en faire passer l'envie, de jeunes nobles décident de les provoquer en duel et c'est l'hécatombe.

Le petit ballon
Deux saints, du haut du ciel examinent l'humanité et s'interroge pour savoir si le bonheur existe sur terre. L'un des deux croit le percevoir dans les yeux d'une fillette pauvre et maladive qui vient de se faire offrir un joli ballon jaune.

Suicide au parc
Un homme marié modeste devient dingue des belles voitures de sport. Sa femme, désespérée, une nuit, se transforme en un de ces magnifiques bolides. Quelques années plus tard, le bolide commence à montrer des signes de faiblesse et d'usure et l'homme décide de le revendre pour un acheter un autre.

La chute du Saint
Au paradis, Saint Ermogène regarde avec nostalgie des jeunes gens faire des « plans sur la comète » à propos de leur avenir, de l'art…

Esclave
Un homme surprend sa femme en train d'empoisonner son dessert préféré. Il ne sait que faire car il l'aime trop. Il décide de lui en parler, celle-ci menace de partir.

La tour Eiffel
Et si la tour Eiffel avait été bien plus grande, immense mais qu'on nous l'ait caché et que l'on ait détruit tout ce qui dépassait les 300 mètres connus.

Jeune fille qui tombe… tombe…
Du haut d'un très très haut gratte-ciel, une jeune fille admire la ville puis se jette à sa rencontre. Sa chute durera si longtemps que partie jeune, elle arrivera vieille. Il n'y a que ceux des derniers étages, très chers, qui auront eu le privilège de sa jeunesse.

Le magicien
Dino Buzzati rencontre un ancien camarade de classe, acariâtre et désagréable qui s'emploie à démonter son métier d'écrivain ainsi que tous ces métiers artistiques. A la fin DB s'emporte et défend son métier avec passion.

La boîte de conserve
Une jeune femme écoute dans un bar le dernier titre à la mode, Je ne suis qu'une boîte de conserve. Un homme la drague à tel point qu'elle finit avec lui puis se marie.

L'autel
Un jeune prêtre affecté à New York se rend compte que les immenses gratte-ciels sont comme des monuments à la gloire de Dieu qui lui parle beaucoup plus que l'église qu'il vient de visiter, et pourtant ces gratte-ciels sont l'oeuvre de protestants !

Les bosses dans le jardin
A chaque fois qu'il perd un ami cher, une bosse comme une tombe apparaît dans son jardin. de même à chaque fois qu'un pan de sa vie s'arrête. A la fin son jardin n'est plus qu'un maelström de vallées et de collines. Quand il sera mort, y aura-t-il quelque part dans un jardin, une bosse ?

Petite Circé
Un imprimeur dans la force de l'âge, marié, installé, tombe un jour amoureux d'une femme. Après plusieurs mois il disparaît. Son ami, alerté par la femme de l'homme va trouver l'amante ; celle-ci lui dit ne pas savoir où se trouve l'homme.

L'épuisement
La vie trépidante et sans fin dans notre société moderne au milieu de ses nouvelles et de ses informations toutes plus déprimantes ou insignifiantes les unes que les autres.

Quiz aux travaux forcés
Tous les prisonniers à perpétuité peuvent jouer leur liberté en s'adressant au peuple ; celui-ci juge mais il est très rare qu'il libère. Cette fois c'est le tour d'un homme emprisonné depuis 9 ans. Il sait que tous les beaux discours ne serviront à rien, il s'en doute, sans le savoir expressément.

Iago
Ou comment rendre bêtement jaloux un homme qui ne l'est pas.

Les deux chauffeurs
Les deux chauffeurs d'un corbillard de quoi parlent-ils ? Quel discours tiennent-ils qui sera le dernier que le défunt dans son cercueil entendra jamais ! Voici ce que pense un fils qui suit le corbillard où sa mère est emportée, et qui d'un coup regrette de ne l'avoir pas plus écoutée, de ne lui avoir pas plus parlée alors qu'elle était encore vivante et demandait si peu.

Voyage aux enfers du siècle
Buzzati est convoqué par son patron de presse pour enquêter sur une découverte faite lors du creusement d'une ligne de métro : une porte vers l'enfer aurait été mise à jour. Buzzati part et s'introduit dans ces enfers qui ressemblent en fait terriblement à notre monde, sorte de mélange de toutes les grandes villes du monde, un monde où tout le monde s'agite comme sans raison et sans but mais s'agite tout de même. Il découvre cet enfer par l'intermédiaire d'une sorte de femme d'affaires et ses assistantes qui semblent se réjouir encore plus quand elles peuvent compliquer encore un peu plus la vie de tous ces êtres ; on jette ce qui ne sert plus et les vieux, on roule en voiture en insultant tout le monde et on détruit au nom du bien général sous les vivats des politiques qui défendent le contraire…
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J'ai eu bon de retrouver, après le désert des Tartares, Buzzati et son monde parfois cruel et interpellant, Buzzati et son style simple et délicieux.

Le K, effrayant poisson qui vous poursuit toute votre vie, Dieu qui fait comme si il ne savait pas devant ses ingénieurs créateurs, le petit ermite myope comme un rhinoceros qui confesse sa sainteté, l'interminable chute de Marta dans sa petite robe toute simple, le jour où on peut se débarrasser des vieux....

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Un recueil de nouvelles très particulier : les thèmes et le style sortent des nouvelles fantastiques "classiques". Assez souvent farfelus, comme le complot de la tour Eiffel ou la transformation d'un être humain en voiture, voire parfois un peu nébuleux, tous les textes réunis ici comportent un côté poil à gratter qui est loin d'être désagréable. Un ouvrage à découvrir, et certainement très intéressant à relire.
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Recueil de nouvelles souvent choisi par les professeurs de lettre en collège afin d'aborder la science-fiction, on retiendra de ce "K", outre un titre énigmatique, des "bulles" tueuses, une société gérontophobe voire gérontocide (mais ces mots existent-ils ?), un adepte des belles voitures, et bien d'autres encore.
À recommander pour mettre un premier pied dans le genre de la science-fiction.
(Mention spéciale pour la première de couverture —un requin et une bulle montrant une étendue d'eau— qui entraine souvent des questionnements de la part des lecteurs).
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