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3,87

sur 2936 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Dino Buzzati est un nom qui sonne comme un souvenir de jeunesse car durant mes années d'études il était courant d'avoir en poche "L'écroulement de la Baliverna".
C'est un autre recueil de nouvelles que j'ai choisi de lire pour le Challenge Solidaire et j'ai bien fait, "Le K" étant du même registre, oscillant entre le satirique et le fantastique.

Avec une cinquantaine de textes courts, certes différents mais tous bien construits et d'une grande qualité littéraire, sans compter l'humour parfois cinglant, Buzzati prouve qu'il est un conteur hors pair. On retrouve le journaliste qu'il a été et je n'ai pas été surprise par son dernier récit "Voyage aux Enfers du siècle" dans lequel il se met en scène comme journaliste faisant un reportage en enfer, un enfer qui ressemble parfois à la réalité. Pour autant, il n'y a rien de déprimant dans ce livre car le ton est parodique.
Ce titre intrigant "Le K" est dû à l'excellente première fable, terme plus adapté que "nouvelle" car les textes de Dino Buzzati ne sont pas vraiment des nouvelles pour moi. Mais là n'est pas la question, ce qui est notable ce sont les chutes toujours bien trouvées, jonglant souvent avec l'absurde.

Si on retrouve des thèmes récurrents comme Dieu et la religion, la guerre froide et la politique, l'amour et la mort, ceux qui sont les plus marquants concernent le pouvoir et plus précisément ce qui touche à la domination du monde (les riches mais aussi l'automobile) et la création littéraire. A ce sujet, on sent que l'auteur italien sexagénaire est sensible à l'âgisme ainsi qu'à la renommée et la peur de la déchéance de l'écrivain mais toujours avec humour même s'il peut être grinçant.
A lire donc sans modération.


Challenge Solidaire 2024
Challenge Multi-défis 2024
Challenge XXème siècle 2024
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Buzzatti : poète,visionnaire, grand écrivain...auteur du roman qui m a peut être marqué le plus profondément ( le désert des tartares) pendant qu on lit du Buzzatti, on a l impression d un chuchotement imperceptible au creux de son oreille...sa prose je trouve susurre des trucs directement à l inconscient..
Les nouvelles de ce recueil sont dans l ensemble cet acabit : merveilleuses, flippantes ou oniriques...du grand art !
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J'aime bien la plume de Buzzati, il est précis dans sa narration et son écriture coule naturellement. Je connaissais quelques-unes de ses nouvelles mais c'est le premier recueil complet auquel je m'attaquais. Mon verdict ?
S'il est vrai que j'aime le ton et l'humour de l'auteur, je n'ai pourtant pas pu lire le recueil d'un coup.
J'ai lu par blocs de 3 ou 4 nouvelles à la fois et je me changeais les idées avec autres choses entre chaque bloc.
Pourquoi?
Parce que le regard de Buzzati sur nos sociétés et sur la nature humaine est certes cru et dur mais il est surtout exact. Alors ça jouait un peu sur mon moral quand j'en lisais plusieurs l'une à la suite de l'autre. Ces nouvelles sont assez sombres et même si j'apprécie l'analyse sociale de l'auteur je ne veux pas trop m'en imprégner non plus.
On sent bien le métier de journaliste qu'a occupé longtemps Buzzati, il rapporte les faits avec une belle netteté. J'ai bien aimé les nouvelles où il se met en scène, on voit qu'il ne se prenait pas trop au sérieux. Celle sur son voyage aux enfers est particulièrement intéressante, il y décrit si bien les comportements humains qui sont les plus dommageables pour notre espèce.
Bref, je suis bien satisfaite de cette lecture et je reprendrai sûrement avec plaisir d'autres oeuvres de Buzzati mais à dose contrôlée.
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Nouvelles classiques.

Le K est un grand classique de la littérature mondiale. Il se compose de 50 nouvelles.

Dès l'ouverture le ton est donné: les nouvelles de ce recueil mêleront poésie et philosophie. Que veut ce squale a Stefano ? Que va devenir ce petit garçon qui se fait maltraiter ? Et si cette nuit paisible était en fait le théâtre d'un massacre invisible ?

Chaque nouvelle permet d'ouvrir la réflexion sur de nombreux sujets. Ainsi ces histoires courtes nous apprennent entre autres qu'Il faut accepter de se confronter à ses peur, que les apparences sont trompeuses, que l'égo ne mène nulle part et ainsi de suite.

J'ai pris un immense plaisir à déguster ce recueil, nouvelle après nouvelle. le titre de classique n'est clairement pas usurpé pour ce dernier. Après la conclusion de chaque nouvelle, j'avais le sentiment d'avoir passé un excellent moment de lecture, mais aussi d'avoir eu l'occasion de réfléchir sur diverses thématiques universelles (la mort, la vie, le bonheur...).

Bref, un immense classique.
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J'aime les nouvelles. Il faut énormément de talent pour être capable en quelques pages de planter un décor, de développer un ou des personnage (s) , de raconter une histoire, tout en réussissant à émouvoir, choquer, étonner ou amener une réflexion.
J'avais été plutôt déçue par les derniers recueils de nouvelles lus, mais le K est pour moi un chef d'oeuvre du genre.
Une cinquantaine de nouvelles, toutes de qualité, même si certaines m'ont moins plu que d'autres.
De multiples thématiques sont abordées , la nature humaine y est décortiquée avec ses petits travers, ses angoisses, ses espoirs... Certaines nouvelles sont tristes, d'autres cruelles, drôles, surprenantes ou fantastiques.
La lecture est fluide et facile. Il y a une véritable fin à chaque histoire, ce qui n'est malheureusement pas le cas d'un bon nombre de nouvelles .Et si je suis suis d'accord pour qu'on laisse au lecteur la possibilité de faire appel à sa propre imagination, je déteste avoir l'impression que l'auteur me laisse en plan, après avoir posé les bases de l'histoire.
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J'ai lu et relu ce recueil de nouvelles. Buzzati nous parle de la vie, la notre et celle des autres. Une vision pessimiste, certains diront réaliste. L'écriture est superbe, ciselée. Je pense souvent lorsque je regarde mon jardin le soir à la nouvelle "Douce nuit".
La nouvelle qui parle d'un enfant martyrisé par ses condisciples donne à réfléchir. Mais à la vérité toutes ses nouvelles donnent à penser. Peut être et même sûrement très, trop noir. En conséquence, allons vers la lumière...
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Recueil de nouvelles lu à l'adolescence, autant dire il y a une vingtaine d'années, et bien que je me rappelle difficilement ce que j'ai mangé hier à cause de tous les cachetons que j'enquille à cause de ma maladie, le souvenir de ces courts récits est encore très présent dans ma mémoire.

Je me souviens du plaisir que j'ai ressenti en parcourant ces historiettes de Dino Buzzati. En particulier, "chasseurs de vieux" m'avait bien fait sourire et (elle fait écho à l'actualité en ces temps de réforme des retraites : on n'a pas exploré toutes les pistes ^^).

A mettre entre toutes les mains. Même un tout jeune lecteur y trouvera son compte facilement.
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Un livre qui est fait de plein d'histoires différentes les unes des autres ; tous les goûts y sont donc représentés.
Ce livre est très agréable à lire tant par son écriture que par ce qu'il dégage de chacune des histoires.
Nous passons du réel, au fantastique ...
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LE K de DINO BUZZATI
Recueil de nouvelles fantastiques mais pas au sens de Lovecraft ou Poe. C'est dans un registre léger comme la première nouvelle qui donne son nom au livre. Bien écrit, c'est pour moi une lecture agréable due à l'auteur du au célèbrissime Désert des tartares.
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« Viva Dino Buzzati e i suoi libri, e i suoi mille racconti ! »
"Ça" [Le cas du "K"] nous vient tout droit de l'an 1966, dérivant lentement sur les océans d'une Planète bleue... Quarante-trois courts récits ou "nouvelles", auxquels viennent s'adjoindre huit tranches d'un "Voyage aux Enfers du Siècle" : soit 51 pièces d'un puzzle d'humour et de ténèbres.
Mais en voici TOUT le détail ressenti :

[1] "Il Colombre / "Le K" : ou comment un père apprend la peur (de vivre) à son fils. Non, ça n'est pas Hermann Kafka face à Franz, c'est juste un capitaine au long cours attirant l'attention de son innocent fiston (Stefano Roi) sur une malédiction qui le poursuivrait sur toutes les mers du globe s'il ne s'éloignait pas immédiatement des rivages... Ce "colombre" est un très gros squale qu'on croit apercevoir sans cesse à l'horizon — notre horizon de vie : il nous rappelle, le bougre, que notre existence se brisera sous ses mâchoires. de quoi devenir sacrément anxieux, et peut-être même très malheureux chaque jour, chaque heure de son existence... Et nous voila à notre tour plongés dans l'attente... "indicible" (le mot favori des traducteurs de Lovecraft). Une nouvelle de Dino Buzzati peut être un petit film d'horreur "carpentérien" en résumé... L'art de Dino Buzzati est l'art du conteur : il ne s'invente pas, c'est l'excellence dans l'économie des effets, l'art de l'image mentale indélébile chez nous autres... Pas si méchant que ça, le "colombre" mais nous nous préparions au pire... Pourquoi ce squale nous poursuit-il avec autant d'entêtement ? Appétit carnassier ? Pur altruisme ? Allez savoir...

[2] "La creazione" / "La Création" : l'humour (le plus fin) est sans doute le pinceau le plus précis entre les mains agitées du conteur. Nous voici face à une des plus belles "pièces" de notre pêche au K. le Tout-Puissant (à la solide existence littéraire : c'est déjà ça... Pour le reste, nombreux en viennent à penser que ce bonhomme n'existerait pas, mais chut !), le Tout-Puissant donc est un ingénieur-en-chef, un concepteur un peu fantasque... Un artiste fantaisiste. Autour de lui, gravitent des types qui en ont dans le capot autour de lui, des types solides, heureusement... Ce sont des anges-architectes, bien sûr... Déférents, un peu lèche-cul, soumis... [Imaginez ces temps-ci un journaliste de Téléramuche face à la mère Despentes...] Bon, le Tout-Puissant lit dans leurs pensées, devine TOUT ce qui va advenir... C'est d'un fatigant pour lui ! Mais avec de l'humour, l'Eternité se supporte... Bon, allez, on va leur mettre de la vie, de la "biodiversité" (dirait-on aujourd'hui) sur cette foutue planète bleue lambda... Si ça les amuse, après tout !!! Un ange-architecte plus solitaire, moins mouton et même un peu assommant soumet (sournoisement) les plans d'un bipède au Créateur... Par dépit ou lassitude, le bonhomme fantasque lui appose sa validation...

[3] "La lezione del 1980"/ "La leçon de 1980" : de la malédiction du Pouvoir ou "Si le Pouvoir nous tue chaque mardi à minuit, ma foi, pourquoi s'em... der autant à le conquérir et même à le garder ? ". Oui, à cette date et cette heure précises, un syndrome coronarien aigü frappe l'un après l'autre tous les Grands Chefs de Tribus (le gars à la tête du gouvernement soviétique, celui du gouvernement ricain, le guignol du PCC, même De Gaulle est menacé... )... Instinct de conservation obligé des Puissants [?] qui soudain n'en veulent plus, n'en peuvent plus, de tout ce décorum, de ce fatras, de cette Grandeur (finis soudain, les Grands Débats-à-la-Noix, les envahissements de l'Ukraine, les empoisonnements de Navalny, les 500 robots "parlementaires" du Parti Communiste Chinois... ) : allez, on laisse la place chaude aux autres ! 3615 Qui n'en veut ??? Et soudain plus aucun couillon ni couillonne à se précipiter pour nous faucher la place !!! Comme disent les Algériens, "al-koursi" [Le Fauteuil] reste inoccupé... Suspense : comment tout cela finira-t-il ? Plutôt pas trop mal... Même peut-être mieux qu'avant... Pure logique déductive.

[4] "Generale ignoto" / "Général inconnu" : de la difficulté de survivre à notre propre existence... Ne serons-nous pas bientôt "celui (ou celle) dont bientôt personne ne se souviendra" ? Tel ce général dont des manoeuvres et l'ingénieur de prospection géologique déterrent par accident le squelette délabré masqué par un uniforme et des galons dorés tombant en poussière puis s'envolant au vent quelques secondes après le patient travail de désenfouissement... de quoi est mort ce brave homme ? Comme dans le film "First Cow" de Kelly Richard, on peut tenter de récréer une paire d'existences... Mais si peu d'indices ici : nous ne saurons jamais qui il fut, quelle fut son enfance, qui il aima une fois adulte, ce que fut sa vie de garnison, ce qui causa son décès... C'est beau, sensible, extrêmement touchant, plein d'empathie, le geste final des ouvriers nous renvoie une bien cruelle ironie, les vivants crânent encore pleins de leur belle énergie quand "Les morts sont ceux qui perdent la partie" [comme le rappellera Franz Kafka dans "Heiraten"... ]

[5] "L'erroneo fu" / "Le défunt par erreur" : si l'on annonce votre mort par erreur, à vous qui êtes un artiste moyennement célèbre ou reconnu, sachez que l'annonce de votre décès donnera (transitoirement) un regain de valeur à votre production mais que vous devrez si bien cacher votre existence de mort tant et si bien votre femme vous négligera graduellement (puisque vous voilà mort pour la société)... Cette mort sociale amènera quelques changements déplorables : quelqu'un d'autre pourra prendra VOTRE place dans l'existence, ce jusqu'au lit conjugal...

[6] "L'umiltà" / "L'humilité" : de l'orgueil dont on ne parvient jamais à se débarrasser... tout "homme d'Eglise" que l'on soit ! le moraliste Buzzati a plus d'une corde à son arc ou sa lyre de conteur (la corde de l'humour est, ici comme ailleurs, la plus souvent frottée)... et les papes (anciens "petits curés" incorrigibles) se révèlent encore capable de verser de chaudes larmes...

[7] "E se ?" / "Et si ?" : ... ou comment ne pas s'apercevoir que l'on est passé à côté de son existence, tout parvenu que l'on soit à quelque position sociale importante ? Il suffira de croiser le regard moqueur d'une jeune fille que l'on juge "effrontée" et que l'on désire, bien sûr, secrètement... En quelques secondes, toute votre vie bascule.

[8] "Riversatissima al signore direttore" / "A Monsieur le Directeur" : où le "nègre" d'un journaliste piètre écrivain se fait de plus en plus exigeant... L'écrivain malhabile a tellement besoin de ses services... S'être fait un nom (celui de "Dino Buzzati") ne suffit pas, même si la gloire (indue) est assurée... Comment se débarrasser d'un parasite si désespérément utile ?

[9] "L'arma segreta" / "L'arme secrète" : ... un moyen inattendu et surtout original de ramener la paix sur Terre aux temps de la "guerre froide"... le match nul de l'entrecroisement d'ogives (chargées d'un gaz qui n'est pas seulement hilarant) ne changera rien à l'affaire ! Simple inversion des rôles, et le match continue...

[10] "Un torbido amore" / "Un amour trouble" : ne pas se laisser séduire par une petite maison de votre quartier... Vous l'investissez avec votre épouse mais elle continuera de faire de l'oeil aux passants ! Ne reste plus qu'à mettre le feu à cette diablesse "qui a le feu quelque part"...

[11] "Povero bambino !" / "Pauvre petit garçon !" : ... ou de l'inconvénient d'humilier un petit garçon surnommé "la Laitue", tellement il est malingre, blafard et verdâtre... Pas assez aryen, en fait ! Avec sa fichue mèche en virgule sur son oeil, que deviendra-t-il adulte ? Un chef d'oeuvre d'humour, de noirceur et d'horreur psychologique... La maman ne comprend rien et enguirlande la seule victime (dont les petits camarades ont sali le costume). L'humanité connaîtra toute la suite, de 1933 à 1945...

[12] "Il seccatore" / "Le casse-pieds" : un excellent exercice pour détendre les zygomatiques du lecteur. Ce casse-pieds est décidément plus fort que le Felix de "Modeste et Pompon" de Franquin et Dino Attanasio... Il vous tire le fric (Eh tiens ! dix-mille à l'un, puis cinq mille lires à l'autre, en vingt-cinq minutes chrono tout de même... ) avec son ton larmoyant, le récit de se malheurs dans le plus grand des chaos syntaxiques, armé d'une "tchatche" et de facilités déconcertantes, exploitant votre rage polie qui grandit, grandit, et l'impossibilité de le congédier, sauf si... Il ne reste plus au "seccatore" de passer à l'église la plus proche des gratte-ciels d'entreprises pour aller agacer à son tour le pauvre Saint-Jérôme... Comme face au récit précédent, le sentiment d'une exceptionnellement "grande réussite" buzzatienne.

[13] "Il conto" / "Le compte" : la consécration ne fait rien à l'affaire... le poète Joseph de Zinta, devenu prix Nobel de quelque chose, a reçu une première enveloppe des mains d'un monarque gâteux ; les fêtes s'estomperont, la foule disparaîtra, seule la solitude dans la chambre d'un Palace (avec son cabinet de toilettes pour archiduchesse) demeurera ; sans compter ce foutu chasseur d'autographes apparaissant dans le couloir devant sa chambre d'hôtel, insistant... juste pour lui remettre une seconde enveloppe puis disparaître en fumée. La douleur volée aux autres, l'angoisse de vivre et la solitude pour soldes de tout compte... et le lecteur se souviendra alors que l'homme "Dino Buzzati" n'aura pas laissé d'enfants derrière lui...

[14] "Week-end" : ... ah, comme les morts s'ennuient, surtout le dimanche ! Surtout par temps chaud, principalement dans le quartier des V.I.P. (industriels ou rentiers) du cimetière de Torino... pas une seule visite de secrétaire ou de Président de C.A. depuis qu'ils ont cassé leur pipe... Il n'y aura pas de "revival" pour eux, aucune "Nuit des morts vivants", aucun retour sur leurs yatchs : l'affaire est pliée... Jadis si puissants, ces morts-là ne servent plus à rien. Sauf qu'ils ont "servi" à Buzzati qui nous fait ressentir une terrible solitude de dimanche caniculaire à force d'errer dans une allée déserte, juste encombrée de mausolées somptueux et inutiles... « Mort, où est ta victoire ? » Elle sera aussi celle de Georges Brassens, au fond : « Pauvres rois pharaons, pauvre Napoléon / Pauvres grands disparus gisant au Panthéon / Pauvres cendres de conséquence... » [Supplique pour être enterré sur la plalge de Sète, 1966]. La revanche des poètes...

[Attention, GROS TRAVAUX en cours : suite au prochain épisode !!!]
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