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Miss la gaffe tome 2 sur 4

Luc Rigoureau (Traducteur)
EAN : 9782012013247
380 pages
Hachette Jeunesse (14/11/2007)
3.84/5   86 notes
Résumé :
Lizzie est de retour ! Battant le pavé de New York à la recherche d'un emploi, d'un logement et d'une place bien à elle dans l'univers.

Lorsque Luke, son amour de vacances, lui propose de « vivre ensemble », elle abandonne aussitôt son projet de colocation avec sa meilleure amie Shari, pour emménager avec lui.

Mais Lizzie n'a pas autant de chance dans sa recherche d'emploi. Elle est restée une pipelette invétérée, ce qui ne tarde pas ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Je dois admettre que j'aime beaucoup Lizzie. le personnage est très touchant car pleins de rêves et de naïveté, motivé à réussir et donne le meilleur de lui-même. Ah là là, la dure vie (mais pas si dure que ça) d'une jeune provinciale à la grande ville 🏙 Évidemment, dans la VRAIE vie, les choses sont trèèèèèès loin de se passer aussi bien et on n'a malheureusement pas autant de chance que Lizzie mais ça reste une fiction que je trouve encourageante et inspirante pour nous décider nous-même à nous lancer dans la réalisation de nos propres projets. En fait, quand on analyse bien cette lecture, on se rend compte assez vite que cette trilogie est tournée à la manière d'un conte de fée 🧚🏼‍♀️ version 21ème siècle (d'ailleurs, Lizzie se plaît à nous répéter que Luke est un prince car descendant de la noblesse française donc vous voyez, un vrai conte de fée !) C'est Meg Cabot après tout, à quoi d'autre vous attendiez-vous ? Et c'est pour mon plus grand bonheur ! La joie de vivre et l'optimisme de Lizzie sont communicatifs. C'est une veinarde mais aussi une bosseuse qui n'a pas froid aux yeux. Dans un sens, je me sens assez proche d'elle. Elle me donne moi aussi envie d'aller tenter ma chance à New York (Wuhan ! Merci d'avoir brisé tous mes rêves d'un stage à l'étranger cette année).
En plus, j'ai beaucoup aimé qu'au moment où je lis le livre, Lizzie et les autres personnages ont exactement le même âge que moi ou se situe dans la même tranche d'âge. Je me suis sentie très proche d'eux et j'avais juste l'impression d'être sur la même longueur d'onde que notre héroïne. Ça fait du bien de lire sur des protagonistes avec les mêmes préoccupations que soi, entre les cours et les partiels et le plongeon dans la vie d'adulte et la vie active. D'ailleurs, l'action du livre se passe entre octobre et décembre avec Noël et le Nouvel An donc on peut dire que j'suis en totale synchronisation avec le temps de l'action !

La suite sur mon blog 🌈
Lien : http://difunkychronicles.com..
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Lizzie s'est installée à New-York avec Luke, son compagnon depuis 2 mois. Côté elle ne veut pas vivre à ses crochets, elle cherche du travail. Elle trouve deux jobs : réceptionniste le matin et couturière en robe de mariée l'après-midi. Certaines périodes sont plus complexes que d'autres : entre la famille de Luke qui débarque et sa meilleure amie pas trop en forme, Lizzie est bien occupée. Elle réussit toujours à se compliquer la vie...
Il s'agit du second tome des aventures de Lizzie. Bien que je n'ai pas lu le premier tome, il est très drôle et on apprend plein d'astuces pour préparer un mariage en terme de tenue.
Je recommande
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Beaucoup moins gaffeuse que dans le 1er tome, l'héroïne n'en est pas moins adorable et rafraîchissante.
Et si cette histoire semble plus prévisible, c'est pour mieux nous surprendre au moment où tout semblait se mettre en place !

Vu le cliffhanger final, je vais être obligé de passer au tome 3 immédiatement.
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Toujours aussi léger et facile à lire dans n'importe quelles circonstances. Lizzie arrive à New York et au lieu de s'installer avec sa meilleure amie comme prévu, elle s'installe dans le sublime appartement de son petit ami Luke. A la recherche du boulot de ses rêves, Lizzie doit se contenter d'un job à mi-temps de réceptionniste, tout en offrant ses services de couturière en restauration de robes de mariée anciennes à une petite boutique... Sa tchatche légendaire la conduit à faire des connaissances qui vont changer son destin....
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Une chouette suite au premier tome et qui finit encore sur une petite note de suspense :) Ce que j'aime dans ce livre c'est que ca reste quand même adulte: moments coquins, parfois un vocabulaire un peu familier voire vulgaire. Bref, même si l'héroïne est un peu naïve, le roman peut convenir à des jeunes adultes...(Perso, à 22ans, j'adore. L'humour est au rdv et Lizzy est toujours aussi drôle. J'adore aussi le lien avec la mode car quoiqu'on en dise, ce roman permet d'acquérir un peu de culture générale, je trouve : noms de créateurs (ou aussi ceux d'anciens films dans un autre sujet que la mode), etc. Ca peut toujours être utile ;-).
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Soudain, alors que je fonce sur le trottoir, les larmes roulant sur mes joues, en essayant de ne pas déraper sur la neige fondue, je me rends compte de quelque chose. Pas seulement parce que je suis devant le Rockfeller Center et la statue dorée d’un homme allongé, icône new-yorkaise derrière laquelle l’immense sapin de Noël étincelle de tous ses feux. Non. Je prends conscience que je ne serai pas ainsi. Jamais. Je ne porterai pas de bermuda en public, je ne me résoudrai pas à fréquenter un homme à moustache blonde, et les radis ne sont bons que pour les tacos. Je ne suis pas Kathy Pennebaker. Je ne serai jamais Kathy Pennebaker. Jamais !
Aussitôt, pleine de nouvelles résolutions, je me retourne et hèle un taxi. J’en trouve un, du premier coup – au Rockfeller Center, oui, je sais, ça relève du miracle – et lui donne l’adresse de la boutique des Henri. Une fois sur place, j’ouvre mon sac pour découvrir que je n’ai pas de liquide, si ce n’est les dix dollars de mamie. Ai-je le choix ? Je tends la coupure au chauffeur en lui disant de garder la monnaie et fonce dans l’atelier.
Monsieur et Madame Henri sont en train de se régaler devant l’article du New York Journal tout en dégustant du café au lait et des madeleines.
— Lizzie ! S’exclame mon patron, ravi. Vous êtes là ! Vous avez vu ? L’article et les photos ? Nous sommes célèbres ! Grâce à vous ! Le téléphone n’arrête pas de sonner. Mieux encore, Maurice ferme la boutique en bas de la rue pour en ouvrir une autre dans le Queens. Tout ça, grâce à vous ! Grâce à cet article !
— Ah ouais ? riposté-je en ôtant mon écharpe, les toisant avec rage. Eh bien, figurez-vous que cet article me vaut d’avoir été renvoyée.
Voilà qui efface d’un trait leurs sourires.
— Oh, Lizzie ! Commence Madame Henri.
Je lève le doigt.
— On se tait et on m’écoute ! Et d’une, j’exige trente mille dollars par an plus un intéressement. Et de deux, 15 jours de congés payés. Et de trois, une mutuelle générale et une pour les travaux dentaires. Et de quatre, au moins un jour de congé maladie par mois et deux par an pour convenances personnelles. Et de cinq, je veux l’appartement du dessus, gratuit, tous frais payés par la boutique.
Ils me contemplent avec des yeux ronds, ébahis. Monsieur Henri est le premier à recouvrer ses esprits.
— Voyons, Lizzie, marmonne-t-il, apparemment blessé, vous méritez ce que vous demandez, certes. Personne n’oserait suggérer le contraire. Mais comment osez-vous…
À cet instant, sa femme intervient :
— Tais-toi*.
Il la regarde, surpris.
— Non pour la mutuelle dentaire, ajoute-t-elle à mon adresse, concise, claire.
Je suis tellement soulagée que mes jambes manquent de se dérober sous moi.
— Marché conclu, réussis-je cependant à lâcher avec toute la dignité dont je suis capable.
Ensuite, j’accepte leur invitation à manger des madeleines et à boire du café au lait.
Hé ! Quand vous avez le cœur brisé, les calories ne comptent plus.

source : difunkychronicles.com
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— Vous avez choisi votre robe de mariée ?
— Non, je n’en ai pas eu le temps. Et puis, je n’y connais rien. John n’arrête pas de me dire d’aller chez Vera Wang, point barre. Mais chaque fois que j’envisage de me rendre chez l’un de ses grands couturiers, j’étouffe…je n’ai pas d’amies qui seraient branchées là-dessus et pourraient m’aider. Toutes mes copines ont de la crotte de singe plein leurs chaussures. Elles se fichent des robes de mariée comme de l’an quarante. En fait, j’irai au centre commercial. Au moins, je saurai à quoi m’attendre…
Mon cœur se glaça. C’est la peur, naturellement. Vite, un autre gâteau au chocolat pour reprendre des forces !
— Jill, s’il vous plaît, chevroté-je…je peux vous appeler Jill, à propos ?
— Oui, oui, ça m’est égal.
— Moi, c’est Lizzie. En tout cas, je vous en supplie, Jill, ne prononcez plus jamais ces mots devant moi.
— Quels mots ?
— Centre commercial. D’accord ?
Je laisse fondre la crème dans ma bouche. Miam ! Délicieux ! Et, déjà, je me sens mieux.
— Oui, je comprends, acquiesce Jill, de nouveau en larmes. Mais que voulez-vous que je fasse ?
— Pour commencer, vous allez m’apporter cette robe nuptiale, avec son tartan et tout le bazar.
Je lui tends une de mes cartes de visite.
— À cette adresse. Vous pourriez passer cet après-midi ?
— Vous êtes sérieuse ? s’exclame-t-elle, ahurie.
— Parfaitement sérieuse, oui. Il est nécessaire de jeter un coup d’œil avant de prendre des mesures aussi drastiques que le centre commercial. Voyons d’abord s’il est possible d’arranger les choses. On ne sait jamais. Si ça se trouve, il y a matière à sauver la situation. Par ailleurs, il serait vraiment très agréable de réussir à mettre le nez de votre future belle-mère dans son propre caca.
— Pardon ? Vous venez bien de dire « nez dans son caca » ?
— Hum…oui. Pourquoi ?
— Je n’ai pas entendu cette expression depuis ma quatrième.
— Euh…j’ai toujours été un peu attardée.
— Moi aussi.
Et, pour la première fois depuis que je l’ai tirée des cabinets, elle sourit. Nous sommes là à ricaner comme deux idiotes quand la porte s’ouvre brusquement.

Source : difunkychronicles.com
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Que tu crois ! Je tiens à te signaler que, quand je pense à mon avenir, je n'envisage rien d'autre que toi. Toi sans ta gaine !
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- Pourquoi es-tu aussi intelligente ? hoqueté-je.
- Je te rappelle que j'ai une maîtrise de psycho.
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