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EAN : 9782072867736
224 pages
Gallimard (04/02/2021)
3.86/5   251 notes
Résumé :
Rome, fin des années 1960. Leo Gazzarra, milanais d'origine, est depuis quelques années installé dans la capitale. Il vit de petits boulots pour des revues et des journaux. Viscéralement inadapté, dans un monde où il ne parvient pas à trouver sa place, il se laisse aller à des journées qui se ressemblent et à des nuits souvent alcoolisées. Leo n'en veut à personne et ne revendique rien.
Le soir de ses trente ans, il rencontre Arianna, une jeune femme exubéra... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
3,86

sur 251 notes
Paru en 1973, et récemment ré-édité aux éditions Gallimard, « le dernier été en ville » incarne le versant mélancolique de la Dolce Vita, cette époque bénie de la fin des années soixante, que nous avons tous l'impression d'avoir touchée du doigt, en visionnant le film éponyme de Federico Fellini.

Léo Gazzarra, milanais d'origine, dérive dans la douceur romaine, vit d'expédients, de petits boulots pour des revues, et profite de la générosité de la bourgeoisie romaine qu'il fréquente assidûment. Il a presque trente ans mais reste un éternel adolescent qui passe l'essentiel de ses journées à lire en terrasse, à aller au cinéma ou à la mer toute proche. Mélancolique et cultivé, il a intégré le cercle huppé de la capitale alanguie par la touffeur d'un été de plomb. La nuit, Léo boit trop, se laisse entraîner dans une nouvelle tournée des grands ducs par son ami alcoolique Graziano, ou fréquente les soirées mondaines, où il multiplie les conquêtes d'un soir.

La nuit de ses trente ans, lors d'une soirée raffinée où l'ont convié des amis, Léo fait la rencontre d'Arianna, beauté aussi irradiante qu'exubérante, femme-enfant parfaitement consciente de son immense pouvoir de séduction. Entre la jeune femme radieuse et le trentenaire désenchanté c'est le coup de foudre, qui fera basculer l'équilibre précaire de la vie du narrateur.

Les deux amoureux ne se quittent plus, passent leurs journées à la mer, et tandis qu'Arianna ne parvient pas à sortir du rôle qu'elle s'est attribuée, Léo est hypnotisé, et peine à se remettre de la violence de la collision avec la Beauté. Les corps se frôlent mais ne s'entremêlent pas tout à fait, Arianna disparaît puis revient, Léo trouve un travail de journaliste à la petite semaine, suit Graziano dans d'interminables virées nocturnes, et se perd peu à peu dans la chaleur romaine.

« Le dernier été en ville » est un roman doux-amer, teinté de mélancolie malgré l'apparente légèreté de la Dolce Vita qui plane sur la cité romaine. Son héros aussi attachant que désemparé, n'est pas dupe du jeu social qui régit la conduite des happy few romains. Et pourtant, le lecteur assiste impuissant à la lente désagrégation de son univers vacillant au gré de ses retrouvailles avec l'impénétrable Arianna.

Le livre de Gianfranco Calligarich est une plongée dans une certaine bourgeoisie intellectuelle et terriblement mondaine de la fin des années soixante. Derrière la beauté, l'opulence, les sourires, les coupes de champagne, la douceur d'un été sans fin, la disparition de l'astre doré dans la Méditerranée, se dissimule un entre-soi froid et sans pitié. Et le destin de Léo, en réalité étranger aux cercles aisés de Rome, envouté par la beauté qui s'est assise un soir sur ses genoux, évoque inéluctablement Icare se brûlant les ailes pour avoir tenté d'approcher de trop près le soleil.
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Comment qualifier ce livre? .
Paru en 1973, Roman d'une époque , peinture d'une ville : Rome l'été, fin des années 60 , roman d'amour et de désespérance ? .

Léo Gazzara, vient de fêter ses trente ans , installé depuis quelques années dans la capitale il écrit des articles «  très réfléchis et mal payés » pour des revues et des journaux , il tentera , sans succès ou……sans volonté de faire son entrée à la télévision avant qu'un ami Renzo marié à Viola , le fasse entrer au Corriere Dello Sport, il y retape des dépêches aux accents tragiques .
Il se tait , s'adapte à toutes les situations ,se laisse aller , en manque total d'ambition, un vide lancinant remplit sa tête.

Malheureusement , il voulait se soûler ,voulait la «  cuite mortelle la plus massive qu'il puisse échafauder » .

Car il avait rencontré une très belle oisive , fragile et séductrice, aux longs cheveux noirs, Arianna, ,soeur d'Eva , étudiante en architecture , un peu perdue, incapable d'exprimer ses véritables sentiments , rencontre un peu magique , au début d'une lutte amoureuse vaine aussi silencieuse qu'une vraie , douleur …..

«  La beauté douloureuse » de cette jeune fille énigmatique lui rappelait sa jeunesse finie et son total manque d'ambition .

Il s'en ouvre auprès de son ami Graziano marié à la riche américaine Sandie.
El il boit , un peu trop et il le sait .
Entre peinture lumineuse de Rome ,solaire et magnétique : «  le silence des chaudes soirées, les escaliers éblouissants, les fontaines tapageuses ,les temples en ruine et le silence nocturne des dieux révoqués » et aussi «  Les coupoles , les ponts , des vieilles maisons imbibées de lumière » ….où l'on croise des aristocrates déchus ,des parvenus ,des arrivistes sans le sou ..et un portrait tout aussi saisissant des saisons et de leurs couleurs » .
«    Crépuscule rouge sillonné par des centaines d'hirondelles » Soleil assassin d'août et rues vides » ou encore :
Le quotidien bouleversant et mélancolique d'un Léo dont Arianna qui ne cesse de disparaître et d'apparaître , ne le sauvera pas de sa lente et inexorable descente aux enfers ….

Une histoire d'amour , tragique , d'incandescence , une quête vide de sens , intemporelle .

Le récit crépusculaire , fulgurant, traversé par l'amertume, le désenchantement, le silence des chaudes soirées à Rome intimement lié à la lente dérive poignante d'un jeune journaliste milanais —- couplé au portrait de l'après - guerre en Italie —— un renoncement tranquille, douloureux , ironique qui laisse un sentiment éperdu de perte , à l'écriture magnifique .
Cela fait penser à La Dolce Vita de Federico Fellini .

«  La mer qui accueille tout., tous les êtres qui n'ont jamais réussi à naître et ceux qui sont morts pour toujours.
Je pense au jour où le ciel s'ouvrira et où , pour la première fois ou encore une fois , ils retrouveront leur légitimité » .

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Rome, années 60.

Léo est un jeune homme originaire de Milan, arrivé à Rome pour essayer de donner un sens à sa vie, et vit de petits boulots à droite à gauche. Il va de bar en bar, rencontre un couple qui décide de partir en Amérique du Sud et récupère dès lors leur appartement, il goûte aux plaisirs de l'alcool et de la dolce Vita sans vraiment trouver sa place.

Le soir de ses 30 ans, il rencontre la belle et mystérieuse Arianna. Commence alors une idylle pleine de rebondissements, où chacun cherche l'autre mais sans jamais réussir à être simplement ensemble. Il faut dire qu'Arianna est fragile – elle a fait un séjour en clinique – et souvent évanescente et que les deux personnages se retrouvent seuls face à leur désarroi intime.
Quant à notre Léo il peine à s'insérer dans la vie : devenu pigiste au Corriere dello Sport, il erre la nuit imbibé d'alcool et ne voit pas d'issue à ses questions.

Mais le personnage principal de ce roman c'est Rome. Fontaine de Trevi, Place Navone, Villa Borghese … on retrouve tous les lieux qui font aujourd'hui le bonheur des touristes … sans le tourisme de masse. On pense à Fellini bien sûr, et à tous les réalisateurs italiens de cette époque désormais révolue.

Très agréable à lire, plutôt sombre dans son récit, Gianfranco Calligarich raconte une histoire d'amour sans espoir, sur fond de nostalgie pour une société qu'on ne reverra plus. Une belle réussite.
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En lisant ce roman, on ne peut s'empêcher de penser à « La Dolce Vita » ou à « La Grande Bellezza », ces chefs d'oeuvres dans lesquels la mélancolie et la mélodie d'un bonheur retrouvé se confondent au hasard des rencontres et des égarements. Comme dans ces deux films, l'héroïne, c'est Rome, capable de vous rendre insignifiant devant l'Histoire ou de vous donner des ailes. Dans les deux cas, il n'y a pas d'échappatoire possible, parce que le soleil assomme dans la ville éternelle et que vos ailes seront celles d'Icare.
Leo n'a pas beaucoup de certitude, peut-être croit-il à la beauté « c'est même mieux que la richesse, parce que la beauté ne pue jamais la souffrance et la conquête ». Incapable de la reconnaître sous les traits d'Arianna, il traîne son spleen entre Piazza Navona et les bourgades balnéaires « Pendant les cent premiers kilomètres, aucun de nous parla. C'est à cette occasion que je découvris que deux personnes produisent plus de silence qu'une seule ».
Parler d'une errance sans tomber dans le néant relève de l'exploit. Plus d'un auteur s'y est cassé les dents pensant qu'un verre de gin et trois bons mots suffiraient à résumer la singularité de leur abysse, alors qu'ils révélaient seulement un narcissisme pathologique. Pour relever ce défi, il faut du panache, de l'élégance, le sens de la formule (« Il avait la tête de quelqu'un qui a déjà rencontré son ange et lui a donné la réponse qu'il méritait ») et le génie des métaphores (« Je vais comme un chat qui a une longue queue dans une usine de chaises à bascule »).
Un roman sur la peur du vide qui, paradoxalement, a quelque chose de réjouissant et d'éblouissant.
Bilan : 🌹🌹
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Rome, années 1960. Leo, la trentaine, quitte Milan pour Rome dans le but de devenir journaliste. Arrivé dans la capitale, la vie n'est pas aussi simple. Rome est une ville dynamique. Il y a du monde. Tout est en effervescence. A Rome, on sort, on danse, on bouge, la ville de dort jamais. Il faut suivre le mouvement, sinon on s'y perd. Leo enchaîne les petits boulots en attendant de trouver ce qu'il cherche. Il se fait des amis, côtoie le milieu intellectuel mais il peine à trouver sa place. Il ne se sent pas bien malgré tous ce efforts. Alors, le soir, il oublie tout dans l'alcool. Il connaît les bars et y rencontre Arianna, une femme mystérieuse.
"Du reste, c'est toujours pareil. On se démène pour rester à l'écart et puis un beau jour, sans savoir comment, on se retrouve embarqué dans une histoire qui nous conduit tout droit à la fin."
"Un dernier été en ville" est un roman qui prend du temps. L'accent est mis sur le temps qui passe, la longueur et la moiteur de ces longues soirées d'été à Rome, ville qui attire la jeunesse italienne. Leo est un personnage qui se cherche. Il passe ses soirées à réfléchir, à observer, à s'intégrer mais il en ressort beaucoup de mélancolie.

Cette mélancolie est palpable dans le quotidien de Leo. Que ce soit dans son travail ou dans ses relations, il ne semble pas s'épanouir. Il reste rêveur et dis aimer partir le weekend pour lire un roman en bord de mer. Il y a beaucoup d'amertume dans ses mots.

Le personnage d'Arianna m'a fortement agacé. Je l'ai trouvé ennuyante et insignifiante. Elle n'apporte pas grand chose dans la vie de Leo. On a envie de l'a brusquer pour qu'elle s'ouvre et s'affirme. C'est peut-être le but recherché par l'auteur.

J'ai trouvé ce roman un peu long, même s'il ne fait pas beaucoup de pages. Il ne s'y passe pas grand chose. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Les seuls passages que j'ai aimé sont ceux qui dépeignent la ville de Rome avec ses ruelles animées, l'accent de l'Italie, les odeurs des restaurants, le son des vespas.

Ecrit en 1973, ce livre a connu un beau succès lors de sa sortie en Italie. C'est bien écrit et l'histoire m'a fait penser aux vieux films italiens des années 1960.

A lire au soleil accompagné d'un Prosecco pour être dans l'ambiance !
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critiques presse (4)
LeDevoir
25 mai 2021
Ce classique instantané plusieurs fois perdu et enfin retrouvé de Gianfranco Calligarich n’a pas pris une ride.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
SudOuestPresse
22 février 2021
Paru en 1973 et resté inédit en France, ce roman de l’écrivain et scénariste italien met en scène un héros mélancolique dans sa quête vaine de sens. Une maestria confondante.
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
LesInrocks
16 février 2021
Paru en 1973 et resté inédit en France, ce Dernier Eté en ville de Gianfranco Calligarich est un premier roman mélancolique qui met en scène un antihéros très actuel.
Lire la critique sur le site : LesInrocks
LeFigaro
04 février 2021
L’histoire de la lente dérive d’un jeune journaliste milanais installé à Rome dans les années 1960 appelle aussitôt des images de deux films de cette époque: Le Feu follet, de Louis Malle, et La dolce vita de Fellini.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (59) Voir plus Ajouter une citation
Ainsi j'appris qu'elle m'avait aimé. Ainsi j'appris, sur le ton confidentiel et suave du ragot, qu'elle m'avait aimé. Il y avait eu des scènes terribles à cause moi. Eva ne comprenait pas comment Arianna pouvait être amoureuse d'un type aussi brancal que moi. Elles ne faisaient que se disputer mais la scène la plus violente avait eu lieu quand j'avais disparu de la télévision. Ils dînaient tous ensemble et Arianna, en proie à ses peurs, n'avait pas arrêté de se lever pour me téléphoner jusqu'à ce qu'Eva explose. Il y avait eu des assiettes cassées et des pleurs et, en fin de compte, Arianna était partie en criant qu'elle allait s'installer chez moi. Mais elle ne m'avait pas trouvé et, à cinq heures du matin, elle était allée chez les Diacono. Elle était si mal qu'ils avaient dû appeler un médecin. "Elle n'arrivait pas à respirer", dit Viola. Je ne dis rien. Je pensais au lendemain soir, quand elle était venue chez moi et que je l'avais laissée sur le fauteuil en lui tournant le dos.
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«  Les lecteurs sont une espèce en voie d’extension. Comme les baleines ,,les perdrix et les animaux sauvages en général, dis- je.
Borges les qualifie d’oiseaux ténébreux et, selon lui, les bons lecteurs sont plus singuliers que les bons auteurs . Il dit que de toute façon c’est un acte postérieur, plus résigné, plus courtois , plus intellectuel .
Non, dis - je encore , ce n’est pas ça le danger. Les livres te font une impression différente selon ton état d’esprit au moment où tu les lis » …
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☼ Et il y aura pour vous des soirées estivales percées de lumières, de vibrants matins printaniers, des nappes de cafés comme des jupes de filles agitées par le vent, des hivers acérés et des automnes interminables où elle vous apparaitra sans défense, malade, exténuée, lourde de feuilles décapitées silencieuses sous vos pas. Et il y aura les escaliers éblouissants, les fontaines tapageuses, les temples en ruine et le silence nocturne des dieux révoqués, si bien que le temps ne sera plus qu’un élan puéril qui fait trotter les horloges. Ainsi vous aussi, attendant jour après jour, vous deviendrez une part d’elle. Jusqu’au joue ensoleillé où, humant le vent venu de la mer et regardant le ciel, vous découvrirez qu’il n’y a plus rien à attendre.
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Les lecteurs sont une espèce en voie d’extinction. Comme les baleines, les perdrix et les animaux sauvages en général, dis-je. Borges les qualifie d’oiseaux ténébreux et, selon lui, les bons lecteurs sont plus singuliers que les bons auteurs. Il dit que de toute façon c’est un acte postérieur, plus résigné, plus courtois, plus intellectuel. Non, dis-je encore, ce n’est pas ça le danger. Les livres te font une impression différente selon ton état d’esprit au moment où tu les lis. Un livre qui t’a paru banal la première fois que tu l’as lu peut te foudroyer la fois suivante juste parce qu’entre-temps tu as vécu un malheur, ou tu as fait un voyage, ou tu es tombé amoureux. Bref, parce qu’il y a eu un accident dans ta vie. »
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J’allais tous les jours voir la mer. Un livre en poche, je prenais le métro pour Ostie et passais une bonne partie de la journée à lire dans une petite trattoria sur la plage. Puis je rentrais en ville et allais flâner du côté de la place Navone où je m’étais fait des amis, des gens qui erraient comme moi, essentiellement des intellectuels aux têtes de réfugiés et aux yeux pleins d’attente. Rome était notre ville, elle nous tolérait et nous amadouait, et je finis moi aussi par découvrir que, malgré les emplois sporadiques, les semaines le ventre vide, les chambres d’hôtel humides et ténébreuses au mobilier jaunâtre et grinçant comme dévoré par une obscure maladie du foie, c’était le seul endroit où je pouvais vivre.
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Par Jérôme Kircher
Révélation de l'édition 2021 d'Italissimo et récompensé par les prix Fitzgerald et Marco Polo, l'envoutant roman de Gianfranco Calligarich nous entraîne dans la Rome de la « dolce vita» de la fin des années 1960. Leo, milanais d'origine, s'y est installé depuis quelques années, où il vit de menus travaux de rédaction. Il flâne dans la capitale, il fréquente les cercles mondains, il meurt d'un ennui profond. Une rencontre amoureuse éclaire son désenchantement – mais Arianna est volatile, tristement évanescente. Un texte magnétique, teinté d'une douce ironie et traversé par la poésie. L'intense lecture de Jérôme Kircher en révèle toute la force et la beauté.
Montage du texte : Sylvie Ballul.
En collaboration avec L'Intime Festival et avec le soutien du Centro per il libro et la lettura.
À lire – Gianfranco Calligarich, le dernier été en Ville, trad. de l'italien par Laura Brignon, Gallimard, 2021.
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