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4,31

sur 2433 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je ne suis pas un amateur de science-fiction et cela se confirme ! Alors que je voulais me lancer à la découverte de Philippe K.Dick, un ami m'a plutôt conseillé, pour commencer, ce tome 1 sur "Le Cycle d'Ender".
Je ne remets pas en cause le livre en lui même qui est bien écrit et bien construit. C'est tout simplement cet univers qui ne me correspond pas.
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Bon … Ne nous cachons pas. C'est pas fou. Et pourtant, le synopsis est vraiment intriguant. Rien de nécessairement original ou grandiose, mais intriguant. Au final ? Comme un arrière goût de déception, de « meh », de « tout ça pour ça ». Pourtant, il y a des concepts très cools: les enfants modifiés génétiquement pour être de bons soldats dés la plus tendre enfance, les deux vagues d'invasion alien, le monde qui vit dans la peur d'une troisième, les chapitres qui commencent tous par une discussion entre comploteurs … C'est bien trouvé.

Mais c'est fade. Voilà, je l'ai dit. Je n'ai rien trouvé d'original, de fun, de différent dans ce livre. Un synopsis peut être utilisé 1000 fois de 1000 manières différentes (les aliens-insectes invasifs rappellent Starship Troopers, par exemple). Mais là, il n'y a pas grand chose de neuf, et le peu qu'il y a est mal exploité. On parle très peu, par exemple, des traumas d'une vie pareille sur les enfants. Les enfants, d'ailleurs, parlent tous comme des adultes (OK, ils sont faits pour), mais sans subtilité. Tout le plot avec le frère et la soeur du héros est mal amené, relégué au second plan, puis remis sur le devant de la scène comme un deus ex machina mal ficelé. Les révélations sont trop brutes. On s'attend au retour du grand héros de guerre.

C'est vraiment dommage, parce que ça aurait pu être un très, très bon livre. Mais ces maladresses, et le fait que je n'arrive pas à me décider à qui ce livre s'adresse (est-ce du YA ?), n'a pas aidé ma lecture. Les suites ne seront pas ma priorité …
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Peut-être est-ce du à la canicule, ou à la mise au repos soudaine de mon cerveau (ah! les vacances!), toujours est-il que ce roman que j'imaginais comme la découverte d'un monde extraordinaire, d'un futur extravagant, peuplé de bestioles extra-terrestres, de folles batailles intergalactiques...m'est tombé régulièrement des mains pour finir sur le sable, pas très fin lui non plus, d'une plage méditerranéenne. En lecteur acharné, j'ai vaillamment lutté pendant 300 pages entre crises de somnolence et transpiration à grosses gouttes, pour atteindre enfin le moment de libération: tout cet entrainement guerrier, cette psychologie binaire et cette brutalité inhérentes à l'univers militaire made in USA n'auront pas été en vain. Dommage de devoir attendre le dernier quart du livre pour réaliser que finalement c'est beaucoup plus profond et subtil qu'il n'y parait.
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L'un des intérêts à mon sens de la science fiction, c'est les questions qu'elle pose sur nous, notre avenir, nos possibilités, notre humanité. Autant dire que j'ai fini cette lecture avec un gros point d'interrogation au dessus de la tête, mais pas forcément dans le bon sens. Que voulait dire l'auteur ? Tout ça pour ça ?
Pour résumer, la meilleure chance de survie de l'humanité contre une probable invasion extraterrestre réside en Ender, un garçon dont l'ADN est hyper prometteur (eugénisme, bonjour) et que l'on a entraîné toute sa vie ou presque à prendre la direction de la flotte de l'humanité. Réunie pour contrer le même fléau, l'humanité envoie tous ses jeunes prodiges à l'Ecole de Guerre, où l'on croise pêle-mêle espagnols à l'honneur démesuré, français arrogants et juifs destinés à prendre les postes clef. Racisme et préjugés, bonjour. Tout ce petit monde très masculin est organisé en armées qui simulent des affrontements régulier pour monter ou descendre dans les classements.
Au début de ce livre, j'était relativement enthousiaste. Je pensais y découvrir des pistes de réflexions sur ce qui pouvait advenir dans une société ultra militarisée, à l'information soigneusement contrôlée et sur les conséquences de la manipulation et conditionnement de jeunes enfants. Las ! Si il y a effectivement quelques apartés sur la manipulation des masses, le livre se borne pendant la plus grande partie du récit à faire l'inventaire très descriptif des succès de Ender face aux épreuves mises sur son chemin. Car les adultes pipent dès le départ les règles du jeu dans le but de faire du garçon un surhomme.
On s'attache très vite à Ender, petit garçon intelligent qui en prend plein la figure et grandit isolé à cause des adultes. Ender fait également face à l'incompréhension de ses pairs du fait de son intelligence, mais, heureusement, il est reconnu assez vite pour celle-ci (enfin, à la moitié de l'ouvrage), voir admiré et envié. Nous avons donc typiquement le schéma de l'individu trop intelligent pour être pleinement intégré au sein de la petite société dans laquelle il évolue. La caricature des fans de SF ou même des lecteurs en général ? Dans tous les cas, on peut penser que ce roman calme une blessure narcissique, car ce petit prodige va sauver le monde, lui et pas un autre, et tout ça parce qu'il est unique.
C'est le premier écueil qui m'a fait douter du livre. L'auteur aime peut être trop son personnage, parce qu'Ender est si unique qu'il ne subit aucune défaite, jamais. Tout au plus des avertissements, qu'il utilise toujours à bon escient. de ce fait, l'enjeu du livre n'est pas vraiment de savoir si il va arriver à exterminer les ennemis. C'est plutôt de savoir de quelle manière et si il va aller jusqu'au bout du conditionnement par le jeu imposé par les adultes.
Car, au fil du roman, de petites piques, quelques répliques viennent nous éclairer sur ce que pense Ender et les autres enfants des « jeux » pratiqués à l'Ecole de Guerre. Si la plupart font aveuglément confiance au système, certains ne sont pas dupes. Et, de plus en plus, on voit la défiance et le découragement d'Ender grandir au fil des pages et des épreuves. Longtemps, on espère que ce petit génie va sortir des cases imposées par un système dénué d'âme. Longtemps, on aspire à ce qu'Ender sonne la fin du jeu et de la tromperie pour exercer son libre arbitre. En vain, jusqu'au twist final qui surpasse le reste du livre dans le fait de transformer l'enfant en outil. Et la question qui se pose est la suivante : qu'a voulu faire Orson Scott Card ? Dénoncer ces sociétés ultra militaristes au conditionnement impitoyable en nous faisant ressentir tout le dégoût et le désenchantement d'un jeune garçon trompé jusqu'au bout par les adultes qui l'utilisaient ? Ou au contraire, faire une oeuvre de divertissement remplie de batailles et de rebondissements autour d'un élu, quitte à peu se poser la question de la moralité ? On reste en équilibre tant la réponse est peu claire. En effet, à part le ressentiment d'Ender qui finalement se résout à porter seul un immense fardeau, peu de questions ou même de remises en question se posent dans les dernières pages de ce livre. Troublant, mais pas forcément dans le bon sens. J'aurais préféré sortir de ce roman en me questionnant sur la responsabilité de chacun, sur la fin qui justifie ou pas les moyens.
Ceci dit, il ne faut pas refuser le fait que Card a été un incroyable visionnaire sur la place de certaines technologies. En effet, le livre a été écrit en 1985 et l'auteur avait déjà anticipé la place importante des réseaux sociaux dans la manipulation de masse, la place de l'ordinateur/smartphone (les étudiants ont tous un « bureau », une sorte d'ordinateur transportable sur lequel ils peuvent faire des recherches, communiquer avec d'autre, jouer aux jeux vidéos) et celui du jeu dans l'apprentissage. Même si je suis déçue et embarrassée par la fin de ce livre, Card est un très bon conteur, avec une imagination impressionnante. Mais je ne pense pas revenir un jour dans son univers.
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Original, mais un truc m'a dérangé pendant tout la lecture : c'est l'âge d'Ender et de ses camarades de "jeu" ... vraiment, ça ne colle pas. Et puis parfois, l'histoire s'enlise un peu, la description des "combats" est répétitive... dommage.
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Un roman de SF militaire qui ne m'a pas vraiment plu.
Je n'ai pas apprécié le personnage à qui tout réussi, au bout d'un moment cela lasse. Cela fait que l'on se doute de la fin du roman.
Pour le reste je me suis lassé des scènes d'entrainement, on en lit des pages et des pages sur le déroulement de ces exercices.
C'est beaucoup trop centré dessus.
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Or donc, alors que je cherchais de quoi occuper quelques heures de voyage en train, voilà que je tombe sur « L'Exil », le dernier paru du Cycle d'Ender d'Orson Scott Card[1].

Re-or, re-donc, cette lecture intervient après l'écoute de la formidable émission quotidienne de Philippe Colin & Xavier Mauduit cet été sur France Inter, « Les persifleurs du mal », consacrée à « une brève histoire du mal en 25 épisodes, avec l'espoir de souligner combien nous sommes définis par cette dualité. », et plus particulièrement, ce jour-là, à la définition du mal [5] avec l'intervention de Michel Puech[4], maître de conférence en philosophie à l'Université Paris-Sorbonne, en charge d'un cours sur la philosophie du mal.



Au fond, l'émission radiophonique et les romans se répondent l'un l'autre, abordant chacun à leur façon le sujet de la violence et de sa justification. Les remarques de Michel Puech m'ont aidé à poser des mots sur le fond des idées développées notamment dans « La Stratégie », premier roman du cycle.



Comme je n'ai peur de rien, je vais tenter de démontrer d'une part que le cycle d'Ender participe d'une vision très « étasunienne » du monde en général et de la confrontation entre les peuples en particulier et d'autre part, que les thèmes abordés s'intègrent dans un débat philosophique autour de la définition du mal et des techniques pour s'en défendre. (Et tout cela, armé seulement d'une année d'introduction à la philo en Terminale S, il y a 15 ans de cela, de ce que j'ai compris d'une émission de radio, et des notes d'un cours de philosophie, autant dire que la tâche sera rude.)

Lien : http://sfetal.blogspot.com/2..
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Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=31865
J'ai mis la note de : 14.5/20

Mon avis : Rééditée et remise au goût du jour, notamment grâce au film éponyme avec Harrison Ford en 2013, La stratégie Ender fait maintenant partie des classiques de la science-fiction moderne. Auréolé de nombreux prix dans les années 80, Orson Scott Card a su écrire une oeuvre qui s'adresse aussi bien aux adolescents qu'aux adultes. Toutefois, attention aux âmes sensibles : même si la violence n'est pas l'objectif de ce livre, les tortures psychologiques sont légion et peuvent perturber.

Ender, que l'on pourrait traduire par « Terminateur » en français, est un jeune garçon de 6 ans au début du livre et qui se nomme Andrew Wiggin. On suit son parcours militaire, depuis son entrée à l'Ecole de la Guerre jusqu'à la fin de son éducation à l'Ecole de Commandement peu après ses 11 ans. Contrairement à de nombreuses autres histoires mettant en scène de si jeunes protagonistes, celle-ci est très mature tant le personnage est étrange, bien trop intelligent pour son âge et façonné dans un but précis. Effectivement, troisième enfant d'une famille ne pouvant en avoir que deux selon les lois du système, Ender vit un calvaire sous le joug de son frère Peter et dans la presque indifférence de ses parents qui savent que leur dernier enfant leur sera bientôt enlevé pour une cause supérieure à toute autre : devenir le commandant suprême qui libèrera l'humanité de la future invasion des doryphores, vieil ennemi déjà battu à deux reprises mais dont la force ne fait qu'augmenter avec le temps. Tous les espoirs reposent sur Ender qui ne s'en rendra compte qu'en temps voulu, une fois sa formation achevée.

L'évolution psychologique d'Ender est le point central de ce livre et est plutôt réussie. Intéressante, prenante, perturbante et parfois choquante, ses pensées et interrogations nous sont livrées avec beaucoup de détails. Torturé, perdu, motivé, déprimé, désemparé, satisfait, … Ender passe par des états et des prises de conscience d'importance, qui auraient pu démotiver un adulte entraîné et sûr de ses aptitudes. L'âge d'Ender est quasi transparent pour le lecteur qui se souvient surtout de la personnalité du héros alors que sa jeunesse lui vaut les insultes, le mépris et le rejet de ses nouveaux camarades de classe. Cette dualité est parfois dérangeante. Même si Andrew reste en effet un enfant, ses capacités sont loin d'être celles que l'on attend à cet âge. Son entourage ne semble pas le voir et s'amuse à le rabaisser un bon moment à ce propos, ce qui finit par lasser à un moment donné. Il apprend cependant à utiliser cela à son avantage, appréciant le fait d'être sous-estimé pour mieux impressionner.

Les personnalités de son frère et de sa soeur sont aussi intéressantes mais ne sont pas aussi développées. Une sous-intrigue concernant Peter et Valentine est entamée vers le milieu du livre. Elle n'est malheureusement pas vraiment mise en avant par la suite alors que l'on aurait aimé suivre ces deux intrigants et en savoir davantage sur leurs actions. Alors que la partie sur Ender est basée sur le pouvoir, la violence psychologique et l'action, celle sur Peter et Valentine est basée sur la manipulation de masse, la politique et l'appropriation de personnalités stratégiques pour des enjeux plus terre à terre, loin des mouvements spatiaux et inter dimensionnels. Les partis politiques ainsi que les relations internationales ne sont pas détaillées et certains termes, tels que Hégémon ou Pacte de Varsovie, ne sont pas expliqués. On se perd facilement et on a du mal à suivre, ce qui est vraiment dommage étant donné l'importance de la sous-intrigue, notamment sur la fin.

Les phases d'enseignement à l'Ecole de la Guerre sont à la fois originales et déjà vues. Les étudiants travaillent sur des simulateurs perfectionnés, suivent des cours classiques, passent leur temps libre sur des jeux vidéo intelligents, et sont poussés à bout par un personnel encadrant frisant parfois la cruauté. La persuasion et la manipulation sont au coeur d'un régime truqué qui transforme de jeunes recrues à fort potentiel en des pions soumis. Ender déroge quelque peu à cette règle, préférant se fier à ses intuitions et n'hésitant pas à se frotter à l'insubordination, au grand damne des dirigeants. Isolé de force, Andrew se transforme petit à petit en une machine de guerre. Les cours, les séances d'entraînement et les exercices militaires, bien que répétés, n'ennuient pas. Chaque bataille est ainsi faite pour varier légèrement de la précédente, ce qui permet à Andrew d'en apprendre toujours plus et au lecteur de ne pas avoir l'impression de lire deux fois la même chose. de plus, beaucoup d'exercices ne sont pas décrits, ce qui limite ainsi les scènes d'actions répétitives et ennuyeuses.

Ce caractère à la fois rebelle et torturé par l'enseignement agressif de l'école, fait du héros un personnage attachant. Modeste, se remettant toujours en question, n'aimant pas la violence mais n'hésitant pas à se défendre, Ender apparaît comme un commandant unique en son genre. Curieux, il cherche toujours à en savoir plus sur ses ennemis, les doryphores, et cherche à comprendre leurs motivations. Cet intérêt, que les autres personnages du livre n'ont pas, permet de séparer Ender des autres et d'en faire un être plus humain, capable de compréhension et de sentiments. Cette personnalité complexe est plaisante et donne une vigueur et un fond vibrant au roman, malgré un ton plat et une traduction trop stricte. Par exemple, les descriptions des scènes actions sont monocordes et sans saveur. On s'y ennuierait presque. Les stratégies ne sont pas réellement détaillées, ce qui est décevant étant donné l'apprentissage d'Ender. Les dialogues sont plus intéressants mais manquent parfois d'attrait. Il faut dire que les autres personnalités du livre sont loin d'être jouissives. Les professeurs sont durs et droits, les dirigeants sont froids et calculateurs et les autres élèves sont fermés et méfiants. Alai, Bean, Dink ou Petra sortent quelque peu du lot même s'ils nous donnent l'impression d'être de de quasi inconnus tant on n'en sait si peu sur eux.

Chaque début de chapitre est un dialogue entre deux adultes : des dirigeants, des politiciens, des scientifiques ou des enseignants. Ils ne nous apprennent finalement pas grand-chose et finissent même par être agaçants. Au début ils sont mystérieux et posent un peu les choses puis ils deviennent inintéressants au possible.

La fin étonne vraiment et nous fait nous poser plein de questions. Tous les mystères ne sont tout de même pas résolus, notamment un dont l'explication apparaît comme peu suffisante. Les dernières pages apparaissent bien plus prenantes qu'une grande partie du livre et donnent envie de continuer le cycle, qui compte 4 autres livres.

Un roman à la fois humaniste, provocant, qui nous montre comment il est possible et facile de pervertir une âme jeune et innocente et qui critique un système inhumain. Un livre intéressant surtout au niveau psychologique, même si l'intrigue finit par nous surprendre sur les dernières pages. Un classique qui n'a rien perdu de son intérêt et qui met en place un personnage fort et captivant.
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Depuis des années, la Flotte Intergalactique sélectionne patiemment les enfants les plus brillants de chaque génération, pour leur faire subir une dure formation, destinée à recruter les futurs officiers. le but est de former le futur commandant de la Flotte, celui qui sera capable de repousser la Troisième Invasion des Doryphores, des créatures décidées à envahir la planète Terre.
L'état-major s'intéresse tout particulièrement à Ender, six ans et déjà très brillant. Sous l'autorité du colonel Graff, Ender, séparé de sa famille, subit une énorme pression. le commandement estime nécessaire de le pousser dans ses derniers retranchements pour en faire le meilleur.
Ender a grandit dans cet environnement hostile et étranger, oscillant entre petites victoires personnelles, combats contre ses démons intérieurs et déceptions d'être manipulé, mais avec la conscience de la lourdeur de l'enjeu que l'on fait pratiquement reposer sur ses seules petites épaules.
Ce livre est facile à lire et l'histoire est sympathique mais je ne l'ai pas lu avec enthousiasme. Je ne me suis pas trop ennuyée mais je n'ai pas trop accroché.
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autant j'ai aimé le film que j'ai pas accrocher avec le livre, trop de détails sur les combats et les stratégie de combat qu'ender fait, au final j'ai pas réussit a finir les derniers chapitre, car je décrocher sans arrêt. Dommage j'aurai sans doute dû le lire avant de la voir...
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