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4,31

sur 2415 notes
Un chef d'oeuvre de sf militaire.


Comme le titre l'indique, nous sommes en présence d'un chef d’œuvre de la science-fiction en général et de la sf militaire en particulier.
Prix Hugo 1985, prix Nébula et Science Fiction Chronicle en 1986.
A ranger à côté de Etoiles, garde à vous ! (Starship Troopers) de Heinlein et La Guerre éternelle de Haldeman, des livres qu'il faut avoir lu en sf militaire.
Pour la petite histoire, le roman est issu d'une nouvelle écrite par l'auteur en 1978, elle aussi primée.


L'histoire : Ender Wiggin, enfant précoce, dont la naissance a été autorisée grâce à ses capacités supérieures "potentielles" est recruté par l'armée pour devenir, ni plus ni moins que le sauveur de l'humanité, face à des extra-terrestres, battu une première fois, mais susceptible de revenir menacer la terre. Ender part en orbite pour s'entraîner à travers des jeux de rôle, à devenir un maître de la stratégie, pour pouvoir à terme, devenir le commandant en chef d'unités combattantes de vaisseaux spatiaux.
Notre héros, nouera des amitiés et suscitera jalousie et haine.
Ender a 6 ans.
Sur terre, son frère et sa soeur, génies précoces eux-aussi, s'emploieront, par le biais des réseaux sociaux à manipuler l'opinion publique et les gouvernements, en vue de prendre le pouvoir.


L'auteur, manipule nos sentiments, en mettant en scène des enfants, dans des rôles d'adulte, leur faisant subir des situations qui ne peuvent que nous émouvoir.
De l'action, de la stratégie, des manipulations politiques, de la violence, rien ne leur sera épargné et on trépigne, jubile, au gré des situations dans lesquelles ils se mettent ou auxquelles ils sont volontairement exposés.


La stratégie Ender est le premier opus d'un cycle qui se poursuit par La Voix des morts, mais ce roman, même s'il reste un grand livre de sf n'a absolument rien de commun avec le roman ici présenté.
Si vous voulez faire durer le plaisir, précipitez vous plutôt sur La saga des ombres, Tome 1 : La stratégie de l'ombre,
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Excellent et un Nebula et un Hugo tout à fait mérités .
Le bruit court que les Doryphores ont étés vaincus il y a 50 ans , alors que ce texte débute , une nouvelle invasion commencerai !
Ce roman est tout de même assez bluffant car le rythme et les péripéties viennent s'inscrire dans un univers palpable et absolument crédible .
Les personnages sont d'une solidité à toute épreuve et l'éthique est placé au centre du texte .
Enfin , la fin est certainement une des plus surprenante de toute le genre science-fiction .
Former dès l'enfance des enfants soldats à devenir des guerriers , les faire murir précocement ( en batterie ) est une thématique fabuleuse pour loger une réflexion éthique , surtout quand la société est une démocratie de façade .
La guerre , le statut moral de l'ennemi , la compassion , l'endurance , la maturité précoce , la liberté , la solidarité , la ruse , la double contrainte , le conditionnement , sont autant de thèmes correctement et subtilement approchés dans cet excellent roman . Un roman qui propulse le lecteur en apesanteur de façons palpables et qui le plonge également dans des simulations de combats saisissantes ainsi que dans les coursives de vaisseaux de guerre à la tangible réalité .
Certains , un peu partout sur le ouèb parlent de propagande mormon concernant ce roman ?
En toute franchise , je pense qu'ils ont fumé un peu trop de moquette .
En fait il est manifeste que c'est un procès d'intention injustifié qui est fait à l'auteur à qui on reproche tout simplement d'exister .
Ce genre d'affirmations sans arguments est aussi spirituel et injustifié que les buchers de l'inquisition le furent naguère .
Franchement sur : l'éternelle réflexion autour du bien et du mal avec en corollaire la question de la responsabilité et de la compassion , je trouve que l'auteur s'en sort magistralement et qu'il pose de bonnes questions .
Alors si c'est cela le mormonisme , j'en veux bien une louche et même du rab ! merci !
( je blague , parce que je suis sur une autre chaine , en fait )
De l'excellente science-fiction militaire .
Et n'ayez pas peur , car ce roman n'a encore jamais mangé personne et le grand méchant loup n'y est pas !
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La stratégie Ender est un roman de science-fiction.
22 décembre 3h30. L'oeil ne veut plus se fermer. Reprendre le livre ? Hier soir ça a commencé à coincer. Bon allez un chapitre. le bol est plein, je commence à sauter des lignes Toujours la même chose : l'entrainement à la guerre encore et encore. Des mecs sévèrement burnés qui se gueulent dessus, qui s'humilient, qui jouent à celui qui pisse le plus loin. C'est plus que je ne puis supporter. Pourtant ça démarrait plutôt bien, quatre étoiles sur l'échelle je l'avais gratifié. Mais on en revient toujours à la même chose : technique de combat et stratégie.
Pour le côté science-fiction, j'ai beau chercher, je trouve pas trop. Les ennemis sont une race extra-terrestre et s'appellent les doryphores, le héros qui prend tout le monde de vitesse à six ans, l'entrainement a lieu dans une station orbitale, bien loin de tout. OK admettons.
Mais à la page 218 mon bocal déborde. Je referme le livre et descends au p'tit coin. En passant je jette un coup d'oeil : 4,3 sur plus de mille notes. J'en trouve quelques-uns (zunes) dans mon cas. Ouf. Je réessayerai ce soir, s'ils en disent du bien y a forcément quelque chose à aller chercher.
Je referme la lumière, et j'essaye de faire taire mes pensées concernant ce livre. Pas facile, c'est le genre de bouquin qui m'énerve. Allez dom, pense à des choses cool. Ouais ... au taf, c'est la derne de l'année ... sur le chemin je vais pouvoir écouter, musique à fond ; Anasthetize de Porcupine Tree. Oh ouais ! Je sens déjà les frissons, les larmes ruisseler ... l'orgasme est assuré … il arrivera par palier.

Je termine ce livre le matin du 23. Effectivement le récit reprend de la vigueur et apparait comme un livre de SF mais toujours beaucoup trop de longueur. Un bouquin terrifiant qui pourrait bien comporter quelques brides de réalité.
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Je suis un piètre tacticien de SF Militaire j'en ai bien peur, une petite pleureuse à la masculinité dérangée, je vais bien réussir à te décrocher une larme d'imagination à travers mes pensées affutées en limites "imaginantes, dans un roman d'amour à L'H2O trop rosée, mais permettez-moi un petit verre de rouge avant la tisane, je suis d'un ordinaire au complexe souriant, je me vautre « labile » en plein dedans…

Misère de moi car je n'ai pas su apprécier ce roman à sa juste référence, élu parmi les classiques du genre, je me suis fait geler les neurones avant que la pomme tombe au sol, mièvreries d'un droitier hors « paire » qui se baloche au fond d'un bout de tissu de couleur, parce que je ne fréquente pas le racisme de près et « queue » je m'en éloigne de loin, ce qui me maintient la virilité dans la gravitation Newtonienne, mais pas loin d'un trou noir quand lumière fut éteinte. Einstein si tu penses encore un peu dans la mort, n'hésites pas à me foutre des photons dans le quantique que j'y particule un peu de bon sens.

Pauvres gosses, on a pas idée de jouer de la manipulation, on leur colle une bonne grosse dose d'impossible dans la guimauve et les voilà qui nous font de la barbe à papa, un peu de chewing-gum non de dieu… je n'ai pas été emporté dans l'univers mais plutôt ennuyé par les pages qui se succèdent et se ressemblent, l'écriture ne touche pas au génie certes mais l'histoire est bien chiadée, je lui accorde en mi mineur, bien philosophée : aux nombreux concepts qui nous collent au cul comme une vieille histoire mal branlée depuis la pensée, on s'y retrouve dans notre profonde connerie, on s'y sourit dans notre humilité prétentieuse, audacieuse de par notre esprit « sein », ma langue fourche pardonnez-moi, mais pernicieuse dans les faits…

Donc oui je suis déçu de mes gouts sur ce coup-là, j'aurais souhaité plus d'audace, plus de maturité, l'auteur me vend de l'enfant surdoué, mais puéril, un paradoxe qui se vend mal dans ma tête de gosse d'antan, piètre sous-doué, je maitrisais quand même l'art de la multiplication, mais je ne brillais pas parmi l'élite ennuyeuse qui levait le doigt pour glisser un peu trop de jugeote dans un monde tout rond, oui la terre est ronde, l'espace est plat, quoi que attendez que je me « pense » plus en avant, et me voilà qui glisse dans l'absurde….

Oui c'est un bon roman, oui c'est une histoire brillante, oui c'est une référence, malheureusement je n'y étais pas sensible pour 400 pages, il m'a manqué quelque chose de doux, comme la caresse romantique d'une féminité nuée de pudeurs érotiques, peut-être qu'un rien du tout aurait suffi, mais je n'ai pas été transporté avec ENDER, et la fin n'aura pas suffi à mon bonheur de lecteur.

A plus les copains
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Ouvrage à haute portée balistique, permettant de voler en apesanteur mais sans le balai magique d'Harry Potter. Je pense que JK Rowling a lu Orson S. Card.
L'armée a décelé un fort potentiel chez une famille modeste. Elle les autorise à faire un troisième enfant. Les deux premiers, Peter et Valentine, n'ont pas donné entière satisfaction aux différents tests pour rentrer à l'école militaire.
Alors le troisième enfant, un garçon surnommé Ender, est à son tour "acquis" par l'armée depuis sa naissance grâce à un moniteur fixé sur sa nuque.
La réussite de ce roman est de susciter l'empathie pour un écolier pas comme les autres, un petit génie à qui l'on en fait voir de toutes les couleurs. Un enfant maltraité, comme une chose qui se résume à un dossier sur le haut de la pile. Un enfant qui même s'il est très prometteur perd peu à peu ses repères.
En effet, l'armée cherche le futur commandant qui va les mener à la victoire la prochaine guerre contre les...doryphores, des extra-terrestres estampillés méchants.

Cette histoire est classée science fiction militaire mais les thèmes sont bien d'actualité avec la pression scolaire et le harcèlement scolaire.
Suivre les évolutions du petit Ender a quelque chose de terriblement palpitant car son parcours initiatique est constellé d'obstacles dont l'isolement de sa famille.

J'ai un peu retrouvé le gamin que j'étais à 11 ans (lui en a 6 dans le roman) en pension au collège dans un dortoir de 50 lits. Comme pour Ender, faisant partie de la bleusaille, nous avons du subir la violence gratuite exercée par les plus grands quand le surveillant n'était pas là...

Mieux qu'une partie de Spaceship avec une fin bluffante.
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Une armée en guerre interstellaire à la recherche d'un héros qui saura sauver le monde. Et si ce héros était un enfant ?

L'ennemi, ce sont les doryphores qui ont attaqué la Terre il y a quelques décennies. C'est de justesse qu'un grand général avait alors sauvé la planète. Ender, un gamin de six ans, est peut-être celui qui pourra lui succéder s'il réussit toutes les épreuves de la formation.

C'est un être exceptionnel et il sera soumis à un rude entraînement physique, des combats lors desquels il devra développer des stratégies nouvelles et un travail d'équipe. Il devra aussi réussir des simulations de batailles par ordinateur. Même ses réactions au harcèlement dont il est victime sont analysées et servent à évaluer son potentiel.

Il s'agit donc de science-fiction militaire, avec de l'action, mais aussi toute une dimension psychologie : motivation, rivalités et sentiments de culpabilité. Une histoire de qui montre aussi la vulnérabilité des héros qui parfois sont bien fatigués…
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Les parents Wiggin peuvent être fiers de leur progéniture.
Trois enfants, trois petits génies qui, dès la prime enfance, délaissent poupées et petits soldats pour se mettre à penser et agir comme de brillants adultes. Trois enfants prodiges (ou monstres ?) qui vont influencer l'avenir des Terriens.
Rien de moins !
Et ce n'est pas le moindre des paradoxes que de croire dès les premières pages, grâce à l'extraordinaire talent de conteur de Orson Scott Card, à cette histoire de fou.
Dans ce lointain futur, les terriens sont à la croisée des chemins. A peine découvrent-ils qu'ils ne sont pas seuls dans l'univers qu'ils échappent de peu à l'anéantissement par de puissants et surdéveloppés extraterrestres, surnommés doryphores, au mode de pensée radicalement différent du leur. de cette sanglante confrontation, les terriens récupèrent une nouvelle technologie, l'ansible, qui leur permet de communiquer en instantanée à travers l'immensité de l'univers.
Grâce à l'ansible, ils ont les moyens d'attaquer les doryphores dans leur propre monde. Mais pour mener à bien cette nouvelle guerre où il s'agit d'exterminer l'ennemi, l'état-major militaire a besoin d'un grand chef de guerre. Une perle rare qui bousculerait tous les prérequis, qui inventerait de nouvelles stratégies ; un génial stratège adulé de ses hommes et capable de gagner une bataille en combattant à un contre dix… Une sorte de Napoléon qui n'aurait pas fini par être vaincu, en quelque sorte, ou d'Alexandre le Grand qui n'aurait pas brulé sa vie par les deux bouts de la chandelle.
L'état-major jette son dévolu sur le troisième enfant de la famille Wiggin : Andrew surnommé Ender par sa grande soeur Valentine. Depuis sa naissance, ses faits et gestes sont surveillés, disséqués, analysés, grâce à un moniteur placé dans son cerveau. Les militaires devinent en lui toutes les qualités du grand chef : visionnaire, jusqu'au-boutiste, perfectionniste… Ender est enlevé à sa famille dès l'âge de six ans et envoyé à l'académie militaire pour être formé à son futur rôle. Un apprentissage d'une dureté et d'une violence inouïe. Les adultes font tout pour isoler Ender des autres enfants de l'académie. Ils jettent ce gosse plus jeune, plus faible que les autres en pâture à la haine et la méchanceté des petits chefs qui ne supportent pas cette étrange aura qui émane de sa personne. Dans ce monde hostile, Ender n'a pas d'autre choix que d'être broyé ou de devenir le meilleur, le premier. Et c'est ce qu'il deviendra.
On ne peut qu'être troublé par ce gosse. Au fil des pages, on le voit tenir les propos et adopter le comportement d'un adulte brillant, rusé et calculateur, avant de redevenir cet enfant de moins de dix qui souffre atrocement de l'absence de sa mère et d'une solitude abyssale. On se demande à plusieurs reprises s'il parviendra au terme de sa formation avec toute sa raison.
Que dire des adultes qui ne cessent de jouer aux apprentis sorciers en manipulant sans aucun scrupule Ender pour parvenir à leurs fins ? On est totalement écoeuré et en même temps on comprend leur motivation, car de la réussite d'Ender dépend la survie de l'espèce humaine.
Ender ! Un drôle de gamin, quand même ! Si grand, si jeune… Capable d'avoir de l'empathie pour son ennemi avant de le détruire… Maître de ses actes, et totalement manipulé…
Je ne sais pas si j'aurais aimé le rencontrer.
Comme je ne veux pas me faire maudire par celles et ceux qui souhaitent lire le livre, je ne parlerai pas des cinquante dernières pages. Sachez simplement qu'elles sont éblouissantes, inattendues, surprenantes, intenses.
Un grand livre de science-fiction, certains parlent de chefs d'oeuvre, traitant de la manipulation, de la solitude et du cynisme des hommes de pouvoir. Par analogie, et sans vouloir jouer au conspirationniste, ce livre nous fait aussi toucher du doigt la manière dont notre système de pensée peut être conditionné et formaté.
Bref ! Un cycle ou une saga de plus commencé et que je dois absolument finir….
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Petit bijou de Science-Fiction militaire. Approuvé et estampillé par Wiitoo « aventure épique inside » :-) !!

Alors qu'il y a quelques années de cela, les Doryphores ont lancés deux attaques spatiales contre la Terre sans succès, les terriens sont eux bien conscient d'avoir eux, en ce temps, beaucoup de chance d'en sortir victorieux face à un ennemi extra-terrestre largement supérieur en nombre et dont la technologie semble bien plus avancée.

Les forces militaires terriennes mettent dorénavant tout en oeuvre afin de sélectionner et former les meilleures recrues dans le but de se préparer à l'inévitable. le prochain affrontement est proche et le temps est compté !

Le jeune Ender Wiggin, 6 ans, fait partie des candidats les plus prometteurs. Suivi, comme tous les enfants, depuis sa naissance par un moniteur informatique implanté dans sa nuque, il est rapidement considéré comme étant potentiellement le futur Commandant des troupes de la Force Interstellaire qui sera en charge d'affronter les Doryphores.

A partir de là Ender va suivre, durant plusieurs années, un entrainement extrême à travers des simulations de combats spatiaux, qui va le pousser dans ces derniers retranchements faisant de lui le plus grand stratège que la terre n'ait jamais connue.

C'est cette aventure épique qui nous est contée de manière extrêmement prenante, brillante. L'histoire est addictive, le livre très bien écrit, le dénouement héroïque.

J'ai vraiment passé un très bon moment à lire ce livre et suivant les conseils que l'on peu lire de nos plus fervent critiques de SF babéliesque, je me réjouis déjà de poursuivre ce plaisir de lecture avec la Saga des Ombres.

En effet, à la fin de ce livre, l'on comprend parfaitement bien que la suite des aventures d'Ender sera d'une toute autre nature. le Cycle d'Ender : La voix des morts
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Livre audio - Éric Chantelauze : 12h06

Roman, monument, de science-fiction que j'ai déjà lu et relu et que j'ai choisi d'écouter. Ce que je fais pour "relire" des classiques ou des pavés, tant j'ai de livres inconnus qui me font envie !

La narration de Eric Chantelauze a été tout à fait adaptée et agréable mais je pense que découvrir cette oeuvre en audio n'est pas une façon adéquate pour comprendre toutes les subtilités de l'histoire, au risque de passer à côté du coeur du Cycle d'Ender !

Je vais écouter le second mais pas les suivants, je ne les avais vraiment appréciés, ils s'éloignent trop de ce qui m'avais plu au départ !

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Voila un gros coup de coeur .
Cet opus est un régal .
L'intrigue est parfaitement construite , laissant le temps au lecteur de prendre ces marques avant d'embarquer pour un voyage palpitant .
Les personnages on tous une épaisseur conséquente , ce qui permet une identification du lecteur par rapport à eux .
Et les stratégies millitaires sont parfaitement décrites , le lecteur est emporté par un flux d'adrénaline en méme temps que les personnages .
On fait corps avec eux dans cet excellent space opéra millitaire , qui s'affirme comme étant incontournable à tout fans du genre .
Brillant .
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