L’acteur est habité par une force d’attraction, il attire vers lui ce qui le hante. Il respire ses aspirations.
L’être, tout comme l’essieu pour la roue, est l’arbre de jonction par où tout tourne. Sur sa structure souple s’échafaude un transit inouï. Son essence comporte l’entièreté des connaissances humaines. Par cette architecture d’être, l’acteur, comme la lumière dans un prisme, se décuple du même acteur en toutes sortes d’acteurs.
L’acteur est un pont créateur de mémoire vive.