Quand, au début des années 1980, un mal étrange et encore innommé décima nombre d’homosexuels, Olivier Charneux vit mourir beaucoup de ses proches.
Bien qu’épargné par ce fléau, il chercha dans ce face-à-face avec la mort précoce des raisons de comprendre et d’espérer.
Jeune écrivain, il se tourna vers des « Phares » qui balisèrent alors son chemin de survie. Ces « Phares », pour lui, se nommèrent Racine, Pina Bausch, Marguerite Duras, ...
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