Le Pèlerin de Compostelle

En 1986, l'auteur perd l'épée qui marque son appartenance à la communauté RAM. le grand maître auquel il réfère l'envoie sur le chemin de Compostelle, jusqu'aux reliques de l'apôtre Jacques, pour qu'il tente de regagner ce qu'il a perdu. Guidé par Petrus, Paulo Coehlo alterne marche et exercices physiques et spirituels. « Même si je ne trouvais pas mon épée, le pèlerinage sur le chemin de Saint-Jacques me permettrait finalement de me découvrir moi-même. » (p. 22) Loin de son pays et de sa famille, l'auteur progresse bien plus loin qu'il le croit. « Quand on voyage vers un objectif, [...], il est très important de prêter attention au chemin. C'est toujours le chemin qui nous enseigne la meilleure façon d'y prévenir, et il nous enrichit à mesure que nous le parcourons. » (p. 45)

J'ai abandonné ce texte avant la fin, mais je n'abandonne pas le chemin de Compostelle. Les pratiques et rituels de l'auteur ne me parlent pas, voire m'inquiètent. Sa spiritualité n'est pas la mienne. le dieu pour lequel je marche n'est pas le sien. L'expérience de Paulo Coehlo en intéressera certainement d'autres, mais je préfère en rester aux récits de Jean-Christophe Rufin et d'Alix de Saint-André.

Extrêmement déçue par cette histoire.
L'intrigue et les personnages manquent de relief, le style est creux et se résume à un enchaînement de banalités d'une platitude à vous endormir.

Au début de l'histoire j'en attendais beaucoup de la remise en question du personnage principal. Finalement la fin du livre mes laisse de marbre. A la limite, les petits exercices pseudo-spirituel environ chaque deux chapitres présente un côté ludique à la lecture. Mais vraiment, je déconseille de lire ce livre à ceux qui ne sont pas entièrement naïf dans la vie.

Une lecture décevante. Je n'ai pas partagé la quête du personnage, ses rituels mystiques et ses transes m'ont laissée perplexe. le pélerinage est certes pour moi une expérience respectable et compréhensible mais l'appartenance à une société secrète et la recherche d'une épée symbole de son aboutissement me semblent plus que farfelu!

Ce livre me laisse une drôle d'impression, je suis mitigée entre je suis déçue un peu ou beaucoup et comment j'ai fait pour le terminer. Quelques pages sur la fin étaient les plus intéressantes du moins pour moi.
Pourtant ce n'est pas le premier livre de Paolo Coelho que je lis et d'habitude le récit m'absorbe totalement.
Je ne m'attendais sûrement pas à ce genre de récit pompeux, pourtant le résumé était très prometteur. On est bien sur le chemin de Compostelle mais l'histoire écrite par l'auteur est plus en rapport avec un ordre auquel il appartient.
Il est clair que ce pèlerinage est je pense pour chacun différent, cependant le récit est focalisé sur l'ordre de RAM, une confrérie dont je me serai passée les différents aspects, us et rituels de passage.

La plume de l'auteur était lourde et parfois surréaliste voir fantasque, même si je ne remet pas en doute certains passages relatés qui sortent de l'ordinaire or je crains que cela ne m'est pas convaincue outre mesure.
Vous l'aurez compris, c'est loin d'être un coup de coeur pour moi !

En commençant ce livre j'étais impatient de découvrir comment l'auteur de l'alchimiste allait m'emmener jusqu'à Compostelle.
En fait après les premiers chapitres j'ai commencé à m'ennuyer, à sauter des paragraphes pour tenter de retrouver de l'intérêt. J'ai trouvé les étapes mystiques d'un ennui soporifique et j'ai été heureux de fermer définitivement ce livre.

Déçu par ce livre. Je ne me fait pas à l'écriture de Paolo Coelho, je trouve qu'elle manque de profondeur et ne parvient pas à m'émouvoir. Je lis et il ne se passe pas grand chose chez moi. Même constat avec l'alchimiste.

ou du délire utopique !

Que d'ennuis....

Un cheminement sur Compostelle, des scènes et leçons très sympa.
Mais ça devient très répétitif et long il accomplit sa quête vraiment au dernière pages du livre qui je trouve on était bâcler alors qu'on attend ça depuis le début.
Il faux être très religieux pour le lire au passé au-dessus des références a dieu.