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3,64

sur 694 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Encore un livre qui selon moi fait beaucoup de bruit pour pas grand chose ou alors je l'ai lu après un tel coup de coeur que cela ne pouvait être qu'une déception.

Je n'ai pas été sensible au style de l'auteur, ni aux personnages subissant cette lecture de bout en bout. Je n'ai pas été touchée du tout par cette lecture et la vie du protagoniste principal Thomas, cela pourrait pour moi être un personnage lambda car tout le monde quasiment connait des ruptures amoureuses, des déconvenues au niveau professionnel.

Je n'ai pas ressenti du tout de connexion entre l'histoire de Thomas et l'auteur et pourtant ce livre a été écrit pour lui rendre hommage ce qui est selon mon point de vue raté.
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J'avais entamé ce "coup de coeur" de l'Express début septembre.....puis l'ai délaissé pendant quelque temps.....au point de ne même plus m'en souvenir!

Rien n'a retenu mon intérêt, ni l'histoire, ni le style, ni les personnages. Ce récit romancé, "tiré d'une histoire vraie" comme on dit au cinoche, qui navigue entre subjectivité et touches de réalisme me laisse indifférente. le thème abordé avait retenu mon attention; le suicide est un sujet philosophique, sociologique, social, psychologique, un problème majeur de santé publique, un drame intime pour les proches.
Rien dans ce roman n'est venu effleurer mes sentiments, rien pour faire frissonner mes émotions enfouies, rien pour faire vibrer mes souvenirs,
rien qui rappelle ce lien puissant entre les morts et les vivants.
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Il existe tant de raisons de ne pas aimer ce livre ... et j'en devine si peu d'en faire cas! "L'autre qu'on adorait" est l'histoire, somme toute malheureusement banale d'un malade psychiatrique qui se révèle inadapté à la vie, surtout celle concurrentielle du monde de l'édition et de la chaire universitaire à conquérir et défendre à coût de publications. C'est une histoire triste, très triste... mais la manière de la raconter ne lui donne pas une once d'intérêt. Il n'y a pas d'issue, pas de porte, pas de passage latéral pour s'en sortir. C'est une descende aux enfers qui, de plus, est annoncée dès la quatrième de couverture et les cinq premières pages. Pourquoi, alors en écrire près de 300!

Catherine CUSSET, l'auteure, a-t-elle un compte à régler avec le monde universitaire et celui des publications? Dans sa manière d'aborder le sujet, elle n'offre au lecteur aucune espérance, aucune élévation de l'âme, de l'esprit. Même pas l'incitation à l'attention dont ces malades psychiatriques ont besoin... Elle fait du thème "une écriture", un style propre à ce roman... comme si cela pouvait le sauver de l'abîme dans lequel il nous plonge. Par exemple, elle ne peut se résoudre à parler de 'il', Thomas, le suicidé, tant l'usage d'une troisième personne l'éloignerait encore davantage... e elle nous assomme de tu, tu, tu, tu ... à longueur de pages, comme si le tutoiement pouvait nous rendre le personnage de cet anti-héros plus sympathique, ou plus proche, ou encore, dès lors, plus dramatique! Mais le "Tu ... tue" comme dit Salomé. Il n'apporte rien, fatigue le lecteur et complique la compréhension d'une histoire qui est bâtie sur le vide d'une vie.Sauf si on considère que les excès de boissons alcoolisées, les retards dans les travaux à réalisés et, surtout, les nombreuses conquêtes féminines et les désastres relationnels qui s'en suivent donnent naissance à du plein, du dense, du sens!
Non, rien, dans ce livre ne m'a intéressé. de la première à la dernière page, j'ai attendu un apport humain, une réflexion, une pensée qui justifie cet ouvrage... Rien!
Je referme le livre, ne le conseille à personne et regrette les arbres abattus pour son impression!
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C'est avec une immense déception que je vous fais part de cette critique. La première chose que j'aimerais évoquer, qui a retenu toute mon attention : quelle est la différence avec l'un de ses précédents romans « le problème avec Jane » ? Je vous retrace un petit tableau : d'une part il s'agit de Jane, thésarde de Flaubert, qui reçoit un manuscrit qui relate sa propre vie donc écrit par un autre sur elle, qui cherche désespérément l'amour, qui a une vie sexuelle plutôt libérée, qui subit quelques échecs professionnels. Et de l'autre, il s'agit de Thomas, étudiant français désireux de rentrer à l'Ecole Normale Supérieure mais qui échoue, qui écrira finalement une thèse sur Proust, dont la vie est décrite par son amie à la deuxième personne du singulier, qui multiplie les conquêtes amoureuses, dont le tempérament est parfois violent et dont la réalité tragique de ne pouvoir s'adapter à ce monde le rattrapera. Les points centraux sont toujours les mêmes : la vie universitaire, les échecs, l'amour, la sexualité, les grandes écoles, les thèses, la littérature française, la quête de trouver sa place en tant qu'intellectuelle. Il semble s'agir de thèmes chers à l'auteur mais lorsque l'on a lu son précédent roman, qui nous pousse à nous interroger sur les différences : la sexualité épanouie de la femme devient très vite lassante chez l'homme ; les deux thésards aspirant aux plus hautes écoles deviennent vite pédants. J'ai été véritablement déçue par ce manque d'imagination, Certes, Catherine Cusset cherche peut-être (sûrement) à rendre hommage à un ami perdu, mais cela justifie-t-il une telle répétition dans ses livres ?

Pour ce qui est du contenu en lui-même : et bien à vrai dire, le protagoniste principal Thomas est lassant. On lui reconnait une vie d'intellectuel un peu bohème mais cela reste très stéréotypé. le roman est parsemé de manière assez inélégante de citations littéraires. Tout aspire (de la carrière de l'auteur elle-même, à ses personnages) à une élévation intellectuelle mais il n'en est rien. Thomas est un homme à femmes, assez prétentieux, qui à force de s'estimer à la hausse, verra toutes ses prétentions tombées à plat. Un homme aussi paresseux, qui illustre avec perfection l'expression « de remettre à demain ». Il est difficile de s'y attacher, voire même sur trois cent pages, de ne pas être exaspéré.

L'histoire tourne en boucle, et le lecteur reste en dehors de cet engrenage tout en sachant pertinemment la fin tragique qui attend l'existence de Thomas.
Lien : https://littecritiques.wordp..
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L'autre qu'on adorait... hum, sans doute, pour moi, plus un autre livre que le Thomas de Catherine Cusset!

Le style est lourd et le roman sonne creux. L'auteur nous décrit Thomas, depuis son adolescence jusqu'au jour de son suicide (pas un secret car le livre commence par celui-ci), sa vie de professeur d'université et les nombreuses femmes de sa vie. Tout cela est décrit d'une manière factuelle, ne donnant aucune amplitude au récit.

J'imagine que le seul intérêt, vu le caractère autobiographique, du livre est que Catherine Cusset fasse son deuil. Personnellement, du point de vue du lecteur, je n'en vois, malheureusement, aucun! Déception totale...

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Ecriture plate, factuelle. Des contradictions constantes. Je connais bien le basket-ball américain et le tennis : L'auteur écrit des bourdes quand elle en parle. "Game", cela ne veut pas forcément dire "jeu" mais aussi "partie". Bizarre pour quelqu'un qui vit aux US. Ou alors, cela montre le peu de soin apporté au texte, le côté "j'écris vite, sans relire". Et les milliers de "Tu" et "Ton" dans le livre finissent par être tellement fatigants...
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J'ai abandonné : aucun intérêt pour moi. Deuxième tentative pour lire cette auteure, je reste sur ma position : roman facile, sans profondeur, superficiel.
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Poussif. On a du mal à s'attacher au personnage principal. Lecture à éviter.
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Ceci n'est que mon avis personnel. Je n'ai pas du tout aimé lire ce livre, je me suis ennuyée et j'ai du en arrêter la lecture en plein milieu. La vie de l'héroîne et celle de son ami ne m'ont pas intéressée. J'avais pourtant adoré lire "un brillant avenir", Roman de catherine cusset auquel je pense encore parfois.
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