Sacrées sorcières

Les personnes me connaissant bien savent tout l'amour que je porte à Roald Dahl depuis que son livre Matilda, découvert quand j'étais petite et dans lequel j'ai pu - en partie - me retrouver.

Ici, nous suivons aussi un enfant dont nous ignorons le nom. Après avoir tragiquement perdu ses parents, il est confié à sa grand-mère qui le met rapidement en garde contre les sorcières. Mais elle ne se doute pas un seul instant que malgré ses conseils, son petit-fils va être la victime directe de ces êtres malfaisants.

J'ai pu voir le film l'année dernière qui m'avait pas mal plu (je dois avouer que la présence d'Anne Hathaway n'y était pas pour rien) mais j'ai trouvé que le livre mettait beaucoup trop de temps à démarrer. La description des sorcières ainsi que la recette de ces dernières pour anéantir les enfants prennent, à mon sens, une trop grande partie du livre.

Néanmoins, la fin de l'histoire reste très touchante et on voit combien le petit garçon est attaché à sa grand-mère.

Aussi, je n'ai pu m'empêcher de faire la relation entre l'évocation du vrombissement du coeur d'une souris dans ce roman et la même information rapportée par Matilda à Mademoiselle Candy dans le film.

Un livre qui se lit vite, parfait pour les enfants à une période comme Halloween.

J'ai découvert Roald Dahl quand j'étais petite avec Matilda mais je n'ai jamais lu d'autres livres de cet auteur devenu classique de la littérature pour enfants.

Il y a deux ans, Pénélope Bagieu a adapté Sacrées Sorcières en bande-dessinée et j'ai adoré découvrir ce livre en BD ! Je voulais donc découvrir le livre original et comparer les différences.

Un livre jeunesse fluide et drôle, qui se joue des clichés sur les sorcières. Ce fut un plaisir de retrouver la plume de Roald Dahl pour une nouvelle histoire, même si je connaissais déjà l'histoire, grâce à la BD de Pénélope Bagieu.

Ça reste un roman pour enfant, publié dans les années 80', on y sent une touche de sexisme ordinaire dans les représentations des sorcières et pour cela, je préfère l'adaptation en BD de Pénélope Bagieu, plus moderne et féministe.

Je préfère de loin Matilda, qui a bercé mon enfance !
Lien : https://mathildelitteraire.b..

Roald Dahl est un écrivain cher à mon coeur, car il fait complètement partie de mes premiers souvenirs de lecture. Je ne compte pas le nombre d'heures passées à rêvasser de ses textes (Matilda, La potion magique de Georges Bouillon, Sacrées Sorcières, et Charlie et la chocolaterie, bien sûr...)
C'est donc avec joie que je me replonge de temps à autres dans un lointain souvenir !

Sacrées Sorcières est vraiment un roman que j'aime beaucoup, avec juste ce qu'il faut de magie mais surtout beaucoup d'humour. le texte est frais et n'a pas pris une ride même avec les années qui passent, c'est le genre de livre qui me donnerait envie de le lire à mes enfants plus tard..

Ce petit garçon et sa grand-mère forment un duo du tonnerre, très fusionnel qui met du baume au coeur. Cette aventure en fera rire et frissonner certains. Les sorcières sont clairement humanisées, voire même ridiculisées pour un public adulte mais elles restent sûrement terrifiantes pour un enfant. En bref, c'est un roman que l'on peut lire à tout âge et qui ne provoquera pas les mêmes émotions chez tous, mais cela restera un bonheur !

J'ai lu ce roman il y a quelques années maintenant, dans le contexte scolaire.
J'avais découvert à ce moment là ce très bon auteur, et son roman est rempli d'humour et vous permet de passer un très bon moment !
Cela n'avait pas été un très grand coup de coeur, mais j'avais passé un bon moment, et c'est le plus principal !
C'est une lecture légère, que je conseille à petits et grands (: !

Ayant été dans mon enfance une fan INCONDITIONNELLE de Roald Dahl (j'attendais chaque mercredi avec fébrilité car c'était le jour où on allait à la bibliothèque et je m'étais fixé l'objectif de lire tous les bouquins de cet auteur ...)(je me les suis d'ailleurs tous achetés une fois devenue jeune adulte ... mais sans les relire, juste par nostalgie )(on s'en fiche BREF) j'ai ressorti mon exemplaire de Sacrées Sorcières pour le relire avant de me plonger dans la BD de Pénélope Bagieu (BD qui vient juste de sortir à l'heure où je poste cet avis ... ).

Le problème c'est que maintenant que j'ai vieilli il y a des choses que je vois différemment et mon cerveau est bridé par du politiquement-correct sans doute (ex: j'en ai ras la casquette que dans pas mal de ses bouquins les enfants gros et gourmands soient systématiquement vus comme des abrutis...), par des convictions personnelles fortes aussi ... et puis par des choses que j'ai apprises récemment (ex: j'ai appris que Roald Dahl était antisémite et j'avoue que ça pèse maintenant au dessus de moi quand je parcours ses écrits...ça gâche un peu le truc et parfois certaines phrases sonnent bizarrement à mon oreille ... sans doute à tort mais bon ... )

BREF.

Ceci étant dit : j'ai été assez surprise de redécouvrir ce roman. En le lisant j'avais en tête le fait qu'enfant j'étais "au taquet"... et ça me parait fou (moi qui me trouve si peureuse de tout actuellement je m'étonne d'avoir lu à 7/8 ans ce genre de bouquins avec des sorcières réellement horribles et (*spoiler*) des enfants définitivement "métamorphosés" , ah :)

J'ai trouvé quelques longueurs (parfois lourdingues ...) mais dans l'ensemble on peut dire que cette histoire est vraiment originale (et la fin assez folle, uh uh).
Les dessins de Quentin Blake sont géniaux et apportent une valeur ajoutée incontestable au livre.

J'ai hâte d'ouvrir maintenant la BD pour voir comment P. Bagieu a tourné les choses :)

Il n'est plus à présenter … Roald Dahl à l'immense privilège d'être de ces auteurs “classiques” de littérature jeunesse. Ce livre a été retenu dans le cadre d'un défi CM2-6e et -honte à moi ! -, il s'avère que je ne l'avais jamais lu. Mais le mal est réparé. Cependant, je dois dire que je suis particulièrement déçue par cette lecture.
Il s'agit de l'histoire d'un jeune garçon dont on ne saura pas le nom, la narration se faisant à la première personne de son point de vue et aucun protagoniste ne prenant la peine de mentionner au détour d'un dialogue son prénom. Premières pages, ses parents meurent dans un accident de voiture, il a sept ans. le voilà élevé par sa grand-mère norvégienne, ancienne chasseuse de sorcières, qui lui enseigne tout ce qu'il faut savoir sur ces atroces femmes ne cherchant qu'à se débarrasser des enfants. En vacances à l'hôtel Magnificent de Bournemouth, notre jeune narrateur tombe sur le congrès annuel des sorcières d'Angleterre, dont le projet n'est rien de moins qu'éradiquer tous les enfants de la surface du pays en leur faisant ingurgiter à leur insu une potion à retardement qui les transformera en souris.
Problème : la Grandissime a dit, je cite, que “la potion ne marrche pas avec les adultes”. Alors pourquoi toutes les sorcières - qui sont adultes, il me semble - sont-elles touchées par les effets de la potion lorsque le narrateur et sa grand-mère déjouent leur plan ? Voilà, ça m'énerve. En plus, je n'ai pas accroché à cette histoire de sorcière. Beaucoup (trop) de (blabla) dialogues, des actions mais peu de pensées intimes de personnages, qui manquent de nuances, sont trop stéréotypés. Je trouve que la littérature pour la jeunesse aujourd'hui propose des ouvrages beaucoup plus subtiles (et mieux écrits).

C'est avec un sentiment en demie-teinte que je termine ma lecture : Roald Dahl offre comme à l'accoutumée un imaginaire prolifique et fantaisiste au moyen d'une écriture fluide et très accessible du fait de son genre à destination d'un public jeune. Si les illustrations de Quentin Blake ne m'ont pas séduites de par leur aspect brouillon, l'auteur régale néanmoins petits et grands, à travers un récit en relief et rythmé à l'intérieur duquel il met en scène des personnages attachants, pourvus d'une malice et vivacité d'esprit soutenues, du moins du côté des protagonistes bienveillants. C'est à ce sujet que la critique peut être alors tempérée et laisser le·a lecteur·rice sinon perplexe, quelque peu embarrassé·e : les personnages malintentionnés sont selon moi exagérés et certains propos, ouvertement sexistes, mettent en doute le bien-fondé du roman. Roald Dahl se révèlent ainsi un peu trop manichéen et sans la moindre pondération qu'il est toutefois nécéssaire de posséder lorsqu'un auteur s'adresse à un jeune lectorat. S'il convient bien évidemment de recontextualiser cette oeuvre, l'on peut tout de même s'interroger sur sa légitimité actuelle, en particulier lorsqu'il est question de la diabolisation de la femme, issue d'un patriarcat religieux dominant et dont l'histoire, sordide, s'assoit sur des siècle de délation et de massacre des figures païennes -pour la majorité féminines- ainsi que d'ostracisme de croyances différentes.

C'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai profité de l'été et des vacances pour relire ce roman de Roald Dahl. J'y ai retrouvé tout ce que j'avais aimé quand je l'avais lu, alors âgée de 8 ans : les fantastiques descriptions, l'humour farfelu caché un peu partout, les mignonnes illustrations.....un petit bonheur :)

un petit roman bourré d'humour et de tendresse, j'ai beaucoup apprécié l'écriture de Roald Dahl, la description des sorcières par la grand-mère est très drôle et inventive, et la transformation des enfants, étape par étape, est très visuelle. le personnage de la grand-mère est très atypique aussi. le plan machiavélique des sorcières pour se débarrasser des enfants est aussi un grand moment.
J'ai été un peu moins emballée par l'intrigue, peut être un peu trop simple pour moi et plus adaptée aux enfants. J'ai trouvé la fin un peu abrupte, vont-ils réussir dans leur gigantesque tâche d'extermination des sorcières ? Matilda reste pour le moment mon préféré de cet auteur.

J'ai adorée ce livre , vraiment je l'ai dévoré , une histoire ensorcelente qui nous tiens en haleine j'usqu'a la dernière page ...
Une sorcière ça fais peur mais celle la elle ma fais peur,j'ai lu ce livre , il a relativement longtemps , et j'avais eu une peure bleu de la sorcière par ce que la description est très impressionante...