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J'étais passé à côté de ce titre lors de sa sortie et pourtant, je croyais l'avoir lu. Il faut dire que bon nombre de BD ont traité du thème sur le terrorisme au cours de ces dernières années comme pour mieux nous faire comprendre ce qui engendre la terreur inacceptable.

Justement, il est question d'acceptation de la réalité par le docteur Amine Jaafari qui est un bon chirurgien en Israël où il vit avec son épouse palestinienne tout comme lui. Ils se sont intégrés dans la population de ce pays moderne alors qu'à côté, tout n'est que destruction au bulldozer, pauvreté et violences. Pour autant, il va avoir beaucoup de mal à accepter que sa femme est le kamikaze d'un attentat particulièrement meurtrier à Tel-Aviv.

On va suivre le parcours d'un homme brisé qui va d'abord renier la réalité avant de l'accepter. Il voudra surtout connaître les raisons de ce qui a poussé à cette folie meurtrière. La conclusion de cette obsession de la vérité sera d'ailleurs terrible comme cela a été rarement atteint dans une lecture de BD. J'avoue que je suis ressorti de cette lecture un peu meurtri.

Il est vrai qu'on assiste à un conflit sans fin dans cette région du monde. On se dit qu'il n'y a rien de plus précieux que la paix et pourvu que la guerre ne nous rattrape pas à notre tour. le terrorisme est surtout une manifestation de la guerre dans ce qu'il y a de plus inacceptable pour le genre humain.

Bon, on sera très loin de la BD divertissement comme moyen d'évasion. Au contraire, on sera plongé dans les pires travers de notre monde. Cependant, on arrivera peut-être à mieux comprendre les enjeux de cette guerre qui oppose depuis tant d'année l'état d'Israël à la Palestine.

Pour le reste, cette oeuvre adaptée d'un roman de Yasmina Khadra est très bien réalisée dans un style graphique semi-réaliste mais cela reste un drame sans pareil. Je retiens un seul mot : bouleversant.

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"L'attentat" de Loïc Dauvillier (scénario) et de Glen Chapron (dessin et couleur) est l'adaptation graphique du roman de Yasmina Khadra, au titre éponyme, que j'ai lu il y a un certain temps maintenant.

Ce roman fait partie de la "trilogie du malentendu", le malentendu étant ici le conflit israélo-palestinien. Nous sommes amenés à suivre le docteur Amine Jaafari dans sa quête de vérité. Chirurgien arabe naturalisé palestinien, Amine rentre épuisé de l'hôpital. Il y a eu en effet un attentat quelques rues plus loin ce jour même : un kamikaze s'est fait exploser dans un restaurant. On y compte 19 morts et de nombreux blessés. Amine est trop fatigué pour s'inquiéter de l'absence de sa femme, qui aurait déjà dû être rentrée après avoir passé quelques jours chez sa grand-mère. Mais à peine s'est-il couché qu'il est réveillé par le téléphone : on lui demande expressément de revenir à l'hôpital. Arrivé sur les lieux, son ami et commissaire de police l'accompagne jusqu'à la morgue, où il doit identifier un corps... celui de sa femme... Peu après, il apprend que c'est elle qui est entrée dans le restaurant, ceinturée d'explosifs...

Refusant d'abord d'y croire, il devra se faire une raison et l'admettre. Comment a-t-il fait pour n'avoir rien remarqué ? Que s'est-il passé en elle ? Amine, dans son besoin de comprendre et de commencer son deuil, se lance dans une quête qui en dérangera plus d'un...

On y retrouve assez bien l'atmosphère du roman. La situation de guerre, les tensions dues au conflit, les préjugés sont fortement ancrés à l'histoire d'Amine, ils en sont presque le fil rouge d'ailleurs. Les doutes, questions et ressentis d'Amine sont tout aussi palpables. Et si le format graphique oblige à synthétiser le récit original, il reste tout de même très fidèle dans le déroulement des événements. Mon seul vrai reproche vient du fait que les liens entre les protagonistes ne sont pas assez explicites, et notamment ceux entre Amine et ses nombreux cousins et oncles d'Israël. Pour qui n'a pas lu le roman avant, il doit être un peu difficile de combler cette lacune. Mais l'histoire n'en est pas moins poignante, difficile et douloureuse.

On est plongé directement dans les horreurs de la guerre et les actes terroristes. Il y a des morts, des traîtres, des kamikazes et l'on doit composer avec tout ça si l'on veut accompagner Amine dans cette quête perdue. L'intrigue se veut prenante malgré toute cette violence, douloureuse parfois. Il n'y a pas une once d'espoir mais on veut aller au bout (même en connaissant la fin).

Le scénario s'accompagne de dessins aux traits épais et francs, sans trop de détails, qui vont à l'essentiel, justement colorés, ni trop sobres ni trop éclatants. L'ensemble se fait harmonieux et réaliste dans la représentation des événements, lieux, décors et couleurs des différents panoramas.

Globalement, mise à part le manque d'informations sur certains personnages, je trouve ce roman graphique réussi. Il n'égale pas le roman, mais l'intrigue se veut aboutie, prenante et marquante, et le personnage d'Amine finement travaillé, tant physiquement que psychologiquement.
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Cela fait un certain temps que j'ai lu le livre L'attentat de Yasmina Khadra, dont je garde un excellent souvenir, puis il y a eu l'adaptation cinématographique et là on retrouve tout ce que l'on a pu imaginer du livre.
Je me suis donc plonger avec un réel plaisir dans ce roman graphique. Une histoire qui commence « sur les chapeaux de roues », sans temps mort. On est à l'hôpital où Amine Jaafari exerce en tant que médecin. Une explosion arrive en ville, un kamikaze s'est fait exploser. Amine va enchaîner les opérations. Il apprend dans la nuit que le kamikaze était sa femme. Il est abasourdi et n'y crois pas du tout.
Il va donc vouloir connaître la vérité., mais toute vérité est-elle bonne ?
Au début, Amine est complètement abattu puis soutenu par des amis, il va mener son enquête. Son obstination va lui valoir des moments périlleux. On souffre avec lui. Il a vraiment du mal à croire que c'est sa femme qui a fait cela.
Lui le médecin naturalisé en Israël, alors qu'il est arabe et qu'il occupe une belle position sociale. On va beaucoup lui reprocher.
J'ai aimé cette quête de vérité et cette obstination pour la connaître qui anime Amine. Dans un conflit Israélo-Palestinien, on comprend petit à petit ce qui se passe, même si des parts d'ombre subsistent. Des questions restent en suspend et laisse à réfléchir. le graphisme représente bien ce que ressent Amine et c'est ce qui m'a également plu.
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Amine Jaafari, chirurgien à Tel Aviv, est arabe avec la nationalité israélienne. Il pense être relativement bien intégré, vu le contexte. Jusqu'au jour où après un attentat,la police lui apprend que la kamikaze était sa femme.
Pour comprendre son geste, il part à sa suite dans un (deux ?) pays à sang.
Je n'ai pas lu le roman de Yasmina Khadra. Je ne saurai dire si l'adaptation est fidèle ou non. Ce que je peux dire, c'est que l'on souffre avec cet homme en proie au deuil, au doute. Jamais à la haine ou au mépris. Cet homme qui cherche qui est sa femme et quelle est sa place à lui, lui qui refuse les étiquettes et les sermons. Qui cherche une place bien à lui, quitte à frôler l'enfer. Pour rester libre.
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Après avoir lu l'attentat à sa sortie,
il me semblait en avoir gardé un souvenir bien vert.
Mais la bande dessinée de Dauvillers au scénario
et de Chapron pour le dessin et la couleur
vient utilement raviver bien des aspects de ce livre.
On se rappelle tous de la révélation absolument
incroyable sur l'identité du kamikaze
auteur d'un attentat à Tel Aviv...c'est indélébile !

Le Dr Amine Jaafari est chirurgien,
Palestinien, il a obtenu sa naturalisation en Israël..
Une vie dédiée à la chirurgie qui le passionne,
une existence aisée dans les beaux quartiers
où il réside avec son épouse Sihem..
Et... la trahison absolue!

Amine part à la recherche de la vérité.
Quelle vérité ? Il a oublié d'où il venait.
Il repart à la source, Bethléem (!)
où se mêle pauvreté et guérilla sur le qui vive
Qui est terroriste?
Qui est victime ?
Il y a ceux qui agissent ,
ceux qui regardent ailleurs

Passionnant! Je suis vraiment conquise par le scénario
et les choix esthétiques de cette adaptation graphique.








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Je n'ai pas lu le roman de Yasmina Khadra dont est tiré cette Bd. Je ne connaissais donc rien de cette histoire ... J'ai aimé suivre le personnage d'Amine dans sa quête pour comprendre ce qui a poussé sa femme, palestinienne à commettre cet attentat ! Pourquoi est elle devenue une kamikaze ? A travers ses rencontres, on "comprend" les différentes opinions, la différence d'idéologie des protagonistes ... Parfois très difficile à entendre !
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Il y a très longtemps j'ai découvert le livre qui a servi de base pour l'écriture de cette BD.
Le temps a passé mais j'avoue avoir gardé au fin fond de ma tête l'état d'esprit, la surprise du scénario, la réalité glaçante de ce que ça représentait.
J'ai acheté la bd et elle est restée dans un coin de mes étagères avant que le hasard ne la fasse resurgir.

Israël, un hôpital israélien, un chirurgien arabe naturalisé israélien, le cadre est posé.
La vie de tous les jours avec ses petits tracas ... où et quand la prochaine partie de tennis ? .... et le quotidien macabre, un attentat suicide, l'hôpital survolté avec son personnel prêt à sauver des vies, à les arracher à la nuit .... la page noire et rouge sang pour l'invraisemblable ... la page blanche pour la certitude .... c'est elle qui a fait ça et son visage est enfin "délivré de ses angoisses !

Une BD salutaire qui essaie de nous aider à nous poser de bonnes questions ... pouvons nous comprendre ?
Habiter du bon côté, parce qu'il reste dans le monde des endroits qui sont séparés par un mur, que ce mur existe pour de vrai.
Vivre auprès d'un mur est un drame mais le pire reste toujours celui que l'on construit dans nos têtes et dans nos coeurs ....
Hier à Berlin, aujourd'hui en Israël, demain aux Amériques !
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A sa lecture, Loïc Dauvillier apprécie le roman de Yasmina Kahdra, vendu à plus de 600 000 exemplaires en France et traduit dans plus de 20 pays. Une rencontre avec Glen Chapron et le projet est lancé.

Une quête en recherche de vérité, si celle-ci existe…

J'ai adoré le roman de Yasmina Khadra, ainsi que le film adapté du même livre. Lorsque j'ai vu cette BD passée sur le blog de Collectif polar je ne pouvais pas passer à côté de cette découverte !

Yasmina Khadra a participé au suivi de ce roman graphique et les auteurs, Loïc Dauvillier et Glen Chapron se sont documentés pour en faire un récit de grande précision et plein d'émotion.

On est très vite dans le vif du sujet, pas plus d'une dizaine de planches pour que l'aventure d'Amine démarre.

La tension est palpable et visuelle, le visage d'Amine évolue au fil des planches.

Amine va prendre des coups sans en donner.

On le traite de sale « bougnoule », sa maison est mise à sac.

Un découpage astucieux permet de délimiter des parties :

L'attentat en introduction. La première partie l'acceptation de reconnaissance du statut de kamikaze, sur presque 35 planches.

La seconde partie, la tentative de compréhension.

La dernière partie, de même longueur que la précédente, le final.

Le récit entrecoupé de page blanche avec une pensée d'Amine, permettent de reprendre son souffle.

L'histoire est dense et juste.

Un drame intime mais dans lequel l'aspect politique du conflit israélo-palestinien est prégnant.

Les termes islamiste, intégriste, sont définis comme il se doit et apportent une compréhension de qualité.

Cette BD suscite beaucoup de questions sans apporter de réelles réponses…

La situation du contexte est abordée avec talent ainsi que la douleur de chaque camp.

Les illustrations sont aussi juste que les paroles, franches et directes.

Au de-là de cette BD plusieurs réflexions s'imposent, notamment le respect des droits, la lutte de ces deux peuples meurtris.

Que penser du Mur de la honte ? Comment un peuple peut ressentir le besoin de s'enfermer au sein même de ses frontières ?

Que penser des palestiniens qui, pour manifester leur opposition et leurs souffrances, envoient leurs enfants se suicider ?…

Je vous invite à découvrir cet BD.

J'ai eu le même sentiment de frustration et les mêmes réflexions qu'en refermant le livre, cette BD ne m'a pas laissé indifférente et je me suis encore posée tout plein de questions !

C'est une » claque » MAGISTRALE !

Lien : https://julitlesmots.wordpre..
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Amine Jaafari est palestinien. Il a obtenu la nationalité israélienne et exerce en tant de chirurgien dans un hôpital de Tel-Aviv. Amine est bien intégré ; il est marié et vit dans un quartier bourgeois de la ville. Enfin, il a de bons rapports avec ses collègues et de nombreux amis, y compris dans la police.

Amine a une bonne situation, une bonne réputation… Jusqu'à ce jour où sa vie bascule. Ce jour maudit où un kamikaze se fait exploser dans un restaurant de la ville. Ce kamikaze, c'est sa femme. Après le choc de la nouvelle, le médecin passe par différents stades, de la consternation à la colère.

« Ce n'est pas mon épouse. Ce n'est pas elle. Je la connais, ce n'est pas elle… »

Il a besoin de comprendre les raisons qui ont poussé sa femme à devenir une martyre de la cause palestinienne. Comprendre ! Cet objectif va devenir pour lui une obsession au point qu'il décide de mener sa propre enquête. Il souhaite poser ses questions aux leaders des mouvements extrémistes…

« Je n'ai pas l'intention de me venger ou de démanteler le réseau. Je veux juste comprendre comment la femme de ma vie m'a exclu de la sienne ».

-

Ce récit est adapté du roman éponyme de Yasmina Khadra. A mon grand regret, je ne l'ai toujours pas lu. C'est donc pour moi l'occasion de me sensibiliser à cette oeuvre plusieurs fois récompensée.

Un album de 152 pages qui nous plonge au coeur de la psyché du personnage. Très rapidement, Loïc Dauvillier empoigne son lecteur et le tient en haleine. A l'instar du héros, j'ai ressenti un fort sentiment d'incompréhension quant au bien-fondé des attentats-suicides.

Quelle fierté peut-on tirer quand on envoie des gens mourir pour que d'autres vivent libres et heureux ?

Le questionnement du personnage principal fait écho en nous. Comment ne pas réagir de la sorte lorsqu'on réalise aussi violemment que la personne avec qui on vivait nous est totalement inconnue ? Comment ne pas être abasourdi quand on découvre que notre conjoint défendait des opinions étaient radicalement opposées aux nôtres ?

Au-delà du parcours de cet homme, c'est une réflexion plus globale qui s'installe. Les notions de respect, de droits, de territoire et de légitimité s'entrechoquent en permanence. Que dire de ces deux peuples meurtris par l'histoire ? Que penser du bien-fondé du Mur de la honte ? Comment appréhender le fait qu'un peuple ressente le besoin de s'enfermer (au sens propre du terme) au sein même de ses frontières ? Que penser des palestiniens qui, pour manifester leur opposition et leurs souffrances, envoient leurs enfants se suicider ?…

N'y aura-t-il donc jamais d'alternative ? Aucune solution pacifique qui soit viable ? Les albums que j'ai lus sur ce thème posent tous les mêmes constats et nourrissent chez moi un questionnement récurrent auquel je n'ai pas de réponses. D'ailleurs, vu la complexité de la situation, qui pourrait se targuer d'avoir des certitudes sur ce sujet ?

Quoiqu'il en soit, je peux affirmer que lorsqu'un album parvient à susciter de tel questionnement auprès de ses lecteurs, c'est que le scénario prend aux tripes. Loin de laisser indifférent, les propos interpellent et percutent. La tension monte crescendo et seul le dénouement est capable d'arrêter ce processus…

Après avoir refermé l'album, la réflexion se prolonge. le contraste est fort entre les conditions de vie de part et d'autre du mur de la honte. D'un côté, le confort d'Israël, les paysages urbains presque intacts et le racisme à l'égard des arabes. de l'autre, les villages palestiniens laissés à l'abandon, les armes et la méfiance à l'égard de l'étranger.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Le docteur Amine Jaafari est un chirurgien reconnu exerçant à Tel Aviv. Il est palestinien naturalisé israélien comme son épouse. Il est intégré à la société israélienne, vit dans un quartier réputé de la ville, à de nombreux amis israéliens, certains sont même policiers.

La vie d'Amine bascule le jour d'un attentat meurtrier qui fera 19 morts et quand la police lui apprend que le kamikaze est sa femme. Amine ne comprend pas, n'a rien vu venir. Tout s'effondre autour de lui, il devient le paria de son quartier et sa maison est saccagée. Ses amis essaient de le soutenir.

Amine va partir à la recherche de la vérité. Il va refaire le dernier parcours de sa femme cherchant les lieux et les personnes qu'elle a croisé avant de passer à l'acte. Il veut comprendre et connaitre qui a pu faire basculer son épouse dans le terrorisme et l'extrémisme.

Amine retrouve des membres de sa famille et de celle de sa femme. Il retrouve une partie de son passé. Sa quête nous permet de voir les conditions de vie dans les territoires occupés.

Amine dérange car il peut apparaitre comme un traitre à la cause palestinienne lui qui est naturalisé et a de très bonnes conditions de vie. Mais il dérange des deux côtés : du côté de l'autorité israélienne mais aussi du côté palestinien.

Amine découvre l'horreur de ne plus rien avoir, de tout perdre, il découvre le sentiment d'injustice, il découvre qu'il ne connait pas réellement des personnes qu'il côtoie de puis longtemps.

Dauvillier et Chapron nous entraînent dans la course à la vérité d'Amine, course poursuite où il trouve certains soutiens. Les textes et le graphisme nous font partager la souffrance, les doutes, la colère et la farouche volonté de savoir et comprendre d'Amine. Les auteurs nous plongent dans le conflit israélo-palestinien dans toute sa banalité et son horreur. Avec Amine, ils soulèvent certains coins du voile.

Je n'ai pas encore lu le roman de Yasmina Khadra, je ne sais donc pas si la BD est une fidèle transcription mais je trouve qu'elle se suffit en elle-même pour évoquer un sujet difficile et douloureux. Et une fois de plus une adaptation BD me donne l'envie de lire l'ouvrage premier.

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