La mise en parallèle d'un Trotsky et d'un Lowry est un axe intéressant et qui coule avec fluidité pour le lecteur. Après une telle lecture il semble impossible d'avoir la moindre sympathie pour un Staline pas plus que l'envie d'être un génie littéraire !
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un exposé typique de l'intello français assez privilégié pour lire des livres peu connus et étaler sa science dans un exposé pédant autant qu'ennuyeux. Et bien sûr l'auteur croit avoir compris le Mexique parce qu'il connait la Condesa à Mexico: c'est comme avoir compris la France après un dîner à Faidherbe Chaligny
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J'ai réussi à lire 80p. de ce terrible pensum, avec le sentiment d'avoir parcouru des dizaines de pages Wikipédia recopiées et mises bout-à-bout: celles de Trotsky, Rivera, Kahlo, Lowry, Breton, Artaud, Modotti... L'écriture est une logorrhée insoutenable, qui aligne quantité d'énumérations, des centaines de noms propres de lieux et de gens (parfois 20 par page). le tout est farci d'innombrables anecdotes et faits tirés de l'histoire du début du 20ème s., de celle du surréalisme, de Trotsky au Mexique... Quand on connaît plus ou moins tout ça, on n'apprend rien, et il n'y a pas d'intrigue - le parallèle entre Trotsky et Lowry n'étant guère passionnant... Et, si on ne connaît pas, on est capable de lire Wkp. Un supplice!
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