Gisèle Halimi : Une jeunesse tunisienne

Ce livre parle de l'enfance de Gisèle Halimi (née en 1927) une avocate et féministe qui aida de nombreuses femmes.
Je vous le conseille à 100% que vous aimiez l'histoire ou non. Il est très bien illustré et facile à lire. Il est également captivant, intéressant, touchant mais peut se montrer choquant (en particulier la façon donc on traite les femmes à cette époque) et révoltant, surtout quand on sait que cela a vraiment été vécu.
Ambre


Le récit de cette histoire vraie sur Gisèle Halimi est incroyable !
On voyage en plein dans la colonisation française qu'il y avait avant en Tunisie. On redécouvre toute l'histoire tracée sur les colonisations, les architectures françaises, l'éducation, les lois et la politique d'avant.
Ceci parle d'une bataille contre cette injustice des droits de la femme.
Gisèle Halimi se manifeste, se rebelle contre cette éducation en Tunisie,elle fait tout pour ne pas obéir aux taches de sa mère et devenir femme au foyer mariée jeune avec des enfants et sans le moindre enseignement civique. le message qu'elle adressera aux femmes tout au long de sa vie sera "Ne vous résignez jamais".
J'ai beaucoup aimé cette bande dessinée sur l'histoire des colonisations françaises qui datait avec l'ancienne Tunisie d'avant, cela fait remonter des souvenirs d'avant pour certains ou l'histoire des familles. J'aime beaucoup l'histoire, les images et les couleurs.
Roxane


J'ai bien aimé ce livre parce que cette histoire magnifique est vraie. Elle résume la vie fantastique d'une jeune fille qui veut devenir avocate depuis petite et qui refuse les tâches que sa mère lui demande. Gisèle veut devenir une femme libre et rebelle.
Sandro


Ce livre m'a plu car il est touchant, intéressant et car il montre comment les femmes étaient traitées à l'époque en Tunisie et parle de comment Gisèle Halimi a réalisé son rêve d'être avocate, alors que les filles sont des malédictions de Dieu et pouvaient encore moins travailler. le livre est facile à lire et pas long même s'il y a beaucoup de bulles. Je recommande ce livre pour les personnes qui aiment les bandes dessinées et les histoires réelles.
Lucie

Ayant lu "Une farouche liberté", son livre d'entretiens autobiographiques avec Annick Cojean, je connaissais déjà une bonne partie des événements de l'enfance de Gisèle Halimi racontés ici, mais j'ai eu beaucoup de plaisir à m'y replonger, tant j'ai d'admiration pour cette femme.
La bande dessinée nous plonge dans la Tunisie des années 30 à 45, entre colonisation, revendications nationalistes et Seconde Guerre mondiale. Bien que rythmées par des événements souvent durs, voire tragiques, les couleurs éclatantes des planches, pleines d'ocres, nous font sentir la lumière et la chaleur du soleil.
La petite Gisèle en a l'ardeur et l'éclat. Pleine d'énergie et d 'une curiosité insatiable, sensible à l'injustice, elle n'hésite pas à faire entendre sa voix et ne se laisse pas abattre, refuse de se plier à ce qui lui semble inique. Rejetée par sa mère, occultée un temps par son père, elle va pourtant nouer avec ce dernier une complicité qui va l'aider à prendre son envol. Alors que pour sa mère les études d'une fille sont inutiles, il va la bercer de la culture berbère, lui faire découvrir l'art et vient à son secours quand elle est maltraitée par une institutrice antisémite. Même s'il fonde officiellement tous ses espoirs sur son fils, on ressent son admiration pour cette fille qu'il laissera partir seule à Paris poursuivre ses études.

Retracer l'enfance de cette grande dame est bien inspiré. On y trouve en germe les combats qui la feront connaître, contre le racisme, pour la cause des femmes, mais les jeunes générations s'intéresseront sans doute plus facilement à cette fillette puis adolescente dont ils se sentiront plus proches.

C'est une bande dessinée gorgée de soleil, vive comme cette fillette, fermement décider à faire respecter ses droits et à ne pas se laisser faire par sa mère qui veut la marier une fois qu'elle sera réglée. Elle sera alors au service de son mari.
Gisèle a bien saisi que sa planche de salut viendrait de l'école. Elle travaille avec acharnement pour partir faire des études en France et devenir avocate.

Le parti pris de partager l'enfance et l'adolescence tunisienne de Gisèle nous permet de découvrir la femme en germe qui pose des jalons dès son plus jeune âge.
C'est une histoire sous le soleil de Tunisie, une histoire de femme opiniâtre et généreuse. Elle ne sera jamais comprise ni aimée par sa mère : c'est pourtant pour que les femmes puissent être libres de choisir leur vie qu'elle se bat et qu'elles ne soient pas asservies et aigries comme sa maman.
C'est une jolie BD, et dans la biographie et dans les dessins. On devine déjà dans l'enfance et l'adolescence de Gisèle ce qui fera la femme avocate, fidèle à ses valeurs, courageuse face aux menaces.

Voici le portrait de Gisèle Halimi. Une femme qui ne rentre pas dans les clous et apporte sa dose de féminisme et de droiture à notre société. Son combat pour les droits des femmes ne fait aucuns doutes maintenant.
Cette bande dessinée nous plonge dans sa vie de petite fille, dans sa famille, le pays dans lequel elle a vu le jour.
C'est un récit qui fait grandir en humanité, en compréhension et en sagesse à mon sens.
Nous avons la possibilité de découvrir cette grande dame de manière plus personnel et ainsi mieux appréhender ce pourquoi aujourd'hui elle s'est battue et ses raisons.

Les graphismes sont incroyablement bien réalisés et facilitent d'autant plus l'immersion dans cette histoire vrai.

J'ai particulièrement souris et apprécié lorsqu'elle a effectué une "grève de la faim" pour ne pas avoir à réaliser les tâches destinées seulement aux filles de la famille. Cela m'a fait grandement sourire et m'a replongé moi même dans quelques souvenirs personnels que l'on pouvait avoir en commun.

C'était une lecture agréable que je recommande sans aucune hésitation si vous appréciez les récits de vies, le mouvement féministe, la sororité et le combat des femmes dans notre société.

J'ai dévoré ce roman graphique retraçant l'enfance de Gisèle Halimi. A la veille de l'indépendance tunisienne et de la Seconde Guerre mondiale, Gisèle est confrontée aux inégalités, même au sein de son foyer. Grâce à cet ouvrage, j'ai aperçu les racines du dévouement et du combat de la célèbre avocate.
Le dessin, à première vue simple, porte le scénario et est efficace. Les couleurs font voyager le lecteur.
Cette lecture est, selon moi, autant accessible aux adultes qu'aux enfants à partir de 10/11 ans en expliquant un peu le contexte.

Sur la couverture, dans une rue tunisienne, une petite fille se retourne vers nous et son regard nous tient. Elle est déterminée, forte et convaincue par la sincérité de son combat. Les femmes, dès leur naissance, doivent avoir une place, libre et en conscience, dans la société, tunisienne ou française. L'Histoire a conservé le nom de Gisèle Halimi comme l'une des grandes combattantes du droit des femmes, en tant qu'avocate, écrivaine et parlementaire.

Cette bande dessinée raconte son enfance, sa vie en Tunisie entre un père aimant (dont l'amour inconditionnel pour sa fille fait espérer une autre manière de voir le monde) et une mère dure et distante. Par son parcours, on découvre une époque, une société, un monde entre deux guerres. Tout semble possible mais il faut se faire une place et se battre sans cesse. Zeiza Gisèle Élise Taïeb veut le faire. Elle le sent.

Dans une bande dessinée pleine de lumière et de couleurs, Danièle Masse et Sylvain Dorange mettent en scène une petite fille qui se bat par les mots, par les gestes. La narration est portée par la puissance de cette petite fille qui porte déjà en elle la figure de la combattante. Chez Zeiza, il y a Gisèle Halimi. La bande dessinée, avec ses décors simples et des portraits fins et directs, est un hommage. Un bel hommage. A défaut d'être au Panthéon, Gisèle Halimi peut être dans toutes les mains et éblouir par la puissance de sa vie et de son engagement.
Lien : https://piao.fr/2023/02/gise..

Le début d'une nouvelle ère qui nous montre comment le monde évolue au cours de quelques années...

Ce livre commence en1927 et se termine en 2020 , il nous raconte la vie difficile des filles dans le monde à cette époque car les jeunes filles ne peuvent pas faire leurs propres choix .Celle que nous allons suivre se nomme Gisèle Halimi, elle est née le 27 juillet1927 et est morte en 2020. Au cours de sa vie, Gisèle a eu de la chance car elle a au la chance de rentrer dans une école publique en Tunisie qui était sous la gouvernance de la France à cette époque ; elle a eu un parcours scolaire plus que parfait. C'est une élève brillantes au activités extra-scolaire originales : en effets malgré son genre et son âge, elle organise des réunion pour revendiquer davantage de droits et de liberté pour les femmes, lors de sa dernière année de Lycée, elle passe son bac et son résulta est plus que surprenant.

Je conseille de lire cette BD car elle nous explique comment la mentalité de la société a évolué au cours des années, les femmes de l'époque n'avais pas autant de libre arbitre, seul les familles avec des moyens pouvait mettre leur enfants a l‘école publique mais aussi il fallait qu'il y avais une école près de chez eux mais surtout que les garçons était privilégié pour aller à l'école et cette BD nous explique comment cela a réussi a changer de façon surprenante. Je trouve que la BD est captivent sous divers points que ce soit le dessin, la manière de le raconter et la façon dont les personnages ont évolué au cours de l'histoire .

Mon passage préféré de la BD est à la page « 5 » l'extrait est : « un personnage : une fille, Frita (mère de Gisèle) : j'espérais tellement un garçon ! Une fille pftt Que les soucis » car cet extrait nous montre dès le début que Gisèle n'était pas voulu est que les parents voulaient un garçon car il pourra aider la famille plus tard , c'est mon passage préféré aussi car elle nous présente directement le comportement qu'aura Frita envers Gisèle pendants toute sa vie.

Personnellement se donne une note de 5/5 à ce livre car il explique très bien l'histoire

La BD parle de la vie de Gisèle Halimi. Une jeune fille qui vit en Tunisie. Elle est confrontée au racisme et aux inégalités qu'elle vit par rapport à son frère. Ne voulant pas ressembler à sa mère, elle va se forger des opinions féministes très fortes. Elle se fera rabaisser pour son envie de devenir avocate. La vie est injuste et ça, Gisèle l'a bien compris : elle devra se débrouiller seule. de plus, elle va subir la guerre.
C'est un récit de vie, le sujet est très intéressant. Il est actuel même si on essaie de changer ça. Ce livre m'a vraiment touchée, il est très émouvant et captivant. Je ne savais pas tout mais malgré le fait que j'en connaissais une grande partie, le lire et y penser me touche vraiment. On se rend compte de la chance qu'on a : on n'est pas en guerre, les filles et les garçons ont les mêmes droits, les parents nous aime peu importe notre sexe.
Le récit est très bien construit, on suit l'évolution de Gisèle. On est dans l'histoire, à la place de la jeune fille, la violence qu'elle a subie. Les moments les plus importants sont racontés, les problèmes de la jeune fille : les pipis au lit, les premières règles, les corvées et le ménage que Gisèle doit faire contrairement à son frère, les coups de son père, de sa maîtresse, le manque d'affection, sa tentative de suicide…
Je n'ai pas tout compris sur la politique et la guerre mais c'est un livre extraordinaire à ne pas louper.
Gisèle évolue mais ne change pas d'avis et persévère. Elle sait ce qu'elle veut et va tenir tête à sa mère. On est très attachés à elle car on a son point de vue. Elle ne baisse pas les bras et deviendra avocate et luttera pour de grandes causes : droit des femmes, avortement…
Je conseille ce livre pour ceux qui aiment les histoires vraies, qui font découvrir d'autres cultures, pour comprendre et se mettre à la place des autres. Ce livre fait réfléchir.

Cette biographie graphique a été une très belle découverte.
Gisèle Halimi a du se battre toute sa vie pour s'affirmer : même si son père était plutôt réceptif pour qu'elle développe ses compétences, sa mère voulait qu'elle reste à sa place et se contraigne aux attentes de la société pour le rôle de femme. Etant une fille, elle n'était pas prioritaire pour les études, surtout qu'elle avait un frère. Mais Gisèle Halimi était déterminée Sa ténacité et son parcours sont une vraie source d'admiration.

Gisèle Halimi de son prénom tunisien Zeïza est née le 27 juillet 1927, à Tunis. Gisèle était une petite fille qui n'aimait pas recevoir d'ordre, elle n'aimait pas non plus ce qui était réservé au femme comme le ménage ou la cuisine.Elle voulait faire de grandes études dans le but de devenir avocate. Ce choix n'était pas envisagé par sa famille mais elle a quand même décidé de lancer des procédures pour étudier en France , à Paris.Un mois et demi plus tard après avoir demandé les autorisations pour étudier en France , elle partit direction Paris.

C'est un très bon livre.Je trouve que Gisèle est une femme très ambitieuse car elle a toujours entrepris des choses compliquées à accomplir.Gisèle n'aimait pas recevoir d'ordre de quiconque,c'est pour cela que j'ai aimé sa personnalité.
E.S.


Très bon, mon passage préférée est quand elle réussit toute seule à aller au bout de son rève. J'aimé la détermination que Gisèle a eut tout au long de sa vie.Je n'ai pas aimée les violences ,les injustices, l'inégalité et la guerre.
L.L