A réserver à un public TRES AVERTI car il y a quelques scènes crues, voire hard:
- viols,
- inceste,
- uro
- scato
C'est assez spéc' quand même...
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Porno haut de gamme avec beaucoup d'excitation vraiment.
La bourgeoisie s'ennuie souvent à mourir.
Manon, la jeune épouse découvre qu'elle peut s'amuser pour son compte personnel avec d'autres " Messieurs " que son mari.
Lorsque celui-ci s'aperçoit de son infortune, il ne trouve rien de mieux que de se venger sur les fesses de sa bonne, l'allumeuse Toni.
A réserver à un public TRES AVERTI
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J'ai aimé, mais je dois avouer être fan de cet auteur. C'est du porno haut de gamme mais que d'excitation!
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Mon premier livre de cet auteur, ça changeait pas mal de mes lectures mais je me suis fais au style et au vocabulaire. Finalement j'ai apprécié ce livre sexy à souhait.
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Et, tandis que du pouce il lui écrasait le clitoris, deux doigts gantés de cuir entraient brutalement en elle, la faisant suffoquer . Par la suite, quand elle fut bien à sa main, Hugo invitait deux ou trois de ses sinistres compères de partouze à se joindre à leur équipée matinale. Elle devait galoper cul nu, seule femme parmi tous ces hommes, et eux s’amusaient, avec de grands éclats de rire, à cravacher ses fesses si distinguées pour obtenir qu’elle se laisse enculer ou qu’elle les suce. Ce à quoi elle finissait immanquablement par consentir.
Même si c'est une chienne, pensai-je, je m'en fiche ! C'est ma chienne à moi ! Et je redoublais de hargne, dans l'attente du moment où ses dernières résistances céderaient, ce n'était plus elle que je baisais, mais toutes les femmes de la terre, dont les cris me perçaient les tympans.
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Je ne sais si vous êtes comme moi, mais, en ce qui me concerne, le vide de certains cerveaux féminins m'a toujours fasciné ; longtemps, j'ai associé étroitement au plaisir sexuel la sottise des jolies femmes. Je me souviens souvent d'une phrase de Montherlant, dans La Petite Infante de Castille: « Je lui trouvai un air si abruti, que je la désirai. » On aimerait croire qu'au fond de ces corps moites et charnus ne sommeille qu'une furtive lueur de conscience, juste ce qu'il suffit pour écarter les cuisses au moment voulu. Que toute cette chair ne baigne que dans la spiritualité diffuse du plaisir sexuel. Seigneur, gardez-nous des intellectuelles !
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— Est-ce une chienne, Hugo ? Il m'étudia pensivement, assis au volant.
— Je ne crois pas, me dit-il, comme à regret. Une fière salope, ça, aucun doute, mais pas une chienne. Autant que j'aie pu le comprendre, la nuance est celle-ci: une chienne aime faire souffrir les hommes qui la désirent (ça la valorise à ses propres yeux) ; une salope cavale tout autant, mais ne cherche jamais à blesser ses partenaires sexuels (elle n'a rien à se prouver).
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s'il y a une chose que je déteste, avec les femmes, c'est bien de me mettre dans la posture du demandeur. J'avais perdu la face.
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je l'imaginais en train de réparer les dégâts, se pommadant le trou du cul en faisant la gueule, car naturellement, comme toute femme qui s'est laissé enculer, même si sur le moment elle a aimé ça, elle devait m'en vouloir. (Après, elles vous en veulent toujours !)
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Après tout, la vie est courte ; chaque instant de plaisir qu'on manque est perdu à jamais ; il en viendra d'autres, certes, mais celui qu'on n'a pas pris ne se retrouve pas.
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Outre les phases de bouderies consécutives à nos excès, nous connaissions, comme tous les couples, nos périodes de mortes-eaux. L'ennui, le mortel ennui, nous accablait soudain. Si doués fussions-nous pour le stupre, on ne peut pas inventer sans cesse de nouvelles façons de s'envoyer en l'air. Comment échapper à la routine ? Ne pas retomber dans l'ornière ? Combien de fois cette question nous taraudait-elle !
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je me souviens vaguement d'un conseil d'Hugo. « Méfie-toi des idiotes, Pierre; il n'y a pas de pire ruse que l'innocence. ».
Elle ne protesta pas davantage, car j’étais tombé à genoux derrière elle, comme un dévot en adoration devant son dieu, et j’avais écarté ses mains pour lui couvrir le cul de baisers.
RMC - J'ai testé pour vous: Le roman pornographique d'Esparbec: "Les biscuitières" - 04/06