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Les nouvelles chroniques de Krondor tome 2 sur 2

Isabelle Pernot (Traducteur)
EAN : 9782915549669
510 pages
Bragelonne (27/04/2006)
4.04/5   236 notes
Résumé :
Résumé de l'édition Bragelonne brochée de 2003 :

Sept ans après les événements contés dans Prince de Sang, la paix s'effondre à nouveau...

Remis des ravages de la guerre de la Faille, le peuple du royaume des Isles jouit de la paix et de la prospérité. Nicholas, le troisième fils du prince Arutha de Krondor, est un jeune homme brillant et doué, mais il est confiné à la cour de son père. Afin de découvrir le monde hors des murs du palais... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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L'entre deux guerres tome 2 : le boucanier du roi... Ou le bouquin que la couverture tain elle est mensongère grave ! (grand format violette avec une image de pirates barbus...)
C'est pas bien de mettre des images mensongères comme ça, après le lecteur forcement il est déçu... obligé !

Pitch :
Nicholas est le plus jeune prince du Royaumes des Isles... le plus jeune fils du Prince Arutha.
Il est taciturne et un tantinet renfermé. Il est doux même si c'est un sacré bretteur et parfois mélancolique.
Il n'a pas beaucoup d'ami...
C'est peut-être à cause de son statut, ou de son infirmité, le pauvre garçon est né avec un pied bot et même la magie n'a pu rien y faire.
Donc le Prince Arutha, comme pour ses deux autres fistons dans le tome précédent, bin il décide de l'envoyer loin de la cour, pour se forger le caractère.
Il va l'envoyer à Crydee, chez son oncle... Bon c'est pas non plus le bagne... sont juste un peu plus rudes.
Seulement... bin oui seulement sinon ça se serait pas drôle...
Seulement.... ça va vraiment être la merde, l'horreur la plus totale... une attaque barbare tout autant qu'étrange, avec prise de prisonnier... Dont sa jolie cousine Margareth et sa plus jolie encore dame de compagnie Abbigail...
Ni une ni deux le Nicholas décide de partir à la rescousse (on est prince ou on l'est pas..) pour sauver les jolies demoiselles en détresse ( même si bon y a pas qu'elles dans le tas...)


Bon bon bon.... mouais...
Oh ça se lit bien... ça a pas grand intérêt mais ça se lit bien ça c'est sûr...
Boaf...
Alors autant ça faisait drôlement plaisir de retrouver ce cinglé de Nakor, et ce ronchon de Gudah ( à chaque fois que je lis son nom, j'ai une chanson con qui surgit dans dans mon crâne ♫ « Doo dah doo dah day »♫ remplacer bien sûr le doo dah par Gudah - l'autre pays du fromage-)..

— Waaaah tain t'es bien attaquée là... les Lonney Tunes ça laisse des traces !
— Ouais... et je m'en vais en sifflotant comme Foghorn Leghorn (Charlie le coq cinglé !)
— Reviens reviens ! T'a pas parlé du bouquin !
— Oh tiens oui, c'est vrai... boah pour ce que j'ai a en dire... c'est p'têt mieux...

Ouais franchement, autant celui d'avant il était plutôt bien passé.. Autant celui-là... des décérébrés épicétout.. et tous. Mention spéciale aux belettes prisonnières... Waaaah...
J'ai passé la majeur partir du bouquin à me demander « mais ça je l'ai déjà lu où ? »... « Mais ça je l'ai déjà lu ! »... « mais qui a pillé l'autre ? ».. impossible de retrouver … et tout en lisant mon cerveau avait la tache background pour retrouver où j'avais déjà lu ça... ça devait pas être super transcendant non plus.. vu comment je me souviens pas... Et je me frotte le menton... hum...

Mouais autant celui d'avant (malgré les clichetons de base, l'histoire aussi légère et fine qu'un cheveux, les péripéties téléphonées... et tout et tout) bin au moins les personnages étaient de l'ordre du sympathique, crédible dans leur connerie, dans leur côté cervelle de poulet... Leghorn tu me poursuis là.
Autant dans celui-là... pfffffff.... non.
Dans celui-là, y a donc tous les défauts du premier, mais en plus y a pas ce qui sauvait le premier (des persos sympathiques, un zeste de crédibilité, et pas trop d'histoire coeur (de cul oui, de coeur non.))
Dans celui-là, c'est la foire aux jambons, les portes ouvertes à toutes les fenêtres, à ce niveau-là.

Alors niveau téléphoné.. on est à un niveau E.T « téléphone maison ».... pas une bonne chose non... parce que franchement, on a pas peur, on est pas triste, on est pas inquiet, pas surpris, pas... rien... ça marche pas...

Rien ne marche.. et c'est pas le message débile à propos de la vie/mort ♫ c'est l'histoire de la vie.. le cycle éternel... ♫ et de l'infirmité du prince..
Si tu guéris pas c'est de ta faute.. que tu veux pas... heu pardon ?
En gros c'est de t'as faute si t'as un pied bot... classe... t'en as d'autre des conneries comme ça ?...
Et c'est le super grand Magicien de la mort Pug le Grand qui sort une connerie pareille ?
Fait appel à la force Luke !
Va dans la grotte Luke... La peur Luke... tiens si on nous faisait un coup de midichlorine, Do dah do dah...
Ou un coup d'atome.. ça marche aussi... do dah day !
Et je lève les yeux au ciel...


Les histoires d'amour (à la con !) mode Santa Barbara.. Doh dah do dah... avec poule niaise (je suis très basse cour en ce moment)... indolente et stupide... ne servant à rien..
Même le personnage de Brisa (pouvant être intéressant, avoir un ch'ti peu de background) s'efface pour devenir poule niaise.. et ventre de pondeuse... Tain la meuf a vécu dans une cité pirate (sois disant de la mort.. mais en fait non... du tranquille à l'aise Blaise) est sois disant une super voleuse/informatrice.. et Feist nous la transforme en C...asse avec un petit coeur tout mou, rose bonbon, tellement de sucre que t'as des caries directe.. et ventre de pondeuse.. Do dah day !
Heu Feist là tu me fais chier !

Et tout est l'avenant comme ça....

— Hum t'as même pas parlé des pirates...
— Quels pirates ?
— Bin y a bien des pirates en couverture... doit bien y en avoir dans le livre..
— Chais pas.. je les ai pas vu... pas trouvé... je les cherche encore...

Et je me dis que si j'étais Leghorn Feist serait le chien et y s'en prendrait une sévère sur le cul... avec ou sans planche... Do dah doh dah day !
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Salut les Babelionautes
Voila un roman de Raymond E. Feist qui porte un titre sentant bien les embruns que l'on reçoit lorsque comme moi on est Voileux , pratiquant la Voile pour ceux pour qui cette expressions serait un peu obscure .
Encore une fois c'est contre un complot Machiavélique que les fils et Princes du royaume de Midkemia devront lutter, en essayant de rester en vie.
Après une Attaque et la destruction de la quasi-totalité de la Ville ou règne Arutha, qui est gravement blessé, c'est son fils et celui de Martin qui vont dominer l'action aidés en cela par Amos qui va reprendre son rôle du temps ou il était un Pirate..
Beaucoup d'action, on retrouve avec plaisir Nakor et son sac Magique ainsi que Ghuda, le mercenaire dont on a fait connaissance dans le tome précédant.
C'est de la bonne fantasy, mais parfois on sent comme un parfum de déjà vu dans le déroulement du récit.
Malgré tout je prends un grand plaisir à relire cette Saga sans avoir à suspendre mes lectures, étant donné que je les ai tous a ma disposition.
Merci a Isabelle Pernot pour la traduction.
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Ce second tome de la duologie des "fils de Krondor" met en scène Nicholas qui a dix-sept ans, il est un peu timoré, sa famille l'ayant peut-être un peu trop protégé du fait de son pied-bot, mais le plus jeune fils d'Arutha va devoir s'endurcir pour tenir son rôle de prince, aussi son père l'envoie-t-il à Crydee en comptant sur son frère le duc Martin l'archer pour qu'il endurcisse le garçon.
Une épouvantable attaque sur le duché va obliger Nicholas à s'affirmer et dans les épreuves il va se révéler comme l'homme de la situation dans un périple autour de la planète qui lui fera traverser la mer sans fin pour sauver ses amis enlevés et découvrir la menace qui pèse sur son monde …


Feist nous livre ici un livre dont le titre et la couverture trompe un peu sur la marchandise. La fluidité de la plume et le talent narratif de l'auteur procure cependant un agréable moment de lecture, même si l'intrigue reste assez convenue tout en restant supportable pour peu qu'on ne soit pas trop exigeant ou critique.
Nous retrouvons de nombreux personnages rencontrés antérieurement, Pug fait deux brèves apparitions le temps de faire jouer sa magie, et l'inénarrable Nakor fait ici un peu tapisserie. Tout est un peu trop facile et évident et les filles mises en scène pour tenir le quota romance commercialement indispensable auraient pu présenter un certain intérêt avant de sombrer dans la mièvrerie. Mais les bases sont posées pour la quadrilogie de "La guerre des serpents"…


Ce livre n'est certainement pas le meilleur de Feist, mais il reste facile et agréable à lire et s'il n'a rien d'exceptionnel il peut cependant procurer un agréable moment de détente, ce qu'on ne pourrait dire de tant de publications …
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Après avoir lu les premiers chapitres, je m'attendais à une histoire au niveau de Prince de sang, du même auteur. Et effectivement, c'est tout à fait le cas : mêmes soucis dans le récit, même simplicité dans l'écriture et même facilité à lire. Pour autant, il faut bien le dire, ce livre me coupe définitivement l'envie de continuer à lire du Raymond E. Feist, dont je n'apprécie que modérément les textes.

L'histoire est, à mon gout, bien trop farcie en pirouettes et facilités scénaristiques. Entre les apparitions de Pug en Deus Ex Machina, le personnage de Nakor qui sort du sac ce dont il a besoin, les personnages qui ont tout les talents nécessaires, et bien sur les facilités dans les relations hommes/femmes avec tout ce qui passe ... C'est réellement plombant à la lecture, lorsque chaque situation semble résolu par un coup de baguette magique digne d'un maitre du jeu débutant. Et c'est dommage, car plusieurs idées sont authentiquement bonnes, les situations parfois bien trouvées et les lieux sympathiques. Mais dans un manichéisme trop direct, les personnages évoluent sans crainte pour eux (les personnages avec un nom survivront au moins jusqu'à la fin du récit, sauf un) et dans une série de péripéties ou les hasards s'enchainent trop vite pour paraitre cohérent, et trop facilement pour ne pas être stéréotypé.

Cela dit, les romans de l'auteur ont tous une patte reconnaissable et plutôt bonne : la lecture est toujours fluide et pas désagréable, je ne m'ennuie pas à le lire et c'est bien rythmé. le seul souci ... C'est le scénario. Et je le regrette, parce qu'il y avait matière à avoir plus de poids dans ces récits. Trop de facilités et de légèreté dans une histoire qui se veut sombre, et la sauce ne prend pas à mon gout.

C'est en fermant ce livre que je me dis que je laisse tomber l'auteur. J'aurais essayé une trilogie et laissé encore la possibilité avec deux livres, mais je n'adhère pas à cet auteur. On m'en dit du bien, mais je n'insisterais plus. Il me reste trop de livres que j'ai envie de lire pour continuer avec un auteur que je trouve seulement correct. Et niveau fantasy, je deviens maintenant beaucoup plus exigeant, ce genre d'ouvrages trop léger et trop faciles ne me satisfont plus. Tant pis, mais cela n'empêchera pas de nombreux lecteurs d'y trouver leurs comptes.
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Et bien cela faisait longtemps.....

Les avantages et les inconvénients d'apprécier les sagas de Raymond E.Feist.... L'avantage certain, c'est que vous aurez toujours un roman sous le coude, tant cet auteur est prolifique. Et il a fait pleins de sagas dans son univers. Donc on est plutôt familier avec le décor, le système de magie, toussa toussa. On retrouve aussi certains personnages que l'on voit grandir, vieillir, mourir parfois aussi. Donc, quand on a envie de petites vacances littéraires, si j'ai envie de dire, on se prend un tome de saga. L'inconvénient, c'est qu'on n'en voit jamais le bout ! Et cette mini saga de l'entre deux guerres, soyons francs, elle n'avait que deux tomes, je l'ai donc trainée un peu.


Pourtant elle est importante car elle précède la Guerre des serpents et va me servir à poser le décor. Et puis elle me fait la transition avec plusieurs personnages, ce qui peut être utile avant de commencer un bon bazar à trois tomes (ce que je ferai dans quelques jours je pense, d'ailleurs). Mais il y'avait moins de Pug. Arutha n'est plus présent. On a affaire à la prochaine génération que je ne connais pas bien, que j'apprends à connaître. C'est de la transition pure et simple. Et quelques fois, même si on est bien dedans. Et bien on traine :)


Une saga de transition et un tome pleins d'action.

Clairement, ici, on est dans Pirates des Caraïbes avec Nicholas qui apprend à être un bon capitaine de vaisseau. Autant ses deux frères aiment gouverner, autant lui a le virus de la mer. Mais bon. Son père l'envoie faire l'écuyer chez son oncle, il a ses premiers émois amoureux et hop, deux jeunes filles en détresse se font kidnapper par des méchants et il n'a d'autres choix que de verser dans la piraterie. Et là, j'ai frétillé comme pas deux parce que bon. Cela veut dire qu'on va retrouver Amos !!!!!! Et oui.

C'est aussi un roman initiatique parce Nicky a une difformité au pied et il va magiquement mais non pas sans douleur apprendre à faire avec. En guérissant de son pied, il s'affranchit clairement de ses peurs et apprend à devenir un homme. A prendre ses propres décisions, à décider ce qui est bien ou mal. Bref, nous partons avec lui et Marcus (son cousin) et le fils de Pug, plus d'autres personnages fascinants de la saga. Et nous allons mener l'enquête sur cet enlèvement pour déboucher à la fin sur ce qui amènera la Guerre des Serpents. Autre saga que je vous ferai découvrir dans très peu de temps j'espère.
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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critiques presse (1)
Elbakin.net
20 juillet 2015
Le Boucanier du roi est meilleur que le livre précédent avec une plus grande recherche de l’originalité et des personnages attachants.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
- Nicholas, si vous aviez voulu que l'on vous guérisse, lorsque vous étiez enfant, les prêtres, les magiciens et les guérisseurs auraient rendu à votre pied sa forme normale. Mais quelque chose en vous s'est accroché à votre peur; quelque chose en vous aime votre peur et vous lie à elle, telle une mère ou une amante. Vous devez affronter cette peur et la bannir; vous devez l'étreindre et la laisser vous dévorer. Alors seulement vous connaîtrez votre peur et vous pourrez guérir. Avez-vous envie d'essayer ?
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Sans rien dire, le marin s'approcha de Nicholas, et prit sa place. Le prince s'avança en titubant jusqu'au bord du ruisseau et s'agenouilla. Tout son corps protesta contre ce traitement, mais il l'ignora et but longuement. Puis il se redressa, prit une profonde inspiration et leva les yeux. Brusquement le ciel se mit à tourner au-dessus de lui. Le prince sombra dans un trou noir.
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Les vieilles habitudes sont difficiles à oublier, et de vieilles peurs sont des habitudes.
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Ghuda s'étira.
Une voie de femme s'éleva dans la pièce derrière lui.
- Sortez d'ici !
L'ancien mercenaire, assis sur une chaise sous le porche de son auberge, posa les pieds sur la balustrade. Derrière lui, la sérénade recommençait, comme tous les soirs.
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L'intimidante forêt avait disparu ; ils se tenaient désormais devant une vaste propriété conçue de façon anarchique et bordée de quelques arbres fruitiers dont on prenait visiblement grand soin. De l'autre côté de la propriété, des moutons paissaient tandis que quelques chevaux flânaient dans une vaste prairie.
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