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sur 11813 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Nathalie et les hommes... et nous là-dedans ? Condamnés à errer de page en page, en se demandant ce qu'il s'y passe.
Avertissement : ce livre est résolument conseillé à tous ceux qui sauront apprécier une écriture moderne et légère, se voulant drôle et précise.
Disons alors que je ne suis pas de ceux-là.
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Ai-je été la seule sur Babelio à ne pas aimer ce livre ? Je l'ai trouvé un peu longuet, quelques pointes d'humour bienvenu ici ou là, mais rien de plus et surtout pas l'envie d'ouvrir un autre bouquin de Foenkinos (bon, par acquis de conscience, je l'ai fait quand même mais je ne l'ai pas terminé...). Dommage, je l'avais entendu parler dans une émission de France Inter et il était plus sympa à écouter qu'à lire !
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Que dire... Une histoire de rencontre (très rapide), de mariage puis tout s'arrête (très très rapide en narration) puis nous suivons Nathalie dans sa façon de surmonter son deuil... Et puis... Ben c'est tout ! Je n'ai rien trouvé à ce livre car personnellement, il ne m'a rien apporté.
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Pour ceux qui aiment les histoires d'amour sans rebondissements c'est un très bon livre. C'est l'histoire d'une femme magnifique et malheureuse. Elle est belle et attire tout les hommes sans faire exprès. Elle est très sensuelle, mais jamais vulgaire bien sûr et elle s'attache à un homme laid, mais tellement drôle. Ce livre doit pouvoir faire rêver des adolescentes, mais j'ai été très déçue du manque d'originalité et de véracité de l'histoire. C'est plat et sans surprise.
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L'écriture est certes relativement agréable, mais quel manque d'originalité dans le scénario!
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La première impression est bonne. On s'attend à un roman plein de fraîcheur et c'est sans mal que l'on se laisse porter par la situation, cette rencontre entre Nathalie et François pleine de promesse.
Les chapitres défilent mais le sourire du coin des lèvres, cet oeil pétillant que l'on arborait depuis le début, irrémédiablement s'efface. le roman ne tient pas ses promesses. On décide quand même d'aller au bout mais l'histoire s' essouffle bien vite et les amusants mini-chapitres du début deviennent bien vite insupportables.
Au final, une déception, et pour unique souvenir un goût amer dans la bouche, le sentiment de s'être réjoui trop tôt.
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C'est le troisième et sans doute le dernier livre de David Foenkinos que je lirai car vraiment je n'apprécie pas.
J'avais vu le film tiré de ce livre il y a quelques années, je connaissais donc l'idée centrale.
Mais c'est surtout le style de l'auteur qui ne me plait pas. L'écriture est pleine de "tics" qui alourdissent le texte, c'est pataud, lourd, bête.
Il y a d'abord ces remarques insipides qui figurent comme des notes de bas de page. Exemple : ... la nostalgie de Nathalie. Note de bas de page : "j'ai d'ailleurs remarqué que les Nathalie sont souvent nostalgiques".
Et, plus que régulièrement, des "inter chapitres" niais qui n'apportent de mon point de vue rien à l'histoire, inutiles, souvent très bêtes (la recette du risotto aux asperges, la liste des chansons que John Lennon aurait pu écrire, etc.).
Et enfin, il y a tout au long du texte, des banalités affligeantes, des remarques insipides :
"Markus était fragile. Mais cette fragilité pouvait aussi être sa force".
Quant à l'histoire ... je regrette que ses personnages soient surtout des personnages fantasmés et pas des "vraies" personnes. En particulier, les femmes. Nathalie est belle, mince, discrète, charmante. Même quand elle vit un drame horrible. Au contraire, la tristesse "aggrave considérablement son potentiel érotique". Malgré le chagrin et le malheur, elle continue de se maquiller "il suffit parfois de se maquiller pour paraître vivante".
Cet auteur n'aime pas les femmes, il aime l'idée qu'il s'en fait, bref un fantasme.
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Au final j'ai beaucoup ri. J'ai lu ce roman à voix haute avec mon amie durant le confinement, c'est plein de clichés, de mièvrerie, de bon sentiment, ... ça glisse des doigts tellement c'est dégoulinant. C'est, pour moi, l'équivalent en livre d'une série américaine pour ado.
Je n'ai peut-être pas été aidé par les commentaires (limite acerbes) de ma co-lectrice mais en tout cas ça nous a fait rire et c'est toujours ça de pris.
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Franchement ? Insipide, plat, sans aucune consistance. le seul intérêt que j'ai trouvé à ce livre : il est très court. On en est donc vite débarrassé. Mais franchement, ce n'est pas ça que j'attends d'un roman. Je veux vibrer avec les personnages. Elle a perdu son mari ? Je veux être émue et pleurer avec elle. Elle est à nouveau amoureuse ? Je veux avoir des papillons dans le ventre. Mais dans ce roman, rien de rien. Vide sidéral. Non, pas le vide sidéral, c'est insulter le vide car même le vide est plus plein que ce roman. Et je ne parlerai pas du style. Un enfant de 6eme normalement constitué , fait mieux que ça et encore sans trop se creuser la tête.
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« La délicatesse » est un roman de David Foenkinos. D'abord adapté au cinéma, voilà la bande-dessinée réalisée par Cyril Bonin. À lui de raconter pour la troisième fois l'histoire de Nathalie qui se plonge dans son travail après un deuil. le tout est paru chez Futuropolis pour 94 pages de romance.

Nathalie a perdu son mari. Elle est devenue extrêmement froide et le travail est son refuge. Cela dépite son patron, qui a des vues depuis longtemps sur elle. Mais voilà qu'un employé suédois insignifiant va lui redonner peu à peu le goût à la vie.

Le film « La délicatesse » m'avait un peu gêné par son insistance à raconter qu'un homme moche n'avait pas le droit à une belle fille. La bande-dessinée insiste plutôt sur le manque de charisme de Markus. Malgré tout, il ne reste qu'une amourette peu intéressante et très convenue, sous forme de trio amoureux.

Comme pour beaucoup d'adaptation littéraire, l'auteur a du mal à se départir du texte. du coup, on se mange des pavés de narration, pas très intéressants. Ce n'est que dans les dialogues que Cyril Bonin accepte d'enlever les récitatifs, et c'est pour mieux nous abreuver de paroles. Que c'est bavard ! À aucun moment l'auteur ne fait confiance à son dessin.

« La délicatesse » se révèle ainsi long et lourd, sans enjeux réels (puisque tout est cousu de fil blanc) ni émotion. Certes, le personnage de Nathalie, froid et distant, est voulu, mais ça n'explique pas notre indifférence face à ce qui lui arrive.

Au niveau du dessin, j'aime bien le trait de Cyril Bonin découvert dans « Amorastasia ». Ici, il y ajoute la couleur. Voulant être délicat, il ne joue que sur des couleurs pastel et des contrastes très légers. du coup, les planches ne vivent pas, elles sont plates. Pas de noir, pas de couleurs tranchées, pas d'ambiance… Après la platitude du texte vient la platitude du dessin. Comme quoi, avoir un beau trait ne suffit pas ! Car au-delà des couleurs, Cyril Bonin peine avec ces scènes de dialogues ampoulées : ses mises en pages sont laborieuses et accumulent des gros plans pour caser tous les textes.

« La délicatesse » n'est pas au départ un texte particulièrement passionnant. L'adaptation en bande-dessinée est plutôt ratée puisque le dessin, la mise en scène et la narration ne parviennent pas à s'affranchir du roman. du coup, on se retrouve avec un livre plat et peu touchant. Je compte sur Cyril Bonin de retrouver un sujet plus porteur pour la suite, car je l'ai connu plus en forme !

Lien : http://blogbrother.fr/la-del..
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