L'auteur partage avec nous certains de ses souvenirs, conme le titre l'indique. Il parsème son récit de quelques souvenirs qui ne lui appartiennent pas... Souvenirs ou tranches de vie, véridiques ou fictifs?
J'ai bien aimé découvrir le parcours présenté qui poursuit finalement l'objectif d'expliquer au lecteur le chemin pour parvenir à écrire.
Le récit a gagné en rythme et en intensité lorsque le narrateur s'est occupé de sa grand-mère.
Y a-t-il une suite? [Car j'aimerais savoir si Louise revient dans la vie du narrateur à l'image de la mère de celui-ci...]
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Ce roman nous confronte à la dure réalité de la vieillesse et de ce qui en découle.
A ne pas lire si vous n'avez pas le moral.
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Une fois n'est pas coutume, j'ai trouvé le film bien meilleur que le livre.
L'ambiance y est plus positive et l'humour apporte un plus qui manque cruellement dans le livre. Bravo Jean-Paul Rouve, son film est une réussite.
Sinon je n'aurais pas lu ce livre, et je ne le recommande pas vraiment.
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Du point de vue de l'écriture, rien à dire, il maîtrise totalement sa narration, ce qui en fait certainement un écrivain confirmé. J'ai lu la « Délicatesse », qui m'a plu mais après avoir longuement insisté, son humour et son originalité n'arrivant qu'à une bonne moitié du livre.
Pour celui-ci, j'en attendais beaucoup plus. Je me suis un peu ennuyée, mais j'ai persévéré. Trop parfait dans la construction. Par exemple dans sa façon d'amener les « souvenirs » d'un des personnages faisant l'objet du chapitre précédent. Trop souvent répété à mon sens. Côté relations inter générationnelles on a le choix, conflit parents enfants (même si le conflit n'est pas violent, il est sous jacent continuellement). Il est plus facile au petit-fils (au fait comment s'appelle-t-il ?) d'aider son grand père à mourir, de s'occuper de sa grand-mère lors de son périple dans le passé (il aurait pu trouver autre chose que la classe en primaire…. Mais bon…) que d'être attentif à ses propres parents ? Lesquels sont, bien sûr des gens moroses et banals… Et cela continue il épouse Louise, aura un fils Paul, mais le couple n'est pas d'une grande originalité et l'on navigue encore dans les conflits….
Mon impression est que la narration, l'histoire, est à la mesure de la description que D. Foenkinos fait du 20e siècle (page 251) le cercle se ferme : il devient comme son père… Malaise, platitude de la vie, morosité. Quelle est cette angoisse qui donne à l'auteur cet arrière goût de répétition. « La haine des autres a toujours été la meilleure façon de combler sa propre vacuité » page 260. Serait-ce sa réponse ?
Ce n'est pas la tristesse des événements, mort, vieillesse, abandon et incompréhension qui m'ont déplu dans ce livre. C'est le manque d'énergie, d'espoir, de vivacité, de foi en quelque chose ou en quelqu'un. Bien triste constat qui m'a même fait oublier les quelques traces d'humour que beaucoup de lecteurs ont soulignées.
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J'avais été au premier abord complètement emballée par la quatrième de couverture qui promettait un scénario loufoque et inattendu.
J'ai d'ailleurs, pour la première partie du roman, souligné un grand nombre de passages.
Je pense que l'auteur porte un regard déconcertant de lucidité sur pas mal de questions de société, avec beaucoup d'humour et c'est un gros point en sa faveur.
Cependant, une fois passé un évènement particulier à la moitié du livre je me suis sentie beaucoup moins investie, pour au final lutter sur les derniers chapitres. J'ai donc terminé sur une note de déception.
Un avis très mitigé en conclusion, je ne le mets pas sur ma liste des "livres à lire absolument".
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Histoire triste et lente à en mourir! Même si le sujet est intéressant, je n'ai pas du tout aimé ce roman. Je me suis ennuyée durant toute ma lecture. 1er livre de l'auteur que je découvre. A ne pas lire si vous n'avez pas le moral, car celui-ci ne vous aidera pas.
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