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3,74

sur 2069 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
L'auteur partage avec nous certains de ses souvenirs, conme le titre l'indique. Il parsème son récit de quelques souvenirs qui ne lui appartiennent pas... Souvenirs ou tranches de vie, véridiques ou fictifs?
J'ai bien aimé découvrir le parcours présenté qui poursuit finalement l'objectif d'expliquer au lecteur le chemin pour parvenir à écrire.
Le récit a gagné en rythme et en intensité lorsque le narrateur s'est occupé de sa grand-mère.
Y a-t-il une suite? [Car j'aimerais savoir si Louise revient dans la vie du narrateur à l'image de la mère de celui-ci...]
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Ce roman nous confronte à la dure réalité de la vieillesse et de ce qui en découle.
A ne pas lire si vous n'avez pas le moral.
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Une fois n'est pas coutume, j'ai trouvé le film bien meilleur que le livre.
L'ambiance y est plus positive et l'humour apporte un plus qui manque cruellement dans le livre. Bravo Jean-Paul Rouve, son film est une réussite.
Sinon je n'aurais pas lu ce livre, et je ne le recommande pas vraiment.
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Le retour d'Anna Galvada sous une autre forme. Donc ce n'est pas tres interessant, l'idee aurait pu etre original mais est en fait assez mediocre. Bien sur, certains passages sont tres touchants puisqu'il s'agit d'une histoire de super grand-mere qui va mourir mais ce n'est pas suffisant.

Et puis les notes de bas de pages sont tout bonnement ridicules, par exemple, p.44 : "Je trouverai bien un moyen de raconter plus tard la suite de cette histoire". ???? Mais enfin, c'est vous l'ecrivain, je pensais que vous etiez un peu cense savoir ce que vous vouliez ecrire et informer le lecteur que vous esperez trouver un moyen de raconter ce que vous voulez raconter est le comble de l'inelegance !
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Du point de vue de l'écriture, rien à dire, il maîtrise totalement sa narration, ce qui en fait certainement un écrivain confirmé. J'ai lu la « Délicatesse », qui m'a plu mais après avoir longuement insisté, son humour et son originalité n'arrivant qu'à une bonne moitié du livre.
Pour celui-ci, j'en attendais beaucoup plus. Je me suis un peu ennuyée, mais j'ai persévéré. Trop parfait dans la construction. Par exemple dans sa façon d'amener les « souvenirs » d'un des personnages faisant l'objet du chapitre précédent. Trop souvent répété à mon sens. Côté relations inter générationnelles on a le choix, conflit parents enfants (même si le conflit n'est pas violent, il est sous jacent continuellement). Il est plus facile au petit-fils (au fait comment s'appelle-t-il ?) d'aider son grand père à mourir, de s'occuper de sa grand-mère lors de son périple dans le passé (il aurait pu trouver autre chose que la classe en primaire…. Mais bon…) que d'être attentif à ses propres parents ? Lesquels sont, bien sûr des gens moroses et banals… Et cela continue il épouse Louise, aura un fils Paul, mais le couple n'est pas d'une grande originalité et l'on navigue encore dans les conflits….
Mon impression est que la narration, l'histoire, est à la mesure de la description que D. Foenkinos fait du 20e siècle (page 251) le cercle se ferme : il devient comme son père… Malaise, platitude de la vie, morosité. Quelle est cette angoisse qui donne à l'auteur cet arrière goût de répétition. « La haine des autres a toujours été la meilleure façon de combler sa propre vacuité » page 260. Serait-ce sa réponse ?
Ce n'est pas la tristesse des événements, mort, vieillesse, abandon et incompréhension qui m'ont déplu dans ce livre. C'est le manque d'énergie, d'espoir, de vivacité, de foi en quelque chose ou en quelqu'un. Bien triste constat qui m'a même fait oublier les quelques traces d'humour que beaucoup de lecteurs ont soulignées.


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Je me demande pourquoi, parfois, j'ai d'un roman une impression qui n'est pas la bonne. Je pensais que Les souvenirs étaient autobiographiques. A la lecture du roman, je pense que seul le début l'est. le narrateur nous parle de la vieillesse, celle de sa grand-mère surtout qui se retrouve dans une maison de retraite sans avoir rien demandé, à attendre la mort, comme les autres "pensionnaires", celle de ses parents aussi qui viennent d'atteindre le moment critique de la retraite, celui où on ne peut plus fuir l'autre. La deuxième partie est davantage une réflexion désabusée sur le couple.

J'ai passionnément aimé les soixante premières pages de ce roman. J'y retrouvais un thème cher à mon coeur, la dépendance des personnages âgées et leur perte de dignité et j'ai reconnu, dans les réflexions du narrateur, mes propres opinions, mon dégoût et mon désarroi. Et puis, la machine s'est enrayée et je me suis ennuyée ferme. Où sont les dialogues enlevés et drôles de la Délicatesse dans ce portrait maussade du couple, où est la verve de David Foenkinos? Je n'ai trouvé aucune originalité dans cette deuxième moitié et j'ai été très déçue par l'intrigue et par la plume de l'auteur. Et puis, autant j'avais adoré les digressions et l'utilisation des chapitres de la délicatesse, autant ici, je n'ai pas trouvé l'utilité de ces chapitres qui racontent des souvenirs de personnes ayant existé et de personnages fictifs.

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L'histoire commence très fort. L'auteur nous prend par la main dès les premières pages pour nous parler des meilleurs souvenirs du personnage principal (lui-même?) avec ses grands-parents.

Grands-parents qu'il a vu vieillir et s'éteindre l'un après l'autre. de ce point de départ, on analyse le temps qui passe, les souvenirs qui s'érodent, les personnalités qui s'installent, les sentiments amoureux, tout ça avec la plume si poétique de l'auteur.

Il y a de la gravité dans ce récit, mais aussi des moments de légèreté (heureusement). Foenkinos a le don de nous faire accepter les choses les plus dures de la vie en les formulant simplement et en nous en faisant voir la beauté.

Cependant, j'ai été moins convaincue par ce roman que par “Numéro Deux” que j'ai également lu récemment. J'ai trouvé ce récit de vie un peu décousu, sans vraiment de fil rouge. Je pense que mes attentes étaient élevées, moi qui pensais lire un roman se rapprochant plus du roman graphique de Alix GarinNe M'oublie Pas” qui m'avait chamboulée.
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2/5

J'ai beaucoup aimé le chemin de ce jeune homme qui accompagne ses grand-parents, l'un après l'autre dans leur vieillesse, puis dans leur fin de vie.

L'auteur s'attaque à la vieillesse et aux maisons de retrait.

Il aborde également le thème du couple, de l'amour conjugal. On a l'impression de lire deux romans en un.

Cependant, l'histoire d'amour du personnage principal était de trop, c'était lent et intutile et absurde.

Les souvenirs des uns et des autres racontés entre les chapitres finissent par avoir peu d'intérêt.

Citation : « La mort donne l'obligation d'aimer. »
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J'avais été au premier abord complètement emballée par la quatrième de couverture qui promettait un scénario loufoque et inattendu.
J'ai d'ailleurs, pour la première partie du roman, souligné un grand nombre de passages.
Je pense que l'auteur porte un regard déconcertant de lucidité sur pas mal de questions de société, avec beaucoup d'humour et c'est un gros point en sa faveur.

Cependant, une fois passé un évènement particulier à la moitié du livre je me suis sentie beaucoup moins investie, pour au final lutter sur les derniers chapitres. J'ai donc terminé sur une note de déception.

Un avis très mitigé en conclusion, je ne le mets pas sur ma liste des "livres à lire absolument".
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Histoire triste et lente à en mourir! Même si le sujet est intéressant, je n'ai pas du tout aimé ce roman. Je me suis ennuyée durant toute ma lecture. 1er livre de l'auteur que je découvre. A ne pas lire si vous n'avez pas le moral, car celui-ci ne vous aidera pas.
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