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Nom de dieu, que c'était bon ! Je suis ressortie de ma lecture du « roi sur le seuil » comme de celle de « Légende », le sourire aux lèvres et le coeur battant. Deuxième Gemmell que je lis, deuxième coup de coeur.

Epique et flamboyant le récit embarque le lecteur dès les premières pages avec une histoire qui n'est pas sans rappeler « les sept samouraïs » et des scènes de batailles formidables. Mais comme dans « Légende », la force principale du « roi sur le seuil » c'est la magnifique galerie de personnages qui peuple le roman. Hauts en couleur, bigger than life et pourtant si vrais, jamais simplistes ni manichéens, ils permettent au roman de procurer au lecteur un torrent d'émotions. Il est impossible de ne pas tomber amoureux des personnages de Gemmell.

Grâce à ces merveilleux personnages, on pardonne les petites faiblesses du roman, notamment un dénouement un brin expédié.

Et dire qu'il parait que Gemmell a fait bien meilleur par la suite… Mais qu'est-ce qui m'attend ? J'ai hâte…
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Lire un David Gemmell est toujours plein de promesses. Des batailles épiques, bien menées, avec des rebondissements au bon moments. Des personnages, principaux comme secondaires, humains avant tout, avec leurs failles et leurs faiblesse. Une fin toujours un peu douce-amère mais toujours aussi à la hauteur malgré tout. Et surtout beaucoup d'émotions.

Le Roi sur le seuil ne fait pas exception à ces promesses. Tout est rempli, checké.

Sur bien des aspects, j'ai eu l'impression de lire Légende, en un peu moins bien quand même. C'est que tout fait écho au siège de Dros Delnoch. Tenaka est à la fois le descendant d'Ulrik et de Rek. Une bataille de siège se prépare, contre un tyran à Drenaï, Ceska. Les Nadirs vont à nouveau jouer un rôle, mais pas celui de l'envahisseur a priori. Même Druss a des échos par-ci, par-là.
Pour toutes ces raisons, je recommande de lire les aventures de Druss et surtout Légende avant d'entamer cette lecture. On y gagne en compréhension.

Les 5 étoiles ne sont pour autant pas atteints et j'avoue ne pas savoir moi-même ce qui m'a manqué. J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire qui m'a pourtant plu. J'ai eu du mal à vouloir tourner les pages à tout prix. Il m'a juste manqué ce petit je-ne-sais-quoi que je trouve dans les Gemmell de coutume. Mais, il n'en reste pas moins que c'est une très bonne lecture!

Challenge Jeu de l'oie littéraire 8e partie
Challenge Trivial Reading VII
Challenge Bragelonne
Challenge Mauvais Genres
Trio d'auteurs SFFF
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J'ai lu tous les Gemmell. Je les ai tous adorés : celui-ci ne fait pas exception à la règle ! Après avoir réalisé la version fantasy de Fort Alamo, DG s'est lancé dans la version fantasy des Sept Mercenaires (lui-même remake du formidable Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa). Tout est là, sauf qu'on est dans une vision assez dark de la fantasy : une société résignée à la dictature d'un crevard qui a sacrifié son peuple au nom d'intérêts supérieurs, avec toute une gallerie de personnages tourmentés par la peur, le doute, le regret…


Tenaka, c'est un Nadir qui reprend le rôle du leader jadis dévolu au mongol Yul Brunner. Il incarne un homme brisé par l'absence d'amour prêt à tout pour combler le vide de son coeur.
Ananaïs, c'est un homme hanté qui reprend le rôle du bras-droit jadis dévolu à Steve McQueen. Il incarne un homme brisé par un père meurtrier et incestueux qui s'est perdu dans les acclamations des jeux du cirque avant de perdre le visage dont il était fier.
Galand, c'est un proto Dakeyras qui s'accroche à son frère après la mort de sa famille.
Decado, c'est un proto Viruk qui recherche la paix de l'âme dans les jardins d'un monastère (marrant il ressemble beaucoup au Solomon Kane du film de Michael J. Bassett).
Renya, c'est une l'infirme transformée en Tigra de DC Comics (qui deviendra Ustarte dans "Wayalnder III").
Scaler, c'est un roublard qui n'arrive pas à porter l'immense héritage de ses ancêtres (marrant comme le relation Arvan / Belder va se reproduire une génération plus tard).
Païen, c'est à la fois Asmidir dans "Reine des batailles" et Nogusta dans "Les Guerriers de l'hiver" : un héros vengeur de blaxploitation qui vient châtier le tyran colonisateur !

Le roman est divisé en 2 parties : espoir et désespoir, aube et crépuscule. Dans la 1ère partie nous suivons la révolte de Skoda qui se termine par une bataille, dans la 2e partie nous suivons la révolution de Skoda qui se termine par un massacre.
DG oppose aux libérateurs les monstrueux Unis et les dangereux Templiers noirs. Chaque personnage suit les impératifs de sa mission et on sent arriver l'inéluctable fin. Evidemment on sent l'héritage du cape et d'épée à la Walter Scott et on devine rapidement que plane sur le roman le souvenir des exploits IRL du légendaire William Wallace.

Mais un s'agit surtout d'un véritable actionner d'héroïc fantasy sans aucun temps mort ! le style de l'auteur associe toujours au sang et aux larmes romance, poésie et mélancolie. Tous les personnages ont une histoire tourmentée, passée, présente au à venir. Et l'épilogue d'une tristesse infinie montre qu'on ne peut pas échapper au poids de la destinée. Et plein de réminiscences howardiennes et moorcockiennes qu'on retrouve avec plaisir. Et plein de réflexions sur la dualité de l'homme plein de forces et de faiblesses.

Il y a aussi plein de trucs qui ne marchent pas quand même :
- aucun méchant digne de ce nom car Ceska puisse dans la tradition des tyrans romains, entourés de tyranneaux sans âme, de pervers narcissiques divers et variés et de courtisans prêts à tout et au reste pour grappiller quelques miettes de pouvoir
- la précipitation du dénouement : des moments d'anthologie sont gâchés par des trucs mal fagotés (la trahison d'Orenta, la rédemption de Païen, l'eucharistie des Trente, le coup d'Etat de Scaler, la réunification de Tursk, l'armada de Tenaka…)
- le mélange action et palabre est brut de décoffrage avec des répliques eighties !
- des romances qui déboulent de nulle part et qui s'installent en 1 page !
- des personnages qui auraient pu nourrir des livres à eux-seuls mais qu'on ne fait qu'effleurer
- la désagréable impression d'arriver après un tome 1 qui n'existe pas (DG a écrit qu'il aurait adoré réaliser un roman sur le Dragon et les camarades des Tenaka avant leur chute)


Mais on s'en fout : c'est un roman d'aventure épique rempli d'héroïsme et d'humanisme ! le talent n'est pas forcément au rdv, mais le souffle lui est bel et bien là c'est clair. Et ce n'est que le 2e roman de l'auteur qui ne va cesser d'affiner sa formule pendant 30 livres…
Lien : http://david-gemmell.frbb.ne..
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Ce tome, le deuxième écrit par l'auteur (l'ordre de publication est différent de la chronologie des histoires dans le Cycle de Drenaï), se déroule un siècle après le précédent. Drenaï a bien changé, et subit la férule du tyran Ceska allié aux Templiers Noirs, version sombre des Trente (comparables à des chamanes). Ceska a à son service les Unis, des êtres mi-hommes mi-animaux féroces qui sèment la terreur dans le pays.

Tenaka, sang-mêlé drenaï et nadir, descendant des anciens ennemis Ulric et Regnak, était un membre du Dragon, ordre de guerriers chargés de protéger Drenaï. le Dragon a été vaincu des années auparavant, mais Tenaka va mener la rébellion contre Ceska avec l'aide de ses anciens compagnons d'armes.

Tout comme le premier volet, ce récit est une suite de combats héroïques : il est amusant de voir ces guerriers hors pair terrasser si — trop — facilement de nombreux ennemis, mais on est dans la Fantasy héroïque, justement ! le foisonnement de personnages dessine une fresque épique mettant en scène de vieux guerriers souhaitant se racheter et de jeunes gens pleins d'espoir, et quand on connaît l'auteur, qui n'hésite pas à tuer ses héros, on se demande avec curiosité qui survivra à l'histoire.

J'ai été étonnée de découvrir une trame générale semblable au tome précédent : des batailles se concentrant autour d'un lieu stratégique à défendre, avec des combats où les « gentils » sont en position de faiblesse et espèrent l'arrivée de la grande armée promise pour renverser la situation. Même si les lieux et les personnages sont différents, c'est dommage d'avoir un « Légende » bis : j'ai été un peu déçue, car je n'ai plus eu le plaisir de la découverte et la surprise face aux rebondissements.

Il n'est reste pas moins qu'il s'agit d'une lecture agréable pour procurer un bon moment de détente, en assistant à des aventures épiques de personnages hauts en couleur.

Lien : https://feygirl.home.blog/20..
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Lorsque l'on a plus rien à perdre, l'impossible devient envisageable.
Alors que le peuple Drenai est en proie à la folie de l'empereur, Tenaka Khan, ancien membre du Dragon, part sur ses traces et murit sa vengeance. Il le tuera seul ! Ou presque.

C'est toujours avec plaisir que je me plonge dans un roman de David Gemmel. Celui ci comme les autres n'aura pas fait long feu, à peine débuté qu'il est déjà fini. Il faut dire que la recette cartonne : des héros attachants, un tyran à abattre, une cause perdue d'avance, le tout agrémenté d'une pincée d'humour. Impossible de résister.

Même si l'histoire reste simple, on ressent immédiatement le cachet que David Gemmel a insuffler à son roman. Il réussi ainsi à captiver le lecteur dés les premières pages avec ses héros imparfaits, ses batailles épiques, ses missions désespérées et sa fin douloureuse.

Sans temps mort, ce roman tient son rôle à merveille : nous divertir.
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Second tome du cycle Drenaï, publié en 1985, un an après Légende , mais 8ième dans l'ordre chronologique ( Légende est 7ième).

Un siècle après le siège de Dros Delnoch, Ceska, un tyran, a pris le pouvoir en Drenaï. Tenaka Khan descendant à la fois du Drenaï Regnak, compte de Bronze, et du Nadir Ulrik, ex général du Dragon, troupes d'élites de Ceska, trahi par ce dernier, va partir en croisade pour l'assassiner.
Tout au long de son voyage, Tenaka va rencontrer et recruter ancien et nouveaux compagnons, ayant tous une bonne raison de l'aider à accomplir son destin.

Dans ce volume, nous rencontrons de nouveaux type de personnages : Les Templiers noirs, pendant maléfique des Trente, prêtres guerriers aux pouvoirs magiques qui seront à nouveaux indispensables à la victoire. Et surtout les Unis, mi-hommes mi-bêtes, crées par de mystérieuses machines des Anciens (dont on ne saura d'ailleurs guère plus).

La trame reste classique. Une montée en puissance, émaillée de scènes de combats jusqu'à l'assaut final. Un siège à tenir, en cruelle infériorité numérique, une cause perdue d'avance, une défaite annoncée qui se transformera en victoire, au prix du sang et grâce à quelques retournements de situation bien à propos.
Cette seconde oeuvre est plus manichéenne (les méchants ne sont là que pour participer aux combats), mais les personnages semblent un peu plus consistants. C'est un plus.
Par contre, la fin aurait méritée un développement plus complet.

Conclusion : Une histoire, malgré un fin un peu bâclée, terriblement efficace qui vous prend aux tripes. Un très agréable moment de lecture.
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Mince alors, je crois que je deviens fan de Gemmell...

Même si ce livre a moins de souffle épique que Légende, il en a. Les personnages sont tous attachants, une fois de plus, et j'ai adoré les liens qui se nouent et se dénouent entre eux, même si au début que "chacun trouve sa chacune" aussi rapidement m'a un brin agacée.

Il y a un humour omniprésent extrêmement agréable, jusqu'aux toutes dernières pages pourtant dramatiques, et si je n'ai guère apprécié le retournement de Tenaka, ceux qui ont lu ce livre sauront de quoi je parle, je peux néanmoins le comprendre. Les héros de Gemmell sont plus humains que beaucoup d'autres héros de bouquins, et leurs failles sont à la hauteur de leurs qualités.

Les descriptions sont à couper le souffle, plusieurs fois je me suis dit en lisant "j'ai l'impression d'être devant un film à grand spectacle". C'est bien simple, je n'ai pas pu lâcher ce bouquin (il fait un temps tout pourri il faut dire) depuis que je l'ai commencé...

Sur le fond il est moins bon que Légende (bon je rectifie : il n'est pas "moins bon", c'est juste que le fond de l'histoire, pour moi, est moins "accrocheur" au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire), et pourtant j'ai quand même un coup de coeur assez énorme pour lui, c'est lié aux personnages formidables que Gemmell arrive à nous brosser en un bouquin. Tenaka, Ananaïs, Decado, Renya, Rayvan, Scalder, Païen, ils sont tous excellents, et je les aime. Même Balan est un "Trente" pénible et lourd assez génial, et Ceska un méchant qu'on aime haïr !

Bref, c'est de la fantasy épique et attachante comme je l'aime. Et comme je la vois avec les yeux de l'amour, les défauts (une fin un brin rapide et attendue, notamment) qu'elle peut avoir sont insignifiants pour moi ... Et donc je ne bouderai ni mon plaisir, ni ma note... :)
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Cent ans après l'héroïque résistance de la forteresse de Dros Delnoch, pendant laquelle mourut Druss la légende, Drenaï est dirigé par un tyran : l'empereur Ceska, qui a pris le contrôle de l'armée.

Massacrant sa propre population, il trahit également ses soldats les plus fidèles et les plus chevronnés : le corps d'élite du Dragon.

Il lance à leur trousse les Unis, chimère mi-homme mi-animal à la puissance dévastatrice, qui terrassèrent le Dragon.

Tenaka Khan fait partie, avec Ananaïs et Decado, des rares survivants.

Descendant directe de Regnak, le dernier Comte de Bronze, et d'Ulric, prince des Nadirs, il partira à la recherche de Ceska afin de l'assassiner.

Véritable meneur d'homme, sa quête se changera en véritable guerre au fur et à mesure que des compagnons, anciens alliés et nouvelles connaissances, se joindront à lui.

A Tenaka, surnommée l'Ombre par les mystiques, se joindront Ananaïs le Guerrier doré, Decado le Tueur glacé, Renya l'Unie mi-femme mi-animal, Païen le guerrier du lointain Sud et Scaler, son cousin du coté Drenaï.

Comme un siècle auparavant, le destin d'une nation complète dépendra de celui d'un seul homme.

C'est avec un grand plaisir que je replonge dans l'univers de Drenaï, renaissant sous la plume magique de David Gemmell.

Si Légende est un Fort Alamo à la sauce héroic-fantasy, le Roi sur le Seuil c'est Les sept samouraïs (Tenaka Khan,Ananaïs, Decado, Païen, Renya, Scaler. Comment ça, y'en a que six ?)

Les personnages, beaucoup plus travaillés que dans Légende, ont tous un passé assez tragique et un destin immuable.

Tenaka Khan, mi Nadir, mi Drenaï, n'est vraiment accepté nul part et tente de racheter son exil volontaire loin des combats en tentant de mettre un terme au règne d'un tyran, même au terme de sa vie.

Decado, ancien tueur impitoyable, se repend dans un monastère des Trente, à l'abri de la guerre afin de ne pas céder à la folie.

Les autres n'ont pas un passé plus enviable : Renya, mi femme, mi panthère, Ananaïs, le géant blond dont la beauté légendaire s'est envolée quand un Uni lui arracha le visage, Scaler qui ne produit aucun acte évoquant courage et force malgré sa parenté avec Tenaka et Païen, roi venu d'une lointaine contrée et désireux de venger son peuple afin tuer ses propres démons.

Malgré que le schéma de fond soit le même que Légende (beaucoup d'action, de guerre et de sièges, un solitaire dont la rencontre avec une femme changera le destin et celui du royaume), l'histoire est un peu plus complexe et les relations amoureuses entre les personnages sont mieux orchestrées.

Par contre, le roi sur le seuil, ne cherche pas à donner un bon rôle, ni même un coté un peu honorable, aux "méchants" : ils sont juste une nécessité.

Les hommes étaient vraiment stupides; ils ne comprenaient rien à la réalité de la vie.[...]

Il y aurait toujours des tyrans. Les hommes semblaient incapables de vivre sans. Parce que sans tyran, il ne pouvait pas y avoir de héros. Et un homme avait besoin de héros pour vivre.

Cependant, je suis un déçu par la fin, qui est un peu trop rapide.

Après avoir utilisé près de 400 pages pour mettre en place tout les pions sur l'échiquier, l'auteur met mat en seulement une dizaine.

De plus, l'épilogue enfonce encore le clou de l'absurde destinée à laquelle les hommes ne peuvent échapper.

Finalement, c'est encore un très bon livre de Gemmell dont le style, efficace et sans prétention, fait vite oublier les petites faiblesses.

Lire la suite :
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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2ème lecture de David Gemmell ce mois-ci, un autre relecture d'ailleurs et comme la première fois ce livre me laisse un goût de trop peu, de frustration. Je pense qu'il y avait mieux à faire avec ces personnages, Decado principalement. le méchant manque tellement de charisme, on voit la fin venir depuis très loin. J'ai cependant aimé que Gemmell ouvre un peu plus son univers avec les créatures hybrides, la mention de contrée lointaine "africaine" et on a ici un personnage féminin fort avec Reyvan.
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Un siècle après les évènements du 1er tome, Drenaï subit le joug d'un tyran qui ravage le territoire. Tenaka Khan, survivant du corps d'élite du Dragon, se met en tête d'obtenir vengeance.

Cette suite reprend plus ou moins la recette qui avait fait le succès de Légende: une poignée de marginaux et quelques centaines de citoyens lambda face à la toute puissance d'une gigantesque armée surentraînée. Moins les murs de Dros Delnoch derrière lesquels se retrancher. L'auteur ajoute cette fois des créatures sanguinaires, histoire de faire bonne mesure.

Comme toujours avec David Gemmell, la plume est fluide et addictive, il y a pas mal d'humour, on tourne les pages rapidement et on a parfois du mal à reposer le livre. Malgré tout, cette suite ne m'a pas autant accrochée que le 1er tome. Difficile de passer après Druss et le siège de Dros Delnoch, raison pour laquelle j'avais laissé passer si longtemps entre les deux. Et effectivement Tenaka Khan et ses compagnons ne m'ont pas autant tenue en haleine. Pour tout vous dire, le personnage que j'ai le plus apprécié est précisément celui qu'on suit le moins dans cette histoire.

J'ai quand même beaucoup aimé ce livre, même s'il n'a pas été à la hauteur de Légende, et j'ai hâte de lire le tome suivant, qui est déjà dans ma PAL 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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