Il y a quelques années, j'ai découvert
Laurent Gounelle avec son premier roman «
L'homme qui voulait être heureux ». Depuis, j'ai appris qu'il fallait impérativement prendre des notes pour ne pas oublier. J'ai donc relu ce livre qui m'avait touchée, avec cette fois, le bloc-notes à proximité.
Ce livre est plus qu'un roman, c'est une véritable ode à la vie et qui nous apprend avec beaucoup de simplicité à être heureux.
Le personnage principal est un jeune enseignant parti en vacances à Bali en Indonésie. Là-bas il rencontre un sage prénommé Samtyang. le vieil homme, au moyen d'exercices simples et de défis à relever, va lui ouvrir les yeux et l'aider à être plus heureux dans sa vie professionnelle et personnelle.
De ce roman assez court, j'ai pris beaucoup de notes. Certes, il s'agit d'un roman, mais la valeur de ce livre n'est pas de nous divertir (quoique) mais de nous enseigner des préceptes facilement applicables. le lecteur s'identifie volontiers à ce touriste français et qui mène une vie peu satisfaisante. Comme lui, nous pouvons avoir peur du changement. Or, les conseils du maître Samtyang permettent de voir les choses différemment.
Comme j'aime rendre service, je vais vous dévoiler quelques-unes de mes notes :
1. Les autres nous voient comme l'on se voit soi-même. Autrement dit, lorsque nous sommes convaincus d'une chose, elle devient réalité, notre réalité. Il n'est donc pas dans notre intérêt de nous dévaloriser. D'autre part, si l'on est convaincu que le monde qui nous entoure est sympathique, on sera plus ouvert avec les gens et ces derniers nous le rendront bien. Un vrai cercle vertueux.
2. « Ce n'est pas en écoutant quelqu'un parler que l'on évolue. C'est en agissant et en vivant des expériences ». Autrement dit, il ne faut pas rester dans la passivité par peur de l'échec mais foncer ! Ignorer les « saboteurs de rêves » et se rapprocher d'une personne positive et qui sera nous épauler.
3. Pour réaliser ses rêves les plus chers, il faut être prêt à faire des efforts et des sacrifices. Et ne pas hésiter à demander de l'aide à autrui. « Tout ce qui permet de se connecter aux autres est positif ».
Ce que j'aime dans les romans de
Laurent Gounelle, c'est la simplicité de ton. A travers des exemples, amenés parfois de manière un peu artificielle, nous comprenons facilement le propos de l'auteur. Ce sont des livres qui « nous parlent » car les histoires vécues par les personnages peuvent faire écho de nos propres expériences.