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Citations sur Miserere (131)

Le mauvais âge. L'âge où les enfants deviennent soi-disant des adultes. L'âge où ils sont en vérité le plus vulnérable, s'embarquant dans n'importe quel voyage.
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La torture et la peur sont des choses étranges. Des forces qui vous secouent, au sens propre et au sens figuré. Vous vous révélez : un lâche ou un brave.
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Autre possibilité : la mauvaise rencontre d'un soir. Kasdan avait beau lutter contre ses préjugés, pour lui, tous les homosexuels étaient des queutards, des baiseurs jamais apaisés. Goetz avait-il croisé un psychopathe sur sa route ?
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Les camés. Ils cherchent toujours à avoir l'air normal, aimable, ouvert. Ils sont semblant d'entretenir avec les autres des rapports sains, souriants, curieux. Ils essaient de convaincre, en toutes circonstances, qu'il y a partage. Mais rien n'est plus faux. Les élans d'un drogué ne vont jamais bien loin. Ses questions, ses raisonnements de dépassent jamais un mur invisible - celui de la came. En avoir ou pas. La seule question qui compte.
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Plus c'est simpliste, plus ça a des chances d'être vrai.
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C'est l'arrivée du désir qui " décroche " la voix..c'est le sexe qui transforme l'ange en être humain.
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- J'ai beaucoup réfléchi à ce phénomène. La mue, c'est la puberté. Et la puberté, c'est le sexe. Oui, nous perdions nos voix d'anges quand notre corps accueillait le désir. Le péché. A mesure que le mal se répandait en nous, notre voix changeait. La puberté, c'est la chute du paradis, au sens biblique du terme...
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Mais il y aura toujours les apôtres de la bonne conscience. L'immense armée de ceux qui ne font rien et jugent toujours. Sans offrir la moindre solution.
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Ce qui le choquait aussi, c'était la misère, la lâcheté des bourreaux. Si on tuait, alors on devait accepter d'être tué soi-même. N'accorder aucun prix à sa propre existence. Mais non. Les oppresseurs étaient toujours cramponnés à leur pauvre souffle.
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Quand un révolutionnaire tombe, il y a toujours dix mains pour ramasser son fusil.
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