Nos étoiles contraires

J'ai lu beaucoup d'avis positifs sur ce livre, voire presque que ça, j'étais donc très curieuse de le découvrir. Honnêtement ce n'était pas un mauvais moment de lecture mais ce ne fut pas non plus une source d'émotions intenses.


J'ai commencé par ne pas aimer Hazel, ni Augustus d'ailleurs. Ce sentiment a évolué, heureusement, j'ai fini par les apprécier, même si je ne me suis pas attachée à eux. Hazel, Augustus et Isaac nous donnent une vision assez réaliste du cancer, entre moments difficiles et vrais bonheurs. Je ne connais que peu de personnes atteintes par cette maladie mais j'ai eu l'impression que le roman traitait le sujet avec une certaine vérité : on ne nous épargne rien mais sans entrer dans le détail des termes médicaux ou des descriptions trop précises. Et puis Hazel a un point de vue assez mature sur sa situation, peut être trop en fait. Les autres personnages sont plus effacés et certains ne font que des apparitions éclairs quand on a besoin d'eux pour quelque chose de précis, ce qui nous plonge dans l'univers des personnes atteintes par le cancer qui écarte toutes les autres. J'ai eu l'impression désagréable que si on n'a pas de lien avec la maladie, on n'a rien à faire avec ceux qui en ont un. C'est peut être comme ça que ça se passe mais je n'ai pas adhéré à cette idée, ça faisait un peu « club des cancéreux » (désolée pour le terme, je n'ai pas trouvé mieux pour exprimer ce que j'ai ressenti).

L'autre personnage marquant est Peter van Houten et j'en viens à ce qui m'a le moins plu. Hazel fait (trop) souvent référence à son livre préféré, Une impériale affliction (le livre et son auteur étant une création de l'auteur). Si j'aime l'idée des références et des citations, j'aime surtout quand ça me donne l'envie d'aller découvrir d'autres oeuvres et d'autres auteurs. Mais là … ce ne sera pas le cas puisque c'est fictif. Et de toute façon, je n'ai pas aimé ce faux roman et aucune des citations ne m'a plu (quand j'ai réussi à les comprendre). Et pour l'auteur d'une impérieuse affliction, je n'en parle même pas… Il est juste décevant.



L'histoire ne m'a pas séduite non plus. C'est joli, certes, mais c'est trop peu crédible (pour le passage où les gens applaudissent un baiser, j'ai écarquillé les yeux d'incrédulité mais je n'ai pas trouvé ça touchant). Si Hazel est intéressante, Augustus est dans le surjeu et comme pour leur relation, je n'y ai pas cru une seule seconde. Bref, c'est mignon mais sans plus, je ne suis pas du tout convaincue par leur histoire, surtout que certaines choses sont très prévisibles.


En résumé, je crois pouvoir dire que je suis trop vieille ou trop blasée pour apprécier ce genre d'histoire. Mais hormis pour les citations que j'ai vite zappé tellement elles m'agaçaient, c'est plutôt bien écrit et facile à lire.

On en a tellement parlé... on l'a tellement vu dans toutes les librairies et dans les mains de tous les ados que je me suis sentie obligée de le lire.
Mais dans ces cas là on est toujours déçu... et j'ai été déçue !
J'ai trouvé ce roman niais à souhait. Des-ado-ultra-mûrs-pour-leur-age-parce-qu-ils-sont-malades-et-qui-tombent-amoureux-l-un-de-l-autre... boooriiing ! Biensur on sait que ça va plaire aux midinettes, biensur on sait qu'on va pleurer dans les chaumières ! Mais ne nous prendrait-on pas pour des flans ?
Cependant, je dois reconnaitre que malgré mon désarrois et mon coté bourrue-insensible je me suis laissée prendre lors de THE moment tragique...
Je ne suis pas allée jusqu'à verser ma petite larme parce que mon chéri n'était pas loin et qu'après avoir râlé que ce livre était une insulte à notre intelligence, j'aurais eu l'air maline... mais je n'en étais pas loin !
Malheureusement ce passage un peu plus profond est gâché par une suite qui traine en longueur et qui fait durer le plaisir... Alors que j'aurais préféré qu'il conclut assez rapidement en nous laissant nous dépatouiller avec notre mélancolie...

Il y avait eu une opérette amoureuse sur fond de sida (Jeanne et le garçon formidable), voici venu une histoire d'amour sur fond de cancers.
Oui, ils s'aiment mais ils vont mourir. Roméo et Juliette modernes en somme.
Je me vois très bien en parler à ma meilleure amie :
"- C'est une fille qui a le cancer, qui rencontre un gars qui avait le cancer. C'est génial !" Elle me regardant, l'air hagard : "- Euh....T'es sûre que ça va ?"

La mort, la maladie, ça n'a rien de beau, ça n'a rien de doux et de mignon. Encore plus lorsqu’on est ado, qu'il s'agit d'un premier amour et que l'on a besoin d'espoir pour se battre.

C'est déchirant, ça nous met en colère, ça nous arrache les tripes, ça nous rend tantôt violent, tantôt apathique. C'est compliqué, douloureux et surtout, c'est difficile à faire comprendre aux autres. Je comprends l'auteur, je sais ce qu'il a voulu montrer. C'est beau, mais c'est trop lisse : dommage !

J'ai d'abord lu ce livre parce que tout le monde en parlait et parce qu'il vient de sortir au cinéma. L'histoire était sympa, il y a des beaux moments, des moments drôles et des moments tristes. Je n'ai pas été vraiment touché par cette histoire et je me suis dis en la lisant "Mais pourquoi un film ?" et en regardant la bande-annonce, en fait, le film a l'air pas mal, voir mieux que le livre (j'irai peut-être le voir, je ne sais pas encore).

J'ai aimé les moments de complicités et de rigolades des adolescents, mais j'aime m'évader et partir à l'aventure ou dans des romances et là, le côté maladie à pris le dessus sur tout. C'est un livre qui m'a démoralisé. Il m'a mis le cafard et ce n'est pas ce que j'attends d'un livre. Effectivement, on nous montre la maladie en face, sans faux semblant, mais ce n'est pas ce que moi j'attends d'un livre. Un livre qui pour moi ne livre pas un message d'espoir, je trouve ça terrible. J'ai déjà été confronté dans mon entourage à des personnes qui nous ont quittés dans la souffrance et la maladie et ce livre ne m'a pas permis de m'évader vers autre chose que l'affreuse réalité.

Pour comparer avec un livre qui aborde les mêmes sujets, j'ai plus apprécié Et soudain tout change de Gilles Legardinier qui n'aborde pas les choses de la même façon (bon, j'avais pas été super emballé non plus).

De plus, comme je n'aime pas la poésie, les diverses références par rapport au livre d'Hazel ne m'ont pas beaucoup intéressées.

J'ai beaucoup apprécié le personnage d'Isaac.
Lien : http://unlivrepeutencacherun..

Au risque de penser pour une sans coeur, je n'ai pas aimé "Nos étoiles contraires " .

Deux adolescents, une histoire d'amour et entre cela cette foutue maladie :le Cancer. Déjà avec ses thèmes, je sentais le best seller larmoyant - attrape couillon à plein nez...et je ne me suis pas trompé.

Ce livre parle d'une jeune fille nommée Hazel et qui est atteinte d'un cancer qui la condamne . Elle rencontre Augustus et là un amour s'installe. Ce livre ne m'a pas plu car il manquait d'action, de retournement de situation. Malgré quelques pages touchantes, je déconseille ce livre aux personnes aimant le suspense.
Tristan.

une petite histoire d'amour triste, axé sur une maladie qui nous a tous touché de près ou de loin " le cancer " , l'histoire de deux adolescents américain qui se battent contre d'incurabilité, l'oublie .
De style simple accessible a toutes catégories, je le conseille aux lecteurs de 14 à 18 ans....................
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Nos étoiles contraires, c'est un livre que j'ai lu plutôt facilement. Je n'ai pas adoré, je n'ai pas non plus aimé, mais j'ai apprécié ma lecture à l'exception du quart final. Je trouve que la principale force de cet ouvrage réside dans sa narratrice dont le caractère ne m'a pas déplu (même si elle mérite d'être secouée par moments). J'ai aimé sa façon de voir les choses, la manière dont elle communique avec le monde extérieur et sa mère. Oui, j'adore la mère d'Hazel, sa manie de fêter tout et n'importe quoi. J'ai aussi aimé son père et sa façon de trouver les mots justes. Je me suis attachée à cette famille, qui est frappée durement par la maladie d'Hazel, qui s'efforce de vivre avec et ce n'est facile pour personne.

A côté de cela, nous avons Gus. Il a tout du prince charmant. Il arrive pile au bon moment dans la vie de notre héroïne. Il devient l'ami dont elle avait besoin avant que l'amour ne pointe le bout de son nez. C'est mignon, légèrement mièvre sur les bords jusqu'à ce que le destin décide de faire sombrer l'ouvrage dans le pathos. Honnêtement, je veux bien que la tragédie pointe le bout de son nez, qu'un drame frappe mais j'avoue être restée perplexe face au choix de l'auteur. Pour moi, il a cherché à rajouter une couche inutile de drame, une sensation renforcée par une statistique donnée sur le cancer en question.

Quant au personnage de l'auteur, je ne sais pas trop quoi en penser. Il aurait sans doute fallu s'arrêter à la rencontre avec ce dernier plutôt que de le voir ressurgir pour des apparitions sans grand intérêt. Je ne parle même pas du passage dans la voiture où les réactions des personnages manquaient clairement d'incohérences et qui ne présentait aucun intérêt. Si quelqu'un a une explication sur sa signification, je veux bien l'entendre car moi je ne comprends vraiment pas. Je trouve ça vraiment dommage car ça nuit clairement à l'intrigue à mes yeux.

Au final, Nos étoiles contraires raconte une histoire d'amour mièvre sur fond de cancer. Si par moments l'auteur trouve les mots justes, il se perd dans la pathos à la fin et sombre dans le n'importe quoi avec la scène de la voiture. Je m'attendais à une belle histoire, je me retrouve avec un téléfilm de l'après-midi à l'intrigue prometteuse que la dernière ligne droite gâche totalement.
Lien : http://encore-un-chapitre.bl..

Bien

Quelle déception ! J'ai terminé ce livre en me disant : Tu as perdu tout ce temps pour ça ? le livre avait tellement été encensée par les critiques positives que je me suis dit qu'il fallait absolument que je le lise et que je ne pouvais pas passer à côté d'un livre ayant été vendu à autant d'exemplaires ! Et bien, j'aurais du passer à côté ! Livre sans aucunes profondeurs, d'un légèreté tellement importante qu'il en devient même inintéressant.. Effectivement, il est destiné à des adolescents voir des pré-adolescents tellement le récit est pauvre, faible... Je m'attendais à tellement mieux ! Ne perdez pas votre temps !