36 personnes dans le monde on l'univers entre leurs mains, on les appelle les justes. Ces personnes permettent au monde de subsister, mais le massacre de ses juste commence, d'après les anges noir leurs ennemis jurer une fois disparu, le monde deviendrait meilleurs. Quelle désillusion. David qui vient de sortir d'un coma après une chute entend des noms résonner dans sa tête, il comprend que chaque nom qu'il entend c'est un juste que l'on va assassiner. Pour lui et son amie Yaël ils vont tout faire pour sauver le dernier juste. Vont – ils y arriver ?????
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Allez... je mets une étoile pour l'idée. Il existerait dans les textes sacrés (du judaïsme) l'idée qu'à chaque génération, 36 Justes servent à maintenir le monde tel qu'il esT. Ils ne savent pas qu'ils sont des élus, ils vivent simplement, et par leur action, ils équilibrent l'univers. Que ces justes meurent et la fin du monde arrive.
Cette fin du monde, c'est ce qui est recherché par une secte, Gnoseos, regroupant des illuminés, la plupart puissants et riches.
A partir de cela, le duo d'auteures déroule une sorte de thriller ésotérico-mystico-merdique, mal ficelé, où les incohérences se multiplient. Ajoutons les habituelles coïncidences. Ajoutons le revirement final d'un méchant... je ne spoile pas... car ce genre de roman est archi convenu. On devine tout depuis le début. Cela dit, ce n'est pas spécialement grave, car on peut quand même prendre du plaisir à la lecture. Les romans où on sait dès le départ qu'il n'arrivera rien au héros sont assez nombreux. Cela n'empêche pas de les lire et de les apprécier.
Mais ici, je me suis sauvagement emmerdé. Et évidemment, la personne qui sauvera le monde, c'est la fille du personnage central... Mouarf.
Pas de progression dans le suspense. Des scènes d'action d'une platitude désertique. Des enchaînements d'un ridicule absolu. Des services secrets qui déboulent d'on ne sait où. Des méchants qui se font voler leur laisser-passer et ne le déclarent pas... Pour peu, on croirait ce livre commandité par Israël pour redorer leur blason. Incohérences. Inconsistances. Insipide et inodore. le vide de ce livre résonne d'une sacrée profondeur abyssale... Dommage, car l'idée de départ pouvait donner quelque chose. Ou pas.
Ou pas...
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Je ne suis pas une adepte des thriller mais j'ai passé un bon moment avec celui-là ! J'ai surtout apprécié le sujet de secte même si j'aurai apprécié plonger un plonger un peu plus dans le côté sombre de cet univers.
Comme je n'ai pas un esprit très mathématique et logique j'ai souvent du mal à lire des romans de ce genre ou encore des romans policiers, mais celui-là ne m'a posé aucun problème de compréhension. J'ai parfaitement suivi l'intrigue. Je le recommande à ceux qui veulent débuter dans le genre ! La seule difficulté c'est de s'immerger dans la culture juive et le côté mystique de cette religion qui est je dois l'avouer très technique.
Côté suspens j'ai été servie, je n'ai pas vu le temps passé tellement j'étais accrochée à ma lecture ! le scénario en lui-même est vraiment sympa et j'aurai apprécié un petit degré de complexité.
David est un personnage très bien développé avec des émotions fortes qui rythment l'histoire. Les autres personnages qui gravitent autour de lui on tous un caractère assez fort.
Finalement, je regrette que ce roman soit aussi cours car je pense qu'il aurait été intéressant de développé un peu plus l'intrigue et la profondeur des personnages.
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Les 36 restent humbles, aident leurs semblables en cachette, sans jamais rechercher les louanges pu les remerciements. De nombreux contes hassidiques mentionnent l' arrivée d'un Lamed Vav dans une ville, la sauvant d'une calamité et disparaissant aussi discrètement qu'il était venu. P 76
Les membres du Gnoseos inculquent à leurs enfants, dès
le plus jeune âge, l' idée que le monde matériel est mauvais, alors que la Kabbale, traditionnellement, n' est enseignée qu'aux hommes mariés de plus de quarante ans et versés en Thorah. P 88
La seule chose qui l avait frappé, c'était la chaleur humide,de si bon matin. La route qui menait à Jérusalem gravissait des collines rocailleuses parsemées de cyprès. Les carcasses de camions et de blindés gisant ça et là sur les bas-côtés avaient été volontairement laissées sur place,avait expliqué Yaël, en souvenir de la première guerre israélo-arabes de 1948, qui avait débuté le lendemain de la déclaration d'indépendance de l' État Juif. P 163
Jérusalem. Vous comprenez pourquoi on l' appelle la Ville d' or ? Dit -elle, radieuse, en dépit de la fatigue que son visage accusait. La tradition Juive enseigne que Dieu a donné dix mesures de beauté au monde, dont neuf à Jérusalem. P161