Voici une critique un peu particulière. Il s'agit non seulement d'une lecture en anglais, mais surtout du tome final d'une série mythique dont les personnages ont échappé à l'auteur et qu'une multitude de lecteurs se sont appropriés. Fitz, le Fou, Oeil de nuit, Umbre, Burrich, Kettriken. Et j'omets volontairement, afin de laisser le plaisir intact pour les futurs lecteurs, tous les personnages des sagas liées, le désert de pluie, les dragons qui reviennent, dans ce dernier opus, pour faire un peu plus qu'un rôle de figuration.
Bref, si vous résistez au texte masqué ci-dessus, vous ne trouverez ici ni résumé, ni spoiler d'aucune sorte : juste une petite trace de ma lecture. Lecture que je m'empresserai de relire en français, histoire de profiter encore un peu de ce long voyage dans les Six Duchés et de laisser le temps à A. Mousnier-Lompré de traduire les quelques 800 pages et profiter de ses excellentes traductions… qui me permettront de compléter ma compréhension parfois lacunaire du texte original.
Car oui, il se mérite ce final. Par contre, vu la longueur, il risque de se retrouver saucissonné en un nombre probablement astronomique de tomes chez Pygmalion !
Commenter  J’apprécie         80
Les 3 derniers livres sont prenants et concluent bien l'histoire des principaux personnages.
Comme pour toute la série, je préconise la lecture en anglais. La traduction est très mauvaise, l'édition sur liseuse comporte des fautes d'orthographe et de grammaire, et les tomes sont saucissonnés pour faire plus de ventes. C'est dommage.
Commenter  J’apprécie         10
She grinned. ‘You never knew she’d carved your face for the ship, did you?’
Was honesty becoming a dangerous habit? What would Chade have thought? I allowed myself an embarrassed laugh and conceded, ‘Until a very short time ago, I did not.’
‘Oh, sweet Sa,’ Althea muttered, and Brashen brayed out the suppressed laugh that he could hold back no longer. I heard a soft exclamation behind me and turned to find that Alise had joined us.
‘Oh, the things our women do to us!’ Brashen exclaimed and came to clap me on the shoulder.
I was never sure I understood what Regal's torture had donne to me. Part of me had died in that cell, both literally and figuratively. I was alive today. I'd never know if I'd lost more than what I had found.
‘Who is Lady Thyme?’ Lant asked.
For a moment, the silence held. Then both the Fool and I burst into laughter. I had almost recovered when the Fool gasped, ‘Your father.’ And we were both lost again to merriment. Lant was torn between confusion and offence.
Cinq femmes qui écrivent de la science-fiction.