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Victore Hugo : Choses vues - Fol... tome 1 sur 2
EAN : 9782070402175
1020 pages
Gallimard (21/03/1997)
4.26/5   49 notes
Résumé :
Choses vues, entendues, notées sur le vif en forme de brèves, de caricatures ou de longs portraits, de récits bouleversants, d'enquêtes, de grands moments qui appartiennent désormais à l'histoire nationale, mais aussi de mots d'esprit, d'expressions glanées dans la rue - voici le siècle de Hugo. Cet extraordinaire recueil, constitué après la mort de Victor Hugo et sur sa recommandation, est fait de pièces et de morceaux recousus à partir de ses Carnets, de son Journ... >Voir plus
Que lire après Choses vues, tome II/II : Souvenirs, journaux, cahiers 1849-1885Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Choses vues est un livre d'éditeur, c'est-à-dire une compilation de textes et de notes qui n'a pas été organisée par Victor Hugo mais a été éditée ultérieurement. En fait, le pluriel est nécessaire : il existe plusieurs versions des Choses vues, plus ou moins longues, faisant parfois appel à certains types de documents et parfois les ignorant, etc.
Pour ma part, je viens de terminer la version éditée en 2013 et par le Livre de poche (762 pages avec les notes et la table des matières). Franchement, c'est un vrai régal, y compris les repères chronologiques et les notes historiques, y compris les notes de bas de page (que je voulais au départ laisser de côté et que j'ai finalement toutes lues), y compris la préface (que j'ai lue à la fin, comme souvent) !
Là où une autobiographie peut vite devenir pesante et se révéler factice (l'auteur cherchant à donner une cohérence illusoire à son Moi éclaté), cette succession de fragments compose un très riche témoignage de l'époque et un portrait kaléidoscopique de l'homme qu'a été Victor Hugo dans sa vie publique comme dans sa vie privée (les précisions apportées par l'éditeur dans la préface sont éclairantes). La juxtaposition des grands événements qui ont fait L'Histoire et des petites choses du quotidien est très savoureuse. de même, j'ai aimé que Hugo ne se livre pas à l'introspection et privilégie la description des actions quotidiennes.
Il y aurait mille choses à dire sur cette oeuvre que je conseille de lire à ceux que le XIX° siècle intéresse. J'en mentionne juste une : la position très nuancée de Victor Hugo vis-à-vis de la Commune de Paris ! Très intéressant alors qu'on vient d'en fêter le bicentenaire en oubliant parfois de faire dans la nuance...
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
D’APRÈS NATURE.

Nuit du 3 au 4 février.
… Elle avait un collier de perles fines et un châle qui était un cachemire rouge d’une beauté étrange. Les palmes, au lieu d’être en couleur, étaient brodées en or et en argent, et traînaient sur ses talons ; de sorte qu’elle avait le charmant à son cou et l’éblouissant à ses pieds, symbole complet de cette femme qui volontiers introduisait un poëte dans son alcôve et laissait un prince dans son antichambre.

Elle entra, jeta son châle sur un canapé et vint s’asseoir à la table qui était toute servie près du feu. Un poulet froid, une salade, et quelques bouteilles de vin de Champagne et de vin du Rhin.

Elle fit asseoir son peintre à sa gauche, et, me montrant une chaise à sa droite :

— Mettez-vous là, me dit-elle, près de moi, et ne me faites pas le pied ; il ne faut pas trahir ce bêta. Si vous saviez, c’est moi qui suis bête, je l’aime. Vous le voyez, il est très laid.

En parlant ainsi, elle regardait Serio avec des yeux enivrés.

— C’est vrai, reprit-elle, qu’il a du talent, un grand talent même, mais imaginez-vous qu’il m’a prise d’une drôle de façon. Depuis quelque temps, je le voyais dans les coulisses rôder, et je disais : Qu’est-ce que c’est donc que ce monsieur qui est si laid ? Je dis cela au prince Cafrasti qui me l’amena un soir souper. Quand je le vis de près, je dis : c’est un singe. Lui me regardait je ne sais pas comment. À la fin du souper, je lui pressai la main en lui présentant une assiette. En prenant congé, il me demanda très bas :

— Quel jour voulez-vous que je revienne ?

Je lui répondis : — Quel jour ? Ne venez pas le jour, vous êtes trop laid, venez la nuit. — Il vint un soir. Je fis éteindre toutes les bougies. Il revint le lendemain, et puis encore le lendemain, comme cela pendant trois nuits. Je ne savais pas ce que j’avais. Le quatrième jour, je dis à ma maîtresse de piano : — Je ne sais pas ce que j’ai. Il y a un homme que je ne connais pas, — je ne savais pas son nom, — qui vient tous les soirs. Il me prend la tête sur sa poitrine et puis il me parle doucement, si doucement. Il est très pauvre, il n’a pas le sou, il a deux sœurs qui n’ont rien, il est malade, il a des palpitations. J’ai une peur de chien d’être amoureuse folle de lui. — Ma maîtresse de piano me dit : Bah ! — Le cinquième jour, il me sembla que cela s’en allait. Je dis à la maîtresse de piano : — Mais c’est qu’il commence à m’ennuyer beaucoup, ce monsieur ! — Elle me dit : Bah ! — Je ne savais plus du tout où j’en étais. Monsieur, cela dure depuis trente-deux jours. Et figurez-vous que lui, il ne dort pas. Le matin, je le chasse à grands coups de pied.

— C’est vrai, interrompit Serio mélancoliquement, elle rue.

Elle se pencha vers lui et lui dit avec idolâtrie :

— Tu es vraiment trop laid, vois-tu, pour avoir une jolie femme comme moi. — Au fait, Monsieur, poursuivit-elle en se tournant de mon côté, vous ne pouvez pas me juger, ma figure est une figure chiffonnée, voilà tout, mais j’ai vraiment de bien jolies choses. Dis donc, Serio, veux-tu que je lui montre ma gorge ?

— Faites, dit le peintre.

Je regardai Serio. Il était pâle. Elle, de son côté, écartait lentement, d’un mouvement plein de coquetterie et d’hésitation, sa robe entr’ouverte, et en même temps interrogeait Serio avec des yeux qui l’adoraient et un sourire qui se moquait de lui :

— Qu’est-ce que cela te fait que je lui montre ma gorge ? dis, Serio. Il faut bien qu’il voie. Aussi bien, je serai à lui quelqu’un de ces jours. Je vais lui montrer. Veux-tu ?

— Faites, répondit Serio.

Sa voix était gutturale. Il était vert. Il souffrait horriblement. — Elle éclata de rire.

— Tiens ! dit-elle, quand il verrait ma gorge, Serio ! Tout le monde l’a vue.

Et en même temps elle saisissait résolument sa robe des deux mains, et comme elle n’avait pas de corset, sa chemise fendue par devant laissa voir une de ces admirables gorges que les poètes chantent et que les banquiers achètent. Danaé devait avoir cette posture et cette chemise ouverte le jour où Jupiter se métamorphosa en Rothschild pour entrer chez elle.

Eh bien, en ce moment-là, je ne regardai pas Zubiri. Je regardai Serio.

Il tremblait de rage et de douleur. Tout à coup il se mit à ricaner comme un misérable qui a une agonie dans le cœur.

— Mais regardez-la donc ! me dit-il. La gorge d’une vierge et le sourire d’une fille !

J’ai oublié de dire que pendant que tout cela se passait, je ne sais lequel de nous avait découpé le poulet, et nous soupions.

Zubiri laissa sa robe se refermer et s’écria :

— Ah ! tu sais bien que je t’aime. Ne te fâche pas. Parce que tu n’as eu jusqu’à présent que des vieilles femmes ! tu n’es pas accoutumé à nous autres. Pardi ! c’est tout simple, tes vieilles, elles n’avaient rien à montrer. C’est vrai, mon pauvre garçon, tu n’as encore eu que des vieilles femmes. Tu es si laid ! Eh bien, qu’est-ce que tu veux qu’elles montrent, ta princesse de Belle-Joyeuse, ce spectre ! ta comtesse d’Agosta, cette sorcière ! et ton grand diable de bas-bleu de quarante-cinq ans, qui a des cheveux blondasses ! Voulez-vous bien vous cacher ! — À propos, Monsieur, vous n’avez pas vu ma jambe.

Et avant que Serio eût pu faire un geste, elle avait posé son talon sur la table, et sa robe relevée laissait voir jusqu’à la jarretière la plus jolie jambe du monde, chaussée d’un bas de soie transparent.

Je me tournai vers Serio. Il ne parlait plus, il ne bougeait plus, sa tête s’était renversée sur sa chaise. Il était évanoui.

Zubiri se leva ou plutôt se dressa debout. Son regard, qui la minute d’auparavant exprimait toutes les coquetteries, exprimait maintenant toutes les angoisses.

— Qu’a-t-il ? cria-t-elle. Eh bien, es-tu bête !

Elle se jeta sur lui, l’appela, lui frappa dans les mains, lui jeta de l’eau au visage ; en un clin d’œil, fioles, flacons, cassolettes, élixirs, vinaigres, couvrirent la table, mêlés aux verres à moitié vides et au poulet à demi mangé. Serio rouvrit lentement les yeux.

Zubiri s’affaissa sur elle-même et s’assit sur les pieds de Serio. En même temps elle prenait les deux mains du peintre dans ses petites mains blanches et qu’on eût dit modelées par Coustou. Tout en fixant sur les paupières de Serio qui se rouvraient des yeux éperdus, elle murmurait :

— Cette canaille ! se trouver mal parce que je montre ma jambe ! Ah bien ! s’il me connaissait seulement depuis six mois, il en aurait eu des évanouissements ! Mais enfin, tu n’es pas un crétin cependant, Serio ! tu sais bien que Zurbaran a fait mon portrait toute nue...

— Oui, interrompit languissamment Serio. Et il a fait une grosse femme lourde, une flamande. C’est bien mauvais.

— C’est un animal, reprit Zubiri. Et comme je n’avais pas d’argent pour payer le portrait, il l’offre en ce moment-ci à je ne sais plus qui, pour une pendule ! Eh bien, tu vois bien, il ne faut pas te fâcher. Qu’est-ce que c’est qu’une jambe ? D’ailleurs, il est certain que ton ami sera mon amant. Après toi, vois-tu. Oh ! en ce moment-ci, Monsieur, je ne pourrais pas. Vous seriez Louis XIV que je ne pourrais pas. On me donnerait cinquante mille francs que je ne pourrais pas tromper Serio. Tenez, j’ai le prince Cafrasti qui reviendra un de ces jours. Et puis, un autre encore. Vous savez, on a toujours un fonds de commerce. Et puis il y a des gens qui ont envie de moi. Il y a toujours des curieux qui ont de l’argent et qui disent : — Tiens, je voudrais passer une nuit avec cette créature, avec cette fille, avec ces yeux, avec ces épaules. avec cette effronterie, avec ce cynisme. Ça doit être drôle avoir de près, cette Zubiri-là. — Eh bien, personne ! je ne veux de personne ! Je suis accoutumée à Cafrasti. Monsieur, quand Cafrasti reviendra, je ne pourrai pas le supporter plus de dix minutes. S’il reste un quart d’heure, je le tue, voilà où j’en suis. J’adore celui-ci. Est-il canaille de s’être trouvé mal et de m’avoir fait peur comme cela ! J’aurais dû réveiller Cœlina. — Ma femme de chambre s’appelle Cœlina. — Une femme du monde l’aurait réveillée, mais nous autres filles, nous les laissons dormir, ces filles. Nous sommes bonnes, n’ayant rien autre chose. Ah ! voilà qu’il se remet tout à fait. Ô mon vieux pauvre ! si tu savais comme je t’aime ! Monsieur, il me réveille toutes les nuits à quatre heures du matin, et il me parle de sa famille, de sa pauvreté, et du grand tableau qu’il a fait pour le Conseil d’état. Je ne sais pas ce que j’ai, cela me fait frissonner, cela me fait pleurer. Après cela, il se fiche peut-être de moi avec ses jérémiades, c’est peut-être une balançoire qu’il avait aussi avec ses vieilles femmes. Tous ces hommes sont si gredins ! Je suis bien bête de me laisser prendre à tout cela, n’est-ce pas ? vous vous moquez de moi, n’est-ce pas ? c’est égal, cela me prend. Je pense à lui dans le jour, comme c’est bizarre ! Il y a des moments où je suis toute triste. Savez-vous ? j’ai envie de mourir. Au fait, je vais avoir vingt-quatre ans, je vais être vieille aussi, moi. À quoi bon se rider, se faner, et se défaire peu à peu ? Il vaut bien mieux s’en aller tout d’un coup. Cela fait dire au moins à quelques flâneurs qui fument leur cigare devant Tortoni : — Tiens ! vous savez, cette jolie fille, elle est morte ! — Tandis que plus tard on dit : — Quand donc mourra-t-elle, cette affreuse sorcière ! qu’est-ce qu’elle a donc à vivre comme cela ! c’est ennuyeux ! — Voilà les élégies que je me fais. — Oh ! mais c’est que je suis amoureuse pour de bon. Amoureuse de ce sapajou de Serio ! Oui, Monsieur, de ce sapajou de Serio ! Enfin, figurez-vous que je l’appelle ma mère !

Ici elle leva les yeux vers Serio. Lui, levait les yeux au ciel. Elle lui demanda doucement :

— Qu’est-ce que tu fais ?

Il répondit :

— Je t’écoute.

— Eh bien, qu’est-ce que tu entends ?

— J’entends un hymne, dit Serio.
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Je me trompe, du reste, en disant que je ne connaissais pas Shakespeare. Je le connaissais comme tout le monde , pour n'en avoir rien lu , et pour en rire. Mon enfance a commencé, comme toutes les enfances, par des préjugés.
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[LE JARDIN D’HIVER.]

Février 1849.
Pendant que les canons, montrés à l’émeute le 29 janvier, étaient, pour ainsi dire, encore en batterie, un bal de bienfaisance attirait tout Paris au Jardin d’Hiver.

Voici ce que c’était que le Jardin d’Hiver.

Un poëte l’avait peint d’un mot : On a mis l’été sous verre. C’était une immense cage de fer, à deux nefs en croix, grande comme quatre ou cinq cathédrales, et revêtue d’une vitrine gigantesque. Cette cage était bâtie dans les Champs-Élysées. On y pénétrait par une galerie en planches, garnie de tapis et de tapisseries.

Quand on y entrait, l’œil se fermait d’abord dans l’éblouissement d’un flot de lumière ; à travers cette lumière, on distinguait toutes sortes de fleurs magnifiques et d’arbres étranges, avec les feuillages et les altitudes des tropiques et des Florides, bananiers, palmiers, lataniers, cèdres, larges feuilles, énormes épines, branches bizarres tordues et mêlées comme dans une forêt vierge. Du reste, il n’y avait là de vierge que la forêt. Les plus jolies femmes et les plus belles filles de Paris, en toilettes de bal, tourbillonnaient dans cette illumination a giorno comme un essaim dans un rayon.

Au-dessus de cette cohue parée, resplendissait un monstrueux lustre de cuivre, ou plutôt un immense arbre d’or et de flamme renversé, qui semblait avoir sa racine dans la voûte, et qui laissait pendre sur la foule son feuillage de clartés et d’étincelles. Un vaste cercle de candélabres, de lampadaires et de girandoles rayonnait de toutes parts autour de ce lustre comme les constellations autour du soleil. Un orchestre, qui faisait trembler harmonieusement le vitrage, résonnait dans les combles.

Mais ce qui donnait au Jardin d’Hiver une figure à part, c’est qu’au delà de ce vestibule de lumière, de musique et de bruit, que les yeux traversaient comme un voile vague et éclatant, on apercevait une sorte d’arche immense et ténébreuse, une grotte d’ombre et de mystère. Cette grotte où se dressaient de grands arbres, où se hérissait un taillis percé d’allées et de clairières, où l’on voyait un jet d’eau se dissoudre en brume de diamants, n’était autre chose que le fond même du jardin. Des points rougeâtres, qui ressemblaient à des oranges de feu, y reluisaient çà et là dans les branchages. Tout cet ensemble était comme un rêve. Les lanternes dans le taillis, quand on en approchait, devenaient de grosses tulipes lumineuses mêlées aux vrais camélias et aux roses réelles.

On s’asseyait sur un banc, les pieds dans la mousse et dans le gazon, et l’on sentait une bouche de chaleur sous ce gazon et cette mousse ; on rencontrait une immense cheminée de marbre et de bronze, où brûlait la moitié d’un arbre, à deux pas d’un buisson frissonnant sous la pluie du jet d’eau. Il y avait des lampes dans les fleurs et des tapis dans les allées. Au milieu des arbres des satyres, des nymphes toutes nues, des hydres, toutes sortes de groupes et de statues, qui avaient, tout ensemble, comme le lieu même où on les voyait, je ne sais quoi d’impossible et je ne sais quoi de vivant.

Que faisait-on à ce bal ? On y dansait un peu, on y faisait un peu l’amour, surtout on y parlait politique.

Il y avait ce soir-là une cinquantaine de représentants. On y remarquait le représentant nègre Louisy Mathieu, en gants blancs, accompagné du représentant négrophile Schœlcher en gants noirs. On disait : — Ô fraternité ! ils ont changé de mains.

Les hommes politiques adossés aux cheminées annonçaient la prochaine publication d’une feuille intitulée l’Aristo, journal réac, ou s’entretenaient de l’affaire Bréa qui se jugeait en ce moment-là même. Ce qui frappait le plus ces hommes graves dans cette sinistre affaire, c’est qu’il y avait parmi les témoins un marchand de ferrailles appelé Lenclume et un serrurier nommé Laclef.

Voilà quelles petitesses les hommes mêlaient alors aux grands événements de Dieu.
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Vous voulez la paix : créez l'amour.
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"Aimer c'est agir"
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