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3,67

sur 1135 notes
J'ai eu un peu de mal à m'accrocher au début... du vocabulaire nouveau, un style qui ne correspond pas à l'auteur...et puis finalement je me suis prise à l'histoire et j'ai dévoré le livre.
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Pas de doute : M. Kennedy est un "bon faiseur". Son éditeur lui a passé commande et il s'en ai bien tiré. Sujet sans originalité qui "surfe" sur l'air du temps, qui fait jaser à la cafètaria sur des sujets bateau.
Il est brillant, talentueux, il a de l'éthique (merci Papa) dans un monde qui n'en a pas. Les autres l'admirent, d'autres lui sont fidèles, prêts à l'aider. Alors ? Pourquoi foire-t-il tout ? Parce qu'il a peur de passer pour un "touriste", pire insulte pour un new-yorkais snobinard ?
Allez savoir...
Spontané et impulsif - atout pour "un tueur de la vente"- cela devient un handicap pour celui qui prend à vitesse grand V la direction d'un"has been"

Heureusement que c'était mon livre de tram : j'ai fini par en venir à bout !
Tout de même un moment de suspens intense (enfin un) : le match de tennis avec le Grand Motivateur. Quelques paragraphes pour 529 pages.
Il y a aussi un petit côté Pinocchio...
Premier Douglas Kennedy que je lis ... BOF !
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Bof!
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Un Kennedy qui tient avant tout du polar, loin des romans intimistes que l'on est en droit de préférer chez lui.
L'efficacité du récit et le portrait (bien qu'un peu caricatural) du milieu des "faiseurs d'argent" Newyorkais des années 90 en font un livre haletant, difficile à lâcher.

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Ned Allen est responsable des ventes d'espaces publicitaires dans un célèbre magazine d'informatique. Tout lui réussit et rien ni personne ne lui résiste. Une fusion dans son entreprise va le faire plonger : il est licencié sans ménagement (on est en Amérique). Réagissant avec violence, il se grille dans toute la profession et ne retrouve pas de travail. La descente sociale et économique s'amorce : sa femme la quitte, ses amis le fuient, son appartement lui est repris... Il est sur le point de se retrouver à la rue quand un copain à qui il demande de l'héberger lui propose un travail. Seulement, il met les pieds dans un montage très sophistiqué de blanchiment d'argent dans lequel on l'a enfermé de façon machiavélique. de plus, il retrouve au coeur du trafic son ennemi juré, qui lui a fait perdre son emploi et tout son crédit.
Le livre est inégal. La première partie est laborieuse, voire pénible. Ensuite, ça s'améliore lorsque Ned est employé par cet "ami" qui lui trouve un travail. Là enfin, on trouve un rythme de thriller, plutôt bien campé et on est accroché jusqu'au bout.
Ce n'est pas la première fois que l'écriture de Douglas Kennedy me déçoit. Au final, il sera à classer pour moi dans le registre des lectures de vacances, de celles qui ne nous prennent pas la tête et dont on n'attend pas un niveau de prix littéraire.
Ce qui est intéressant chez DK, c'est son intérêt à imaginer des personnages qui ont pris le mauvais chemin de leur vie, qui ne sont pas ce qu'il aimeraient être vraiment et qui vont renverser la situation pour devenir quelques fois l'opposé de ce qu'ils étaient jusque là.
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J'aime beaucoup ce qu'écrit Douglas Kennedy, mais en commençant ce roman, en anglais cette fois, j'ai d'abord eu du mal à accrocher. le style était différent, l'univers du personnage principal loin du mien et le vocabulaire du monde de la pub dans le domaine informatique loin de celui que je manie aisément. Bref, les débuts furent difficiles...

Dans les premiers chapitres, j'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à m'attacher au personnage de Ned. Un peu comme la Becky de Sophie Kinsella, j'avais envie de lui foutre des baffes, de lui dire d'arrêter de se comporter en irresponsable et d'ouvrir les yeux. Et puis, vers les derniers chapitres, j'ai fini par me laisser toucher, un peu.

Globalement, je l'ai trouvé très différent des autres romans de Douglas Kennedy que j'ai lu précédemment. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, peut-être en partie parce que je l'ai lu en anglais, et j'ai d'ailleurs cru que cette lecture allait traîner. Finalement, grâce à des salles d'attente de médecin bondées, j'en suis venue à bout plutôt rapidement.

Bref. L'intrigue est divisée en plusieurs parties. La première nous présente la vie, le job et le train de vie de Ned et pose les bases de la catastrophe à venir. Dans la deuxième, le monde et les certitudes de Ned s'écroulent et tout vole en éclat. Et finalement, il accepte ce job, la plus mauvaise décision de toutes celles prises tout au long du roman. C'est là que décolle réellement l'histoire pour moi. le suspens et la tension montent, le piège se resserre et puis... (je ne peux malheureusement vous en dire plus sous peine de spoiler la fin).

Après un début de lecture laborieux, j'ai réellement dévoré les derniers chapitres, emportée par la tension créée par la situation. Ce n'est sans doute pas mon roman préféré de Douglas Kennedy (qui reste pour l'instant "Cet instant-là") mais il se défend bien quand même.
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Je trouve que ce livre est inégal. Intéressant au début, avec un rythme rapide, alerte, une critique sévère du monde professionnel et puis, ensuite, plus le héros s'embourbe dans les problèmes, plus l'intrigue devient improbable. La fin est gâchée, peu crédible avec un happy end banal.
C'est juste un livre pour les vacances.
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Je suis de retour avec un roman de Douglas Kennedy. Un auteur toujours agréable à lire dans toutes ses histoires. Les Désarrois de Ned Allen est lui aussi un bon livre où il fait une critique de la société américaine. Plus précisément, le monde des affaires, les personnes qui courent après l'argent. le héros, Ned, est quelqu'un au poste important au début du roman qui va se voir tout perdre : le travail, l'argent, sa femme… A ce stade, nous serions prêt à accepter n'importe quoi pour tenter de s'en sortir.

Ce roman est une parfaite leçon, à retenir que les premières propositions ne sont pas toujours les plus honnêtes. Sans vous en dévoilez davantage, notre héros va se retrouver dans des situations difficiles et va devoir ruser pour s'en sortir.
C'est un roman intéressant, un point de vue de la société qui plaît de découvrir. Il y a de nombreux rebondissements, des manipulations, des affaires louches. Douglas Kennedy a inséré un petit thriller dans son livre et c'est plutôt réussi.

Le livre est plaisant à lire mais c'est à découvrir que si les thèmes abordés vous intéressent. Si le monde des affaires, l'argent etc ne vous intéresse pas plus que cela, il vaut mieux ne pas s'arrêter sur ce roman et découvrir cet auteur si ce n'est pas encore fait, par d'autres de ses oeuvres. Néanmoins, le duo thriller – critique de la société est réussi et donne un bon ensemble.

Une déception pour les personnages qui ne sont pas très travaillés. Douglas Kennedy est doué pour peindre des portraits de personnages attachants ou uniques et excepté le héros qui est assez attachant, les autres personnages ne resteront pas dans les mémoires et ne servent qu'à remplir un second plan.

Conclusion, un roman intéressant et plaisant à découvrir. Une manière efficace de nous montrer le monde des affaires.
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Pour moi qui travaillait à l'époque dans la publicité, ce roman trouvait un écho particulier par son contexte... Mais son intérêt réside, comme souvent chez Kennedy dans la véritable plongée aux enfers du héros, Ned Allen, pour qui, quelques minutes avant tout allait pourtant très bien. Où l'on voit que l'Amérique peut-être sans pitié, terriblement dure avec les plus faibles et que les tentations sont fortes de saisir n'importe quel moyen pour s'en sortir, fut-il à la limite de la légalité.
Haletant !
Lien : http://motspourmots.over-blo..
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Les désarrois de Ned Allen
Souvent, on n'a pas conscience de la chance qu'on a , sauf le jour où on perd tout et où il faut livrer une lutte sans merci pour essayer de reconstruire sa vie. Une réflexion aussi sur être et paraître et sur la société de consommation !
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