L'homme qui voulait vivre sa vie

Le premier livre de Douglas Kennedy que je lis.
Pour commencer j'ai eu du mal à rentrer dedans. Jusqu'aux deux cent premières pages on est continuellement dans la description : la jeunesse et les études de Ben, sa rencontre avec Beth, son travail, sa vie de tous les jours et sa vie amoureuse pas vraiment heureuse. Aucune action et absolument que de la description, autant dire que j'étais à deux doigts de lâcher...
Et puis enfin de l'action. ENFIN !

Je ne lis jamais les quatrièmes de couverture afin de ne connaître absolument aucun détail de ce que je vais lire, je ne m'attendais absolument pas à ça !
Passé ce petit (mais agréable) revirement de situation on repasse beaucoup dans la description, rien que ça.


Je pense que l'histoire avait un bon potentiel mais que l'auteur n'en a pas tiré tout ce qu'il aurait pu en ressortir.


Malgré tout, le style est vraiment, vraiment très agréable, cela sauve le livre et le rend malgré tout relativement sympathique à lire. Je compte en lire d'autres de Douglas Kennedy afin de voir si d'autres histoires m'attireront plus.
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Douglas Kennedy, un auteur qui ne m'est pas inconnu, avec lequel j'ai déjà pu apprécier bon nombre de livres (dont La poursuite du bonheur, le dernier en date). L'homme qui voulait vivre sa vie, l'un de ses premiers romans, publié le jour de mon année de naissance, en 1997, reste dans la lignée de son style originel, déployant une intrigue policière couplée à une histoire légère, qui fait le succès des autres histoires de cet auteur. Jusque là satisfaite par le style volumineux et enrobé de ses tournures de phrase, j'ai eu la nette impression qu'à l'intérieur de ce livre, l'auteur se perdait en descriptions infimes, en développement anodin, en bla-bla inintéressant et lassant. Tant de pages ,pour si peu de plaisir... j'avoue m'être ennuyée rapidement !

L'histoire avait pourtant tout pour plaire. Partant d'une intrigue farfelue et originale, Douglas Kennedy s'est laissé noyé dans ses descriptions assommante. Ben Bradfort, un jeune homme en costard-cravate travaillant à Wall Street, vit une vie paisible, entre son boulot, sa femme Beth et ses deux fils, Josh et Adam. Jusqu'au jour où il est alerté par les sorties impromptues de Beth. Ben, passionné de photographie, va rapidement se rendre compte que l'amant de sa femme est son voisin, Gary Summers, également photographe passionné. Sur un coup de tête, il lui rend visible, et le tue inopinément, sans préméditation, dans un accès de rage et de colère noire. Pour palier à son crime et camouflé la mort de cet homme, il va prendre l'identité de sa victime, et faire mourir le nom de Ben Bradfort. S'ensuit une vie de cavales, dangereuses, en équilibre constant entre la peur et le regret.

Le contenu aurait dû m'intéresser, me passionner et m'embarquer dans une cavalcade épique autour des états-unis... Malheureusement, le récit s'essouffle rapidement, les passages descriptifs tirent en longueur et prédominent bien plus que le contenu principal. Je me forcé à continuer ma lecture, m'attendant à une tombée spectaculaire, à une apothéose inattendue et époustouflante... Après avoir parcouru plus de la moitié du livre, il a fallu se rendre à l'évidence : le style linéaire et fastidieux continue son laborieux chemin. Pour le coup, j'appelle ça du remplissage : écrire pour écrire, ou écrire pour combler un vide, pour allonger l'épaisseur du bouquin.

Très déçue par cette histoire, j'ai finalement abandonné sa lecture après d'infructueuses frustrations quant à mon abandon prématuré. Par pure curiosité, j'ai survolée la fin du récit, qui ne m'a pas parue plus enrichissante que le reste du livre, ni passionnante, ni surprenante, rien d'extraordinaire à offrir. aux lecteurs.

Ma rencontre avec Douglas Kennedy m'a refroidie. Cet auteur, à la bibliographie bien remplie, s'est laissé plonger dans un style banal, plutôt commun, dont je n'arrive pas à tirer les bienfaits. le seul point positif que j'aurais pu relever de ce livre, aurait été l'histoire singulière inventée, mais traitée avec si peu de réalisme, que mon entrain s'est rapidement envolé.
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Tout partait bien... jusqu'au moment où le personnage entre dans sa nouvelle vie clandestine... le rythme à largement ralentit et j'ai commencé à regretter ma lecture.
Un peu trop gentillet, surtout la fin...

Déjà que je n'avais pas aimé Cul de sac... Je commence à penser qu'il faudrait pas que j'attaque Rien ne va plus !

Un peu trop prévisible.

Un bon moment. Sans plus.

Le rêve américain...à la "American Beauty"...

Ben Bradford est le winner américain modèle : une vie professionnelle accomplie, un foyer stable : une femme, deux enfants et des rêves abandonnés plein la tête. Des joies, des peurs, des doutes plutôt ordinaires, des regrets d'artiste avorté et d'époux absent... Rien de foncièrement original, mais pourtant assez attachant !
Jusqu'au « pétage de plomb » aussi pathétique et désordonné que ses envies et ses idées. Commence alors une course contre la montre pour échapper au cauchemar, fuir la réalité et atteindre l’'issue la moins douloureuse….

Malheureusement, l'’histoire commence très tard à mon goût…. Les débuts laborieux de l’'ouvrage ont bien failli avoir raison de moi. Et pourtant, j'’ai gardé le livre en main ! Même si la trame du roman est rondement menée et que l’'écriture est plutôt agréable, cela traîne et traîne et traîne… en longueur...

Premier roman de Douglas Kennedy que j'ai lu et si personne ne me donne de bons arguments pour lire d'autres de ses livres jamais je ne retenterai l'expérience. Pourquoi ? J'ai du prendre mon mal en patience durant les 150 première pages environ qui ne contiennent que des explications, des descriptions... bref, une installation bien trop longue et qui m'a très peu intéressé, j'ai d'ailleurs songé à m'arrêter là à plusieurs reprises, puis vient l'événement qui va faire basculer la vie de notre protagoniste ("enfin" j'ai envie de dire). Pour ce qui est de l'histoire, il n'y a rien a dire, tout est bien ficelé et j'ai vraiment éprouvé de l'intérêt à savoir comment est-ce ce Ben allait pouvoir s'en sortir (si toute fois il s'en sort).

Mais voilà, il y a beaucoup trop de blabla à mon goût, trop de passages inutiles et dont on aurait très bien pu se passer. Ceci dit j'ai voulu aller jusqu'au bout, en espérant une fin qui compense tous ce que j'ai dit ci-dessus. Malheureusement la fin n'est pas mieux, je m'attendais à une véritable chute, une scène de déchéance totale, au lieu de ça nous avons une fin un peu trop facile. Remarque, cela reste dans la continuité de ce que j'ai dis précédemment. Conclusion : un roman que jamais je ne conseillerai et que je vais, sans aucun doute, très vite oublier !

Intrigue inhabituelle. L'ensemble reste moyen.

Le scénario est bon mais le début est trop lent (et donc trop long) tandis que la fin est décevante (l'effet de surprise est aussi parti au Canada ?)... Décidément Monsieur KENNEDY n'est pas une valeur sure, dommage...

Je ne peux pas en dire beaucoup sinon je dévoilerais trop le contenu. Je peux juste vous dire qu'il ne faut pas se fier à la couverture idyllique : en effet je pensais qu'il s'agirait d'un roman où un homme aime une femme, chabadabada, chabadabada. Et bien non ! Enfin si ! Mais il ne s'agit pas que de cela. Il y a la mort, l'amour, le mensonge qui inévitablement en appelle un autre, l'inconfort du mensonge.

Fin qui me semble un peu trop "facile" et un peu trop à rebondissements. Si je devais le noter, je mettrais 3/5. Ce n'est pas un livre que je relirai , mais il y a quand même un léger suspense que j'ai bien aimé.

Je dois avouer que je suis dure avec Kennedy. C'est le premier roman que je lis de lui et peut-être que j'en attendais trop.
Cela étant, l'écriture est insipide. On s'ennuie à mourir autant que Ben Bradford, le personnage principal de cette histoire. On a beau essayé, on ne se sent ni intéressé par ce qu'il achète ni par ce qu'il fait, pourtant cela n'empêche absolument pas l'auteur de nous en donner les détails les plus insignifiants.
On aimerait pouvoir vivre le livre tout comme Ben Bradford aimerait vivre sa vie, et c'est en effet au moment où il commence enfin à s'y plaire qu'on découvre une écriture fluide et agréable. Malheureusement pour nous et le héros, cela n'arrive pas avant d'avoir lu au moins 300 pages de ce roman.

J'ai trouvé ce roman, lu en janvier 2009, "bien" mais je l'ai sans conteste moins apprécié que ceux que j'avais déjà lus...
Déjà une petite fatigue littéraire avec le Doug' si prolifique (quasi un livre par an ... Doug' : laisse du temps à ton inspiration et laisse du temps au lecteur !).
En résumé : certes un sacré suspense, toujours à partir de la trame du couple superficiel/soupçons d'adultère/étroitesse de la vie de banlieue... avec meurtre maquillé, fuite, quête de nouveaux horizons (mais lesquels ?) etc. etc. mais bon, so what..., pour moi il en a écrit de bien meilleurs
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