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3,69

sur 1521 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Quel drôle de roman, à réserver aux amateurs du genre. Ma première réaction a été de la surprise: on a l'impression d'une introduction de 4 parties, avant que ce que nous promettait le résumé est expédié en une seule partie! On a aussi l'impression que l'auteur en rajoute: Jane, la protagoniste, a vraiment la pire poisse du monde, et l'auteur charge tellement la mule que cela ne marche plus au bout d'un moment. Je sais bien qu'il y a des malheurs qui en entraînent d'autres, comme une personne handicapée qui n'aura aucune chance de se sortir de la pauvreté dans un pays comme les USA, mais là, c'est le hasard, ou les choix horribles de Jane, qui entassent les catastrophes sur ses épaules. Je ne vais pas spoiler, mais trop c'est trop et cela finit par suspendre le pacte entre le lecteur et l'écrivain pour un chouïa de vraisemblance. Quand à la partie thriller, elle est tellement expédiée qu'elle n'emballera aucun lecteur. A vrai dire j'ai identifié le coupable à la seconde où il est arrivé sur la page, voilà à quel point c'est facile.
Un peu l'impression d'avoir perdu mon temps, même si ce livre m'a accompagné au cours d'une longue nuit d'insomnie. J'aurais finalement mieux fait d'allumer la télé!
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J'ai commencé par : « l'homme qui voulait vivre sa vie », enchainé par « les désarrois de Ned ALLEN », pour ce roman…
Le plaisir à le lire est inversement proportionnel au nombre de ses livres lus.
Quelle pénibilité dans la lecture de cet ouvrage .On retrouve les thèmes que Kennedy s'évertue à nous décrire depuis ces débuts : la fuite en avant, la douleur, la peur, la culpabilité.
Comment supporter le poids de la vie de cette famille, être prisonnier à ce point de cette dernière et sous l'influence du poids des mots, du chocs de ses rêves familiaux…, alors que toute personne censée aurait balancé son passé ; mais non, pas ce personnage, qui revient sans cesse sur ses engagements, sur ces relations paternelles et maternelles, …une fois, ça va, mais à ce rythme c'est insupportable.
Ce personnage est responsable de son présent et de son futur à défaut de l'être pour son passé.

Tellement pénible que j'ai stoppé cette lecture p421 pour reprendre deux chapitres avant la fin…
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Trop, c'est trop !
Au début, ça va, c'est agréable à lire, bien que certains passages me débectent complètement (comme ce passage où, pour se consoler, elle va faire du "shopping" et donc s'acheter une voiture de sport ultrachère) : l'omniprésence de l'argent m'insupporte. On dirait que l'auteur voulait faire quatre récits en un : ce ne sont plus les étapes d'une vie, c'est beaucoup trop rocambolesque pour qu'on y croit. Et j'ai arrêté avant que l'enquête policière ne débute car c'est trop long : Douglas Kennedy veut jouer sur tous les fronts, une enquête policière, le récit d'une vie qui me paraît gros (ok, elle souffre beaucoup, mais elle a quand même une facilité à trouver des emplois étonnante!) Il y a quelques bons éléments : je trouve les réactions du personnage principal justes face au deuil et à la séparation; j'ai également aimé le cercle familial vicieux et manipulateur. Mais à mon avis, il aurait fallu s'arrêter avant qu'elle ne déménage au Canada, dans ce cas, je m'en serais rappelé comme d'un livre. Là, au contraire, j'ai juste envie de le balancer au loin !
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c'est une suite de clichés de la vie Américaine. il n'y a pas beaucoup d'imagination, quelque fois des invraisemblances. bof çà se lit mais ne fait pas beaucoup réfléchir.
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Mélodrame surjoué, banalités affligeantes... Cet épais roman ne m'a pas convaincue. Pourtant, on se laisse facilement transporter par les premiers chapitres (malgré quelque longueurs) mais les événements dramatiques dans la vie de cette jeune femme se succèdent à un tel point que l'on se croit dans un mauvais Harlequin. C'est interminable, pompeux, cliché et désespérant...
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Quitter le monde est un bon livre, mais ne fait pas partie des ouvrages qui m'auront marqué, ni même emballé plus que ça. L'histoire m'a touché, sans pour autant me transcendé et je pense que plusieurs raisons sont en cause : d'abord les longueurs… C'est bien simple, il faut environ 300 pages pour que l'histoire prenne réellement un sens. Je ne suis pas fan des descriptions de faits qui ne servent pas vraiment à l'histoire principale de Jane… Ensuite, je trouve qu'on n'a beaucoup de mal à s'attacher aux personnages…et tout spécialement à Jane justement. Je trouve qu'il lui fait beaucoup de temps pour attraper le taureau par les cornes (même avant l'événement tragique survenant dans sa vie)

L'histoire est dure, tragique même mais Douglas Kennedy s'évertue à nous faire passer un message d'espoir…et ça, je pense que c'est très important. J'ai d'ailleurs été ravie de retrouver l'écriture de Douglas Kennedy. Ses tournures de phrases, ses citations parsemées ci et là m'ont permis d'apprécier ma lecture, c'est certain… Les 150 dernières pages sont assez étonnantes et on peut voir que l'auteur jongle facilement entre les genres littéraires et c'est assez sympathique (on le retrouve également dans Une relation dangereuse).

Bref, Je ne vous le conseille pas plus que ça mais c'est tout de même un livre intéressant et certainement important dans la bibliographie de l'auteur. Je sais qu'il est apprécié par un nombre important de gens, alors pourquoi pas ?
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bof
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Ayant lu et apprécié 6 livres de Kennedy déjà, je me suis lancée dans la lecture de ce 7ème livre mais moyennement convaincue, étant donnée que je connais déjà trop bien l'univers de Kennedy, et que les 2 derniers livres commençaient déjà à ressasser du "vu" ou du "revu"... Ca n'a pas loupé, je me suis arrêtée à la moitié, car je n'ai pas réussi à être accrochée.

Ce livre aurait été mon 1er de cet auteur, je l'aurais peut-être dévoré...mais là malheureusement, j'avais l'impression de lire un mixe de tous ses anciens, que ce soit au niveau des personnages, des lieux, des situations...
Peut-être qu'au bout d'un moment un auteur doit faire une pause, s'il n'arrive pas à se renouveler?? On aimerait tellement être surpris à chaque fois, nous les lecteurs... Bref au moins j'aurais essayé un 7ème, mais non...pas pu aller au bout, d'autres me tendaient trop les bras, je n'ai pas résisté à aller voir ailleurs ;-)
Bye
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Partant d'une phrase singulière d'une adolescente, Douglas Kennedy s'efforce de s'acharner sur cette pauvre Jane, lui faisant vivre les pires choses qui peuvent arriver à une jeune fille, puis à une amante amoureuse, à une femme qui joue dans le monde de la finance, et surtout à une mère...
On peut faire plusieurs reproches à cet ouvrage, notamment de pousser les clichés à leur paroxysme. le père salaud qui manipule sa famille, la mère opposée à la fille, la relation prof/étudiante, les stéréotypes de Theo et d'Adrienne , on a comme le sentiment d'être baladé entre les genres, entre les personnages irréels et les intrigues beaucoup trop romanesques...
Toujours est-il qu'on ne peut que compatir, et vouloir que Jane réussisse à quitter le monde malgré la lourdeur de certains passages et la longueur insoutenable de l'oeuvre.
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Peu de surprises dans ce roman de Douglas Kennedy : l'auteur développe encore une fois les thèmes qui lui sont chers : la culpabilité, la solitude, la douleur. Il est vrai qu'il a particulièrement gâté l'héroïne qui se débat dans une succession de malheurs, qu'on ne voudrait pas vivre même dans nos pires cauchemars !
La petite enquête de la fin arrive trop tard et est bâclée car trop courte et on trouve bien avant l'héroïne le coupable.
En résumé, un livre qui se laisse lire, parfois douloureux, jamais surprenant.
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