Corniche Kennedy

Je dois avouer que je n'ai pas compris ce que Maylis de Kerangal a voulu aborder dans Corniche Kennedy.

Quels liens entre cette bande de minots qui se regroupent sur cette corniche pour plonger dans la mer Méditerranée, au grand dam du maire de Marseille, et le commissaire Sylvestre Opéra, alcoolique, diabétique et hanté par une affaire passée ? Je suis incapable de le savoir.
A cela s'ajoute une écriture hachée et qui manque de beauté dans l'emploi des mots, cela ne m'a donc pas accroché.

Peut-être faut-il être marseillais pour y voir des allusions et comprendre une certaine ambiance ? Je ne sais pas. En tous les cas, je n'ai pas apprécié. Ce n'est que mon opinion toute personnelle, évidemment.

Probablement un des pires livres que j'ai jamais lu. Une histoire pas intéressante, un style très bizarre et que j'ai trouvé particulièrement désagréable. Empli de clichés et sans intérêt. le pire est probablement la culture du viol, quand la bande force une jeune fille qui refuse violement de sauter d'une falaise très haute et dangereuse. Notre héros la force à sauter avec violence et mépris et au final, elle adore ça. Bref une "morale" absolument horrible dans un livre long à lire et lourd.
À fuir absolument !

C'est un livre que j'ai lu pour les cours! J'adore la lecture mais ce livre allez finir par me mettre en panne de lecture! Déjà pour commencer, j'ai eu énormément du mal à rentrée dans l'histoire.
Le livre contenait des phrases longues, des descriptions interminables, l'écriture de l'auteur pour moi était très difficile ce qui explique pourquoi j'ai eu du mal à comprendre certaines choses!
Ce livre raconte l'histoire des jeunes adolescents qui s'amusent à sauter dans l'eau avec différents niveau!
Si vous avez grandi ou si vous connaissait Marseille et la Corniche ce livre peut vous plaire et il peut faire rappel au souvenir!
Une histoire qui ne m'a pas du tout captiver mais qui nous fait vivre un petit voyage dans l'eau et du beau temps ensoleillé!

(ps: ceci reste seulement mon avis)

Dans le roman de Kerangal, nous allons lire l'aventure d'un groupe de jeune appelé "la bande" ou bien "les petits cons" et celle du commissaire Sylvestre Opéra. Kerangal a son style à elle, mélangeant belles paroles et langage familier. Dans son roman elle écrira des phrases extrêmement longue, elles iront même à faire une page ou deux. Ceci est particulièrement déplaisant et énervant quand l'on préfère les phrases courtes. L'histoire ne m'a pas du tout plu. Les personnages ne me donne pas du tout envie de les aimer, voir même les apprécier.
Pour moi ça sera un 0,5 sur 5.

E.R

Style d'écriture qui se veut trop moderne. Deçu

Je n'ai pas "accroché" à cette histoire. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être le style très particulier de l'auteure -phrases extrêmement longues ; peut-être les lieux, l'environnement ; peut-être l'intrigue ; peut-être les personnages, pas à mon goût ? Ou plus sûrement, un peu de tout cela.
Je reconnais volontiers, que ce n'est pas un mauvais livre et je comprends aisément que des lecteurs apprécient, mais -et c'est très subjectif- pas moi !

La Corniche Kennedy narre l'histoire d'une jeune petite bourgeoise qui s'ennuie dans la villa parentale du bord de mer et qui décide de s'encanailler avec des "jeunes des quartiers difficiles" de Marseille qui pratiquent le plongeon interdit sur la Corniche. Un commissaire diabétique, qui n'a rien d'autre à faire de ses journées, est obsédé par cette bande de jeunes et les surveille une bonne partie de la journée. C'est vrai que la ville de Marseille est une station balnéaire très calme. Cette obsession est partagée par le maire de la cité phocéenne dont le problème numéro 1 n'est pas l'insécurité ou l'insalubrité des logements ou des écoles, mais d'empêcher les jeunes de sauter dans la mer. Notre pauvre maire finira par s'en rendre malade.
Les phrases sont interminables mais tout le monde n'est pas Proust ou Kerouac. Les personnages ne sont pas attachants. L'intrigue est faible et irréaliste. Je ne comprends pas que cette oeuvre est étudiée si souvent au lycée.