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3,83

sur 528 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce que j'ai ressenti:
Rencontre au sommet avec Gwendy et une Boite à Boutons…

« Ne pas attendre, ne pas se lamenter comme une pisseuse, s'attaquer au problème de front. »

8 couleurs, 8 sensations:

Jaune: Attirance.
« Ça » attire l'oeil, ce dégradé aux effets ondulants de cette jolie couverture et puis forcément, l'auteur en tête d'affiche…J'ai été forcée de me jeter dessus!!!! Un inédit de Stephen King, même une nouvelle, c'est toujours une promesse de plaisir…

Vert Clair et Vert Foncé: Curiosité et Impatience.
C'est les couleurs du décor de ce flanc de falaise qui entourent les Marches des Suicidés…Et voilà, comment en seul lieu, ILS suscitent la curiosité et l'attention des lecteurs dans la première ligne! Stephen King et Richard Chizmar se joignent pour nous faire transpirer sur 300 marches vertigineuses…Bienvenue dans l'intrigant, Castle Rock!

Orange: Gourmandise.
C'est l'effet vitaminé et loufoque que ses auteurs ont mis dans ses pages, du pep's et une friandise de 150 pages, à dévorer sans modération! Sitôt reçu, sitôt lu et fini dans la foulée, chocoolique ,moi aussi telle l'adorable Gwendy, de leur talent d'écrivain, un pur moment de délice…Mais il semblerait, que une fois digéré cette petite novella, je n'ai qu'une envie, c'est d'en lire encore plus…Alors, il t'en reste un peu, dis moi, Gwendy de ces chocolats magiques?

Bleu: Chair de poule.
C'est sans doute comme cela qu'il était le ciel, mais il va vite basculer vers un gris électrique, jusqu'à te pétrifier d'angoisse, aussi sûrement que si Stephen King passait Roi des cieux: en un éclair de rebondissements bien chapeauté, il te transforme une atmosphère…Et tremble de frayeur, les enfers ne sont jamais bien loin!

Violet: Tristesse.
Comme la couleur du deuil qui va lentement frapper Castle Rock de ses pires tragédies. Parce que finalement, notre héroine, est une jeune fille ordinaire, confrontée à la violence d'un monde qui se désagrège et des êtres humains rongés par des ondes négatives…Et pleure sur une réalité plus cauchemardesque, que la pire des histoires de peur!

Noir: Admiration.
Un sacré bonus que ces jolies illustrations! J'ai adoré trouver entre les pages, ses dessins en noir et blanc qui rendent encore plus de profondeur obscure à une ambiance déjà bien sombre…Quel beau coup de crayon que celui de Keith Minnion, j'ai une préférence d'ailleurs pour celle du passage dans la penderie…J'ai trouvé que cette idée de rassembler 6 mains pour une oeuvre, rend encore plus réjouissante, l'euphorie de la découverte de cet inédit. En plus de la joie de retrouver ton auteur préféré, sois heureuse d'avoir d'autres artistes à suivre avec intérêt!

Rouge : Coup de Coeur. ❤
Et monter crescendo sur le fil de cette intrigue, ressentir les frissons du vertige, connaître le boum vibrant d'un coup de coeur…C'était bien couru d'avance, que j'allais adorer cette histoire!

Alors je partage mon coup de coeur, et j'appuie sur les boutons de mon clavier précipitamment, pour dire ô combien j'ai aimé cette lecture! ❤

Je n'ai pas pu me décider, alors je les ai tous utilisé: Vert clair ou foncé. Jaune. Orange. Bleu. Violet. Noir.Rouge.

A toi, de décider maintenant, sur quel bouton, tu vas appuyer…



« Les secrets constituent un problème, peut-être le plus grand de tous. Ils pèsent sur l'esprit et encombrent le monde. »

Ma note Plaisir de Lecture 10/10

PS: Il y a un "effet couleur" si jamais vous passez sur le blog ;)
Lien : https://fairystelphique.word..
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Gwendy, 12 ans, ne se sent pas bien dans sa peau, elle porte des lunettes, a quelques kilos en trop, mais elle décide de prendre les choses en main avant d'entrer au collège… Elle n'a pas tellement envie que le surnom de Bibendum lui colle à la peau pendant des années, à cause du petit minable Francky Stone…

Un inconnu lui confie une boite, après quelques recommandations, il disparaît. Une boite avec des boutons de couleurs… Elle sent une responsabilité lui tomber sur les épaules, mais ce n'est qu'une gamine de 12 ans… La boite lui fait peur, mais l'attire en même temps… By by les kilos, bonjour la réussite, les amies…

L'histoire est simple et sans fioriture. On retrouve tous les ingrédients dont Stephen King est friand. L'enfance, l'angoisse, les drames…

Une lecture courte, mais pleine d'émotions. La boîte est une responsabilité, mais surtout une tentation permanente…

Dans ce conte fantastique, on suit Gwendy confrontée à des choix, des interrogations. On oscille, marche aux côtés de Gwendy, au gré de ses craintes, de ses tentations mais surtout de sa peur face à ses choix.

Stephen King nous entraine en 1974, autour de l'adolescence, du collège, au coeur de Castle Rock avec des références à ses anciens ouvrages. Et c'est ce que j'apprécie le plus chez King, on a l'impression que l'on retrouve une grande famille…
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Stephen King a toujours excellé dans l'art de la nouvelle et de la novella ; un exercice exigeant qu'il maîtrise à la perfection. Il affectionne également les challenges, comme celui de l'écriture à quatre mains (et pas seulement avec sa descendance).

Richard Chizmar est un inconnu du public francophone. Il a obtenu plusieurs prix pour son magazine Cemetary Dance qui publie depuis 1988 des nouvelles d'horreur et de suspense, dont les siennes. Autant dire qu'en matière de texte court, il en connaît un rayon.

Gwendy et la boîte à boutons est une magnifique sucrerie acide de 160 pages, une histoire fantastique (dans tous les sens du terme), à la fois proche de notre univers réel et pourtant décalée (à l'image du choix du prénom de l'héroïne, contraction de deux prénoms, Gwendoline et Wendy).

Ceux qui apprécient le King en version courte (en culottes courtes ?) devraient adorer cette histoire qui rappelle les univers qu'il aimait proposer dans les années 80. Un récit ludique, prenant dès les premières lignes, intriguant par l'étendue des possibles qu'il offre.

Imaginez qu'on vous confie une étrange boîte dotée de deux manettes et plusieurs boutons, accompagnée de quelques consignes étranges, à la fois excitantes et alarmantes. Et si vous teniez un pouvoir inconnu entre vos mains ?

Gwendy Peterson est « l'heureuse » élue, jeune gamine de 12 ans, assez mal dans sa peau, mais qui va se révéler au fur et à mesure des années. Aux cotés ou grâce à cette mystérieuse boîte ?

Rien que le contexte met l'eau à la bouche, quand on connaît l'oeuvre du King : 1974, la ville de Castle Rock et quelques clins d'oeils à d'autres de ses oeuvres (je laisse les spécialistes s'amuser à découvrir lesquels).

L'action se déroule donc en pleine guerre froide, et il est vite évident que ce coffret est une métaphore du risque de destruction qui planait sur les têtes et dans les esprits de l'époque.

Mais cette novella se concentre plutôt sur le destin de cette jeune fille. On suit des tranches de sa vie qui va être transformée en profondeur par cette boîte et ses pouvoirs avérés (ou fantasmés).

Même écrite à deux, cette histoire est typique de, l'univers de Stephen King, par des éléments bien connus dans son univers. Mais aussi par cette manière de décrire la vie d'une petite ville américaine à travers les yeux d'une adolescente dont l'existence est chamboulée, et qui va devoir faire des choix lourds de conséquences.

Gwendy et la boîte à boutons est un petit bijou de pression et d'émotions. Cette novella n'est en rien une histoire d'horreur, mais bien un récit fantastique profondément humain, à la tension palpable et graduelle. Un modèle du genre, ludique et qui fait réfléchir, de la première ligne jusqu'à son final.

Un court récit inédit au format poche qui vaut mille fois d'autres romans en grand format. Clairement à ne pas rater.

A noter que la nouvelle est joliment illustrée par Keith Minnion, avec plusieurs dessins marquants les points clés de l'histoire (dont quatre illustrations inédites pour cette version française).
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Gwendy et la boîte à boutons a toutes les caractéristiques d'un conte, à la sauce Stephen King évidemment, mais pour moi, çà reste un conte.
On y suit Gwendy pendant quelques années, qui s'est vu confier par un drôle de type une boite couverte de boutons, un pour chaque continent, un rouge pour faire ce qu'on veut, un noir bien dangereux et deux manettes qui lui distribuent des chocolats magiques et des pièces en argent de collection. Gwendy est tenaillée par la possession de cette boite, parce que chaque fois qu'elle l'utilise, il y a un prix à payer. D'autant que la jeune fille est une adolescente lambda un rien dépassée par la responsabilité qui lui tombe dessus.
Au-delà de l'histoire de la boite, le (court) roman s'attache surtout à nous parler de l'adolescence, avec ses amitiés qui se font et se défont, les premières amours, la première voiture, le collège, puis le lycée, les notes, les parents,... bref, le quotidien d'une adolescente plutôt ordinaire confrontée à une situation qui ne l'est pas.
J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire et je suis ravie de savoir que je vais pouvoir retrouver Gwendy dans pas loin de 2 autres histoires.
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Nouvelle variation de l'auteur sur le passage de l'adolescence à l'âge adulte.
Alors que Gwendy a 12 ans et fait de gros efforts pour perdre du poids, humiliée qu'elle est par les quolibets des autres enfants, elle fait la rencontre d'un homme mystérieux qui lui remet une boîte non moins mystérieuse, composée de boutons. L'homme lui transmet la responsabilité d'agir sur sa vie mais aussi sur le monde, la confronte à la douloureuse prise de décisions, à choisir son chemin consciencieusement au premier sens du terme.
Très agréable à lire, cette nouvelle de 150 pages se dévore même si son format ne lui permet pas d'être aussi profonde que les 1 000 pages de Ça. Néanmoins, elle fait mouche et fait preuve d'une tendresse relativement inédite. La touche du co-auteur ?
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Roman de Stephen King et Richard Chizman.

L'été de ses 12 ans, alors que son seul objectif était de perdre du poids avant la rentrée, Gwendy Peterson rencontre un étrange vieil homme qui lui confie une boîte en acajou. « Prends soin de la boîte. Elle accorde des dons, mais ce n'est qu'une faible récompense des responsabilités qu'elle impose. Et sois prudente. » (p. 24) Sur la boîte, il y a des boutons aux pouvoirs divers. Gwendy en profite pendant un moment, puis prend conscience du pouvoir qu'elle a entre les mains et de l'importance des choix qu'elle doit prendre. « La boîte a un potentiel maléfique inimaginable. Lorsqu'on la laisse tranquille, elle peut représenter une force puissante au service du bien. » (p. 149) Gwendy grandit et accumule les succès, mais le poids de la responsabilité pèse lourd sur ses jeunes épaules. « Est-ce que c'est ça, ma vie, maintenant ? [...] Est-ce que cette boîte est devenue toute ma vie ? » (p. 80) La jeune fille ne sait pas si elle sera un jour délivrée de cet objet terrible, mais, à plusieurs reprises, celui-ci lui donne un aperçu de l'étendue de son pouvoir.

Imaginez ma joie de trouver ce court roman dans une boîte à livres sur mon lieu de villégiature ! Un texte du maître que je n'ai pas lu ? Hourra ! Et triple hourra tant cette lecture a été plaisante ! Je ne connais pas Richard Chizman, mais j'ai parfaitement retrouvé la patte de Stephen King dans cette histoire au scénario très bien fichu. Tout commençait parfaitement avec la première illustration de Keith Minnion, en première page.

Et dans les mots, j'ai retrouvé des thèmes chers à Stephen King : l'enfance, le harcèlement par des petites brutes, le mystère d'un pouvoir impossible à quantifier, etc. Je suis enchantée d'avoir retrouvé cet auteur pendant mes vacances !

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De quoi ça parle ?

Castle Rock, 22 août 1974, Gwendy Peterson de 12 ans s’apprête à rentrer au collège et son plus gros problème est son poids. Elle n’est pas grosse, juste un peu dodue. Cependant, cela lui vaut un joli petit surnom qui ne doit absolument pas la suivre au collège, question de réputation. Alors la jeune fille déterminée décide que tout les matins elle montera jusqu’à Castle View via les « Suicide Stairs » ou « marches des suicidés ». Ces charmants escaliers de trois cent cinq marches, elle les brave donc chaque matin en courant.

Mais un jour, tandis qu’elle arrive tout en haut, totalement éreintée, elle remarque un curieux monsieur entièrement habillé de noir. Cela lui paraît bizarre sous cette chaleur cuisante. Gwendy l’a déjà surpris plusieurs fois, assis sur le banc en train de lire. Mais ce matin, l’homme l’interpelle. Il se présente sous le nom de Richard Farris et sort un sac en papier contenant une étrange boîte en acajou : une « boîte à boutons ». Il lui dit qu’il l’a choisi elle, afin qu’elle la garde et la mette en sûreté. Cette boîte lui permettra de recevoir tout les jours un chocolat et de temps en temps une pièce de monnaie rare. Mais ce n’est pas tout. Sur le dessus de celle-ci sont alignés des boutons colorés, chacun d’eux représentant un continent. Sur ce, Richard Farris s’en va et laisse la petite fille ébahie.

Bien vite, Gwendy se rend compte que les chocolats que la boîte lui distribue (et qu’elle est d’abord réticente à goûter du fait de son poids) ont un effet totalement opposé à celui qu’elle avait imaginé. Une fois qu’elle en ingurgite un, elle se sent tout de suite rassasiée. La boîte opère ainsi plusieurs changements sur l’adolescente : à la fin de l’été, Gwendy est devenue une jeune fille grande et mince. Puis au fil des ans, elle embellit, excelle en tout (que ce soit à l’école ou en sport), même sa vision qui au départ nécessitait des lunettes se corrige.

Sa vie est transformée, mais… cette boîte n’apporte-t-elle que du bien ? Quelle est l’utilité de ces boutons ? La jeune fille découvre bien vite la réponse à l’une de ces questions et se rend compte qu’elle détient une entité à la fois redoutable et merveilleuse. C’est à elle de s’en servir pour le bien ou pour le mal…

Mon avis :

Il pourrait ne tenir qu’en un mot : génial ! Je l’ai dévoré en quelques heures. Ce n’est pas le premier roman que je lis de Stephen King, mais je pense que c’est l’un des meilleurs, voire LE meilleur que j’ai lu de lui (écrit seul ou avec un collaborateur).

J’ai récemment achevé la lecture de Sleeping Beauties qui est très long (702 pages), et mon avis est nettement plus mitigé. Gwendy et la boîte à boutons au contraire est très court (175 pages), et cela a permis à l’auteur d’être efficace et d’aller à l’essentiel. Dans la grande majorité de ses « longs » romans, Stephen King délaie, se répète et l’intrigue perd en dynamisme, contrairement à ses histoires plus brèves qui sont excellentes !

Dans Gwendy et la boîte à boutons, il y a juste la longueur idéale pour l’histoire qu’il avait à raconter : pas un temps mort, mais pas non plus l’impression que l’auteur y est allé trop rapidement. Je n’ai pas pu m’en décrocher. J’aurais d’ailleurs aimé continuer à le lire éternellement. L’intrigue est bien construite, les personnages sont intéressants et l’idée très originale. Je n’ai rien à redire.

Un réel coup de cœur !

https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2019/10/28/gwendy-et-la-boite-a-boutons-de-stephen-king-et-richard-chizmar/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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Un homme mystérieux, une adolescente torturée, injustice, choix fatidiques, du sang. Une grande partie des éléments chers à Stephen King sont réunis pour faire une bonne histoire, même s'il s'agit d'un récit à 4 mains.
Ce court roman a des petits airs de Bazaar et j'aurais craint une impression de déjà-vu si ce n'était mon auteur fétiche qui l'avait écrit. On se laisse facilement transporter, pas de temps morts, et les pages tournent toute seules.
Gwendy est attachante, et placée face aux choix qu'elle doit faire, je me suis demandé ce que j'aurais fait à sa place. le but du King était donc atteint, puisque, à mon avis, c'était celui que les auteurs voulaient atteindre.
Peu après, Stephen King publiera Élévation, suite de cette nouvelle.
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Cette nouvelle était passée complètement sous mon radar ! Un Stephen King en moins de 160 pages, effectivement ça ne m'étonne pas que je l'ai loupé ;)

Gwendy a 12 ans quand elle rencontre un drôle de monsieur au chapeau noir. Un drôle de monsieur qui lui donne une boîte à boutons : merveilleuse mais également source d'un pouvoir maléfique ? Il faudra lire la nouvelle pour le découvrir.

Cette courte histoire est vraiment prenante : le personnage de Gwendy est attachant. Ce n'est pas une victime, une petite fille qui a de la volonté et cherche à réussir. On a aussi notre "méchant", un "classique" du maître de Providence.

En un peu plus de 150 pages, on a une belle leçon de vie, une chouette histoire, du merveilleux et un peu d'horreur.

Un très bon King que je conseille !
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Quel plaisir de retrouver la plume de Stephen King que j'adore ! Quand en plus c'est pour une novella inédite en France c'est la cerise sur le gâteau ! Cette édition du Livre de Poche est magnifique et on y retrouve plusieurs belles illustrations qui habillent ce court roman.

Gwendy est une adolescente un peu boulotte, moquée par ses camarades de classe. Un été et pour un garçon de l'école, elle décide de se prendre en main et se met à la marche. Elle fait un jour la rencontre d'un homme étrange qui lui offre une boîte merveilleuse. Elle contient huit boutons et deux manettes. Une des manettes offre des personnages en chocolat aux pouvoirs étranges. L'autre des dollars issus d'une série très limitée. Que font les huit boutons ? Il faut lire la nouvelle pour le savoir !

La vie de Gwendy va changer et s'améliorer au fil des chocolats et des dollars qui tombent du ciel. Confiance en soi, réussite, aisance pour tout. C'est la vie rêvée jusqu'à l'heure de l'addition. Tout pouvoir magique a des conséquences et Gwendy devra faire des choix.

Ce court roman écrit à quatre mains (six avec l'illustrateur) est une petite pépite comme sait les faire Stephen King. le fantastique, avec lui, est toujours extrêmement bien intégré à notre réalité et on se met complètement dans la peau de cette jeune fille attachante.
Lien : https://www.loeildeluciole.c..
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