AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,3

sur 4937 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Paul Sheldon est écrivain, bien qu'il ait écrit de nombreux romans, il est surtout connu pour sa saga Misery qui met en scène le personnage de Misery Chastain.
Annie Wilkes est SA première fan, mais elle est surtout complètement cinglée.
Ce qui va mettre Paul sur le chemin d'Annie ? Un accident de voiture tout près de là où elle habite. Un accident qui va lui mettre les jambes dans un état chaotique, ce qui le rendra complètement dépendant d'Annie, à son grand désespoir.
Ce que veut Annie ? Que Paul ressuscite Misery et écrive un nouveau, un excellent, son meilleur roman, sans quoi elle ne le relâchera pas.

J'ai commencé cette lecture avec un peu d'appréhension car le seul autre roman que j'ai lu de Stephen King, le Pistolero, m'est passé complètement à côté. Puis j'ai été prise dans l'histoire, les personnages m'ont emmené dans cet univers suffoquant dans lequel ils évoluent. Mais l'enchantement n'a pas duré, arrivée à la moitié du roman, l'histoire perd de son souffle, de sa fraîcheur, de son originalité. Malgré un récit parfois, comment dire… flou, qui nous perd un peu en route, on sait plus ou moins comment les choses vont évoluer, on connaît par avance les réactions des personnages, bref je me suis lassée… et même si j'ai réussi à arriver au bout assez rapidement, ce n'a pas été un réel plaisir que de finir cette lecture. Quant à la fin, je m'étais attendue à quelque chose de ce genre, donc pas de réelle surprise et pas non plus de regain d'intérêt.

Par contre il est indéniable que Stephen King a un style vraiment unique et propre à lui-même. Je dirais même que c'est un excellent écrivain… si on arrive à rentrer dans son univers et qu'on ne s'y perd pas. Je pense que, encore une fois (bien qu'à moindre mesure), je suis restée en marge du roman. La locomotive Stephen King a pris de la vitesse et je suis restée à quai, complètement distancée, sans espoir de me raccrocher aux wagons.

En résumé, c'est un avec un avis totalement mitigé que je ressors de cette lecture. Je mets 3 étoiles malgré tout car j'ai été emportée par la première moitié du récit et que cela reste quand même un bon roman, bien écrit, il faut simplement adhérer au style.
Commenter  J’apprécie          301
Mon quinzième King est un thriller en huis-clos :
un écrivain blessé, Paul Sheldon, est "soigné" par sa fan numéro Un, Annie Wilkes, infirmière psychopathe, radiée, mais autonome, antisociale qui n'a aucun contact avec l'extérieur. Annie exige que Paul, qui a fait mourir Misery dans son dernier roman, la ressuscite dans un nouveau livre !
.
Pourquoi trois étoiles ? Parce que, subir la folie de proches, je connais : c'est lourd, et on n'est pas sûr d'en sortir "par le haut".
.
Cependant, je dois admettre que, comme toujours, le King s'en tire bien, et ce, pour plusieurs raisons :
.
L'horreur est à son comble.
Je n'en parle pas.
.
Le thème trouvé est génial.
L'idole d'une folle qui a tué 30 personnes se trouve à sa merci. Que va faire Paul ? Que va faire Annie ? Qui va s'en tirer ? King arrange un double chantage : " tu me ressuscite Misery et je ne te tue pas" ; "D'accord, je la ressuscite, mais l'écriture du nouveau bouquin va durer un certain temps " (parce que tu vas me tuer après ) .

La description de la maladie est réaliste.
Annie, schizophrène, paranoïaque, névrosée, toutes folies imaginables cumulées, perverse narcissique, vicieuse, petite fille, dragon, mère, infirmière, criminelle multi-récidiviste non attrapée, ( pourquoi, d'ailleurs ?) est en partie ce que je retrouve dans certaines de mes proches perverses narcissiques, hantées par les démons, ou invoquant le vaudou, ou vengeresse, orgueilleuse ou avide, .... Ce qui est bien similaire est la montée de colère imprévisible déclenchée par un fait bénin. Mais aussi, la façon de retourner la situation en sa faveur : "Ce jeune flic, c'est vous qui l'avez tué." Stephen King montre bien tout cela.
Il y a longtemps, nous avons visité l'hôpital psychiatrique de Brienne : je me souviendrai toujours de la mamie tranquille qui cousait : "qu'avez vous fait ?" "J'ai tué ma mère." ; le "diplomate" qui ne se séparait jamais de son attaché-case ; l'homme qui se tapait la tête contre les murs à longueur de journée ; la femme-panthère, qui ne supportait aucun vêtement, enfermée dans une cage en verre, et qui lapait dans une écuelle.
.
500 pages...et l'humour malgré la situation.
Comment une situation pareille peut-elle tenir 500 pages ? Eh bien, c'est tout l'art du King ! D'abord, il y a Annie, sa personnalité variable, ses sévices mentaux et physiques,
"Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense à toutes ces années de service.
Antisocial, bientôt les années de sévices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus."
Et puis il y a Stephen... Euh, je veux dire Paul, et son imagination, Paul qui crée des personnalités sur les personnes réelles ( le cow boy à la Chevrolet Bel-Air, le "bleu", David et Goliath, la Déesse-Abeille ), et qui invente des personnages, non seulement pour "Misery", mais aussi dans sa chambre :
l'horrible machine à écrire édentée est affublée du surnom de Ducky Duddles ;
les premiers essais en fauteuil, alors que Paul souffre le martyr, sont suivis et encouragés par un commentateur sportif enthousiaste. Tout cela contribue à lui garder son mental.
En ce sens, je rapproche Paul de Ritchie plus que de Bill dans "Ça". le sens de l'humour US de l'auteur est incommensurable, surtout dans les situations les plus dramatiques.
.
Ce qui m'a le plus intéressé est la méthode de travail de l'écrivain Sheldon, explicitée par un pro, King.
"Le trou s'était ouvert" : expression utilisée plusieurs fois pour indiquer que ça y est, l'écrivain a changé de "monde", est passé du réel au "romanesque", et qu'il embraye la seconde, que l'inspiration vient, et l'écriture défile.
"Paulie, saura-tu ?" : mettre une situation en place et laisser en plan pour que l'enfant, ou l'apprenti-écrivain développe son imagination, et trouve une suite ou deux possibles: "saura-tu" trouver la suite ?
"Il faut que" : si toutes les ménagères ( 1 )de France et de Navarre délaissent le repas du mari parce qu"il faut" que je regarde la fin du feuilleton, "il faut que" je sache comment ce roman finit, c'est gagné ! Et de parler de fan club des auteurs comme ceux des chanteurs ou des footballeurs...


( 1 ) C'est King qui dit ça,en 1987, ... Moi je dis que les mecs aussi, on veut savoir comment ça se finit ! ...Et d'ailleurs, en 2018, il n'y a plus beaucoup de "ménagères"... Lol.
Commenter  J’apprécie          256
CHALLENGE ATOUT PRIX 2015/2016 (10/10)

Prix Bram Stoker du Meilleur Roman 1987

Ma critique va peut-être faire tâche mais j'ai eu énormément de mal à finir ce best-seller de Stephen King. Dans la dernière émission de la saison de "La Grande Librairie" où des écrivains présentent le livre à lire absolument pendant l'été, Yann Queffélec avait choisi "Misery" et devant son enthousiasme dithyrambique, je me suis laissée tenter et j'en ressors déçue.

Je ne remets évidemment pas en question le talent de l'auteur qui n'a plus rien à prouver mais l'atmosphère oppressante de ce huis-clos m'a tétanisée et comme dit le proverbe "Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir". Vous me direz que les ambiances glauques sont la signature de King... je sais, mais dans ce roman l'horreur atteint son apogée et moi qui suis pourtant fan de thrillers en tout genre (gore en particulier), écartelée entre une psychopathe avérée et un homme qui sombre peu à peu dans la folie, je n'ai su à quoi me raccrocher. Je ne voyais pas d'issue possible à cette longue descente aux enfers.
Évidemment, dans "Misery", Stephen King met ses propres démons en scène, l'angoisse de l'écrivain devant la page blanche, l'obligation parfois de consacrer son art à des romans "alimentaires", le pouvoir du lecteur. L'idée de l'admiratrice fanatique est intéressante. J'ai également tout à fait compris cet écrivain qui veut se débarrasser de l'héroïne qu'il a créée car le récit de la suite des aventures de Misery qu'il se voit obliger d'écrire pour garder la vie est tout à fait horripilant. J'ai trouvé tout à fait déplaisant dans devoir lire la transcription dactylographiée (en plus avec ce "n" manquant !). Bref, ravie d'avoir fini ce livre auquel j'accorde 10/20 et d'avoir survécu à la psychose ambiante. Je préfère garder en souvenir l'excellente "Ligne Verte".

Commenter  J’apprécie          235
Misery, le livre qui doit terroriser tous les écrivains! Question: Stephen king l'a-t-il imaginé pour se venger d'une quelconque bassesse d'un de ses "collègues" de plume ou au retour d'une séance de dédicaces où il s'était fait peur? Bon, trêve de plaisanterie: je ne suis vraiment pas une adepte du livre dit d'épouvante mais j'ai pris plaisir à lire ce roman. L'idée est originale et bien menée mais j'ai surtout aimé le thème sous-jacent, celui de la création littéraire. Cependant, c'est parfois confus, le style est à mon avis assez inégal, oscillant entre le meilleur et peut-être pas le pire, mais au moins le médiocre. Et pour conclure, une dernière interrogation. Qui crée qui? Est-ce Annie Wilkes qui crée l'écrivain ou l'écrivain qui crée des Annie Wilkes?
Commenter  J’apprécie          200
Encore un livre de Stephen King qui m'a fait frissonner ! Ici, on va suivre Paul, un écrivain populaire, qui vient d'avoir un accident. Heureusement, une femme le sort de la voiture, et le sauve. Heureusement ? Non, car Annie Wilkes est la plus grande admiratrice de Paul Sheldon, elle a lu tous ces livres, excepté le dernier de la saga Misery. Alors, bien sûr, elle va garder Paul chez elle et le soigner. Il ne lui faudra pas longtemps pour comprendre qu'Annie Wilkes est folle à lier.

Lorsque celle-ci s'aperçoit qu'il a tué Misery dans le dernier tome de la saga, elle va devenir folle de rage, et va l'obliger à ressusciter Misery, sans quoi il mourra. Durant des semaines, il va être aux mains de cette cinglée, forcé d'écrire un livre qu'il n'a pas envie d'écrire. L'atmosphère est lourde, pesante, on sent que cet écrivain kidnappé n'a pas fini d'en voir... Annie est folle, mauvaise. Tout au long du roman, on se rend compte à quel point le personnage est fou, dangereux. J'ai eu peur pour Paul, plus d'une fois.

L'intrigue est bien menée, et, même si c'est un peu long à démarrer, les pages se tournent toutes seules ensuite. Stephen King a su me terroriser, me dégoûter, m'horrifier. Et j'adore.
Lien : http://leslecturesdanais.blo..
Commenter  J’apprécie          180
Stephen King fait ici preuve d'un talent rare. L'histoire principale semble simpliste : Paul Shelton écrivain à succès se retrouve prisonnier de son admiratrice numéro 1, Annie Wilkes groupie quelque peu instable qui le force à écrire un roman. Elle se révèle digne d'une pièce de théâtre, tant la tension dégagée par cette confrontation à huis clos est palpable.
Déjà le thème est un prétexte qui permet d'expliquer la création d'un oeuvre romanesque. Au détour de certaines pages, des passages appariassent comme des moments autobiographiques laissés comme à dessein.
L'histoire actualise à son époque (1986) un débat qui passionne les esprits depuis le XIXéme siècle : les conséquences de la lecture intensive de romans sur la psyché. Pourtant, nous sommes loin des cogitations qui entourent la publication de Madame Bovary. Certaines scènes sont à la limite du supportable. D'ailleurs le dénouement est franchement dérangeant, glauque à souhait. Malgré ce côté spectaculaire et sanglant, l'intrigue révèle une profondeur inattendue grâce à une mise en abîme maîtrisée. Plusieurs histoires se rencontrent comme autant d'invitations au lecteur à poursuivre sa lecture. Comme dans tout bon thriller, l'attention du lecteur est aiguisée à chaque page, l'histoire faisant intervenir à loisir des moments de grand calme, de tranquillité relative et de tension le tout émaillé de surprises et bouleversements incessants.
Un bon livre, malgré le côté sanglant omniprésent : trop c'est vraiment trop (en particulier pour le dénouement qui ne m'a pas convaincu). Malgré cela, le roman mérite d'être lu, ne serait-ce que pour le croisement d'histoires parallèles et le règlement de compte sous-jacent avec un certain type de littérature… et de lecteurs.
(Pour la version complète, c'est par ici-bas...)
Lien : http://kriticon.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          180
A la fin de la lecture (laborieuse) d'un des romans les plus connus du maître de l'horreur et du fantastique, mon sentiment est mitigé.
Mitigé, non pas car c'est mal écrit, et on est bien loin de cela, car je pense que Misery est encore plus abouti littérairement parlant que le seul autre bouquin de King que j'ai lu, The Shining. Mais Misery pêche, à mon sens, par le rythme redondant, répétitif de la trame. Certes, il est extrêmement laborieux d'écrire un huis-clos (genre que j'affectionne par ailleurs tout particulièrement au cinéma, art qui me semble plus approprié pour reproduire l'essence même du genre: l'impression d'isolation du monde et la tension inhérente à un tel procédé) car il est difficile de faire ressentir au lecteur les deux qualités qui me semble indispensables à tout bon thriller du genre.
Pour autant, même si j'ai avancé très lentement dans les 250 premières pages (du fait des défauts que je viens de pointer plus haut), je dois admettre que les dernières 100 pages du livre furent de haut vol. La tension omniprésente, l'envie de savoir comment va se finir le livre: on se sent directement dans la peau du personnage. Une tension qui m'a fait même parfois frissonner, voire halluciner, perdu dans mes pensées et la reconstruction mentale de ce que je lisais. J'ai ainsi pu ressentir ce que je trouvais exceptionnel dans Shining.
Commenter  J’apprécie          165
Vous connaissez surement cette devise "Affrontez ses peurs"? Ou, pour les plus sportifs d'entre vous "Lorsque tu tombes de cheval, tu dois aussitôt te remettre en selle?"
Après mon expérience traumatisante de la lecture de Ca, j'ai décidé de remettre le couvert en me disant que je ne pouvais pas connaître de plus grande terreur.
Dans un sens, je n'avais pas tort, mais là où je me suis réellement trompée, c'est avec le personnage d'Annie Wilkes. Après avoir lu Misery, je vous affirme haut et fort que je la considère comme l'un des personnages les plus terrifiants de l'ensemble des romans de Stephen King (juste derrière Ca, il ne faut pas exagérer quand même).

Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce classique parmi les classiques, en voici un bref résumé : Paul Sheldon, auteur de la célèbre saga Misery, est victime d'un accident de la circulation. Il va être recueilli par Annie Wilkes, une infirmière qui se considère comme son admiratrice numéro 1. Si au début, elle apparaît simplement étrange, Annie va devenir carrément cinglée lorsqu'elle apprend que Paul fait mourir Misery dans son dernier roman. Elle va donc le forcer à écrire une suite où il devra faire revivre Misery...et ce, par n'importe quel moyen.

En ce moment, je peux vous l'avouer, il m'arrive de rêver que George Martin soit à la place de Paul et moi à celle d'Annie...je n'ai toujours pas digérer les Noces Pourpres. Mais, c'est quand même pousser le fanatisme à son paroxysme.

Si Misery est aujourd'hui considéré comme l'un des classiques du genre, je pense que c'est dû aux deux scènes mythiques du roman : celle de la hache et celle de l'anniversaire (je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher ces merveilleux moments, vous me remercierez plus tard).

Pourtant, ce n'est pas cette scène qui m'a le plus frappée. Celle dont je garde un souvenir mémorable est l'utilisation - peu conventionnelle - de la tondeuse à gazon par Annie Wilkes...aujourd'hui encore je me pose cette question existentielle : mais quelle taille faisait cette fichue tondeuse?????

Misery se trouve dans mon top 10 (à la 10ème place certes) car il rassemble tous les éléments caractéristiques de Stephen King. Toutefois, il ne vaut pas Salem ou Rose Madder.
Commenter  J’apprécie          162
Un des meilleurs romans de Stephen King. Un auteur de roman à l'eau de rose se retrouve suite à un accident de voiture dans une région isolée, pris au piège chez l'une de ses plus grande fan qui le recueille. Malheureusement cet auteur dans son dernier roman, vient de tuer son héroïne et met fin à sa saga ce qui contrarie la fan. Celle ci n'aura en tête que de lui faire réécrire une suite. Cela donne un huit clos très bien mené, très haletant, où l'on découvre la folie de cette femme allant grandissante au fur et à mesure des pages.
Commenter  J’apprécie          160
S'il y a bien un auteur que je continu de lire malgré mes multiples essais infructueux c'est bien Stephen King, mes quelques récentes bonnes lectures de l'auteur se situant sur ses débuts en tant qu'écrivain j'ai décidé de me lancer dans celui-ci.

Au niveau du sujet cela colle plutôt parfaitement avec ce que je peux lire donc allons y gaiement pour la lecture, premier constat malheureusement pour moi les idées de l'auteur sont plutôt bonnes mais je ressens une lassitude toujours à peu près au bout de 150- 200 pages.

Ce qui est le cas encore ici, pire je lis souvent des avis disant que l'auteur est féministe hors ici Annie est comparé à une truie?

On retrouve ici des thèmes chers à l'auteur comme l'addiction aux médicaments ou au drogue, la religion, mais j'ai trouvé le personnage de Paul Sheldon tellement pénible j'ai eu envie d'aller lui casser les deux bras en plus des jambes, je ne sais pas si c'est une volonté de l'auteur mais je n'en pouvais plus.

J'avais de grands espoirs dans ma lecture de Jessie un jour mais vu le thème ressemblant un peu à Misery huis clos entre un homme et une femme j'ai un peu peur du coup.

Je reste cependant convaincu que l'idée est bonne et je me demande même pourquoi Annie ne demande pas à changer tout le roman.

Je ne sais également pas si c'est du fait de mon édition un peu vieillotte mais le mot biscornouilles mentionné à plusieurs reprises fait un peu daté aussi.

Je suis tout de même fière d'avoir lu déja trois King cette année et mon 14ème en tout, je n'ai pas aimé la plupart d'entre elles mais il est cependant indéniable que je me rappelle du sujet de chacun des romans lus de l'auteur et vu le nombre c'est plutôt pas mal.

Commenter  J’apprécie          133




Lecteurs (12765) Voir plus



Quiz Voir plus

Misery - Stephen King

Quel est le métier de Paul ?

pompier
éditeur
écrivain
poète

10 questions
441 lecteurs ont répondu
Thème : Misery de Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *}