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Svoboda ! BD tome 1 sur 2
EAN : 9782754804257
48 pages
Futuropolis (02/05/2011)
3.48/5   25 notes
Résumé :
C'est l'histoire d'une armée sans pays, la Légion tchèque, composée des 70 000 prisonniers de guerre Tchèques et Slovaques, qui a un projet fou: revenir "chez elle", grâce au chemin de fer transsibérien afin d'obtenir la création d'une république tchécoslovaque. C'est l'histoire d'une nation en marche, au sens propre comme au figuré. Au bout de la voie, leur cri de guerre deviendra réalité: "Svoboda ! Liberté !". Kris et Pendanx nous entraînent dans une véritable od... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Svoboda! (=Liberté!) est un récit inspiré d'un fait historique réel qui met en parallèle deux années charnière pour l'Europe : 1918 et 1938.
L'actuelle Tchécoslovaquie, disputée entre l'empire Austro-Hongrois, les Soviets de Russie, les Hongrois et les Polonais - ce qui fait beaucoup de monde pour un petit peuple ! - n'y fait pas exception. Comme tous ses voisins européens, son peuple aspire à la fin de la monarchie pour instaurer une république, et surtout : une république tchéquoslovaque enfin détachée du joug des voisins slaves et germanophones trop envahissants !
Pour obtenir ce nouveau régime politique, à l'issue de la Première Guerre mondiale qui bouleverse tant le monde moderne et la Vieille Europe, certains soldats ont une idée : rejoindre Vladivostok en train pour gagner l'Europe occidentale.

Pour cette bande dessinée Kris et Jean-Denis Pendanx imaginent une histoire qui tourne principalement autour de deux personnages : Jaroslav Chveïk, l'écrivain rustre à la vodka aussi facile que la métaphore érotique et Peppa Cerny, un peintre juif. Et en parallèle, on retrouve des soldats blessés de l'empire et une famille d'aristos pris dans le conflit.

Les auteurs font de supers parallèles entre les deux époques avec ces petites gens assoiffées de souveraineté et de liberté. Les planches dans les couleurs proches du sépia contrastent avec la rigueur et l'atmosphère tendue qui règnent et les visages sont bien expressifs.

Comme toujours avec Kris je n'ai pas été déçue du voyage, tant pour la construction du récit (très dense compte tenu du nombre d'informations!) que pour le souffle passionné que pour les personnages fougueux et riches qu'elle contient. En plus la fin laisse présager d'une montée en puissance des catastrophes que je ne voudrait surtout pas râter ! de plus j'ai hâte de voir quel rôle les auteurs vont donner au personnage féminin et aristocrate de leur histoire.
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30 septembre 1938. Joseph Cerny, alias Pepa, a 38 ans lorsqu'il apprend à la radio que les accords de Munich ont été ratifiés. Pour cet ancien soldat tchèque qui a combattu sur le front russe en 1918, cette nouvelle affligeante fait vaciller ses idéaux et l'image qu'il avait de la France.

Il se retranche alors chez lui et reprend ses carnets de croquis et les textes écrits vingt ans plus tôt par son ami et compagnon d'armes Jaroslac Chveïk. Les deux hommes s'étaient rencontrés à Prague en 1914 à la veille de la première guerre Mondiale. Après quelques mois sans nouvelles l'un de l'autre, ils se retrouvent en mai 1918. Leurs trains sont bloqués en gare de Tcheliabinsk, ils souhaitent trouver un moyen de rentrer chez eux…

-

Svoboda ! est le fruit d'une collaboration que je n'aurais manqué pour rien au monde. Au scénario, Kris dont j'apprécie le travail, de l'autobiographique (Les ensembles contraires, Coupures irlandaises qui s'inspire en partie de son vécu) au récit historique (Un Homme est mort, Notre mère la guerre). Un auteur qui se diversifie peu, quoique, si l'on regarde bien, je trouve son registre d'une richesse sans pareil (chronique sociale, polar…) et j'apprécie son engagement, même lorsqu'il s'agit de s'essayer à l'adaptation de romans comme Un sac de billes paru en avril 2011 (il retrouve ainsi Vincent Bailly avec qui il avait collaboré pour Coupures irlandaises). Ces dernières années, il a progressivement délaissé les one-shot pour étoffer ses intrigues et fouiller ses personnages. En ce qui nous concerne, pour Svoboda !, nous partons a priori sur une aventure qui devrait compter 9 tomes au final (dès 2012, le rythme de publication sera semestriel…).

On aborde la Seconde Guerre mondiale via la lutte que les légionnaires tchèques ont mené pour défendre leur liberté (en slave, liberté se dit « Svoboda »). Kris crée pour l'occasion deux personnages fictifs pour servir ses desseins, deux hommes diamétralement opposés. Voici les mots de l'auteur à leur sujet :

J'ai toujours pensé que l'on fait entrer le lecteur dans la grande histoire par le truchement de la petite, que l'on perçoit bien mieux l'essence d'une aventure humaine à travers le destins de quelques-uns. Et que pour mieux la raconter, il faut aussi, paradoxalement, savoir s'en éloigner un minimum. Dès le début, je me suis dit que l'interprète idéal de ce périple serait une sorte de Victor Hugo tchèque, un écrivain nationaliste et démocrate, qui aurait participé à cette anabase et nous raconterait ses souvenirs. Même si j'étais décidé à créer un personnage de fiction, en empruntant justement des traits biographiques de tel ou tel grand auteur répondant aux critères évoqués plus haut, j'ai un peu fouillé afin de savoir si ce personnage n'aurait pas réellement existé. Et je suis rapidement tombé sur Jaroslav Hasek, considéré comme l'un des pères fondateurs de la littérature tchèque, auteur du roman le Brave Soldat Chveïk.

Ainsi, grâce à Hasek, je tenais mon personnage principal, que je vois comme un mix entre lui-même et Chveïk, son héros de roman (d'où son nom dans l'album : Jaroslav Chveïk). Romancier et pamphlétaire, anarchiste ne croyant en rien mais prêt à s'engager sur tout, juste pour « la beauté du geste », noceur invétéré et séducteur impénitent, adepte des bas-fonds et pourtant amoureux de la pureté. Ce dernier terme est important, car c'est ce qui va l'amener à nouer une amitié passionnée avec son exact contraire, un personnage totalement imaginaire lui : Josef Cerny dit « Pepa » (« le noir » en tchèque, un terme désignant en fait des personnes au teint plus ou moins « basané », souvent tout simplement d'origine juive).

Contrairement à Chveïk, dépassant déjà allègrement la trentaine en 1918-1920, Pepa a tout juste vingt ans. Juif slovaque, peintre-illustrateur et amoureux de la littérature, il voue une admiration sans borne à la culture française et par-dessus tout à sa Révolution. Démocrate convaincu, il s'engagera avec toute l'énergie de sa jeunesse dans la Légion tchèque. Admiratif des talents littéraires et du caractère de Chveïk, cela ne l'empêchera pas de haïr parfois son compagnon pour ses attitudes et paroles anarchistes. Ces deux-là seront comme le feu et la glace et s'accompagneront pour le meilleur et pour le pire, y compris jusque dans les bras d'une même femme : la comtesse Nora Kinsky » (extrait du dossier de presse Futuropolis).

Le scénario est agréable, son contenu est riche et dense. Une nouvelle fois, j'apprécie cette grande qualité d'écriture de Kris. le rythme du récit est en partie assuré par des allées venues régulières entre passé et présent, les époques se répondant en écho. Ce premier tome jette les bases de l'épopée, le grief majeur serait que l'album met un temps fou à démarrer et que, lorsqu'il démarre, le tome se termine. Belle frustration pour le lecteur !

Au dessin, on retrouve Jean-Denis Pendanx. le trait est un peu vieillot, les visages (trop) émaciés, personne ne se détache réellement si ce n'est les trois personnages qui occupent le devant de la scène : le duo d'amis et Nora, une jeune noble au caractère bien trempé. Les angles de vues donnent un sentiment de grands espaces, un bon rendu des perspectives. J'ai trouvé l'ambiance des scènes en intérieur plus étouffante, comme si les personnages étaient étriqués dans les décors. Certes, la majorité de ces scènes se passe dans des wagons : on est censé ressentir la chaleur étouffante de l'été russe, le confinement des hommes dans un espace réduit… concrètement, si j'ai perçu l'objectif du dessinateur, le rendu n'est pas concluant. Les dessins sont loin d'avoir la profondeur de ceux d'Abdallahi, j'avoue avoir eu des attentes (en terme de voyage visuel) à l'égard de cet album et être assez déçue. Accompagné par Isabelle Merlet qui s'occupe de la mise en couleurs, l'équipe graphique est alléchante pour un résultat qui, pour le moment, me laisse également sur ma faim (pour le moment… reste 8 tomes, ne l'oublions pas). Des tons sépia (ocre, rouille, sable) sont utilisés pour marquer la période de souvenirs (et le tumulte de la vie de garnison) et des tons plus tristes (bleu, gris, bruns) pour marquer le présent (et son ton intimiste) mais là aussi, pour avoir déjà eu l'occasion de lire des albums sur lesquels Isabelle Merlet a travaillé, je trouve le choix plutôt convenu.

Je reste partagée sur ce ressenti de lecture. J'avais peut-être trop d'attentes à l'égard de cet album, cela me semblait justifié vu le trio d'auteurs qui l'anime. Pourtant, le temps consacré à la présentation du contexte historique et des personnages m'a semblé durer une éternité. le pari d'accrocher un lectorat sur 9 tomes est, je trouve, fort ambitieux. Je ressors de cette lecture avec une certaine frustration : celle d'avoir beaucoup appris mais de n'avoir rien vu. le rythme de l'album est celui d'un train de marchandises qui prend peu à peu son rythme de croisière et, quand ce dernier est atteint, la porte se referme d'un coup sec sous notre nez. Clac ! La suite au prochain numéro !
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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En mai 1918, les trains entiers de soldats tchèques se retrouvent coincer à la gare de Tcheliabinsk. Selon les accords les russes doivent les laisser passer mais dans les faits c'est moins sur...

Kris et Pendanx début ainsi leur grande épopée du transsibérien, en pleine première guerre mondiale et dans un contexte de guerre civile dans les pays de l'est.
J'avoue, je connais très peu l'histoire de ses pays. des tchèques, de l'Ukraine, de la Russie et tous ses pays de l'est où semble-t-il il régnait un joyeux bordel à cette époque. du coup, comme aucun rappel historique n'est fait, j'étais complétement perdue. J'ai eu beaucoup de mal à saisir les différents politiques et les changements de nationalités de nos personnages centraux. cela m'a énormément gênée dans ma lecture.
Nous suivons deux soldats ukrainiens : Jaroslav l'écrivain à la langue bien pendue, et Pepa le peintre plus jeune plus réservé. Tous les deux attendent des jours meilleurs à la gare de Tcheliabinsk avec leurs compatriotes.
L'histoire est très lente à démarrer, fait quelques retours en arrière pour nous montrer la première rencontre de nos héros et le début de la guerre. Puis se termine par un coup d'éclat qui met le feu au poudre.

Le dessin de Jean-Denis Pendanx est fin, proche de l'esquisse des fois, et avec une colorisation aquarelle dans les tons sépias qui donne un air nostalgique à cette bande dessinée.
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On apprend la première guerre mondiale à l'école. Mais on l'apprend avec un regard uniquement Français... on sait ce qu'il s'est passé là où sont les français.... ailleurs... c'est flou. Alors oui, on est bien obligé de nous parler un peu de l'empire Autro-Hongrois, parce que l'attentat de l'Héritier du Trône serait ce qui a déclenché la guerre.
Alors évidemment je manque un peu de connaissance historique et même géographique pour bien apprécier tout ce qui est raconté dans cette BD. Mais cela me permet de mettre la première couche de culture générale sur le sujet... je ne suis pas sûre d'avoir le temps un jour d'en mettre une seconde.
J'aime beaucoup le dessin, la mise en couleur... un plaisir pour les yeux.
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Avec Svoboda, Kris ("Notre Mère la guerre", "Un homme est mort", "Coupures irlandaises") propose une nouvelle saga historique, mais s'attaque à une page beaucoup moins connue de l'Histoire de l'Europe. L'auteur nous embarque en effet à bord d'une aventure ferroviaire sur les rails du Transsibérien, pour nous conter la naissance de la Tchécoslovaquie à travers le récit sous forme de carnet de guerre d'un légionnaire tchèque nommé Jaroslav Chveïk.

Le lecteur se retrouve donc plongé dans un continent en plein chaos, entre une Russie en proie à une révolution Bolchévique et une Europe encore en guerre. L'auteur invite à suivre les pas de légionnaires tchèques et slovaques qui tentent de quitter la Russie en espérant pouvoir créer ce pays qui naîtra finalement des cendres de l'Empire austro-hongrois. Ballotés par les
guerres, passant du statut de soldats austro-hongrois, puis combattant pour la Russie, avant de rejoindre les Alliés, ces hommes vont tout faire pour défendre leur liberté (« Svoboda », en slave).

Multipliant les flashbacks, Kris évoque plusieurs événements qui ont marqué la région, de la mort de l'archiduc François-Ferdinand à la ratification des accords de Munich en 1938, en passant par l'appel à la guerre à Prague en 1914, à l'aube de la première guerre Mondiale. Ce n'est pas la première fois que Kris montre la grande Histoire à travers la petite et cela fonctionne à nouveau admirablement. En se concentrant sur quelques individualités, il parvient à donner vie au récit et évite ainsi de livrer un récit purement historique, beaucoup trop ennuyeux.

Svoboda invite ainsi à suivre l'histoire d'amitié entre deux soldats de la légion tchèque aux caractères totalement opposés. Pour le premier personnage, Jaroslav Chveïk, Kris s'est inspiré de l'un des pères fondateurs de la littérature tchèque, Jaroslav Hasek, et du héros de son roman « le Brave Soldat Chveïk ». Ce poète anarchiste et beau parleur est peut-être légèrement surjoué, mais il constitue pourtant l'un des attraits de cet album et m'a beaucoup fait rire. L'autre témoin fictif de cette page importante de l'Histoire tchèque est Josej Cerny, dit Pepa, un peintre-illustrateur juif-slovaque idéaliste, beaucoup plus discret et taiseux, totalement à l'opposé de son compagnon de route.

Les personnages sont bien campés et contribuent à rythmer une intrigue pourtant assez statique. Malgré le fond historique assez sombre, ces gais lurons insufflent beaucoup de bonne humeur et d'humanité au récit à l'aide de dialogues assez exquis.

Visuellement, même si je préfère le travail en couleurs directes de Jean-Denis Pendanx sur les excellents "Abdallahi" et "Jeronimus", le résultat est à nouveau très convaincant, avec du très bon boulot au niveau de l'expressivité des visages. La colorisation d'Isabelle Merlet accompagne parfaitement les allers-retours du scénario et contribue à plonger le lecteur dans l'ambiance adéquate.

« Il suffit de voir un matin russe se lever pour espérer le grand soir. Et, la nuit venue, rêver d'un lendemain qui chante. A n'en pas douter, la chimère est un enfant de putain russe »

Une mise en place très prometteuse, d'une saga qui devrait compter pas moins de neuf épisodes : une première pour les éditions Futuropolis !
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critiques presse (3)
BoDoi
23 août 2011
Quoiqu’un brin touffu, l’ensemble convainc et ne manque pas de souffle romanesque.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
14 juillet 2011
Une fresque que mériteront ceux qui n’hésiteront pas à se lancer dans une aventure qui comportera neuf épisodes. Osez ce premier tome et donnez une chance à la vie, l’amitié et l’amour pour qu’ils bousculent le train de l’Histoire
Lire la critique sur le site : BDGest
BDZoom
05 juillet 2011
Cette tranche d’Histoire complètement ignorée de par chez nous, où une nation en marche va s’organiser démocratiquement et expérimenter une future société qui servira de base à la constitution tchécoslovaque, nous est racontée avec passion par le talentueux Kris.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Oui, je me souviendrais toute ma vie de ce jour, ce 30 septembre 1938 où, à des centaines de kilomètres de Prague, dans les immenses bureaux nazis de Munich, ma mère m’a trahi et menti. J’étais orphelin depuis un âge où l’on est trop jeune pour conserver ne serait-ce qu’une seule image parentale. Mais à seize ans, je m’étais fabriqué une mère. Elle s’appelait la France, celle de 1789 et de Voltaire. Celle de 1848 et de Victor Hugo. Celle des Soldats de l’An II et des Communards. Je ne l’avais jamais vue qu’en livres, qu’en rêves et qu’en discours, mais j’ai bu à son sein jusqu’à plus soif. Jusqu’à déborder d’amour et de citoyenneté entremêlés. Orphelin pour la seconde fois… C’est étrange comme on n’en meurt pas
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Pepa ne croit pas aux proverbes, il est encore jeune.Assez jeune pour espérer que l'histoire ressemble à autre chose que les cercles concentriques d'un vieux chêne qui sait bien, lui, que tout n'est qu'éternel recommencement.
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Il suffit de voir un matin russe se lever pour espérer le grand soir. Et, la nuit venue, rêver d’un lendemain qui chante. A n’en pas douter, la chimère est un enfant de putain russe
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N'oubliez pas que la plus sûre victoire est elle dont on parle au futur ! Alors, rejoignez-nous vite avant que nous ne célébrions le passé d'une idée morte ! (pl. 32)
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Qui est aimé de Dieu est aussi aimé de ses saints.
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