Deuxième numéro de la déferlante. Je l'attendais avec impatience, j'avais beaucoup aimé les sujets et les traitements des sujets.
Je dois dire que je ne suis pas déçue, je ne suis pas toujours d'accord avec les prises de position d'
Agnès Jaoui mais bon, elle a le droit d'avoir des divergences (ahah magnanime je suis !) Par contre gros coup de coeur pour le billet de
Fatima Daas qui met des mots sur des émotions qu'on a tou.te.s ressenti sans pouvoir les exprimer. Surtout les femmes pour la seconde partie. Elle a une qualité d'écriture qui me touche beaucoup et une colère en elle à laquelle je m'identifie très bien (même si nous n'avons pas du tout les mêmes parcours, j'ai conscience d'avoir été bien plus privilégiée qu'elle à certains égards).
Quoi qu'il en soit, sont billet vaut le "coût".
Deuxième gros coup de coeur pour
Claude Ponti que je ne connaissais pas du tout, je découvre avec horreur sa propre histoire et avec une certaine reconnaissance son rejet total de la domination masculine. Il me tarde de jeter un oeil à son travail (il écrit des livres pour enfants) qui a l'air de dissimuler beaucoup de symboles.
J'en arrive au dossier spécial de ce magazine "Manger, quand le genre passe à table" iels abordent le sujet dans de multiples directions avec des pistes pour approfondir et je trouve ça très bien parce qu'on sent que le sujet est trop large pour être balayé en quelques articles. J'ai noté quelques références d'ouvrage et il me tarde de m'apprivoiser ces idées qui sont encore floues pour moi.
(à poursuivre)