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EAN : 9782262103637
192 pages
Tempus Perrin (23/03/2023)
4.34/5   72 notes
Résumé :
Y en a marre ! Marre de ces équipes de la hargne, de la rogne et de la grogne contre Napoléon ! Le coup de gueule d’un historien en colère.
Exaspéré par les polémiques qui surgissent à tout bout de champ sur Napoléon, relatives particulièrement à l’esclavage, au patriarcat, à sa dictature ou aux guerres que l’empereur a menées, Thierry Lentz y répond dans cet essai argumenté, au ton vif et personnel. Vingt chapitres très enlevés pulvérisent les faux procès, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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C'est enfant que l'histoire m'a pris par la main et ne m'a plus lâché. En entrant au collège mes «héros» se nommaient, dans l'ordre chronologique, Charlemagne, Napoléon, Clemenceau et le général De Gaulle.

Puis lors d'un cours d'Histoire mon professeur à demander un jour à la classe, qui aimait Napoléon dans la classe? A ma grande surprise deux mains seulement se sont levés...

Et là à commencer un «cours anti Napoléon» en gros napoléon était un dictateur narcissique, misogyne qui avait rétabli l'esclavage et qu'il était responsable de millions de morts. J'étais anéanti...

Alors j'ai lu tout ce que je pouvais lire sur l'empereur et petit à petit j'ai remis en question l'enseignement très démagogique de mon prof. Tout n'était pas noir ou blanc comme toujours et que l'histoire du XIXème siècle ne s'enseignait pas avec nos références du XXème siècle (et oui le temps passe....).

C'est peu ou prou ce qu'a fait Thierry Lentz, historien, écrivain et directeur de la fondation Napoléon depuis 2000, avec ce livre. Il répond point par point aux accusations portées à l'encontre de Napoléon depuis toujours. Sans jamais défendre l'indéfendable ni excuser mais en reprenant les faits rien que les faits remis dans leurs contextes (un vrai travail d'historien).

Aujourd'hui on aime à dénigrer notre passé, il faut s'excuser de ce que nos ancêtres ont été en permanence. Pour savoir où on va encore faut-il savoir d'où l'on vient et il faut assumer l'histoire de notre pays en entier de Clovis à E.Macron....

Ce livre remet en perspective «l'oeuvre de Napoléon» avec ces succès et ces échecs. Ces bons et mauvais côtés.

M.Lentz avec qui on n'est pas obligé d'être toujours d'accord, a remis les points sur les I.
Merci à lui

Ceci est plus que jamais mon humble avis.
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Cet essai qui défend aussi bien l'histoire en général que, plus particulièrement Napoléon en tant qu'un des grands hommes que l'histoire de France gardera en mémoire. Dans une première partie du livre, l'auteur reprend les quelques critiques classiques que nous connaissons, comme celles concernant l'esclavage, la place des femmes dans la société, le nombre de morts lors des batailles, ... La réponse de l'auteur est cinglante sur tous les sujets, en démontant quand cela est nécessaire la véracité des faits, les connaissances souvent faiblardes des critiques motivées par de l'anti - quelque chose de certaines minorités contestataires. L'argumentaire de Thierry Lentz est sans appel. A travers son enthousiasme à vouloir nous exposer le personnage Napoléon dans la vie publique force est de constater que son héritage est bien présent, non seulement en France mais aussi dans certains pays jadis conquis. Certaines valeurs ont disparues en France, c'est dans la fin de l'ouvrage que nous avons un excellent état des lieux de notre actuel pays, et, le constat est déplorable.
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Excellent essai qui synthétise parfaitement les débats qui nous agitent en cette année où l'on célèbre les 200 ans de la mort de Napoléon 1er sur l'île de Sainte Hélène : l'homme, le prince, la gloire, l'esclavage, les campagnes, l'Etat napoléonien...

Thierry Lentz directeur de la fondation Napoléon est l'un des plus fins connaisseurs de l'histoire napoléonienne. Il aborde chacun de ces sujets avec rigueur sans sombrer dans une hagiographie béate. Mais il pourfend l'appauvrissement et la simplification des débats qui tournent autour de cette figure majeure à laquelle nous devons tant encore aujourd'hui. Il s'élève contre le rejet des Lumières et de la raison auquel nous mènent l'ambiance sociale et intellectuelle actuelle qui « déconstruit le sens des mots et des faits, rend vaine toute aspiration au raisonnement et à la hiérarchisation des faits. »

Et l'on mesure en refermant cet ouvrage à quel point l'oeuvre de Napoléon a si bien cimenté la France de l'époque contemporaine et qu'elle peut continuer à stimuler notre réflexion sur les choix politiques et administratifs auxquels nous avons à faire face aujourd'hui.
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J'aime écouter les débats qu'organise monsieur Frédéric Taddei à la télévision, sur youtube.

Un jour, monsieur Lentz était l'un des invités de son plateau pour parler de la sortie de son "Pour Napoléon". Je me suis procuré l'objet de la réflexion.

Après cette lecture je suis satisfait et conquis à la fois par le personnage de Napoléon qui m'a toujours inspiré respect et curiosité.

Ce document est lucide, il navigue entre la subjectivité de l'auteur qui défend l'action de l'empereur incontestablement constituante de ce qu'est encore la France aujourd'hui.
Et la franche honnêteté intellectuelle quand il s'agit de ne pas cautionner d'autres travers et actions de ce même pouvoir Napoléonien.
Comme l'utilisation de l'esclavage etc . . .

Beaucoup de choses ayant déjà été dites dans les appréciations précédentes, je ne vais pas ici faire de la redite.

Je vais plutôt "Zoomer" ce qui vous donnera "l'esprit" de ces textes et argumentaires en faveur de Napoléon Bonaparte.

Je zoom sur cette période que l'on nomme l'alliance "Empire-République" que la France a connu sous Napoléon.

Certains historiens ou intellectuels ont relevés que cette "Empire-République" succédant à la révolution était la pire des choses et qu'elle venait se contredisant et ne pouvait se poursuivre que dans le malheur.

Ce constat oubliait qu'après la révolution et le sang versé et tout ce qu'il fallut d'efforts pour abattre la monarchie, la révolution sociétale les lois et meurs évoluèrent et que la France entra dans sa période de réalisation du programme révolutionnaire dans ses parties possibles et avec à sa tête non plus un roi mais un empereur, Napoléon Bonaparte, s'acharnant à construire et faire vivre de nouvelles et nombreuses républiques de son vivant et après sa mort.

En bref, Napoléon Bonaparte, un homme extraordinaire réagissant dans la situation révolutionnaire et chaotique, pour faire de la France ce qu'elle est aujourd'hui, un agrégat de valeurs se voulant universelles.

En cette période, après 1789 et au début du dix neuvième siècle la notion des libertés autant individuelles que collectives naissaient et il en fallut du temps pour qu'entre hommes et femmes les choses soient un peu plus égales, mais chaque chose en son temps, on ne peut pas demander à Napoléon vu l' époque et le personnage d'être féministe on ne peut pas l'accuser non plus de n'avoir pas oeuvrer pour plus de liberté pour les français.
Dans beaucoup de domaines comme celui de l'expression de l'éducation ou de la propriété privée il a contribué à faire évoluer les choses, et les combats continuent . . .

Finalement, le vrai révolutionnaire mais fondateur de la nation française c'est bien lui, Napoléon Bonaparte avec tous ses militaires, ses inspirateurs et collaborateurs de l'époque.

Merci Monsieur Lentz pour cette lecture qui replace l'église au milieu du village.

Bonnes lectures historiques à tous ! !

Je retourne à la fiction avec un énorme et insatiable plaisir.
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En lisant le titre et le nom de l'auteur – directeur de la fondation Napoléon, entre autres qualités –, on pouvait s'attendre à un dithyrambe sans nuance. Il n'en est rien et ce, même si transparaît l'admiration dudit auteur pour son sujet. Thierry Lentz est d'abord un historien, c'est-à-dire quelqu'un qui « doit se fonder sur la connaissance et les faits, le respect de la chronologie et une compréhension minimale de l'époque, en laissant au vestiaire le poids des émotions et des frustrations actuelles ». CQFD…

Cela étant dit, à travers Napoléon – devenu, avec le temps, plus sulfureux qu'un Comité de salut public adoubant les massacres de Vendée, dont des nourrissons ! –, Thiery Lentz nous propose une très édifiante réflexion sur le naufrage de la France d'aujourd'hui, laquelle s'enfonce de plus en plus dans un océan de détestation de soi, sous les coups de boutoir de la « cancel culture » et des revendications minoritaires de toute sorte. Quitte à falsifier les faits et/ou se livrer à des anachronismes ridicules.

Et Thierry Lentz de se livrer à une critique en règle – combien vraie ! – de ce qu'on appelle la post-vérité, qui me fait terriblement penser au 1984 d'Orwell. Ainsi, à force d'une réécriture permanente et sans appel de notre Histoire, « nombre de nos contemporains – surtout les jeunes, hélas – ont perdu ou n'ont jamais acquis l'habitude du débat citoyen, qui est une confrontation sereine d'idées, appuyée sur la culture et la connaissance, pour pouvoir ensuite agir. »

Aidés par l'ignorance ambiante, certains esprits malveillants cooptent le savoir pour le plier à leur idéologie : « Ce déplorable état de fait renforce et même valide ce terrorisme intellectuel que nous avons à subir depuis une cinquantaine d'années, avec la mainmise sur les vecteurs de connaissance et d'information de ce que Philippe Murray appelait le “camp du bien”. » Car débattre devient à présent suspect, voire fasciste ; il faut imposer ses vues hégémoniques, émotionnelles et très parcellaires sur l'Histoire comme sur le reste.

Sans être un adepte inconditionnel de Napoléon, lui nier son importance majeure dans l'Histoire de France, et au-delà, me paraît au moins aussi « intelligent » que de prétendre que la Terre est plate. Napoléon continue de nourrir la pensée historique et l'imaginaire des créateurs en tout genre.

Pour autant, il ne s'agit pas d'occulter certains points comme le rétablissement de l'esclavage, ce que ne nie pas Thierry Lentz mais, en historien méticuleux, il replace cette décision dans son contexte. Certes, Napoléon, qui n'y était pas favorable, a cédé aux pressions économiques en rétablissant l'esclavage – lequel sévissait en Angleterre ou aux États-Unis, notamment –, mais il ne s'en est pas fait gloire car, comme le rappelle l'auteur de cet essai, il le regretta à Sainte-Hélène.

Toutefois, malgré les fantasmes de Claude Ribbe, Napoléon n'a jamais fomenté le moindre projet de « génocide des Noirs ». Par contre (bis repetita), la République a, quant à elle, bel et bien organisé l'extermination systématique des Vendéens sans jamais s'en repentir. Là, on pourrait presque céder à la Reductio ad Hitlerum ; pas en ce qui concerne Napoléon, comme voudraient le faire croire des démagogues qui frémissent encore aujourd'hui d'extase à l'évocation de Lénine ou Mao, deux humanistes bien connus !

Homme d'ordre et décideur, Napoléon exerça un pouvoir fort, voire autoritaire, mais un pouvoir nettement plus enviable que sous le ciel de Russie où le servage était à l'époque encore en vigueur, et qui ne sera aboli dans tout le pays qu'en…1861.

L'arrivée de Napoléon coïncide avec dix années de troubles et on ne peut nier qu'il a rétabli l'ordre – indispensable à la prospérité d'un pays –, dotant la France d'institutions solides, dont nous bénéficions encore de nos jours, dont « le principal pilier de notre organisation politique et sociale, garant de son unité et de son acceptation par les citoyens » : le Code civil.

Napoléon a fait la guerre, la belle affaire : d'autres l'ont faite avant et après lui, avec nettement plus de pertes humaines et ce, parfois en un temps bien plus court. Cependant, il n'a pas envoyé ses soldats se sacrifier dans des offensives inutiles et combien meurtrières, comme le Chemin des Dames en 1917, sous le commandement du général Nivelle.

Pour conclure, laissons le mot de la fin à l'auteur : « Même si l'horloge tourne et que les épurateurs de notre histoire marquent chaque jour des points, je revendique pour ma part de pouvoir continuer à transmettre librement ces plaisirs simples et enrichissants de lire, entendre, voire et partager la connaissance de cette histoire où tout m'intéresse et rien ne me dérange. »

(Petit bémol : lorsque Thierry Lentz énumère les occupations de 1815, 1870 et 1940, il oublie qu'une partie du territoire français fut violemment occupée entre 1914 et 1918 par les Allemands)
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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Sait-on que sur les 2281 articles d'origine, promulgués par le Premier consul le 21 mars 1804, près de la moitié est encore en vigueur ? À travers leur application et l'acceptation de leurs prescriptions, comme Monsieur Jourdain avec la prose, nous faisons en permanence "du Napoléon" sans le savoir.
De lui, nous avons aussi hérité les principes généraux de l'État, de son administration, des finances publiques (mais sa fiscalité était moins omniprésente et touffue que l'actuelle, avec moins de 15% de prélèvements obligatoires), de l'organisation judiciaire, du maillage des chambres de commerce et d'agriculture, de l'agrégation des enseignants en un seul corps, de la prééminence du droit du sol en matière de nationalité. Les lycéens rêvent encore à son baccalauréat et les moins jeunes arborent sa Légion d'honneur ou ses Palmes académiques. Plus prosaïquement encore, nous lui devons la création des pompiers de Paris, des premières vaccinations de masse (contre la variole), du numérotage des rues, de l'obligation de balayer devant sa porte ou d'enterrer nos morts à six pieds sous terre.
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Explorer l'histoire, c'est comme voyager dans un pays dont on ne peut comprendre qu'avec peine la langue, les codes et les mœurs. L'idée de gloire fait partie des surprises de l'explorateur des XVIIIe et XIXe siècles. Elle ne signifie plus grand-chose aujourd'hui et n'est plus guère prise au sérieux que sous la plume des journalistes sportifs. Tout juste si l'on peut avoir son "heure de gloire", avatar du quart d'heure warholien de célébrité, pas davantage. Elle était pourtant au cœur de la société de l'Ancien Régime, de la Révolution et de l'Empire. C'est on ne peut plus sérieusement que Napoléon écrivait un jour de décembre 1804 au général Lauriston : "Vivre sans gloire, c'est mourir tous les jours."
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Attribuer le qualificatif de "napoléoniennes" aux guerres de 1800 à 1815, pour être commode et habituel, n'en est pas moins trompeur : le chef d'État français continua pour l'essentiel les guerres de l'Ancien Régime et de la Révolution. Il ne fut donc pas responsable de toutes celles qui survirent sous son gouvernement. À y regarder de près, seule celle d'Espagne de 1808-1813 peut lui être imputée sans réserve. Les autres furent les conséquences des rivalités nées tout au long des décennies précédentes (pour ne pas dire les siècles), exacerbées par la Révolution.
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Tout bien réfléchi, cet essai aurait pu aussi s'intituler "Pour l'histoire". Même lorsqu'elle est tragique, elle est une richesse. Clio fait réfléchir, tient l'esprit critique en éveil et, par le dialogue, ouvre aux autres. Elle n'est un traumatisme que pour ceux qui ne veulent rien construire en commun et n'ont l'œil que sur ce qui est amer ou étroit.
Surtout, l'étude et la connaissance de l'histoire rendent libre. J'oserais même dire intelligent et moins perméable aux tromperies à la mode. C'est encore Emmanuel Berl qui écrivait que "si elle ne permet pas de prédire ce que feront et ne feront pas les gouvernements et les peuples, elle permet du moins de les entendre avec moins de sottise et de leur répondre sans trop de stupidité".
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Ecrire et faire adopter un Code civil aussi complet n'était pas rien, et je me plais souvent à citer sur ce point Robert Badinter qui écrivait : "Toute entreprise de codification, pour réussir, requiert trois conditions : un moment favorable, des juristes de talent, une volonté politique." Le moment fut l'apaisement intérieur consécutif à Brumaire et un désir collectif de stabilisation. Les grands juristes avaient pour noms Cambacérès, Portalis, Tronchet, Maleville, Bigot de Préameneu, etc. La volonté politique était incarnée par Bonaparte, dont on ne doit pas sous-estimer ni la formation juridique - ses connaissances étonnaient parfois les jurisconsultes -, ni une profonde réflexion sur les voies et moyens de la réussite de l'entreprise codificatrice.
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Vidéo de Thierry Lentz
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