C’est arrivé la nuit

J'avais déjà lu Et si c'était vrai… de cet auteur, ce roman n'a rien à voir avec ce dernier, on part plus sur du Chattam surtout pour le côté hacker, les recherches très poussées de l'auteur pour écrire son bouquin, ça me plaît. Seulement voilà, quand j'ai commencé à le lire, je n'ai pas vraiment été emballé par tous les évènements. Commençons par le début, l'incipit c'est ce qui donne le la du reste de l'histoire, c'est la première impression, la première saveur, et celle de ce roman, ce sont deux personnes qui galèrent avec l'informatique. Bon pas super mais avançons.
L'univers des hackers est intéressant, l'idée du groupe 9 l'est également, le côté lanceur d'alerte me plaît aussi, cela donne une dimension d'espionnage qui me plaît et encore peut abordée dans les livres de ce genre. le travail de recherche avec de vrais hackers se ressent et apporte le seul intérêt que j'ai eu pour ce livre. Et oui, je n'ai pas aimé mais alors pas du tout ! Ca manque de subtilité dans la construction, on reste trop en surface de ce monde souterrain, j'aurais presque envie de dire scolaire. Je trouve que l'auteur n'a pas su rendre justice à ces nouveaux guerriers, il y a beaucoup de clichés dans les personnages et ça a tendance à m'agacer.
Sur l'intrigue en elle-même, il n'y a pas grand-chose à dire de plus que la quatrième de couverture, la tension n'est pas montée, Marc Lévy ne maîtrise pas suffisamment les codes du genre pour pondre un bon roman de ce type. En plus de ça il n'y a pas de fin propre vu qu'on part sur une série. Et en parlant de série, le bouquin semble plus avoir été écrit pour être adapté que pour être lu, je trouve cela dommage, autant aller directement à l'objectif comme Harlan Coben l'a fait avec Safe.
Bref, malgré les bonnes idées je n'ai pas accroché au roman, que j'ai peut-être trop prit au sérieux contrairement à ma première lecture de cet auteur.

Il y avait longtemps que j'avais abandonné la lecture de cet auteur. J'ai pourtant aimé Et si c'était vrai, et davantage encore Où es-tu ? Les autres ne m'avaient pas convaincue. Présent à l'émission La grande Librairie, Marc Lévy m'avait pourtant donné envie de lire son livre. Même thème que celui d'Alice Zeniter Comme un empire dans un empire. Même thème et même déception.
Nos amis hackers piratent des données, se font courser ou tromper par des méchants, sautent dans des avions ou cherchent on ne sait quoi. Il est vrai que ce livre est le premier tome d'une trilogie et qu'on n'en saura peut-être davantage au tome II. Il y a peu de chances que je vous en parle, je me suis ennuyée plus qu'autre chose.

Lien : https://dequoilire.com/cest-..

Marc Lévy qui s'essaye au thriller technologique...
Vu qu'il commence à tourner un peu en rond sur le thème de la comédie fantastico-romantique, je me suis dit pourquoi pas, laissons lui sa chance et voyons ce qu'il a dans le ventre.

Nous partageons donc les aventures d'un groupe de neuf hackers qui ont pour but de jouer aux redresseurs de torts en combattant les puissants sans scrupules qui abusent de leur pouvoir.

L'histoire démarre assez fort, à ce niveau, rien à dire, l'action est au rendez-vous, mais j'ai eu du mal à accrocher: les allers/retours temporels et spatiaux dès le début avec des personnages que l'on est tout juste en train de découvrir m'ont un peu rebutée. J'ai eu un peu de peine à rentrer dedans.

Une fois cette étape passée, et bien , comment dire... ça ne s'est pas arrangé malheureusement et j'ai dû me faire violence pour ne pas abandonner en cours de route, bien que le style soit facile à lire.
Les personnages sont sympathiques et attachants mais trop lisses et aseptisés pour des hackeurs.
J'ai trouvé aussi que le suspens manquait d'épaisseur, aucune adrénaline, aucun rebondissement. Je n'étais pas pressée de connaître la fin, mais D'ARRIVER à la fin, pour pouvoir passer à autre chose.
Et le pire, c'est qu'enfin au bout, je me suis rendu compte que l'on ne découvre même pas le fin mot de l'histoire et qu'il y a une suite. Frustration totale après toute cette peine que je me suis donnée !

Alors, je salue l'effort de Marc Levy pour être sorti de sa zone de confort. C'est un auteur pour qui j'ai beaucoup de sympathie mais lire la suite ne sera pas possible, je vais en rester là pour le moment.

C'est ce qu'on appelle un rendez-vous manqué...

Bien que déçu par ma lecture, il serait injuste de ne pas pointer les aspects positifs de celle-ci. Tout d'abord, le sujet choisi est original, et surtout excessivement bien documenté. On sent que Marc Levy a fait de longues recherches, et il a l'intelligence de ne pas nous inonder de détails techniques pour nous le prouver. Cette plongée dans les méandres de la piraterie moderne a un côté fascinant. Ensuite, on sent que l'auteur en a gros sur la patate, et qu'il entend dénoncer tout un système. Il s'en prend donc à des hommes, sociétés et organismes en travestissant leurs noms pour éviter les procès (courageux, mais pas téméraire), mais de manière suffisamment grossière pour que le lecteur les identifie sans peine.
Malheureusement, ce roman n'est pas exempt de défauts, et je relèverai les trois qui sont absolument rédhibitoires pour moi. Premier motif de mon agacement, nous avons droit à des kilomètres de dialogues. Je déteste cette manière d'écrire qui révèle d'après moi, au mieux, de la paresse, au pire, de graves carences narratives. Qui plus est, ces dialogues sonnent faux, le manque de répartie est criant, et l'action en devient lente et molle à périr.
Deuxième objet de déception, l'ambiance (ou plutôt son absence) du récit. Nous nous baladons aux quatre coins de l'Europe, et Marc Levy agrémente son bouquin de dessins représentant les lieux, s'exonérant ainsi de toute obligation de les décrire... bon... soit... admettons. Mais l'atmosphère, que diable ! Comment est-il possible d'être tour à tour à Oslo, Londres, Madrid, Tel-Aviv, Istanbul, Kiev, Rome, et d'avoir l'impression que tout se déroule dans le même quartier ?
Enfin, troisième écueil qui me rebute, le recours trop fréquent au heureux hasard. Certes, ça arrive dans la vie et donc, ça peut arriver dans un roman. La première fois, je ne cille pas, la deuxième fois, je tique, au-delà, je crie à l'imposture.
Bref, deux étoiles pour les recherches et intentions, mais le rendu final ne me permet pas de lui accorder la moyenne.

Ce groupe de 9 hackers vertueux nous fait découvrir les très grandes possibilités d'actions possibles pour alerter, manipuler, influencer dans des domaines très variés. le point fort de ce roman est la bonne connaissance de l'auteur des pratiques et des techniques de pointe existantes qu'il nous fait découvrir et partager au travers des activités de ses personnages. L'inventaire des magouilles possibles est impressionnant et « Big Brother » est plus présent que jamais, mais, l'écriture pauvre et la narration plate manquant de souffle diminuent l'intérêt d'un scénario pourtant séduisant.

En quelques mots :
What else ! Please, NEXT ...

En beaucoup plus de mots :
Je serai sans doute beaucoup moins dithyrambique que les critiques qui apparaissent sur la quatrième de couverture du roman papier que je tiens encore entre mes mains lors de la rédaction de cette chronique.

Pour moi oubliez : "passion" et "rage au coeur", oubliez "plongée palpitante", sans compter que la vérité ne m'a pas percutée ni j'ai été bouleversée par leur humanité.

Roman intelligent, j'en doute encore, roman pour satisfaire la maison d'édition sûrement ... Je suis dure, désolée, c'est aussi le rôle d'une bloggeuse de dire les choses qui reste bien évidemment totalement subjective.

Les passionné.e.s de cet auteur, ne me conspuez pas. Alors oui, ça se lit bien, l'histoire pourrait être sensiblement sympa avec des personnages qui se croisent réellement et virtuellement mais cette histoire a glissé sur moi comme une goutte de pluie sur un ciré : le genre de livre que l'on prend, que l'on lit et que l'on oublie sur le coin d'une étagère et qu'on sait qu'il sera en première ligne dans le prochain rangement : "chasse la place" de ma bibliothèque.

Sans compter que je ne vois pas l'intérêt des dessins intégrés dans l'ouvrage à part, sans doute, ajouter des pages pour que le roman soit plus épais et justifie son prix.

Durant toute ma lecture, j'ai eu l'impression de regarder à travers les lignes du roman, une série sur n'importe quelle plateforme payante. On ne sait pas à chaque chapitre si on accroche ou non, mais à la fin, on regarde quand même le suivant, sans conviction, mais pas à contre coeur non plus, on se laisse juste aller.

Quelques personnages sont sans doute plus attachants que d'autres mais malheureusement pour moi pas assez pour en connaitre les aventures non pas pleines de rebondissements, ou secrètes, non au contraire, c'est juste vide d'émotions.

Alors maintenant que le temps de ma lecture est loin dernière moi, est-ce normal de lire pour lire ? Est-ce normal de se laisser aller de l'avant et finalement perdre des heures pour pas grand chose ? Non, je ne pense pas. Alors cette fois, je n'irai pas lire la suite des 9 parce que tout simplement, je n'en comprends pas l'intérêt.

Vous me direz que je passe à côté de scandales intergouvernementaux, internationaux, peut -être, sans doute, mais en fait, est-ce que j'ai envie de perdre de l'énergie pour ça, et bien non.
Lien : https://exulire.blogspot.com..

C'est arrivé la nuit plonge le lecteur dans un monde contemporain où les personnages principaux sont 9 - comme l'indique le projet du Monde des 9 - et éparpillés en Europe (Oslo, Madrid, Rome, Londres, Tel Aviv...). le lien entre ces personnages ? Ce sont des Hackers mais ni gentils ni méchants, ils ont plutôt pour rôle de se servir de leurs capacités pour mener à bien des missions, frôlant parfois avec la limite de la loi. Mais la fin justifie parfois les moyens. le point de départ de cette histoire débute à Oslo et nous voilà dans les méandres des connexions, des manigances et manipulations que les géants, ceux qui ont le pouvoir sont prêts à mettre en oeuvre pour dominer encore plus le monde. Si je reconnais tout le travail de recherche effectué par l'auteur et le subtil travail de dissimulation pour que le lecteur reconnaisse les noms des réseaux sociaux et autres géants du pouvoir, j'ai moins accroché avec l'histoire. Cet éclatement voulu par le groupe des 9 rend parfois l'histoire un peu décousue et cela est d'autant plus frustrant que selon moi, il est peu possible de lire les tomes séparément. Arrivée à la fin de C'est arrivé la nuit, je n'avais pas en moi le désir féroce de poursuivre un récit haletant mais plutôt de comprendre les relations et les aboutissements dans cette histoire. Pour une introduction, elle est un peu trop longue à mon goût....

Je ne pense pas avoir lu un livre de cet auteur !!

Etant dans une période « break polar » , que lire ?
Je pioche dans la bibliothèque où je suis bénévole et me concentre surtout sur la 4ème de couverture

« Ils sont hors la loi mais ils oeuvrent pour le bien »
Un polar ?? de Marc Levy ??
Allez … je tente !!

Ils sont 9, ne se sont jamais rencontrés mais travaillent ensemble par le biais de l'informatique, ils sont « hackers » et se veulent justiciers.

Suite à la mort de sa bien-aimée, Diego va chercher les responsables et entraînera avec lui le groupe.

Il y a beaucoup de personnages qui vivent aux quatre coins du monde, il y a des risques d'être « larguée » mais ce que je n'ai vraiment pas apprécié est le final qui se résume :
Suite au prochain tome
Quelle frustration !!!

Tome 2 que je ne lirai pas car il commencera certainement par un résumé (faut remettre le lecteur dans l'histoire) et vu le nombre de personnages ce sera une grande tartine.

Note : 2 / 5

j'ai coupé plusieurs fois cette lecture qui ne m'a pas inspiré. Les faits sont rééls, il y a beaucoup de corruptions mais j'ai pas trouvé l'adaptation intéressante. Je ne suis pas attaché aux personnages, j'en ai mélangé quelques uns. L'intrigue était intéressante mais déçue du résultat

Alambiqué et manichéen.

Un groupe secret de neuf gentils hackers piratent les ordinateurs des vilains riches méchants… Se placer au-dessus des lois pour jouer les justiciers, est-ce acceptable ? Robin des Bois et Zorro sont admirables dans des fictions du passé mais dans le monde actuel réel, je trouve que ça passe mal.